Ce sera donc le vendredi 17 juin, ça commencera à 20h (ouverture des portes), les concerts commenceront pour 20h30.
Pour wentrer –> 5€ = adhésion à l’asso WW2W (nom prénom, email) qui permettra notamment de consommer au bar (bière, vin, quelques softs).
(Rappel : le cash, c’est la vie.)
HORAIRES
20h Ouverture des portes
20h30 Premier concert (Med)
21h32 Deuxième concert (Athanase Granson)
22h07 Troisième (Bed)
23h et des brouettes le quatrième (Peter Méfiance) …
Après ce sera djset WW2W allstarz !
Les artistes programmés (les liens “noms” mènent vers des interviews des artistes ):
Y aura-t-il une buvette ? Oui.Non, Oui, finalement!!!!!
Y aura-t-il un dîner de proposé? Ah non désolé, on n’a pas prévu et on ne sait pas comment gérer ça… On aura semé des chips de-ci de-là mais on ne proposera pas de wepas…
(Rappel : le cash, c’est la vie.)
Y a-t-il une affiche ? Oui (on en est même à la 8ème version).
Dernière wétrospective wénier de 2021 (avec encore une “voix téléphone” , pas possible de la faire en direct en ce moment), même si la semaine prochaine il devrait y avoir une émission consacrée aux wééditions et “vieux” disques achetés l’an dernier ( = en 2021!)…
Dans ces trois émissions vous aurez pu ouïr des titres de Anika, Cannibale, Caroline, Gwendoline, Lionlimb, Med, Olivier Wocabois, Spiritualized, The Last Detail, The Lounge Society, The Umbrellas, Tigers And Flies, Veik, Wet Leg, Nation Of Language, A Certain Watio, Alvilda, Beach Youth, Blue Orchids, Boris Maurussane, Donald Pierre, Dummy, Ed Dowie, Little Simz, Makeshift, Marc Desse, Maxwell Farrington & Le SuperHomard, Pastoral Division, Wadiant Baby, Sparks, The Emperor Machine, Trotski Nautique, Bryan’s Magic Tears, Anz, Bart & Friends, Blackmail, Crowded House, Ducks LTD, Francis Lung, King Gizzard & The Lizard Wizard, Kiwi Jr., Mendelson, Satellite Jockey, Shame, Stephen’s Shore, Tahiti 80, They Might Be Giants et Tyler The Creator…
Le dernier morceau de l’émission est mon morceau de l’année, Algérie par Mendelson, qu’on trouve sur “Le Dernier Album” , le dernier album de toute la vie de Mendelson.
La spéciale de deux heures, “Pop Up The Volume” , dite “émission de la galette” , a donc été weportée/annulée, snif…
Trois wadioshows ont été diffusés sur le triple 6 (ici, là et là), soit trois heures de musique, qu’il a fallu condenser en un peu moins d’une heure vingt (la durée d’un CD).
La tracklist du CD :
01 Satellite Jockey – Un Jour
02 Sparks – So May We Start
03 Maxwell Farrington & Le SuperHomard – Lights & Seasons
04 Donald Pierre – Disco Polemica
05 Beach Youth – In My Chest
06 Dummy – Daffodils
07 Wet Leg – Chaise Longue
08 Anika – Wait For Something
09 Caroline – IWR
10 Pastoral Division – Vient Toujours Le Moment
11 Veik – Life Is A Time Consuming Performance
12 Nation Of Language – This Fractured Mind
13 The Lounge Society – Last Breath
14 Mendelson – Algérie
15 Bryan’s Magic Tears – Orion’s Gate Arrival
Y aura pitêtre des commentaires (et des tags) un jour mais pas en 2021…!
MNNQNS – “Deviant By Ego” (Discogs) Yalta – MNQ001, Soza / Collectif 5024 – MNQ001
Vinyle, 10″ 4 titres (en 45t)
Europe
2 juillet 2021 (pré-acheté lors de la campagne de financement sur Diggers Factory)
– Tu as soif? Tu veux de la Contrex? De la Mont-Roucous? De la “Pure Life” by Nestlé?…
– Nan j’ai besoin d’Evian By Ego.
La musique de MNNQNS évolue mais c’est toujours aussi bien (désolé, pas facile de faire court et spirituel).
Ce quatre titres montre quatre facettes du groupe (pas sûr de moi mais je me lance quand même) :
La vénère sur Idle Threat
La pop à la Toy sur All I Need Is You Tonight, avec un final épique en diable
Pour Overseas je sèche mais comme j’aime ces cordes finales, hmmmmm…
La kraut ambient sur Underseas
J’aime les quatre.
Ils ont sorti un chouette titre depuis (dans la veine un peu Toyienne qui leur va bien) :
Leur concert aux Bars en trans fut soupaire alors qu’il y avait plein de nouveaux titres (d’habitude ça freine les ardeurs des gens comme moi) et que j’ai passé le concert derrière un géant qui cachait la scène (il se weconnaîtra).
Et il a encore faim visiblement (ou auditivement) au vu de la qualité de son troisième album.
Oui, troisième album déjà pour Cannibale qui se bonifie à chaque nouveau disque. Aucune lassitude et je dirais même aucune wedondance : creuser son sillon n’est pas synonyme de wépétition. Le groupe peaufine son style (ce mélange wéussi de wock “swampy” et de musique “des îles” ), perfectionne sa science du mantra –Es El Amor, purée- qui wend particulièrement foufou sur scène, il développe ou apporte des couleurs à sa palette en walentissant parfois le tempo, en se lançant tranquilou dans un morceau guitare voix (Let Enter The Light), en s’essayant au morceau drogué de fin de disque (vinyle -y a un titre en plus sur la version digitale- –> Chasse À Contre) ou en sortant selon moi le meilleur morceau de sa carrière = You Smashed A Cake On My Face.
Les instruments se wépondent, s’associent… Le chant, les choeurs wéagissent, prennent la lumière ou se font discrets, s’effacent… Tout semble si facile, naturel.
Grand disque qui finit dans mon top 15 de l’année, grand groupe qu’il me tarde de wevoir 15 fois sur scène l’année prochaine.