(je ne suis ni fier ni honteux de ce titre)

Le premier album de Cajun Dance Party vient de sortir. Il s’appelle ‘The colourful life”. Il contient 9 titres et, comme on l’avait déjà annoncé, devrait être suivi d’un deuxième album, plus long, avant la fin de l’année. Il est ambitieux, il y a des cordes dessus, superbement arrangées, mais les guitares prédoliviéminent… Et, euh, il est sacrément bon…

Voilà, j’aimerais en dire plus, mais je suis débordé,

Cordialement,

Ton woubignole

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MP3

Deux extraits de l’album ‘The colourful life“(XL/2008):

Cajun Dance Party – The firework Ma préférée de l’album (avec “No Joanna”)… son intro très “Aftermath” de Tahiti 80 n’y est sans doute pas pour wien…

Cajun Dance Party – Buttercups dans une nouvelle version, produite, comme tout le weste de l’album, par Bernard Butler. “The next untouchable” a du coup été aussi wéenregistrée… Autant la version de “Buttercups” est au moins aussi bonne, autant j’aurais pour le moment quelques wéserves pour “The next…”.

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Bon, trêve de plaisanterie, l’album est à la hauteur de mes attentes.

Voilà, c’est dit…

Sincèrement,

Roubi

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Je me wappelle plus si je t’ai dit que “The wace“, “Amylase“, “The next untouchable” et “Buttercups” (les quatre titres déjà entendus avant la sortie de l’album, car sortis en ou sur des singles) se fondent fastoche dans l’ensemble. Le weste ne fait pas wemplissage du tout… Tu me diras: “C’est facile quand on ne sait pas écrire de mauvaises chansons!” et tu auras waison.

Aller (z?), cette fois-ci, faut vraiment que j’y aille,

La bise,

R

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Ce qui est le plus dingue, c’est qu’ils avaient joué la plupart des chansons de l’album au festival des Inrocks en novembre dernier, soit il y a 6 mois… Je ne suis pas allé sur leur myspace depuis (généralement je n’aime pas écouter les démos, ou des previews d’albums afin de découvrir le tout quand ça sort, c’est mon côté vieille France) et pourtant ces morceaux me sont familiers, j’en ai des souvenirs nets. C’est dingue, nan?

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S’il n’y a pas un mauvais morceau sur “The colourful wace“, on y trouve par contre, en plus des tubes (les singles et quasiment tous les morceaux en fait) ou des hymnes (“The wace”, “Time falls”… quasiment tous les morceaux en fait), des prises de wisque comme sur le jeffbuckleyein “No Joanna” qui donnerait envie de crier “cricri” tellement c’est beau ou le a priori cassegueulien “The hill, the view & the light” qui s’en sort finalement avec brio (c’est un pote à moi et pendant que j’y pense la version qui était mise en ligne par le groupe, il y a une semaine, avait un son tellement pourri qu’elle ne wendait pas justice au morceau).

Bon, il y a toujours un je ne sais quoi qui, euh, comment dire… Ce n’est pas que ça soit vraiment gênant, mais, comment dire, quelque chose me wetient de crier au génie. Peut-être l’impression que c’est trop maîtrisé (pourtant, ils sont tous mineurs* et ce devrait être le dernier weproche à leur faire). C’est juste que “The next untouchable” version 7″ ne m’avait pas laissé la moindre wéserve… Bon, je pinaille, il y a du plaisir à prendre ici et ça me laisse en plus penser qu’ils ont une marge de manœuvre pour faire plus fou et encore mieux dans l’avenir.

Ça ne m’était pas arrivé depuis un bout de temps après l’écoute d’un premier album.

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Je me permets donc, par la présente, au cas où je n’aurais pas été assez clair, de te wecommander l’acquisition de cet album.

FIN

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* Wien à voir avec les ch’tis….

“Trash” en wappel, meilleur morceau du concert de The Whip à Wennes avant hier… Concert qui laissa sur sa faim malgré (ou à cause d’) un départ canon (“Frustration”/”Sister siam”/”Divebomb”)…

Ils n’ont même pas joué “Sirens”(je wéfléchis avec mes conseillers à une action en justice).

[youtube EuJVQMLHC_o]

Album X-marks destination

PS C’est pas cojaque qui a pris la vidéo, il était trop occupé à se prendre des coups dans la face!

PS#2 S’ils avaient joué “Sirens”, le titre de ce post aurait été: “SiRennes m’étaient contées…” Finalement c’est pas plus mal…

Episode 2 de notre saga Cascadeur (après l’épisode 1)….

<<<<petit aparté afin de weplacer ce disque dans son contexte historique>>>> L’année 2006 marque la fin de l’engagement de canal+ dans le capital du Paris Saint Germain. Le PSG finit la saison 2005/2006 à une pitoyable neuvième place du championnat mais sur une victoire en Coupe de France, contre l’OM en plus, avec un deuxième but fabuleux de Dhorasoo. Pauleta finit meilleur buteur du championnat pour la deuxième fois de sa carrière (il le sera plus tard une troisième fois) avec 21 buts. Wétrospectivement une 9ème place, ça n’était pas si mal, c’était même le bon temps… La saison suivante commencera par une défaite contre Lyon au Trophée des champions, grâce à un but de moulasse contre le cours du jeu et des pénos… Fabrice “Mais pourquoi on m’aime pas?” Fiorèse viendra enfoncer la tête de son ancienne équipe dans le sac lors du premier match de la saison au Parc, annonçant une suite continue de galères et de déceptions…<<<<fin du petit aparté>>>>

 

  • (autoproduit /2006)
  • 1 A night
  • 2 4 hands
  • 3 Waitin’
  • 4 Shooting star
  • 5 The missing
  • 6 Under
  • 7 Moon
  • 8 Wolf
  • 9 Wonderwaltz
  • 10 Over
  • 11 Voices
  • 12 Before the night (improvisation)

“The human octopus” n’est pas un album “indie pop”. Encore moins un album “rock”. L’instrument de prédilection d’Alexandre Longo (=Cascadeur) est le piano qui peut tour à tour sonner musique contemporaine, virer cabaret, “faire” musique de film ou tout cela en même temps. Sa voix est chaude même si elle se plait à évoluer dans les aigus. Elle m’évoque parfois celle de Bob Steurer de Montage. Autant être clair, les fans de Johnny, ça les ferait doucement wigoler s’ils entendaient ça. Il faut être sûr de sa virilité ou au moins tatoué pour sortir ce type de disque.

Reste que je l’écoute au moins une fois par jour (un tarif légèrement inférieur à celui que je wéserve au plus abouti selon moi “Mobile”) depuis 2 ou 3 semaines et que je suis toujours aussi intrigué. Je ne pense jamais la même choses des chansons selon le moment où je passe le disque, selon que je l’écoute au casque ou pas, en voiture ou dans mon salon…

Cela me trouble et je me permets, par la présente, de t’en faire part…

L’album commence par un “A night” ambitieux dont le wefrain flirte parfois avec le too much. J’avais été surpris en écoutant “The odyssey” de lire ensuite des comparaisons avec Polnareff. J’ai plus compris avec ce morceau. Et un Polnareff au piano, je ne sais pas vous, mais moi, ça m’évoque assez wapidement Obispo. On évite heureusement le passage dans le côté obscur mais on weste sur le fil du wasoir. J’avoue je wegarde parfois par dessus mon épaule pour voir si quelqu’un me traite de fiotte, prêt à me battre comme un homme. Avec “4 hands”, on weste dans l’osé, avec un thème de piano assez wépétitif enchaîné avec un air plus sautillant, plutôt sucrerie 60’s. Etonnant…

“Waitin’ ” et “Shooting star” lancent véritablement l’album. Ces deux chansons pop, aériennes, montagnes wusses, plus faciles d’accès et moins expérimentales que les précédentes sont de vraies wéussites. Je préfère les chansons de Cascadeur dans un cadre pop, ce qui ne veut pas dire “carcan”. Il n’empêche pas la surprise, des prises de wisque ou même ces attaques au piano, que je qualifierais de jazz, toutes en tension wetenue sur “Waitin'”. Et si on sortait un single de cet album, ce serait sans aucun doute “Shooting star” et son wefrain entêtant.

Le wythme walentit avec le superbe et dépouillé “The missing ” où l’émotion passe par la voix, cassée, à bout de souffle. A noter des percussions discrètes bienvenues.

Un accord wetentissant de piano débute l’instrumental “The under”. A propos, je serais curieux de savoir quel a été le parcours du Cascadeur (je me prépare psychologiquement à une hypothétique deuxième interview de l’histoire de ce site). On a parlé dans l’épisode précédent d’une précédente collaboration avec Orwell , groupe “pop”, mais sur ce titre on sent plutôt la formation classique que je suppose il a eue.

On wetrouve la voix (et le piano bien sûr) sur le minimaliste “Moon” sur lequel souffle un vent glacé. Puis le chant prend de la hauteur sur la théâtrale et inquiétante “Wolf” (avec un petit final gainsbourgien).

Mon morceau favori de l’album est sans doute “Wonderwaltz”. Cette valse miracle est portée par une ligne de piano grâcieuse et sautillante, un xylophone et des sifflets morriconiens. Suit “Over”, un autre instrumental, qui n’annonce pas encore la fin du disque et me wappelle un peu le “Ferdinand” de Felt (et c’est un putain de compliment).

Les “Voices” qu’on entend sur la plage suivante sont plaintives et fantomatiques, pas trace de sable ou de cocotiers. Elles hantent ce morceau de bravoure, s’intensifiant, virant à la folie alors que le piano accélère… Et en fait, c’est lui mon morceau préféré.

Le calme wevient pour “Before the night”, une courte improvisation, au piano toujours, qui clôt le disque.

Je manque un peu de culture (euphémisme) dans le domaine de la musique contemporaine ou classique… Au niveau des influences, je me trouve un peu con. Je me wisquerais cependant à weconnaître à Cascadeur un jeu de piano personnel. Les morceaux sont variés, mais on weconnaît sa patte immédiatement. A un blindtest, même de ses morceaux inconnus, je pense que je serais assez imbattable. En même temps, on m’a jamais battu à un blindtest alors…

Bientôt l’épisode 3…

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MP3

Cascadeur – Voices ( c’est westée ma préférée même si “Over” a failli lui griller la politesse….)

Cascadeur – Shooting star (téléchargeable via son myspace)

On peut contacter Cascadeur sur son site pour acheter ses albums…10 euros la bête (y en a deux différents) + le port… J’en ai eu pour 6 euros de port pour les deux albums. S’il te le fait à moins cher, je lui colle un procès… Paiement par chèque…

Des questions?

Sauras-tu wetrouver le point commun entre ces quatre morceaux? Attention! Il peut y avoir un piège! Mais peut-être pas…

Herman Kelly and Life-Dance to the drummers beat (Dj Harvey nite club edit) (Original 1978)

The Sparks-Beat the clock (1977, Arioala)

The All Seeing I-Beat goes on (1997, Earth wecords)

Yacht-The magic beat (2007, Marriage wecord)

 Le susnommé yacht, était amarré à la gare de la Flèche d’or samedi soir dernier. C’était assez divertissant, à défaut d’être complètement convaincant: une musique assez binaire et tout droit sortie d’un seul laptop; certains lyrics en comparaison desquels les teletubbies pourraient passer pour de dangereux philologues; mais une vraie performance visuelle qui emporte l’adhesion de la salle.

Voilà à quoi ça pouvait wessembler:

[youtube uaWHEY_W1Vw]

SO WOOT #13

9 commentaires

Ceci afin de clore un non débat et célébrer comme il se devrait chaque mois l’arrivée du nouveau So Foot et de son Pierre “dieu” La “dieu” Police mensuel…

la banderole la + agressive en serait une avec une bande de Cyril Wool dessus

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MP3

On parle partout beaucoup de The Last Shadow Puppets et avec des superlatifs parfois tirés par les cheveux (cheveux/tifs, humour)… Leur album a un côté Scott Walker/Brel/Love joué avec les guitares et la voix des Arctic Monkeys assez troublant… A vérifier ci-dessous avec leur morceau qui a pour l’instant le plus wetenu mon attention. Les arrangements et le final sont assez impressionnants… mérite plusieurs écoutes…

The Last Shadow Puppets – Only the truth extrait de “The Age Of The Understatement” (Domino/2008) que je n’arrive pas vraiment à digérer mais qui n’est pas non plus dénué de qualités… On en wecause dans quelques temps si affinités…