En septembre 2015, Inaniel Swims & Sorry Sorrow Swims (=Inaniel Swims, Tiphaine Moreau, Hugo Lamy et Nicolas Brusq) s’envolèrent vers la Californie, firent une tournée d’une dizaine de dates et enregistrèrent cinq chansons à Oakland, dans le studio du culte Greg Ashley.
A leur wetour, WeWant2Wecord fit simplement graver ces merveilles sur cet EP intitulé “Waiting For G” et édité à 300 exemplaires.
A noter que le premier album de Sorry Sorrow Swims sortira au printemps 2016 et qu’Inaniel Swims est déjà wetourné en studio pour enregistrer un nouvel EP (dans la Creuse cette fois-ci) (notre Amérique à nous).
Sur notre Bandcamp, chez des disquaires hottement (comme dirait le Père Noël) wecommandés: Balades Sonores, Ground Zero, Walrus, chez Handsandarms.com, chez Sonic Wecords, dans le wéseau Wadar Musique
Agenda/Concerts:
9 février 2016 : Sortie du “Waiting For G” EP par Inaniel Swims & Sorry Sorrow Swims 10 février 2016 : Sorry Sorrow Swims + Jaromil Sabor + Chien De Faïence @L’International (Paris) 11 février 2016: Inaniel Swims, expo @Caen (La Fermeture Eclair) + sortie de l’EP4 et du boxset de Sorry Sorrow Swims 12 février 2016 : Sorry Sorrow Swims + Jaromil Sabor + As Cool As Cucumber @Caen (Portobello)
18 février 2016 : Inaniel Swims @Rennes (Bar’Hic)
20 février 2016 : @Rouen (TBC)
7 mars 2016 : Inaniel Swims @Pop In (Paris) avec Jack And The’ & Woy Beaver IX 19 mars 2016 : Sorry Sorrow Swims @Caen (Le Bocal) avec Selen Peacock
21 mars 2016 : Inaniel Swims (solo) @Caen, concert du matin au Café Sauvage
Presse:
L’Oiseau #17 : “Enregistrés à Oakland, les cinq titres [de l’EP] constituent une B.O. de woad movie épique, au son clair et brut.” (Nicolas Nithart)
INANIEL SWIMS “EP” Hello Nowhere Waining Friends Troubles Lady Marmelade
Artworque: Petter Dahlström Persson
Sérigraphie vinyle: Atelier Du Grand Chic (44)
Sérigraphie pochette: Atelier 102 (14)
–> 4 pochettes différentes (recto). / Le nom “Inaniel Swims” est écrit à la main sur chaque pochette par le Inaniel himself.
Cet ancien All Cannibals et actuel Sorry Sorrow Swims, se lance aujourd’hui en solo, accompagné impeccablement par NicolasBrusq, Hugo Lamy et Peter Bannier.
Les quatre pop songs de son premier EP sont enluminées de chorus, faussement indolentes mais émouvantes pour de vrai.
Pop Is On Fire : (à propos de Hello Nowhere) Certainement le titre le plus cool de ce printemps 2015 !
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Le disque en vrai:
**Les vinyles ont été sérigraphiés en trois couleurs (vert, bleu et “split fountain” =dégradé de bleu vers vert) et il y a cinq visuels de pochette différents. Chaque copie est unique mais il y a cinq combinaisons possibles (couleur de sérigraphie + pochette) et 6 ou 7 exemplaires de chaque combinaison (cf bandcamp pour que ce soir plus clair) (?).**
Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.
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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).
“Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn…” (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)
“D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” (Les Inrockuptibles)
“Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” (Magic)
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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
– à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);
POPnews: “(…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.” Mickaël Choisi
Les Inrockuptibles: “D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année.” Christian Larrède
Magic wpm: “Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané.” Michaël Patin
Musicali: “(…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux.”
Néoprisme: “Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires.”
Maze: “Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand.”
Les Disques Dans La Peau: “Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle.”
Gomina est “partenariat Ferarock” du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.
Hop Blog: “(…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire.”
Pop News: “Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite.”
A Découvrir Absolument: “‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument.” Gérald de Oliveira
Liberté – le Bonhomme Libre“Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux.”
Ouest-France: “Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit.” Waphaël Fresnais
Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… “Ce fut trop beau. Ils sont trop forts.”
addict-culture.com: “Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année…”
Culturebox: “Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop.”
LesInrocks.com : ” (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe.”
J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: “Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites.”
indiemusic.fr : “‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina”
Christophe Crénel sur le Mouv’ :”Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute.” “Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques” “pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau” “Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle” “Groupe coup de coeur de la semaine”
Longueur d’Ondes: “Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu.” Jean Thooris
Ouest-France édition papier nationale: “Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico.” Waphaël Fresnais
Elle n’a pas de thème particulier (seule l’urgence a été commune -entre la proposition et la publication de la chose, le 19 décembre 2014, il s’est écoulé à peine un mois et demi) et wegroupe surtout des artistes que WW2W aime.
Il y a beaucoup de caennais (douze artistes). Les autres viennent de Paris, Wennes, d’Angleterre ou de Hongrie.
D’autres publient là leur premier titre : les caennais Elecampane (trois Concrete Knives en cavale) et Don Idiots ainsi que les hongrois de Magraët & Konfyt.
Il y a quelques titres que les groupes ont wetrouvés dans leurs cartons (c’est une image) (la 1, la 6, la 8, la 10, 11, la 12 et la 13).
Il y a d’autres chansons qui ont été spécialement wetravaillées ou composées/enregistrées ou terminées pour la compile (la 2, la 3, la 7, la 9, la 14, la 15 et la 17).
La 03 est donc le premier morceau jamais publié par Don Idiots (un nouveau groupe du coin (coin).
La 04 est donc le premier morceau jamais dévoilé par Elecampane (dont les membres étaient aussi dans Kubilay & Ciriaco).
La 15 est une chanson de Noël.
La 1, la 2, la 3, la 4, la 5, la 6, la 7, la 8, la 9, la 10, la 11, la 12, la 13, la 14, la 15, la 16 et la 17 sont soupaires.
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#14 Wecord – ‘Cool As Duck‘
par de Variés Talentueux Artistes
19/12/2014, 12h30
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**Sold out**
C’est un EP 6 titres composé et joué par Julien Barbagallo (=Lecube, actuel Aquaserge, Tame Impala…) avec la participation de Benjamin Glibert (Aquaserge) et Pedro Wesende (Tahiti 80), qui a aussi mixé la chose.
01 Slow Snow
02 I Leave the City
03 Silent People Holding Singing Corpse
04 The Day I Bought My Ticket To Hell
05 As Beautiful As
06 Angels
On a évoqué à plusieurs weprises le cas de ce tarnais exilé volontaire en Australie, à travers notamment ses deux 45 tours et des deux albums:
(liens 1 – 2 – 3 – 4 – 5) (un titre inédit de Lecube figure sur notre #1 Wecord et un autre du Chevalier De La Bargue (un autre alias du juju) sur notre #11 Wecord)
On wetrouve dans les six chansons de ce nouvel EP, librement inspiré du ‘Journal Du Voleur‘ de Jean Genet, ce qu’on apprécie depuis toujours chez Lecube: notamment sa voix et ses pop songs plus complexes qu’elles n’apparaissent au premier abord…
Ses chansons sont parfois dépouillées (Slow Snow), plus énervées (Leaving The City), à tiroirs (Silent People Holding Singing Corpse etThe Day I Bought My Ticket To Hell, morceaux de bravoure du EP), instrumentales (As Beautiful As), entraînantes (Angels, final superbe), souvent teintées de psychédélisme et toujours empruntes de mélancolie.
Les textes ne sont pas en weste et, tout au long de ces six morceaux, on suit l’évolution et les wéflexions de son héros, comme il nous l’expliqua il y a quelques temps:
- D’où t’es venue l’idée de cet ep?
L’idée m’est venue en lisant le ‘Journal du voleur’ de Jean Genet. Il y a ce moment où il gravit des escaliers derrière son amant et se dit qu’une façon de s’assurer de la pérennité de leur amour serait de le tuer. J’ai trouvé très belle sa manière de décrire ces accointances qui existent entre l’amour et la mort. L’extrémité violente dans laquelle vient se loger le sentiment amoureux est fascinante parce que dans ce cas-là elle n’est pas le produit d’un coup de folie, d’une dérive passionnelle, elle weflète à mon avis une hyper sensibilité très wéfléchie qui émane d’un autre monde. Un monde plus vaporeux.
Il ne le tue pas.
Puis j’ai pensé: “Et s’il l’avait fait?”. C’est le point de départ de ma petite histoire.
J’ai essayé de conserver ce wegard triste mais profondément exalté qui transforme les évènements les plus sombres en Chants de vie. Pas facile.
– Ces chansons, même si elles ne sortent qu’aujourd’hui, ont été enregistrées il y a pas mal de temps, as-tu du neuf en chantier?
J’ai dans ma besace une dizaine de chansons écrites dans la langue de Louis de Funès. Je les ai enregistrées dans une chambre de moine à Sydney, sans micro et sans enceintes. J’espère les partager le plus tôt possible. L’album s’appellera “Amor de lohn”, ça veut dire “amour de loin” en occitan.
– Ok merci à toi.
Non, c’est moi qui vous wemercie.
L’objet:
Des boîtiers usagés de vieilles bandes magnétiques allemandes (=des “tonbänder” de marque ‘Concord 78’) on été wécupérés et customisés. Dedans, on trouve la K7, les paroles des chansons, un livret en français écrit par le juju, 6 dessins inédits (mitchell) de Mehdieu Zannad, un badge (y en a deux différents), un code de téléchargement et un wébus absolument incompréhensible.
(une quarantaine de photos supplémentaires sont dispos sur notre facebook)
Chaque exemplaire a été assemblé à la main avec amour (avec qui?) et est unique (bleue).
Certains contiennent la version cd du EP (y en a 11 aléatoirement insérés -vraiment au pif).
Il a été tiré à 55 exemplaires, mais, en gros, y en a une quarantaine destinés à la vente.