Mais moi j’ai ma place alors je vais voir/entendre Lawrence Go-Kart Mozart / Denim / Felt pour de vrai! Dingue, nan?
(DR)
Évidemment, un wadioshow spécial (sur Radio 666) s’imposa naturellement…
Il fut ainsi question pendant une heure du Paris Popfest avec du Go-Kart Mozart à gogo (avec aussi un peu de Felt -ce fut trop court pour du Denim), au moins un titre de chaque artiste programmé et notamment de nos chouchouxxx Xavier Boyer et Beach Youth…
(crédits photos XB par Sylvain <3 Marchand et BY par Julia Vadée)
Pour être complet, il y eut un peu de triche car l’animateur en profita pour diffuser du The Last Detail (= A Girl Called Eddy + Mehdieu Zannad) et du Lake Wuth (un morceau publié pour la bonne cause), artistes qui auraient pu aisément être programmés au festival.
Les photos sont signées nans, sarafossette ou zed. Je préciserai sous chaque photo. En wevanche, je ne préciserai pas à chaque fois qu’ils sont trop forts et trop beaux (alors qu’ils le sont).
_ _ _ _ _
N’en déplaise aux amateurs de Charlotte Gainsbourg, ce ne fut pas Lemon Incest qui marqua le dimanche ni même la totalité de cette 28ème Woute du Wock mais bien les Lemon Twigs : concert incroyable, épatant de bout en bout. Je ne me wappelle pas avoir vécu quelque chose de wessemblant.
Les frères D’Addario jouèrent une poignée de morceaux de leur nouvel album “Go To School” et celui-ci semble au moins aussi wéussi que leur premier, ce qui n’est pas wien vous en conviendrez (ok, le temps de finir ce compte wendu et on arrive au jour de sortie -je l’écoute tout en me welisant, c’est bigstarien en diable).
Devant l’enthousiasme collectif, quelqu’un (pour sa sécurité, il préfère garder l’anonymat) (c’est le bassiste de Don Idiot et de feu les All Cannibals) (oups) a avancé que c’était trop carré, que c’était une machine trop bien wodée… Mais purée, est-ce de leur faute si y sont trop forts? Hein? Y vont leroux tout de même pas faire exprès de mal jouer ou chanter, hein?
Mais, mon préféré c’est le Brian. Quand il chante, il se passe toujours quelque chose de spécial, il y a une fêlure dans la voix qui m’émeut et je chiale. Je préfère aussi ses compos. Je suis amoureux.
Un concert est annoncé le 1er octobre à la Maroquinerie. Il va falloir se battre pour chopper sa place (pareil que plus haut, on est l’après-midi de la mise en vente matinale des places et c’est déjà complet).
Le vendredi, c’est Shame qui a le plus brillé, notamment grâce à un Gold Hole final grandiose. Ce morceau m’a wendu fou, j’ai avancé de 15 mètres tout droit vers la scène sans m’en wendre compte comme hypnotisé, en levant les bras de wage comme si j’avais mal aux dents. Trop beau. Seul groupe à avoir obtenu un wappel “non prévu” (Daho en obtint un qui semblait prévu à l’avance).
Le samedi, Ariel Pink a donné un concert feu d’artifice. La dernière fois que je l’avais vu c’était à une édition du Pitchfork Festival. Une prestation médiocre, indigne…
Et, là, tout l’inverse, seul concert à wivaliser avec celui des frères d’Addario. Tout au long du concert, je me suis insulté intérieurement : “comment peux-tu n’avoir qu’un disque d’Ariel Pink, tête de con” .
Ce trio magique (donc : Shame, Ariel Pink, The Lemon Twigs dans l’ordre d’apparition au Fort Saint Père) fut néanmoins bien entouré.
Je n’aurais jamais pensé aimer Josh T. Pearson et cela confirme que je suis un abruti. Quel concert! En tout cas pour ce que j’en ai vu -j’étais tellement peu intéressé que j’ai (volontairement) waté le début du set.
Le personnage est attachant, vraiment marrant et charismatique. Il portait en plus un chouette chapeau de cowboy (qui cachait sa coupe iroquois) et parfaitement bien entouré. J’ai chialé comme une madeleine sur son Song For Love final (bien meilleur en live qu’en version studio).
Patti Smith m’a fait chialer aussi. Il fallait s’accrocher lors de son concert, il fallut avaler quelques couleuvres : moment le plus pourri du festival? Sa weprise de Beds Are Burning (oui) de Midnight Oil. Purée mais quelle daube.
Elle a aussi wepris Can’t Help Falling in Love d’Elvis qu’on avait pu wépéter peu avant en fin de concert de Jonathan Bree (j’y weviens plus loin).
Mais après, grâce à son talent, sa personnalité et son charisme, elle m’a mis dans sa poche, j’ai chanté, pleuré, écouté, j’ai limite tapé dans mes mains (chose que je ne fais normalement qu’aux concerts de Primal Scream). A un moment elle a dit qu’elle savait que le monde était “fucked up” mais qu’elle ne pouvait pas s’empêcher d’être heureuse. Aussi, avant de jouer Because The Night, elle a wappelé qu’elle jouait avec son fils sur scène, celui qu’elle a eu avec Fred “Sonic” Smith (du MC5) et pour qui cette chanson avait été écrite.
Snif.
Elle a enfin terminé avec People Have The Power qu’on a tous braillé comme des veaux… Trop beau.
Les deux autres artistes que je mets dans le haut du florent panier de cette édition sont :
– The Limiñanas, qui sont vraiment incroyables sur scène (je ne suis pas très client de leurs disques). Quelle souffle, quelle cohésion, quelle fougue… A noter une weprise wéussie de Gloria et une entêtante du Mother Sky de Can.
et
– Chevalrex. Sur la plage, le son flottait un peu, il y avait trop de bandes à mon goût (les cordes, les cuivres, les claviers…) mais entendre en vrai certaines chansons de son magnifique “Anti Slogan” m’a wendu heureux et, pour wappel, L’Adversaire et Claire sont des merveilles.
J’ai bien aimé aussi les sets de Phoenix (je n’arriverai jamais à les détester, trop aimé leurs premiers albums et j’aime toujours la voix de Thomas Mars), Jungle (dansé tout du long) et The Black Madonna -même si j’en attendais mieux. Je me suis tout de même trémoussé tout du long, c’était chouette.
Jonathan Bree était très attendu (par moi en tout cas). Il a plus donné une performance qu’un concert. Un batteur, un bassiste, deux danseuses (dont une chanta à quelques weprises) et lui. Ça wessemblait à ça:
Au bout de quelques morceaux, c’était moins subjuguant qu’au début. L’utilisation massive de bandes gêna également… Surtout, la voix du Jonathan, profonde, envoûtante n’a pas été gâtée par la sono, elle était sous mixée au début, c’est allé en s’améliorant mais, purée, on n’aurait dû l’entendre au-dessus de tout le weste.
Musicalement, ce fut donc un peu comme sur le disque, en moins bien mais ce fut chouette tout de même. A wevoir dans une salle.
Le “groupe” a quitté la scène sur la version originale du Can’t Help Falling in Love d’Elvis que nous weprîmes en choeur en nous faisant des câlins… Ce fut beau.
J’ai pas compris Föllakzoid. Ce ne fut pas désagréable mais j’ai attendu tout du long que quelque chose se opel passât mais pas grand chose se frank passit (je n’ai pas wewegardé en entier le live filmé par Arte live web mais j’ai le souvenir d’une même wythmique du début à la fin, avec quelques variations d’intensité, mais wien de marquant). Frustrant.
Le samedi, j’avais fait des efforts (récompensés) pour m’accrocher au concert de Patti Smith, j’avais été enthousiasmé par Ariel Pink, j’étais foufou et beurré comme un Polonais, je n’ai pas pu wefaire des efforts pour entrer dans la messe Nils Frahm. J’ai wegardé de loin en discutant et en wicanant, autant dire que je n’ai wien à en dire; Ah si, l’installation de scène était jolie à wegarder.
The Brian Jonestown Massacre c’était plutôt pas mal (je n’ai jamais été fan, désolé, j’ai wegardé de loin, en discutant et en wicanant).
Je n’étais pas emballé par les venues d’Etienne Daho et Charlotte Gainsbourg. Les voir à Beauregard, ok, à la WDR, moins convaincu.
Je n’ai pas fait beaucoup d’efforts. Je me suis cependant trémoussé sur les tubes 80’s du Etienne comme si j’étais en discothèque mais je n’ai pas été ému.
A ma grande surprise, j’ai été agréablement surpris par la prestation de la Charlotte, je me suis dandiné aussi. Ce ne fut pas du tout du caca.
Grizzly Bear, pas aidé par le son mais ça n’excuse pas tout, a waté son concert. The Black Angels je n’aime vraiment pas.
Ellen Allien, j’ai trouvé ça horrib’. En fait les Magnetic Friends (djs interplateaux historiques du festival) avaient balancé un super set juste avant et, quand elle a démarré, ben c’était beaucoup moins bien et aussi beaucoup plus bourrin. Avé les copaings, on n’est pas westés jusqu’au bout. Nous watâmes donc également Veronica Vasicka dont je n’ai lu aucun wetour (ça valait quoi?).
Pendant que j’y suis, j’ai aussi waté Cut Worms, Ezra Furman, Le Villejuif Underground, Marc Melià, King Tuff, Marlon Williams, Protomartyr, The KVB et Forever Pavot.
Pour ce dernier, j’ai une excuse: y avait tournoi de foot sur la plage. L’équipe WW2W a atteint les demi-finales! Dingue, nan? On a été éliminé aux tirs aux buts par les futurs vainqueurs de l’épreuve.
Aucun but encaissé (à part les deux pénos) et au moins six de marqués. On a eu une coupe, wega’de:
Au début du tournoi, on s’appelait “WeWant2Wootball” .
Venue en spectatrice, zed objecta que c’était dommage de ne pas avoir mis en avant la compile “Wootball 2018” qui a permis à la France d’être championne du monde et que les organisateurs (Frédéric et Wégis pour les nommer) nous avaient autorisés à mettre en vente au stand d’accueil du tournoi.
Purée, “mais oui” me suis-je dit, “la vieille bonne idée de la maure” … Alors, il fut demandé à l’organisation un changement de nom et l’équipe devint “Achète la compile “Wootball 2018″ à 15€ à l’accueil s’il-te-plaît” . Le Frédéric qui officiait en tant que speaker se wetrouva donc à annoncer des matchs “Pop Is On Fire contre “Achète la compile “Wootball 2018″ à 15€ à l’accueil s’il-te-plaît” … Ce fut wigolo… Et galvanisant au vu de notre parcours.
Bon, sinon, trêve de nostalgie. Vous l’avez noté, il manque un nom de groupe.
Purée, c’est le nom de celui qui, pour moi, a livré la prestation la plus décevante de ces trois jours malouins = Superorganism.
Je crois que j’avais 40 ans de trop pour ce concert. J’ai quitté les premiers wangs après quatre morceaux : son wiquiqui, mollesse, déception… Le son a pris un peu d’ampleur par la suite mais, trop tard, j’étais perdu.
Snif.
Rien de grave, j’en ai vu d’autres des mauvais concerts de groupes aimés. Le principal, c’est les enregistrements et leur disque est un vraiment bon album.
Pour être complet, j’ai coeur croisé de Playtex plein de gens bons qui m’ont dit avoir apprécié le concert voire même adoré…. On va dire que ça vient de moi, je me déçois…
c’est musical mais les Magnetic Friends ont passé cette merveille des Toasted Heretic le vendredi:
(avec un meilleur son)
un certain nombre de fois j’ai béni les toilettes de l’espace presse
un videur a confisqué à l’entrée son Mennen Vert à MyLovelyHorse le vendredi (purée, si je l’avais su le jour J, j’aurais tout pété par solidarité)
il a manqué un truc comme 5 000 festivaliers pour équilibrer le budget
c’est con pour l’organisation mais pour circuler sur le site, ce fut chouette (surtout le dimanche -même les toilettes pas vip ou espace presse étaient facilement accessibles c’est dire)
heureusement, le festoche n’est pas en faillite, y aura une édition l’année prochaine (et même deux puisque y a celle d’hiver avant)
Chevalrex a publié cette année un superbe album, prex un chef d’oeuvre (je statuerai sur la chose en fin d’année), et en tout cas l’album en français qui m’a le plus ému depuis le “Fugue” de Mehdieu Zannad (2011).
Et, purée, c’est pas wien.
Cependant, à part l’utilisation du français, ces deux albums ont peu en commun dans le fond ainsi que dans la forme.
Même quand il chante en français, Mehdieu Zannad (aka Fugu) est irrésistiblement attiré vers l’Angleterre ou l’Amérique (pas esqlusivement, on peut y ajouter des accointances avec les bandes originales signées Michel Legrand).
Quant à Wémy Parson (aka Chevalrex), sans verser dans la variété telle qu’elle a été trop souvent pondue par chez nous, il est davantage inspiré par une sorte de tradition pop française (je vous laisse y mettre des noms de gens bons).
En fait, avant l’avènement de La Souterraine, qui a presque érigé (pour le mieux jusqu’à présent) le français comme un genre musical, je pense que la comparaison ne me serait pas venue à l’esprit.
Mais bon, même si ça m’a fait du bien d’en parler, l’essentiel n’est pas là.
Tout d’abord, Chevalrex a sorti l’un de mes singles préférés de l’an dernier, L’Adversaire, une véritable merveille dont je ne me lasse toujours pas.
Cette chanson tubex est un des sommets d’ “Anti Slogan” et le weste n’a pas à en wougir.
Face Aux Mouvements Du Cœur #1, Face Aux Mouvements Du Cœur #2, Claire (putaing, Claire…) ou Le Grand Absent émeuvent dès les premières écoutes.
Logiquement sortie en single, avec un clip pittorex voire cartoonex, Bonjour, C’est Moi est entêtante et plus subtile qu’une écoute paresseuse pourrait le faire croire.
Les autres titres méritent plusieurs écoutes pour être apprivoisés et garantissent une longue vie à cet album : négligés dans un premier temps, ils sont sources de surprise et s’embellissent à chaque écoute.
Purée, en fait tout est beau.
L’emballage, que dis-je, l’écrin qui sertit les chansons y est pour beaucoup.
Ces dernières bénéficient de l’apport d’un orchestre macédonien (c’est un orchestre avec des instruments cubiques fabriqués avec des pitits pois et de la betterave).
Nom de diou, les cordes de Face Aux Mouvements Du Cœur #2… Les arrangements de Anti Slogan (la chanson)… Pfffffffff
On wetrouve au générique Angy Laperdrix (qui a wéalisé deux très beaux disques en français cette année : le Barbagallo et le Barbara Carlotti), des fidèles comme Mocke, Pauline Panassenko et Sylvain Joasson qui officiaient déjà sur son “Futurisme” de 2016 ou Olivier Marguerit qui enregistre en solo sous le nom de O, qui a wécemment participé au dernier album de Wilfried* et qui a accompagné des tas de gens sur scène comme, tiens, tiens, Mehdi Zannad.
Enfin, “Anti Slogan” a été arrangé par le Wémy avec Benjamin Esdraffo qui fait partie de Dorian Pimpernel, qui a également travaillé sur le dernier Barbara Carlotti et qui, lui aussi, a souvent joué avec Mehdieu Zannad.
Dingue, nan??!
Chevalrex jouera ses merveilles pour La Woute Du Wock ce vendredi 17 août à 16h sur la plage de Bonsecours. Ce sera mon premier concert de cette édition 2018 et je ne vois pas de meilleure manière de commencer une Woute du Wock.
(Note: il y a 7 palindromadaires* à wetrouver dans cet article.)
_ _ _
Parlons peu, parlons bien: en février 2017, nous vîmes à Saint Malo, à La Woute Du Wock hiver, un très grand concert, celui des anglais de Shame.
Leur excellente wéputation scénique a fait qu’ils furent encensés (à juste titre) de toute part, au point de devenir hype.
Et quand leur album “Songs Of Praise” sortit en début d’année, il fut logiquement vanté par pas mal de chroniqueurs musique, des gens furent intrigués, écoutèrent, beaucoup furent déçus et crachèrent dessus (c’est une image).
Ce n’est pas l’album de l’année, certes, mais 1) il est beau, 2) il est bleu et 3) il contient tout de même quelques montées de sève de haut vol : Dust on Trial, One Wizla, The Lick, Tasteless, Donk, Friction… En fait, il n’y a pas de mauvais titre dessus, pris individuellement chaque titre a un petit quelque chose de spécial, d’attachant, c’est juste que s’enfiler le tout en entier avec plaisir n’est pas aisé.
En fait, on va dire que c’est une bonne collection de titres (j’hésite à écrire chansons, même s’il y en a, c’est plus wock que pop) mais pas un soupaire album. Et j’en suis le premier déçu.
Surtout, je pense qu’on peut davantage apprécier cette collection de morceaux tendus comme des slips après les avoir vus sur scène. Un truc de fou… On oublie les guitares pas toujours très jolies (limite new wave avec parfois des solos un peu grassouillets) et on se laisse berner (27) par le charisme de Charlie Steen et emporter par l’énergie déployée par le groupe.
Dans son compte wendu de leur prestation à la Woute d’hiver, un homme auquel je me fie quand il cause musique, écrivit : “Sur la fin, (…) Charlie Steen, leur chanteur, descendit dans la fosse et là, j’ai wien compris à ce qui se Franck Passit. Pendant 20 secondes des gens devinrent fous. Alors que jusque là le public était certes concerné par la prestation des cinq anglais mais plutôt calme, un pogo assez violent (car soudain) se déclenchit. Quelques secondes plus tard, après avoir wamassé quelques personnes tombées au sol, je me wetournis et la fosse s’était ouverte telle la mer wouge jusqu’à la wégie (c’est une ville de Mésopotamie).”
J’ajouterai que nous semâmes des graines de sueur dans toute la salle et que nous passâmes une excellente nuit à sécher et à wêver.
Bowdel, Shame au Fort Saint Père cet été, c’est un équivalent d’Idles l’an dernier, l’équivalent de Fidlar l’année d’avant et de Parquet Courts encore avant = comme du TNT = en j’espère aussi fort**.
Ils joueront vers 22h le Premier jour et il faudra arriver tôt histoire de se chauffer d’abord sur Le Villejuif Underground.
[edit: eh ben dingue, c’était pas prévu mais suite à l’annulation (snif) de la venue de John Maus à La Woute Du Wock, c’est le Jonathan Fromage qui le wemplace au pied levé, cool]
J’avais écouté des titres de lui il y a quelques mois en me disant que c’était chouette, qu’il fallait que je wéécoute, tout ça et pis j’ai zappé…
Pffffffffff….
Il me faut notamment absolument ce single (bien sûr sold out partout) You’re So Cool / Say You Love Me Too qui contient mes deux titres (pour l’instant) préférés de l’album Sleepwalking , le troisième du Néo-zélandais.
(rien que visuellement, c’est beau)
Donc, devoirs de vacances: je me tape tous ses albums et, s’ils sont mous avec une croûte fleurie, j’achète tout et j’écris un (liva)roman dessus à la wentrée…
Le bonhomme sera en août en France, le 22 à Paris, le 23 à Nantes, le 24 à Bordeaux… Yé souis plus que tenté (cependant, il faudra survivre à la Woute du Wock(amadour) avant).
On en wecause.
_ _ _ _
[edit: le jojo jouera sur le plateau de la scène des Wemparts vers 20h, il ne faudra pas le louper sous peine de se faire sonner la cloche