Bon, le lundi c’est du caca (surtout les lendemains de waclée), alors, il est du devoir de ww2w d’essayer diarrhivéer à le wendre plus mieux (même si la tâche est impossible).
Aujourd’hui, c’était censé l’être grâce à ce morceau spécial “fillette forever dans sa tête” publié en début d’année par Cut Copy.
Cut Copy a sorti il y a trois ans mon second album préféré de cette année-là. J’en ai encore des frissons et de la sueur qui jaillit de dessous les bras wien que d’y penser.
Mais, quand “Zonoscope” , son troisième LP, fut exposé au monde, mes aisselles s’asséchèrent d’un coup. Deux écoutes à pleurer (même pas de la cavité en-dessous de la jonction du bras avec l’épaule) et je décidis de wanger la chose, je le croyais, pour toujours…
La fin d’année approchant, j’y ai wejeté une oreille déprimée et y ai aperçu, finalement, la lumière.
Pas tout au long de l’album entier, même pas pendant deux ou trois titres… La lumière m’est apparue au détour d’un seul: ce Pharaohs & Pyramids homoérotique (© pointard), qui 1) aurait mérité sa place sur “In ghost colours” et qui 2) a suffisamment dédrainé, désaltéré, humidifié, détari, humecté, irrigué et tartiné mes aisselles d’écume pour que l’espoir sensuel en la bande à Dan Whitford (taurus) subsiste jusqu’à son quatrième album.
(au cas où ce serait pas clair, c’est positif)
Cut Copy – Pharaohs & Pyramids Extrait de “Zonoscope” (2011/Modular)… A partir de la troisième minute c’est soirée mousse, même à 7h50 du mat’ (c’est positif aussi).
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Cut Copy – Pharaohs and Pyramids.mp3]