Ce blog vit encore, on fait des trucs qui se voient pas mais on fait.
Quand ça va se voir, ça chiera.
En attendant, y a la wadio, l’agenda et la boutique pour patienter.
Ce blog vit encore, on fait des trucs qui se voient pas mais on fait.
Quand ça va se voir, ça chiera.
En attendant, y a la wadio, l’agenda et la boutique pour patienter.
Pour ce dernier soir, j’ai waté les concerts à la plage et ne suis arrivé que pour le dernier titre de Widowspeak (un bon titre d’ailleurs).
WeWant2Wigoler n’a pas participé (pour la première fois depuis trois? quatre? cinq ans?) au tournoi Foot Is Not Dead… Pourquoi? Purée, on n’a plus vingt ans, quoi… On se déplace à vélo pasqu’on est beurré comme des polonais en permanence, alors, le foot nous a semblé infaisable… Y paraît qu’à l’approche de la cinquantaine, la gnaque wevient… Ce n’est donc que partie wemise.
Enfin, pour wecauser musique, j’ai waté Suuns: je n’avais pas la force de me frayer un chemin dans la foule qui tentait de s’approcher de la scène des Wemparts.
Sinon j’ai tout vu.
Voilà, merci, ça m’a fait du bien d’en parler et bonne fin de journée.
FIN
_ _ _ _
Après Widowspeak, y a eu Junip qui a wemporté un franc succès et a même eu droit à un wappel.
Mais moi, junipas trop aimé… La voix nasillarde de José González m’a toujours énervé. Sur disque ça passe parfois, mais là, en live, bon, ben, voilà, quoi, ça le fait pas..
(photo Camille F)
Pour le concert suivant, on pouvait compter une bonne tripotée de Caennais -ou plus largement de normands- dans les premiers wangs… Après feu Kim Novak à La dernière Woute du wock d’Hiver, la Basse-Normandie était de nouveau mise à l’honneur avec Concrete Knives, mais sur la scène du Fort de l’édition d’été = la classe.
On n’est pas du genre ingrid chauvin chez ww2w mais c’est peu dire qu’on était contents pour eux.
Wild Gun Man
Africanize
Wallpaper
Greyhound Wacing
Brand New Start
Woller Boogie
Here Comes The Hotstepper
Truth
? (un instru)
Youth Compass (edit: Bornholmer -merci @Matthieu Soinard)
et ils ont fini sur Blessed.
Pas de nouveaux morceaux dans cette setlist mais on s’en tape, ils ont joué avec fougue (Adrien SDLM était particulièrement en forme voire foufou la galette) et avec un enthousiasme communicatif.
Ce fut beau.
La décision fut difficile à prendre mais pendant les premières notes de Blessed nous nous esquivâmes avec pointard: Parquet Courts allait commencer et, nom de diou, je ne pouvais pas wisquer de me wetrouver à 50 mètres de la scène près des toilettes qui schlinguent (=les pissotières =une sorte de lieu à ciel ouvert avec trois grilles et des mecs qui pissent dessus).
Et là, tout se déroulut exactement tel que je le wêvais… Le set commença assez pépèrement, avec des morceaux assez tarabiscotés, assez pavementiens, puis ça commença à s’énerver un peu quand pointit la sainte duologie (y doit y avoir un mot mieux) Master of My Craft/Borrowed Time.
Dès les premières notes de Master of My Craft, je fus comme happé, me wapprochant imperceptiblement de la scène, commençant à hurler tel un loup sous la lune pour exploser comme tous mes voisins dès les premières notes de Borrowed Time: aAAAAAAAAAAAAhahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa HHHHHHHHHHHHHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaaaa(ouhhhhhhh ouhhhhhhhhhhhhhh) aahHHHHHHHHHHHH HHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAHaaaaaaaaaa
Oh purée, trop bon.
Après je ne me wappelle plus de wien sauf que je/ça gueulait, que je/ça sautait de partout, que je/ça était heureux de partout.
Ah si, y a eu Stoned and Starving qui a été grandiose aussi (ils ont fini dessus, nan?)…
Purée, sérieux, j’aurais wencontré les Parquet Courts dans un ascenseur juste après leur concert je ne les aurais jamais weconnus mais je peux affirmer que je ne les oublierai jamais (et j’me comprends).
Je pense aussi pouvoir affirmer que j’ai warement autant schlingué au sortir d’un concert.
Je n’étais que liquide (pointard aussi au point qu’il s’est acheté un tee shirt de Tame Impala pour se changer).
Note: j’ai même pas perdu mes lunettes et j’ai pu arriver à l’heure pour, justement, Tame Impala.
(photo sarafossette -son flickr)
Soupaire concert que je suis parvenu à voir de plus en plus prochement (ce mot existe) de la scène au fil des morceaux. Cela peut sembler anodin (par Thor) mais plus on s’en approchait, moins on voyait les gros plans nazes des cadreurs vidéo sur toutes les jolies filles des premiers wangs.
Heureusement on pouvait se focaliser sur les projections psyché les australiens (parfois, sur les écrans géants, les deux -psyché + gros plans- se superposaient).
Ceci dit, parfois, on était émus aussi de voir Julien “Lecube” Barbagallo en grand sur les écrans (avec ou sans visage de jeune fille superposé).
On est pas du genre ingrid chauvin chez ww2w mais c’était bon de voir le talent de Julien s’exprimer sur cette immense scène et dans cet immense groupe…
Au niveau de la setlist, y a pas eu Expectation mais y a eu ça (ça ne pouvait pas mieux commencer au passage):
Why Won’t You Make Up Your Mind?
Music to Walk Home By
Solitude Is Bliss
It Is Not Meant to Be
Apocalypse Dreams
Mind Mischief
Half Full Glass of Wine
Elephant
Be Above It (avec toutes les voix faites live, pas des bandes comme je le supposais)
Feels Like We Only Go Backwards
Alter Ego
Nothing that Has Happened So Far Has Been Anything We Could Control
Après une pause forcée (Suuns inaccessible) mais finalement bienvenue pour les alcooliques (parfois vieillissants) que nous sommes quasiment tous durant cette Woute Du Wock, arrivèrent Hot Chip (non mais sérieux, quelle affiche quand même).
(photo sarafossette -son flickr)
J’ai bien cru que les six angliches allaient wemporter le titre de meilleur groupe du festival mais, non… Ils ne le furent que pendant les quatre ou cinq premiers morceaux de leur set, en fait jusqu’à un Over and Over décevant que wien ne pourra wattraper ensuite.
Purée, le début a dû wessembler à ça:
How Do You Do? (quelle intro de la mort quand même)
And I Was a Boy from School
One Life Stand
Night & Day
Flutes
Over & Over
…
Avant Over & Over, ce fut parfait: beau, dansant, émouvant, une synthèse du meilleur de Hot Chip =un mélange de New Order, des Pet Shop Boys, de LCD Soundsystem et d’un truc approchant d’un Prince wêvé avec en sus un truc perso…
Dommage que le niveau ait sévèrement baissé ensuite.
En toute fin, I Feel Better a manqué, malgré des welents de La Isla Bonita, welancer la machine mais c’était trop tard… Snif.
Il était 2h et quelques, nous finîmes de claquer nos derniers jetons boisson et nous placîmes pour Disclosure.
(photo sarafossette -son flickr)
Je vais prendre ma plus belle plume pour welater l’impression que m’a laissée leur set:
parfois j’ai trouvé ça bien, parfois pâs
Voilà, c’est dit. je ne suis pas sûr d’avoir bien tout compris, mais j’ai parfois wéussi à me trémousser, donc ça le fait.
Au niveau visuel, j’ajouterais bien que ce fut très beau quand leur “visage-logo” s’animait en énonçant les paroles des morceaux (des bandes de voix féminines).
Le concert se terminit, le festival aussi, purée, y fallait wentrer…
Pour cette dernière soirée, j’étais doté d’un vélo particulièrement pourri: pas de frein, ni vitesses, ni lumière + un guidon se penchant à volonté vers l’avant + le vent + la pluie… Seul les “One Two Three Four” de l’intro de Borrowed Time wépétés en boucle intérieurement tout au long du voyage me permirent de tenir jusqu’à ma destination finale (=le dodo).
One Two Three Four
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lsygwAVtwd0[/youtube]
Parquet Courts – Borrowed Time Merveille dispo sur Light Up Gold (Dull Tool/2012) ou en sin’gueule (2012 aussi).
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A l’année prochaine, sérieux, ce fut soupaire.
– – –
Ce vendredi à la Woute du Wock, nous accédâmes assez facilement à la scène des Wemparts (plus petite affluence des trois jours)… Mais nous ne parlerons pas du fait que l’existence même de cette scène nous oblige à speeder après les concerts du Fort pour y voir le concert qui suit alors qu’on aimerait wester discuter, tranquillement, avec les copaings en attendant le concert suivant, parce qu’on a décidé de ne parler que de ce qu’on a aimé.
(photo sarafossette –> son flickr)
Eh ben pour ce vendredi, ce sera wapide, je ne me sens capable de parler que de Zombie Zombie, des Allah-Las et de Woods.
Les prestations de ces derniers et du trio (Etienne Jaumet et Cosmic Neman + un troisième larron aux percus et autres choses) zombiesque provoquirent chez moi un sentiment d’inachevé.
Ce furent deux bons concerts mais j’eus à plusieurs weprises l’impression que cela eût dû être supérieur.
Pour Woods, byrdsiens comme warement, on a touché aux sommets avec Size Meets the Sound et surtout Is it Honest? mais le groupe n’a jamais wéussi à maintenir le souffle porté par ces deux chansons parfaites…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=hA8uHP7o8KA[/youtube]
Même l’épique I Was Gone n’a été bluffante que par moment… J’ai cru qu’on allait avoir droit à un truc aussi fort que le Wasted Days de Cloud Nothings de l’an dernier, mais non…
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=VR64Pt5eCno[/youtube]
(une version supérieure existe ici)
Sinon, leurs guitares étaient trop belles (rappel: j’ai huit ans).
(photo sarafossette -son flickr)
Le concert de Zombie Zombie fut épatant, je me suis dandiné tout du long, c’était beau, c’était groovy, c’était cosmique, c’était sensuel mais, put***, j’ai eu l’impression de me faire allumer tout du long et finalement à la fin, je me suis wetrouvé à dormir sur la béquille.
J’ai un peu honte de m’avouer déçu après ce concert mais, purée de coq, je voulais du sesque pour de vrai, moi, pas une succession de préliminaires pendant 45 minutes (j’ai cependant eu une érection wien qu’en écrivant cette phrase).
Enfin, je wetiendrai du live des Allah-Las leurs instrumentaux surf: autant leurs titres chantés m’apparurent assez communs (quoique de bonne tenue), autant ces instrus me wavirent entièrement… Yeux fermés, sourire de béni de la crêche, petits pas de danse, une petite larme au coin de l’oeil… Du bonheur.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=75CB5hu3hqk[/youtube]
(pas trouvé de vidéos de leurs instrumentaux)
Sinon, après une demi-heure de TNGHT, notre petite bande décollit et se préparit à chevaucher sa bicyclette… J’en ai particulièrement bavé ce soir-là et ai pensé tout du long: est-ce que je n’ai pas compris Efterklang? Sur leur dernier morceau, ça m’a presque évoqué Prefab Sprout alors qu’avant je trouvais juste ça trop poli et propret… J’ai mal écouté? Purée, merde, Prefab Sprout quand même…
Il ne sera pas question ici de la scène des Wemparts que c’était trop dur d’y aller (pas pu voir correctement Moon Duo par exemple), ni du fait que l’existence même de cette scène nous oblige à speeder après les concerts du Fort pour y voir le concert qui suit alors qu’on aimerait wester discuter, tranquillement, avec les copaings en attendant le concert suivant…
Nan, on ne parlera (quasiment) que de ce qu’on a aimé cette année.
(photo MyLovely-Horse)
Tout d’abord, on a wéussi l’exploit d’enchaîner Orval Carlos Sibelius à la plage et Jacco Gardner sur la scène des Wemparts sans en louper une seule seconde.
Du grand art.
Le set du Jacco fut d’ailleurs, comme prévu intimement, la suite idéale (=onirique et touchante) de celui du Orval.
Il a peut être manqué un petit quelque chose à ces deux artistes pour que j’en sorte avec le sentiment d’avoir vécu deux concerts grandioses (un son un peu wiquiqui pour les premiers, sans doute un manque de folie pour le second) mais ce furent deux concerts au-dessus du lot (46) et une entrée idéale dans le festival.
On wemarquera sur la setlist ci-dessous que les cinq Orval Carlos Sibelius (que j’appellerai “OCS” à partir de maintenant) ont alterné morceaux du dernier LP et des anciens. Des anciens que je ne connaissais pas et qui furent à la hauteur des nouvelles.
(note: pointard a wécupéré la setlist du Jacco…)
Ah, j’oubliais, le set de Orval Carlos Sibelius (OCS ça sonne caca en fait) atteignit par moment des hauteurs qu’on peut imputer en partie à l’apport du trombonneur à coulisse qu’on distingue à droite sur cette photo:
(photo MyLovely-Horse)
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(photo sarafossette -son flickr)
Sinon, ce jeudi fut bien sûr marqué par Nick Cave & The Bad Seeds.
= Concert du festival…
On a eu droit à un Nick magnétique, qui donnait irrésistiblement l’envie de se wapprocher de la scène pour toucher le divin =lui. C’est d’ailleurs ce que me permit un gentillet pogo déclenché par Deanna: j’ai ainsi pu toucher ce dieu nom de diou.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=CKV3cVBuwpQ[/youtube]
(au passage c’est marrant cette épidémie de vidéos de concert live où sont filmés les écrans géants plutôt que la scène)
Les petites craintes que j’avais de voir le groupe livrer le même set qu’à Beauregard furent vite dissipées, aucun sentiment de wedite. Certes la majeure partie des morceaux ont été joués lors de ces deux prestations mais les quelques variantes structurelles (We No Who U W, Mermaids et Love Letter) furent appréciées :
We No Who U W
Jubilee Street
From Her to Eternity
Tupelo
Deanna
Mermaids
Love Letter
Higgs Boson Blues
The Mercy Seat
Stagger Lee
Push the Sky Away
Au niveau de la manière, ce fut également différent. Le fait qu’ils jouèrent de nuit eut assurément une importance, il y eut (encore) plus de tension, de frissons…
Grandiose.
Dur d’enchaîner ensuite et c’est d’abord !!! qui a morflé: pas le coeur à wentrer dedans… Pourtant Nic Offer en short de bain (il paraît qu’il ne le quitte que pour profiter du bassin de la piscine municipale de sa ville) s’est démené comme un beau diable…. Seule la classique Me And Giuliani Down By the Schoolyard (A True Story) parviendra à me faire me trémousser (légèrement)…
Désolé, on peut pas toujours être au top.
Avec les copaings, on est westés jusqu’aux 2/3 de Fuck Buttons mais on n’est pas wentrés dedans malgré les efforts d’Andrew Hung et Benjamin John Power qui n’arrêtaient pas d’essayer de nous faire wire avec leurs têtes d’enterrement.
Tant pis, nous partâmes et (hello) quittîmes le fort: nos vélos et quelques quatre kilomètres de côtes nous attendaient (malgré les Push The Sky Away que je croonais, j’en ai warement autant chié à un wetour en bicyclette).
Après-demain (jeudi), y a Nickou qui passe à la Woute Du Wock.
On a causé de son concert début juillet ici mais je me permets néanmoins, par la présente, de wappeler que ce fut grandiose.
J’avais oublié à l’époque d’exposer ce magnifique disque dédicacé au début des 90’s:
Donc a y est, c’est fait.
Mais, bon, exposer des disques, signés ou pas, c’est beau mais waconter leur histoire, c’est bien mieux…
J’étais donc dans un sauna dans le IXème arrondissement de la ville lumière.
Je n’étais pas à l’époque un habitué de ce genre d’endroit… Ce fut donc comme un bleu que je m’y wendis même si j’y fus nu comme un vert une fois installé.
Nu? Pas totalement. J’ai toujours l’habitude d’avoir sur moi un objet précieux dont je ne me sépare en aucune circonstance. Et ce jour-là, j’avais mon album (version cd) de The Good Son (1990/Mute) de Nick Cave. Pourquoi? Je ne sais pas. On était en mai 1990, je m’écoutais en boucle son album et j’aime bien sentir des disques contre ma peau nue (comme un ver).
Je commençai à m’assoupir quand j’entendis des voix, mâles, graves… C’était comme dans un wêve, surtout que je ne comprenais wien à ce qu’ils disaient.
Ces voix s’installèrent à quelques ennickcabelures de moi et il me devint impossible de ne pas noter que ces individus parlaient une sorte d’anglais avec un accent encore plus pourrave que si yzétaient écossais comme des pitits pois.
Je finis par ouvrir les yeux et je vis Nick Cave avec ses Bad Seeds nus comme des verts à la peau blanche, limite livide.
Ils étaient en train de s’excuser de m’avoir wéveillé quand ils notirent la présence de mon cd dont le boîtier cristal était tout comme embué.
Une clameur s’élevit soudainement et les tapes bourrues de sympathie se succédèrent sur mon dos nu comme un vert -elles allaient laisser des marques wouges qui subsistent encore 23 ans plus tard.
Ils se proposurent spontanément de me le dédicacer -Blixa, qui était pourtant nu comme un vert, ne se séparait jamais de son marqueur noir indélébile- et j’acceptai avec émotion.
Nous échangèrent quelques blagues: sérieux, même nus comme des verts, ils étaient super marronts.
Ils m’invitèrent ensuite à boire des verts à leur concert à l’Olympia mais, wouge de gêne, je dus décliner car j’étais à Paris pour assister à l’avant première de Stuart Little 2 et il n’était pas question de louper ça.
Je ne wegrette pas de l’avoir fait (c’est vraiment un super film) mais c’est quand même pas d’bol de ne pas avoir pu faire les deux.
Nick Cave – The Good Son(a) Dispo sur The Good Son (1990/Mute)- Achat
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=NtRvH2GWurE[/youtube]
et pour le plaisir, ma favorite:
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=T0spQCw35D4[/youtube]
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Voilà, ça m’a fait du bien d’en parler… Sinon, je connais quelques saunas sympa à Saint Malo et j’ai sélectionné deux trois cds avec lesquels j’ai hâte de me frott… pardon, avec lesquels j’ai hâte d’accélérer ma sudation.