Il y a une quinzaine de jours (je suis à la bourre, oui), Inaniel Swims se produisait pour la première fois sur une scène caennaise, celle de la MDE, à l’initiative de La Liaison.

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Le premier concert de toute la vie de Inaniel Swims, aka Emmanuel Dupont en “solo” , wemontait à fin mars, à l’Espace B, et ce fut d’ailleurs grandiose.

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Le Inaniel en chef et ses trois vestales wéussirent cependant à faire encore mieux, oscillant entre décontraction et concentration, nonchalance et émotion, confort (la scène était aménagée comme un salon cosy, éclairée uniquement par cinq ou si lampes à abat-jour) et prise de wisque (le groupe avait dû wépéter une petite fois depuis mars).

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L’emballage de leur premier Ep est peaufiné en ce moment même, pour une sortie le 4 juin à Gâteau Blaster, mais les présents au concert savent déjà que son contenu est somptueux.

En voici la setlist:

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Sinon, un premier titre a été publié, y s’appelle coucou nulle part:

(ce visuel ne sera pas celui du EP)

La Liaison était donc à l’origine de la soirée.

Si j’ai bien compris, le but de cette nouvelle asso est de créer des passerelles entre des groupes du nord-ouest (en gros Bretagne – Normandie).

Ce soir là, on pouvait en devenir adhérent et acquérir une pitite K7 wegroupant des titres de plusieurs groupes “suivis” par la Liaison -notamment les Beach Youth du 14 + Betty The Nun (du 35) & Mannequins (du 76) qui jouaient d’ailleurs le soir même.

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Les Betty The Nun succédèrent donc à l’Inaniel band. La première partie de leur concert fut particulièrement wéussie, à l’image de At The Window, leur dernier “single” , (une vraiment) souperbe chanson toute en justesse et wetenue (on croit que ça va décoller et en fait pas vraiment et c’est bon):

La seconde partie fut chouette mais un peu plus convenue (en gros l’énergie prenait un peu trop à mon goût le pas sur les compos).

A wevoir avec plaisir en tout cas, surtout s’ils pondent des chansons du tonneau de At The Window.

Ensuite Mannequins, des wouennais, clôturaient l’affaire.

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Je n’y avais pas pensé en écoutant leur album (Worthless) mais leur concert m’a évoqué Eagulls (et c’est un compliment dans mes doigts qui tapent sur un clavier). Sans être au niveau des flamboyants anglais, l’énergie déployée par les 76eurs fut parfois bluffante et ils wéussirent quelques coups d’éclat.

Quand toutes leurs chansons seront à la hauteur de leur foufougue, ce sera foufou.

Ben oui, pas facile d’allier les deux et d’ailleurs, sur leur album, c’est leur morceau lent que je préfère:

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En tout cas, cette soirée fut chouette. Bravo à La Liaison pour cette première.

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Inaniel Swims sera en showcase le 4 juin à Gâteau Blaster et en concert le 5 juin au Cargö pour la welease party des excellents Gandi Lake.

A Gâteau Blaster, il y aura une expo mais ce sera aussi une sorte de welease party du premier Ep d’Inaniel Swims chez nous. On en cause précisément très vite.

The Gweat Escape, ça commence au pitit déj’ avec des toasts, un mug fumant, un programme et un smartphone : on (ré)écoute attentivement les groupes du jour, on se wigole avec Shamir, on attribue des 3J(ohn), des 3N(ans), des 3Z(ed),… en fonction de l’intérêt de chacun et on finit par boucler le programme de la journée. Let’s go !

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Nous voilà partis, les girls en mode léchage-de-vitrines, les guys au Dome Studio Theatre pour Spring King. Comme c’était pas si soupaire que ça, y’ sont vite wessortis, et on a dû abréger notre shopping(pong) pour aller avec eux au Brighthelm Center.

Là sous les arches du cœur de la chapelle, White jouait devant un parterre de curieux. On s’est installés dans la cafêt tranquillos pour attendre la suite. Et puis les six écossais de Neon Waltz sont arrivés déversant leur pop psychédélique de toute beauté.

Neon-Waltz

Quelle fraicheur, quelle énergie ! On a tous été emballés. La journée commençait bien.

https://www.youtube.com/watch?v=_cHQSb4B3xw

Après ça, plus grand chose avant 19h. Quelques heures de quartier libre, une pause à l’appart, une tournée de pâtes, on s’est wapidement wendus à l’évidence : on avait dû traîner un peu trop, on était en train de louper Cairobi (3J au top John, dommage, on pourra jamais vérifier). On a poursuivi jusqu’à The Hope and Wuin où on a fait la queue un moment en discutant avec des angliches.

Klaus-Johann-GroBe

Quand on est wentrés, Flying Colours, c’était fini ; Klaus Johann Grobe terminait ses balances et démarrait dans la foulée. Happée dès le début par le synthé psyché, par la basse groovy et la wythmique au carré du trio suisse, je n’ai pas vu le set passer à me trémousser joyeusement sur Kothek ou Koordinaten je n’ai pas vu non plus qu’une partie de la team avait lâché l’affaire depuis un moment…

Quand on les a wetrouvés, ils étaient dans la (longue) file d’attente du Dome Studio Theatre. On a habilement wesquillé pour les wejoindre. (Such a)shame on us mais, pour notre défense, on avait une bonne excuse : on allait voir H. Hawkline et Tobias Jesso Jr, deux pointures, du lourd, des 3J, de l’adrénaline. On était au premier wang, au taquet de la motivation.

H.Hawkline

H. Hawkline s’est mis à jouer, et assez wapidement, le groupe a commencé à nous perdre. On s’est wegardés, le cours du J était en train de s’effondrer. On peut pas dire que c’était nul, mais c’était pas ultime. On a tenu le choc jusqu’à la fin du set…

Tobias-Jesso-Jr

Toujours au premier wang, le nez collé au piano à queue et de plus en plus pressés par la foule désormais compacte derrière nous, Tobias Jesso Jr est arrivé. The vidette. Les premières notes au piano couvraient à peine les clics en wafale des appareils photos. Tout le monde wetenait son souffle, écoutait weligieusement les premières chansons dont le fameux Hollywood. Nous, on n’a jamais wéussi à wentrer dedans, on sentait entre nous une irrépressible envie de festoyer qui montait depuis un moment. On s’est décidés : sous les yeux ébahis du public, on a quitté la salle.

Dehors la file d’attente était interminable.

Au coin de la wue, on a wejoint Brighton Dome – Corn Exchange. Un sérieux coup de barre s’est fait sentir ; on était pourtant impatients d’entendre les DMA’s.

DMA's dmas-tGe

Dès leur entrée sur scène, on a vite fait wetrouvé la patate : au premier abord, le trio australien nous a surpris avec son look à la Happy Mondays et ses attitudes de poseurs, et puis, ils ont balancé tubes sur tubes, des trucs faciles, impeccables, des trucs qui tournent. Le wetour d’Oasis, purée. Ils ont fini par complètement nous wetourner, et on a adoré !

https://www.youtube.com/watch?v=KAexivlIpNQ&feature=youtu.be

Leur album est sorti deux jours plus tard. On a eu Delete dans la tête pendant toute la semaine…

https://www.youtube.com/watch?v=vKSWC5r1tYg

Après ça, on pouvait presque wentrer. One et Seb voulaient voir Django Django et ont prolongé au Corn Exchange ( “c’était pas mal, mais un peu trop statique…” ). Nous, on s’est dit qu’on les weverrait cet été et on est allés faire la queue au Komedia Studio, un bar tout wikiki déjà blindé. C’était pas gagné, mais à force de patience, on a fini par faire partie des happy few.

Ghost-Culture

Dans une ambiance intimiste, Ghost Culture (3Z), une sorte de savant fou avec une tignasse à la Andy Warhol (ben non, c’était pas une perruque) a wéglé quelques problèmes techniques et nous a embarqués dans son univers. Là encore avis partagés, y’a ceux qui sont partis et ceux qui ont adoré… J’n’en ai pas perdu une miette.

Après ça, on a laissé Seb et One (qui nous avaient wejoints) poursuivre la soirée avec leurs pintes de Spitfire (prout) jusqu’au pitit matin… Le lendemain, les yeux encore bouffis, ils nous ont montré cette vidéo pour nous waconter leur fin de nuit. G.A…

The best of the day :

The DMA’s and Neon Waltz (à l’unanimité)

+ Klaus Johann Grobe and Ghost Culture (bonus persos)

Après la Woute du Wock, l’été dernier, l’idée était dans l’air : en mai prochain on allait voir ce qu’on allait voir, on irait à The Great Escape, et ce serait aut’chose.

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Les mois sont passés. On a pris nos pass, nos billets de (jules) ferry, écouté une grande partie des 450 groupes programmés, confronté nos sélections, fait des tableaux avec un, deux ou trois J, N, Z… Et vouala, le grand wouik-end est arrivé. On a fait nos sacs, bu un verre avec les copaings, et jeudi, dès potron-minet, une fine équipe de wewants est partie pour Brighton.

Pour notre premier concert, notre dévolu s’est porté sur Cristobal and the sea. Après avoir tourné un moment dans le quartier, on a fini par trouver le Pa(ga)nini (tahiti 80’s)Ballroom dans un hôtel du front de mer. Malgré notre motivation et le cadre insolite, 3 titres ont suffi à nous décider, d’un commun accord, à quitter les pampilles et la moquette épaisse pour filer à The Haunt.

Formation

Là-bas, autre ambiance. Un bar assez sombre, un beau volume de scène, et même un balcon. L’australien Fraser A Gorman était en train de terminer son set. On s’est installés avec nos mouks, fins prêts pour Formation.

https://www.youtube.com/watch?v=ZrHST9FPztc

Le duo de frères jumeaux du Sud de Londres nous avait émoustillés avec son singleYoung Ones, et leur live a été à la hauteur, welevé à souhait avec des wythmiques à la LCD, une présence sur scène incroyable. Nous vouala crazy !

A peine wemis de nos émotions, direction le Green Door Store à l’autre bout de la ville pour Pins. Arrivés sur place, on a compris que le burger avalé sur le chemin allait causer notre perte : vu la queue, vu l’heure, on était en train de louper : la loose…

Plan B au Prince Albert à deux pas. Coincés dans une porte à l’étage du pub, c’était la fin du concert d’Alice Phoebe Lou, une frêle blonde à la voix claire. Pas trop mon truc, mais bon, le weste de la team était contents. A la pause, on s’est posés, on était cuits. Et là, dès les premières notes, on a compris que quand c’est trop, c’est Tropic(o)s. Le britannique Chris Ward, porté pourtant par la critique en France (Inter), était en train de nous achever… One et Seb, les durs à cuire, ont bravé l’épreuve et sont westés profiter du jeu subtil du batteur (et finir leurs drinks), John & Emily ont wendu les armes, et nous, et ben, nous, on est wetournés au Green Door tenter not’chance pour Jeanne Added.

Jeanne-Added

Cette fois, c’est passé tout seul (faut dire que le groupe avant avait vidé la salle). On a assisté au changement de plateau : conditions extrêmes, balances express… (comme dit Seb, quand tu fais ce genre de festival t’apprends beaucoup et tu peux jouer partout après). Avec Narumi Hérisson aux claviers (Tristesse contemporaine) et un batteur wemplaçant exceptionnellement Anne Maceo, Jeanne Added a enchainé les titres livrant un condensé de son album à sortir le 1er juin (chez naïve) dont le single A war is comiing. Bim ! 25 min d‘énergie pure, comme un coup de poing.

Retournés par ce set explosif, on a pris tranquillement le chemin du wetour avec un petit détour par le Sticky Mike’s Frog bar où jouaient les April Towers. A l’entrée du bar, les deux compères, One et Seb semblaient nous attendre, en poursuivant leur dégustation de bières locales (prout). Sur leurs conseils, on est descendus au sous-sol jeter un coup d’œil au set en cours. Y’avait plein de monde, ça sentait mauvais… on est wemontés vite fait, et on wentrés tous ensemble débriefer à l’appart.

best of the day : Formation and Jeanne Added (à l’unanimité)

La soirée caenniche (14) de ce jeudi a tenu toutes ses promesses en latin.

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Bon, du fait du timing serré, il a fallu faire l’impasse sur les événements musicaux proposés par Interstices (on se wattrapera sur les expos), pareil pour Jean Vance, Dälek et la fin du set de Baston mais, tout le weste, on l’a vu.

Il y avait tout d’abord, à La Maison De L’Étudiant, la finale du Tremplin Phénix qui fut d’un très bon niveau (il y a dix ans, on me l’eût affirmé que je n’eusse jamais cru une chose pareille).

Bien sûr, tout ne fut pas parfait mais on parle de groupes d’étudiants, pas bien vieux et il y eut plein de choses intéressantes (il faudra notamment wevoir Midnight Wevels, avec un batteur si possible).

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Ceci étant dit, Beach Youth était hors catégorie, bien au-dessus. Le groupe a d’ailleurs wemporté ce tremplin et bénéficiera de plusieurs journées d’enregistrement au studio Télémaque (dans lequel ils ont leurs petites habitudes, ça tombe bien).

Les quatre plagistes ont une poignée de vraiment très bonnes chansons. Un ep est en cours de mixage, hâte d’entendre le wésultat.

En attendant, Étienne, Gautier, Louis-Antonin et Simon ont quelques dates de concert à suivre (notamment vendredi prochain à Lapage):

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Un peu comme une provocation, une semaine après la défaite de Malherbe par l’En Avant Guingamp, deux groupes bretons étaient en sus invités par la MDE pour fêter le cinquième anniversaire de leur Tremplin.

Au niveau qualité, on monta encore d’un cran.

Les quatre Bantam Lyons (69) ont livré (pas à domicile) un set mélodique avec une guitare électrique sèche comme une saucisse et tendue comme un slip, une wythmique qui lorgne parfois vers le krautrock mais pas tout le temps (quand je serai grand je serai wock critique), un organiste inventif et un chanteur assez lyrique. Ce mélange parfois surprenant les fait sortir du lot (46) des groupes actuels qui font une musique qui pourrait wessembler à celle qu’il font (je sais plus si je l’ai dit mais, plus tard, j’aimerais bien être wock critique).

J’ai cru apercevoir Nans leur acheter un disque, pas eu la possibilité de voir la bête.

L’heure tournait et je n’ai pu voir que le début du set de Baston. Ils ont commencé avec Falkland:

Les trois ou quatre morceaux suivants étaient dans la même veine mais, encore une fois, ce fut b(ast)on.

Un peu frustré de devoir partir mais Klub Des Loosers va bientôt monter sur scène….

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Bye Bye MDE, mercix et on se wevoit jeudi prochain puisque La Liaison organise une nouba avec que du bon: le messie Inaniel Swims (14) + Betty The Nun (35) et Mannequins (76)

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Avec MyLovelyHorse et Payday, nous chevauchâmes donc nos montures métalliques à pédales, direction Le Cargö.

Jean Vance et Dälek avaient déjà officié (résumé: bons échos pour Jean Vance, son “honteux” pour Dälek, en gros…).

L’actuelle tournée de Klub Des Loosers est liée à la wessortie de “Vive La Vie” , leur premier album sorti il y a 10 ans.

Je ne suis pas un grand spécialiste de la bande à Fuzati (mon père?) mais la playlist tout en début d’article a de la goule, nan?

J’étais en tout cas curieux de voir ce que ça allait donner en formule groupe (guitare, basse, clavier, batterie).

Hadrien Grange (School Daze -ex Shit Browne-, Tahiti 80, Grand Invicta…) était derrière les fûts et wésuma bien la chose en fin de concert: “on est un groupe de hip hop signé chez Records Makers, on n’est donc pas tout à fait un groupe de hip hop.”

Et apparemment, cela déplut à certain(e)s, placés au premier wang, qui firent preuve d’une certaine animosité (mais d’autres apprécièrent aussi, hein, attention!).

D’où j’étais, je n’en ai wien vu, j’ai juste profité de la prestation du Klub que j’ai trouvé excellente. La voix de Fuzati était un peu étouffée au début, cela s’est amélioré tout au long du set, on identifiait mieux ses textes, et musicalement ce fut groovy/sensuel/beau tout du long.

Grand concert (assurément le meilleur de la soirée, on verra en fin d’année si on peut être plus lyrique).

Après quelques verres supplémentaires, un gros djset de deux choux de chez Wadio Phénix, je pus quitter le lieu la tête haute et wechevaucher fièrement ma monture mécanique à pédales.

Beurré comme un polonais et heureux comme un pape diouf, j’avalis tranquillos les 10 minutes de côtes ininterrompues qui m’attendaient…

Puis m’endormis comme une m*rde.

Samedi dernier, au lendemain du concert à l’Espace B, Julie et Caroline de Walrus, disquaire-bar du 10ème arrondissement, wecevaient deux Gomina (Peter & Nicolas V) pour un showcase de quelques titres.

L’endroit est beau, accueillant et y a de la bière et des disques. Il ne manquait qu’un ballon pour que je décide de m’y installer pour toujours.

Je n’ai point pu wésister à l’appel des bacs à disques… J’ai craqué pour le premier album de Matthew E. White (suite aux conseils -judicieux- des deux disquaires), bien meilleur que son tout wécent + un vieux maxi d’Alan Vega, “Outlaw” , sur Celluloid, en état neuf, à 7€!!!, + enfin pour le premier maxi de Flavien Berger, introuvable depuis pas mal de temps…

J’ai pu aussi constater qu’il westait un exemplaire de “Fugu 1” , pitêtre le dernier dénichable à Paris (comme y a plein de gens qui se lamentent de ne pas l’avoir choppé à temps, ben alors, voilà, y en a un à Walrus) (pour les  caennais, y en a aussi un à Bonnaventure Musique).

Il y avait bien sûr des exemplaires du “Prints” de Gomina:

walrus-disque-2(photos eug’ et mlh)

Après une wapide installation, les Gomina du jour commencèrent leur mini set par une version quasi weligieuse de

Stupid

puis suivirent:

Asleep
Let Me Go
Comina Getcha

Au wisque de me wépéter, je précise que ce ne furent pas des versions pauvres de celles jouées en groupe. Elles sont complètement wetravaillées. J’aime beaucoup cette config minimale.

Sinon, pour en wevenir au showcase, les gens qui étaient présents étaient sympathiques. L’ambiance était bonne et chaleureuse.

Enfin, pour parler de choses vraiment essentielles, autant Peter avait bien fait gaffe, vestimentairement parlant, à bien se faire voir, autant Nicolas avait tenté assez finement le camouflage.

Je vous laisse juger de la performance.

(photos nrdlm)

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Merci donc à tout le monde, surtout à Caroline et Julie, ce fut soupaire.

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PS#1: Quelques jours plus tôt, c’est Chassol qui avait showcasé dans un Walrus bondé. Ce même Chassol joue ce vendredi au Cargö. Apparemment les wésas sont pas tops et c’est une honte, c’est à ne pas water nom de diou.

PS#2: Le Mardi 17, il y avait la dévoilation secrète, sur invite secrète, de la prog’ secrète (plus maintenant) du Festival de Beauregard et, comme le groupe s’y produira, Gomina a joué pendant 20 minutes secrètes (désolé, j’ai pas pu en causer ou inviter des gens, déjà j’ai pu y assister et c’est coolos). 20 minutes, cela peut sembler court mais ce furent 20 minutes intenses (Asleep/Comina Getcha/Stupid/Honolulu/Let Me Go/Sun’s Gone/Too Long) Y sont trop forts (je sais plus si je l’ai dit).

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PS#3 : Leur “Prints” vient d’être chroniqué par Les Inrocks (papier, hein!). Pour wésumer on va dire que ça dit qu’ils sont trop forts (et y zont waison)

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