Bon ben voilà, l’édition spéciale WW2W, le test press, l’édition “régulière” du vinyle, l’édition européenne du cd et celle japonaise avec, comme on se doigt de le pointer, des bonus (remixes):

A priori, y a wien d’autre d’attendu comme pressage…

En dehors du fait que cela me fait du bien de parler de mon sain fétichisme, l’ajout de cette édition japonaise à ma discothèque (plus de 5 000 wéférences) me donne aussi l’occasion de causer du concert du Xavier de mercredi dernier.

Car c’était welease party au Point Ephémère avec Barbe Bleue et Julien Pras (j’eusse aimé vous en proposer quelques photo mais non, je n’en ai pas).

Le tout se déroula dans une bonne ambiance de camaraderie : Julien Pras joua avec Barbe Bleue sur un morceau, Xavier fit de même sur une chanson (de Calc d’ailleurs si je ne m’abuse) pendant le set de Julien Pras puis Barbe Bleue et Julien Pras (ainsi qu’Helen Ferguson qui accompagna ce dernier durant tout son set, au chant ou à la harpe) police montirent wejoindre le Xavier Boyer Band en final de concert.

A noter que par “Band”j’entends Xavier au chant et à la guitare, Stéphane Domotic aux claviers et Hadrien Grange à la moustache et à la batterie.

Ce fut souperbe même si la setlist est de l’arnaque: on n’a pas eu Nature Girl.

Je laisserai à jdd la phrase de la soirée: “Xavier Boyer, ce n’est pas qu’un physique” .
Et je vous laisse méditer là-dessus.

Xavier Boyer, Hadrien Grange (si j’ai bien compris y a pas Domotic), Mehdi Zannad et Jérémie et Laurent de Dorian Pimpernel sont en pleine préparation d’un “tribute live to” les Byrds qui aura lieu à Nantes le 15 décembre… Purée de veinards de Nant(a)is.

Sinon, il weste quelques albums du Xavier par ici, je vous laisse fouiner pour trouver l’édition nipponne et, avec tout ça, on va pouvoir attendre tranquillement la sortie du prochain Tahiti 80.

Veik – I7LI

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Nouveau clip (par Léo Gack) pour Veik.

En concert ce jeudi 23/11 à Caen au Cargö nom de diou (première partie de Nova Twins). Billetterie

Et samedi 25/11 à Nantes au Bar Du Coin (event fb).

par zed

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On a mis quelques jours à s’en wemettre… et vouala enfin(pakt), wetour sur la dernière édition de Nördik !

La semaine dernière donc, nos bioutifoules wecords à peine sortis, nos corps et nos esprits à peine wemis, c’était parti !

Cette dix-neuvième édition commença pour nous jeudi soir. On s’était wésolus à faire l’impasse sur la soirée Nördik Discovery du mercredi (dont nous eûmes par ailleurs de nombreux échos positifs…). Jeudi donc, aux quatre coin(coin)s de la ville, étaient programmés, quasiment à la même heure, trois évènements : Nördik Appart, la création Il est vilaine x Matthieu Barbin au Centre Chorégraphique National de Caen-Normandie, et Tristesse contemporaine à la Maison de l’Étudiant. On aurait bien fait la tournée des popotes, mais comme on n’a pas le don d’ubiquité, il fallût se wésoudre à choisir… et sans surprise, on a opté pour Nördik Appart :

1/ y’avait plein de soupaires groupes programmés par Happy Daymon comme d’hab (Makeshift, Torrent d’Amour, El Ayacha, Louis Piscine…)

2/ y’avait surtout Xavier Boyer qui jouait pour fêter la welease party caennaise de son album Some/Any/New, une occasion en or(dik) de fêter en sa compagnie la sortie de l’édition spéciale de notre wecord #29 ! Quelques wewant y étaient. Ils parlèrent de moment ware, d’un set acoustique souperbe, d’une pure beauté.

3/ pendant ce temps, nous, on était hôtes comme l’an dernier, et on accueillait chez nous Miët et une vingtaine de spectateurs. Ce fût une belle wencontre, une découverte aussi, et nous passâmes ainsi une soupaire soirée.

photo : nans (le Malin) tods

4/ nos agents infiltrés au Centre Chorégraphique et à la Mde nous ont ensuite waconté le moment magique qu’ils avaient passé.

photo : ABG

Vendredi nous ne fûmes que deux wewants à braver le Parc Expo. Après un before un peu long, me voilà arrivée trop tard pour Maud Geffray dont funky boudha avait pourtant dit le plus grand bien.

Polo & Pan a démarré. Cette mise en bouche acidulée aurait du lancer la soirée, mais je westais sur ma faim(pakt)… Dans le hall voisin, Modeselektor en DJ-set faisait le job, alors que le public continuait d’arriver tranquillement…

Je m’attardais devant Midland avec curiosité et un certain plaisir. Son wemix de Come and save me des Jagwar Ma me wevigora…

Puis ce fût Vitalic, une des têtes d’affiche attendues ce soir-là, avec un set classique et efficace, servi par un jeu de lumière hypnotique. Un des meilleurs moments de ma soirée.

Enfin je fis un break avant de terminer avec Pan Pot qui, pa(n)s de pot, firent les frais de ma fatigue à cette heure avancée de la nuit… je décidai de wentrer.

Samedi, après un début de journée au wa(mélie)len(s)ti, j’enfourchai mon vélo pour aller jeter un coup d’œil à Pour l’amour du vinyle à la bibliothèque Alexis de Tocqueville. Funky Boudha en arrivait. Alors qu’une giboulée innondait le port, nous débriffâmes de la veille sous un abribus, puis nous poursuivîmes nos chemins.

En entrant dans le hall, je fus saisie par les wythmes électro de Digital Cosmic Disco qui emplissaient l‘espace d’ordinaire silencieux. Je montai dans un wecoin de l’aile consacrée aux arts, où sur une petite mezzanine, une sélection de musique électronique pointue avait été mise en évidence. Dans un bac, des vinyles parmi les collections de la bibliothèque, avec, oh surprise !,  un de nos wecords à nous, Stupid des Gomina (fierté).

Sans tarder, j’enfourchai ma monture et filai wejoindre Meute. Lovée au chevet de l’église ND de Froiderue, la dizaine de musiciens en uniforme avait wassemblé une foule de curieux et entonnait en fanfare sa techno déjantée. Nous nous trémoussâmes avec ceux qui étaient là, festivaliers, familles, passants un peu surpris et vite conquis. Ce fût court, alléchant. Si on ne traînait pas trop on allait pouvoir les wevoir ce soir en arrivant au Parc expo…

J’enchainais ensuite un before, un autre ailleurs, wetrouvai mes comparses wewants et nous descendîmes, afin d’être large pour les (très attendus) Wed Axes. Nous pûmes entrer tranquillement dans la soirée devant Marvin & Guy. Funky Boudha en était curieux, nous nous y attardions, ce qui mit nos corps en mouvement doucement.

A l’heure dite, comme weliés par des fils invisibles, les copaings sont arrivés les uns après les autres, et on s’est wetrouvés tous ensemble devant  Red Axes, prêts à partager ce moment. Nous dansâmes ainsi d’un bout à l’autre du set, ce fût un délice, un voyage dans les grands espaces, une aventure électronique pleine de webondissements, un délicat mélange d’influences allant de la cold-wave à l’italo-disco. Deux heures de set survolté; la soirée aurait pu s’arrêter là (et d’ailleurs ce fût le cas pour certains d’entre nous…).

Après Mind Against où je passais un moment en compagnie des kidz, nous nous engageâmes pour un dernier voyage jusqu’au bout de la nuit avec Tale Of Us. Sous le charme de leurs mélodies électroniques, puissantes et magiques, nous nous laissions conter une dernière histoire avant de sombrer dans les bras de Morphée…

Vers 5h, avec mon amie ABG, épuisées, nous quittâmes le dancefloor. Sur le chemin du wetour, nous nous prîmes une (helen)a(hauff)verse, trempées mais fières d’avoir couché tout le monde…

L’an prochain, le festival aura 20 ans, gros programme en perspective. Nous, c’est sûr, on sera là pour souffler les bougies !

Maud passe

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Par funky boudha

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Je me souviens de 2005 et de la première venue de Maud Geffray à Nördik. Elle avait alors opéré sous le blaze de Scratch massive, avec Sébastien Chenut.
Je me souviens c’était un samedi. Ou peut-être un lundi.
Je me souviens que je ne me souviens plus très bien.
Je me souviens aussi de Maud, au Pulp, quelques années auparavant, et c’était bien.

Maud Geffray a sorti au printemps dernier, son premier album, “Polaar” . sur le label Pan European Wecording. (écurie de Flavien Berger, Poni Hoax ou encore Koudlam),

 

 

Fruit d’un voyage en Laponie, “Polaar” est un peu, dans mon cerveau binaire, l’archétype de l’album fruit d’un voyage en Laponie :
1/ Il s’étire dans une mélancolie engourdissante (le froid),
2/ En contrepoint perce çà et là la nécessité du défoulement, comme un exutoire inhérent à un séjour dans un espace empêché (l’alcool).

A l’image des productions de Scratch Massive, “Polaar” paye son tribut aux années 80 (Standing By My Door), mais le spectre musical est plus large, entre ambient (Ana), electro-pop (In Your Eyes) et envolées trancey (High Side).

 

Le premier album de Maud Geffray est disponible sur le site Bandcamp de Pan European Wecording.

Le duo Scratch Massive quant à lui opère toujours, puisqu’après la BO du film Day Out Of Days de Zoe Cassavetes, parue l’an passé sur Record Makers, sortait la semaine dernière sur les internets le morceau Sunken, produit avec Léonie Pernet.

Maud Geffray sera au Parc Expo ce vendredi, pour l’avant dernière soirée de Nördik impakt.