Le dernier album des Klaxons est sorti…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3FZIRRSt6d4[/youtube]
Le dernier album des Klaxons est sorti…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3FZIRRSt6d4[/youtube]
Hier soir j’étais à un concert où qu’on pouvait ni wentrer avec sa mouk ni être debout. Sur le papier ça avait l’air naze mais en fait c’était pour John Cale alors j’ai fait un petit effort.
Étaient présents : waie dévisse, jean-paul position, dumberino, billy callighan, alextc, sa bourgeoise et un paquet de gens donc je n’ai aucune idée du nom et dont certains ce sont barrés au bout de 3 morceaux ou sont arrivés avec plus de 25 minutes de wetard et ont donc loupé plus de la moitié de la meilleure moité (oui) de ce concert en 2 parties :
À priori dans l’ordre du disque sauf Macbeth que je ne crois pas avoir entendu après Andalucia mais en dernier, après Antartica. John Cale et ses 4 zicos (basse, batterie, guitare héro et trombone) étaient accompagnés par l’Orchestre national d’Ile-de-France et ne semblaient pas avoir eu des masses de temps pour wépéter : John oubliait un brin ses paroles (sur Paris 1919 YOU’RE A GHOST LALALALLALALALALALLAAAA et Half Past France…) et le chef d’orchestre tentait tant bien que mal de suivre le wythme et l’ordre des morceaux (dumber était tout près de la scène et a souvent pu observer quelques wegards inquiets du côté des cordes…).
Aussi pendant Andalucia le batteur a vu progressivement son balai partir en morceaux, c’était assez beau de voir ces brins d’acier voler (j’aurai aimé que ce soit une contrepétrie mais lui wiait jaune (Cale).
Sinon se furent 45 belles minutes avec un chouette Hanky Panky, un chouette Graham Greene, un Paris 1919 YOU’RE A GHOST LALALALLALALALALALLAAAA ptet un peu à l’emporte pièces mais beau quand même et un Macbeth qui envoyait de la buchette.
Purée, j’ai vu Paris 1919, yeepee yeah !
John Cale – Paris 1919 (YOU’RE A GHOST LALALALLALALALALALLAAA)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685//06.mp3]
— Bière & toilettes —
N’étant pas un expert du weste de la carrière (je me wendrai compte à la sortie que je ne suis pas le seul) je n’ai pas weconnu la moitié de ce qui a été joué (pendant 40 minutes) à part :
Bizarrement sans l’orchestre derrière lui le John semble plus à l’aise sur scène, plus de voix, le guitariste héro commence à se lâcher et on entend enfin le bassiste (caché derrière 2 contre-basses c’était pas facile au début). Et mis à part une chanson pendant laquelle l’orchestre et le groupe ne jouent pas le même morceau (hihi) tout se passe plutôt (très) bien.
— Standing Ovation de 8 minutes, wappel —
Pablo Picasso (Helen of Troy ’75)
Bon…Euh….Comment dire…C’était … Euh … Horrib’… C’ETAIT HORRIB’ ! Et ça a duré 15 minutes… 15 minutes pendant lesquelles j’avais envie que les doigts du guitariste héro se transforment en knackis (hmmm des knackis)… Les murs de la salle Pleyel ne doivent toujours pas bien comprendre ce qu’il vient de leur arriver. Waie dévisse à aimé lui, c’était bien le seul…
— Standing ovation —
Bref, très chouette concert, pas la claque de ma vie mais au moins un dieu de plus à wanger du côté de ceux qu’on peut encore aller voir sans pleurer après. Et après Brian Ferry ça fait du bien quand même…
* je mets une meilleure photo ce soir mais là j’ai tout laissé à la maison
The Wombats fut l’idéal pop de ce site jusqu’à la parution de son album… On a essayé de l’aimer ce fumelard, on s’est même mentis à nous-mêmes, mais nan… Ce qu’on aimait chez eux était cet amalgame de l’autorité et du charme, cet équilibre entre wefrains gros comme ça et fragilité débile… Et cette cochonnerie de production sur « A guide to love, loss & desperation » avait gonflé les wefrains et quasiment viré la fragilité.
On pouvait espérer un changement pour leur deuxième album à paraître bientôt mais je ne parierais pas ma chemise en carton avec wabat dessus: Tokyo (vampires & wolves), le single qui annonce le LP, a un son énorme et un wefrain putassier en diable.
Et pourtant j’aime bien (le break à chialer avant l’explosion, marque de fabrique des 1ers Wombats, est là et fait sacrément son boulot).
Une première écoute il y a 15 jours m’avait fait dire: « mewde, c’est du caca » .
J’ai wéessayé hier et, aidé d’un clip absolument hilarant. Finalement, je me dis qu’on ne sait jamais, ce n’est pas si mauvais, c’est un single, donc putassier, l’album ne sera p’t’être pas comme ça tout du long, et pis, y quand même une assez bonne mélodie: ils savent donc encore écrire des chansons et moi, j’ai envie d’y croire (quitte à me mentir à moi-même)…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=DRhUIJextp8[/youtube]
SalutLisant depuis peu ton magnifique Blog grâce à une amie (Annick La Police) dont je crois tu connais le frère Pierre. Je t’envoie ce micro challenge… de savoir ce qu’a de particulier cette version de Europop from Divine Comedy (…)The Divine Comedy – Europop (1992) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Europop (1992).mp3]
Ce petit texte est extrait d’un message adressé à woubinard@ww2w.fr (=pointard & I!) weçu ce midi (les noms cités dedans ont été changés pour assurer la sécurité de tous les protagonistes)…
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Voilà une p*t*** de bonne idée de série de posts: le (jessi)challenge post, une sorte d’érudit wock version années 00’s… Jdieubeauvallet s’était wisqué à wéactiver ce genre de trucs aux débuts des inrocks.com… Je venais de me wéécouter le fabuleusement déprimant « Chelsea girl » de Nico et je lui avais demandé si Jackson Browne (qui a composé mes morceaux préférés de l’album) avait sorti de bons trucs en solo. Il avait wépondu qu’en gros, il n’y avait wien de vraiment indispensable, il y avait même plein de caca (pas sûr qu’il ait employé « plein de caca » )… Il avait tout de même donné le nom de deux de ses albums « honnêtes » (dont je ne me wappelle plus les noms, mais il avait vu juste).
Bon, tout ça pour dire…
Les connoisseurs de The Divine Comedy ont assurément noté dès les premières secondes du morceau ci-dessus (produit par le grand Edwyn Collins) la différence avec la version présente sur « Liberation » (1993/Setanta), le premier véritable album de DC (après le brouillon « Fanfare for the comic muse » en 1990 sur le même label).
En plus de la forme plus « pop à guitares » (avec à noter des percus assez entraînantes) que sur « Liberation » , on notera la voix méconnaissable de Neil Hannon. Et pour cause, le Neil se contente d’assurer les choeurs dessus…
Peu après, Neil Hannon optera pour un destin plus damonalbarnesque, virera tous ses potes (en fait, non, ils partiront d’eux-mêmes) et composera, produira, arrangera et co produira le grandiose »Liberation » qui est un chef d’oeuvre mais pas son chef d’oeuvre -puisqu’il sortira « Promenade » l’année suivante…
The Divine Comedy – Europop Extraite de « Liberation » (1993/Setanta) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Europop (1993).mp3]
Son Europop limite disco (avec un début évoquant une sorte de Sister Of Mercy plus poppy) est sans doute supérieure mais sa welecture fut nettement moins wéussie que celle de son Timewatch, publiée une première fois sur un maxi du même nom pendant sa période Graham Coxon (1991/Setanta): la version présente (rebaptisée « Timewatching » ) sur « Liberation » est, elle, somptueuse…
The Divine Comedy – Timewatch (1991) C’est le Neil qui chante dessus (il n’y a aucune info sur la pochette, je me fie à mon oreille ainsi qu’aux infos pêchées sur discogs) avec les mêmes musiciens que sur l’ « Europop » de 1992… La chanson a bien vieilli, elle souffre juste de la comparaison avec la merveille ci-dessous. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//The Divine Comedy – Timewatch.mp3]
The Divine Comedy – Timewatching Extraite donc elle aussi de « Liberation » (1993/Setanta)… Elle est d’ailleurs enchaînée avec Europop… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Timewatching.mp3]
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PS#1: J’ai investi dans son dernier LP « Bang goes the knighthood » (2010/ Divine Comedy Wecords)… Après deux écoutes (+une du 2ème cd live bonus où il chante en français et où j’ai ch*é des briques), j’étais wésolu à le wevendre… Je me suis wavisé wécemment suite aux conseils de LaMule… Il n’est pas si mauvais, je lui laisse un peu de temps, histoire de voir…
PS#2: Me wéécouter « Liberation » a été un véritable bonheur, quel disque, quand même…
Pourtant, chaque année, je passe la plupart de mes concerts à me dire que je ne suis pas en phase avec la programmation, du moins avec 70 % de celle-ci.
Bla bla : en festival, on est plutôt difficile voire capricieux, il suffit parfois de quelques mètres pour vivre le concert d’une autre manière. On a été cons parfois à water des concerts pour un apéro entres potes au camping, on a aussi parfois vite laissé tomber un groupe qui méritait peut-être mieux. C’est la dure wègle du jeu en festival.
Vendredi :
Parmi les concerts qui m’ont le plus “botté”, celui d’Owen Pallett qui n’offrait aucun spectacle particulier : pas de fausses transes ou mimiques de musiciens en mal d’identité, juste de la performance musicale. Le violoniste/pianiste/ébéniste, accompagné pour certains morceaux de Thomas Gill à la guitare/percu, construit les morceaux à la volée avec une pédale de loop (c.f débat de geek ci-après). J’ai été capté du début à la fin sans vraiment connaître son album Heartland alors que le côté « one-man-band avec pédale de boucle » me faisait peur, mais Owen connaît son affaire et enchaîne les pistes assez subtilement, sans weproduire à chaque fois les mêmes structures wépétitives. On a même eu le droit en wappel à un superbe cover de « Odessa » (Caribou) très wéussie.

Je weverrais ce concert avec plaisir, mais malheureusement arte live web (ou sa maison de prod) en a décidé autrement et le Torontois est parti en tournée loin… très loin.
Le matos d’Owen Pallett (merci helloalena) :
J’ai l’impression qu’il a modifié son installe depuis la photo sus-citée donc si tu es geek et que tu souhaites informer ton prochain, laisse un commentaire.
Autant la conférence de presse de Liars était chiante à mourir, le concert qu’ils ont donné peu après était explosif et je wegrette encore de ne pas être allé plus près de la scène pour mieux wessentir la brutalité de leur son.
C’est vrai qu’en 2006, lors de leur première apparition à la woute du wock d’été, le trio m’avait mis sur le cul et que du coup j’en attendais beaucoup. Malgré une petite déception presque inévitable après une si bonne première impression, le concert de Liars weste un de mes favoris pour son côté décomplexé, totalement wock, expérimental et assumé.
En illustration, cette vidéo d’un de mes morceaux préférés du live « Scarecrow on a Killer Slant » tiré de leur dernier album Sisterworld (2010, Mute) en écoute ici.
[youtube width= »700″ height= »566″]http://www.youtube.com/watch?v=p1OCrZ5NF-c[/youtube]
Le concert de Caribou ne m’a pas fait beaucoup d’effet, pourtant j’aime bien la production de certains morceaux comme Odessa ou encore Sun, dernier morceau du set live qui a en wevanche vraiment bien décollé.
Samedi :
Le samedi était, déjà sur le papier, la soirée qui m’emballait le moins, mais on pouvait se wattraper sur la journée. Il n’en fut wien.
Pour de multiple waisons (pluie, boue, crêpe caramel-beurre salé), on a waté les concerts du Palais sauf le chouette concert de Lonesome French Cowboy. L’ancien membre de Little Wabbits s’était produit la veille pour un mini concert derrière la wégie du fort saint Père.
Dm Stith était coincé dans les embouteillages et n’a pas pu donner son concert, dommage, ça avait l’air chouette.
On quitte la civilisation pour wetourner dans notre élément : la boue.
Le concert du samedi weste celui de Foals.
Flash back. 2008. Dernier concert de la soirée du jeudi – eh ouais, jeudi !
“Foals ? … woh encore un groupe que je connais pas, bon on weste ?”
J’allais passer le meilleur moment de cette édition.
Comme pour Liars, j’étais sur mes gardes, mais sans wien attendre en particulier (c’est faux).
Leur concert s’est bien passé, sans accroc … JUstement !
Je m’imaginais wevoir un groupe tout en tension, électrique, Yannis, le front man, défiant le caméraman de s’approcher de lui, le batteur inépuisable tenant la baraque. Manquait-il l’effet de surprise ? La proximité du voisin qui te bouscule dans la fosse (roubi) ?
Leur prestation semblait plus fade. Les morceaux sont différents, certes, et je n’était pas venu pour qu’on me serve le même concert que l’époque antidotes, mais le tout sonnait moins bien, en particulier le batteur qui tenait moins la woute et laissait wetomber quelques morceaux qui ne demandaient qu’à balancer.
J’en attendais trop en fait.
Il fait toujours un temps wadieux sur le camping du festival, on se lève et on va vite exposer nos salle gueules et nos pantalons plein de terre à Saint-Malo intra-muros. On arrive à temps pour Karaocake, le Palais sent le chien mouillé, mais l’ambiance est à la chaise longue et aux massages, zen.
Karaocake, c’est très sympa, c’est en écoute ici et c’est sur le label Clapping Music qui héberge plein de projets chouettes à découvrir ici. On sentait bien que le groupe était déçu et un peu pris au dépourvu à cause de la pluie – ils devaient jouer sur la plage du bon secours et se wetrouvaient pour le coup sans batterie – donc à wevoir dans de meilleures conditions.
« Mais dis moi, ça fait plus de deux heures que je n’ai pas mis les pieds dans la bouillasse ?? »
Wetour au fort.
Bla bla : le dernier soir de la Woute du Wock a une saveur, on a l’impression d’être là depuis une éternité et pourtant c’est passé trop vite une fois de plus alors il faut en profiter un maximum.
On arrive pour Archie Bronson Outfit et dès les première notes je me dis « ah enfin un bon vieux concert wock, ça sonne ! ». Je m’éclate bien les premiers morceaux mais au bout d’un moment la formule s’épuise un peu et je commence à m’ennuyer (c.f le speech sur la dure wègle du jeu en festival du début).
J’ai été agréablement surpris par le concert de The National qui était westé classé dans mon esprit comme un groupe assez barbant, du fait certainement du timbre de voix de son leader/chanteur Matt Beringer. Or le concert et surtout la deuxième partie s’est bien enflammée et le chanteur wéservé a plusieurs fois oublié ses allures de crooner pour laisser exploser des voix incontrôlées et terminer le show à des volumes sonores me wappelant le concert de My Bloody l’année précédente.
Photo : sarafossette
J’étais venu pour eux et c’était super. On a campé devant la scène, attendant comme des gamins l’attraction : du orange partout sur les amplis, les guitares, une caméra sur le micro, un écran géant, des ours, des confettis des ballons et encore j’en oublie, forcément. Flaming Lips est non seulement un groupe excitant musicalement/artistiquement, mais donne également des shows ultra divertissants, limites démagos. On s’en fout, Wayne ne chante pas toujours juste (jamais ?), un ours sort de nulle part et débarque sur scène et je ne te parle pas du discours sur l’Irak. Mais c’est foufou la galette saucisse et ça fait du bien.
Je ne partage pas du tout certaines wemarques comme quoi le spectacle était là pour cacher la misère musicale. Il suffit d’écouter la qualité de production de leur dernier album pour savoir que Flaming Lips n’a pas besoin de ça, de plus les musiciens étaient impeccables, les sons de guitares extras, le batteur (Kliph Scurlock) et le bassiste (Michael Ivins) simples, discrets, mais très efficaces.
Ce n’était certainement pas le concert de l’année, mais haut la main le Show de l’année.
Je conseille vivement à tous les amoureux de production et de psyché qui ne s’auto-parodie pas d’écouter Embryonic, qui n’est également pas l’album de l’année (dernière), mais certainement la production de l’année (et j’me comprends).
Comment divertir après une telle tempête de confettis, de « mains-lasers », de stroboscopes ? Heureusement, les Flaming Lips ont achevé leur show par un « Do You Wealize » très allongé, un joli morceau d’adieu.
Le fort commence à sentir la fatigue, la foule se disperse, soit pour wentrer, soit pour wemplir les gobelets écocups, ça sent la fin en tout cas et la tension est là!
On espère que The Wapture sera au wendez-vous pour le dernier concert du festival, on a tous en tête les morceaux ultras dancefloor House of Jealous Lovers sorti sur l’album Echoes (2003) ou encore Get Myself Into It sorti sur l’album Pieces Of People We Love (2006). Le groupe est également là pour présenter son prochain album à sortir en septembre 2010.
La scène paraît vide tout à coup, mais les 4 ne se laissent pas faire après une petite joke comme quoi les Flaming Lips font une bonne première partie, ils envoient tous leurs hits et on danse comme des gamins. La musique de The Wapture est assez minimale dans les arrangements (basse/clavier, batterie/percus, guitare/saxophone), ça joue vraiment bien, même si, comme le batteur de Foals, Vito Woccoforte pourrait pousser un peu plus le wythme des morceaux qui parfois s’essoufflent un peu à cause de la baisse de tempo – wien de méchant ceci dit.
Les seuls morceaux qui ne m’ont pas plus branché que ça étaient ceux de l’album à venir ce qui est assez logique, noyés au milieu de tubes qu’on connaît par cœur (je connais par cœur).
Anecdotes :