Purée, je suis de plus en plus vert d’avoir loupé ce foutu concert à la flèche d’or le 23 janvier : Post War Years & Wave Machines (compte wendu soundofviolence écrit je crois bien par un des sympathiques RPUT)
Hier l’audioblogosphère buzzait gentiment sur la sortie du single de Wave Machines (avec un w comme dans walygator) Keep The Lights On (en 250 exemplaires…)
Wave Machines – Keep The Lights On (achat sur norman ou plutôt chez banquet si vous voulez acheter les autres singles ce que vous avez intérêt à faire nom d’une crotte de nez)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/KeepTheLightsOn.mp3]
Ce morceau que je qualifierais de Yacht Pop est sacrément smooth et ferait fondre toute bourgeoise normalement constituée (je teste d’ailleurs avec la mienne ce soir).
Ils étaient (?) signés chez ces sacripants de Chess Club (dont on arrête pas de parler ces derniers temps ici (Post War Years et ExLovers) et je n’ai même pas envie dire s’ils sont anglais, américains ou québécquois, jeunes ou vieux, sympas ou pas… Les Wave Machines sont juste trop forts (mais probablement plus lourds que les MP3 Machines) :
Wave Machines – The Greatest Escape Ever Made (achète le saperlipopette)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/01-wave_machines-the_greatest_escape_ever_made.mp3]
C’est déjà un single de l’été (même s’il est sorti l’année dernière) avec le Peñate et Couac Couac. Celui qui dit le contraire a peu d’ambition dans la vie.
(au passage, chers wewants, ne vous inscrivez jamais chez ces *** de deezer dont vous ne pouvez jamais supprimer votre adresse des mailings… bordel je les hais autant que le saxo, guy bedos & les pigeons…)