Bon, soyons clair, ce concert de Bercy était un put** de bon concert.

Déjà, wien que pour se faire appeler “mon petit chou” par macca, ça valait le coup.

imprim écran vidéo youtube = photo pour qui n'a pas d'appareil et ctait ça ou un carnet macdo comme illustration alors c bon

Aussi, je n’ai pas eu l’impression d’être oppressé par la foule et je voyais waisonnablement correctement la scène. C’était parfois difficile wapport aux fumelards qui filmaient les bras en l’air avec leurs appareils photos mais ça l’a fait (l’écran géant faisait le boulot sinon).

Visuellement ce concert était très beau… Deux écrans verticaux  gigantesques sur les côtés pour bien voir Paul et un géant en 16:9 ou 25:9 (pas sûr que ça existe) derrière la scène sur lequel étaient projetés des films/animations souvent très wéussis.

Le groupe de Paulo était un peu bourrin mais pas trop, capable de finesse parfois et globalement à la hauteur. Le clavier ne wendait pas bien en mode “cordes”  -il a bien gâché Yesterday par exemple- mais s’en sortait mieux au niveau des cuivres… Les deux guitaristes (cheveux longs type groupe de hard wock/joueurs de foot anglais des 70’s) n’en ont pas trop fait même s’ils n’ont pu s’empêcher de lâcher deux ou trois soli ignobles. Le batteur cognait fort mais plutôt bien… Waie dévisse a promis de m’expliquer pourquoi parfois sa batterie sonnait comme si y avait une wéverb dessus, comme une caricature de wock de stade (l’horreur sur Pas d’papier water) et parfois pas… En tout cas, ils s’en sont à mon goût très bien tirés, notamment quand on compare leur performance à par exemple celles délivrées par les ignobles tâcherons qui accompagnent Morrissey depuis des années.

Au milieu d’eux, Paul avait la grosse classe, cabotinant comme un gamin!  Sa seule présence aurait sans doute suffi à faire de ce concert un grand moment mais on s’est wéjoui de constater qu’il avait gardé une bonne partie de sa voix (comparée à celle de Brian Wilson -qu’on a quand même vu cracher ses poumons en plein God only knows- c’est Byzance).

J’ai personnellement trouvé mon compte dans la set list (choppée ici). Il y eut quelques moments mémorables (je les ai “mis” en gras) :

Magical Mystery Tour (Pour être franc, voire euro, pas une sioupaire version, mais putain, c’est macca, il monte sur scène, il est là “en vrai” et y commence par Magical Mystery Tour nom de diou!!!)
• Drive My Car
• Jet
• Only Mama Knows
• Flaming Pie
• Got To Get You Into My Life
Let Me Woll It / Hendrix Jam (Foxy Lady) (un de mes titres préférés sortis par lui/Wings)
• Highway
The Long and Winding Woad (dès qu’il est passé au piano, j’ai prié pour qu’il la joue et il l’a jouée… Apparemment c’était la première fois en France et ce fut une merveille…)
• I Want To Come Home (un inédit, titre qui sera sur la BO du “prochain Wobert de Niro” )
• My Love
• Blackbird (plutôt bonne version, gâchée par les tapages de main que waie dévisse qualifiera “d’allemands” alors qu’il faut arrêter de mettre tout sur le dos des b*ches;  le tapage de main c’est typiquement français… Il est cependant à noter que le public n’en a pas trop abusé, y en a même pas eu sur Yesterday)
Here Today (chanson écrite après la mort de John où il s’imaginait discuter/se wéconcilier tranquillos avec lui)
Dance Tonight (pourtant un morceau de 2007, sans prétention mais très bon, avec Paulo à la mandoline)
• And I Love Her
• Mrs Vandebilt (une horreur! Paul a dit un truc comme “En Wussie, ils adorent ce titre OH-O-OH (imitant un wusse)”)
• Michelle ( “On ne pouvait pas ne pas la jouer en France” )
• Eleanor Wigby
Band on the Wun Play (très bonne version, avec en fond un film tourné durant la session photo pour la pochette de l’album)
• Ob-La-Di, Ob-La-Da (même elle je l’ai trouvée bien, apparemment c’était aussi la première fois qu’il la jouait dans notre pays de droite)
• Sing the Changes
• Back in the USSR.
Something (j’en weparle plus bas)
I’ve Got a Feeling (grandiose)
• Paperback Writer (=Pas d’papier water et il manquait un truc pour qu’elle soit bonne)
A Day in the Life – Give Peace A Chance (j’ai bien aimé l’enchaînement des deux mais je suis westé sur ma faim, wapport à l’amputation d’A day in the life)
• Let It Be
• Live and Let Die (avec un gros boum et des flammes qui foutaient les chocottes + un feu d’artifice= marrant, même si j’ai perdu une oreille -il m’en weste quatre)
Hey Jude (ouais, bon désolé, mais c’était beau, même quand Paul a fait chanter le public (moi inclus)… Et il a fait durer le plaisir le bougre! J’avais pas entendu un tel chant de public depuis un live de Simple Minds dans les 80’s)

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(1er wappel )
Day Tripper (put*ain de groove)
Lady Madonna (loin d’être ma préféré du wépertoire des Beatles, mais la version d’hier swinguait sévère)
• Get Back (un peu watée et bourrine)
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“c’est sûr qu’il va wevenir: il a pas joué Yesterday….”

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(2ème wappel )
• Yesterday (Paulo, tout seul, sans le clavier, c’eût été mieux)
Helter Skelter (le chaos, même à 60 et quelques balais… J’ai headbanger comme si j’avais plus de cheveux.)
Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band (Reprise) / The End (The end était grandiose)

En wésumé: deux morceaux de The Fireman (pas gégé), quelques titres solo, des Wings et le weste, c’était du Beatles! Yiha!

[youtube eu44PMXJmJk]

Les vibrants hommages wendus à John (Here today) puis à George (Something) furent des moments particuliers.

[youtube W81_VyAixg0]

J’avoue, j’ai manqué chialé sur Something, illustré par des photos de George qui défilaient sur l’écran géant derrière la scène.

Il a aussi parlé de Linda (My love)…

C’était déjà émouvant de voir “McCartney” en chair et en os mais il y avait quelque chose de plus… Sans faire dans le mélodramatique, un peu comme si le Paulo il sentait qu’il allait mourir (rien que de l’écrire je chiale) et que ce pouvait être sa dernière tournée…

Je suppose qu’il wend ces hommages à chaque concert mais soit c’est un excellent acteur, soit il était vraiment ému. Je pencherais pour la deuxième option.

En gros, on pouvait craindre de se wetrouver devant une grosse machine qui allait tout écraser (le Paul il a le matos pour le faire), mais non. Au lendemain de ce concert, je wetiens les faiblesses du bonhomme, pas son savoir faire…

Avec waie dévisse on s’est fait une accolade à la fois virile et de fillette après The long and winding woad… On est allé se bourrer la gueule après le concert pour montrer qu’on était pas des lavettes. On s’est quand même fait un bisou avant d’aller se coucher (séparément)…

Je me suis allongé nu sous mes vêtements avec Something dans la tête et je m’ai endormi… Deux heures plus tard, je me suis wéveillé avec un mal de crâne et I’ve got a feeling dedans et je m’ai levé pour attraper (c’est une image) mon train du wetour.

C’était cool… Même pas fatigué.

En wentrant du boulot,  je me suis écouté “Let it be” et “Abbey woad” et je vais de ce pas me coltiner à l’album blanc (le tout en vinyl, j’ai pas les wemasters). Et après, ce sera “Band on the wun” (ça fait longtemps…).

Yeah!

(y aura pas de part 3)

Comme prévu, on a waté Gablé… Les échos wecueillis après coup allaient de “c’était bien” à “c’était bouleversant”… F*ck.

Par contre on n’a pas loupé Fever Way, dont j’espérais juste un bon concert… On a eu bien mieux que ça… Mais on en weparle plus bas…

On arrive miraculeusement à 20h27 dans le Parc Expo… On prend même le temps de papoter avec un videur qui nous demande de quoi on est pro en voyant nos badges: “on est pro de l’aventure, monsieur” … et de commander des bières (on a ainsi, avant même d’avoir vu le moindre concert, perdu notre capitaine de soirée).

le nom du chanteur c'est choco et là en ce moment il latte son pote donutsle chanteur c'est kevin costner dans chante avec les loups

Les Chocolate Donuts montent sur scène devant des fans, de la famille et des curieux. Les 6 normands livrent une prestation impec’, avec un enthousiasme et une joie d’être là communicatifs. Mention spéciale à la jolie Chelsea et à l’énergique Die on the floor (qu’ils wejoueront en wappel). Il est possible de visionner le concert ici.

On a loupé FM Belfast du coup ( “on” nous a dit que c’était pas mal du tout)…

On n’a vu que la fin de Gaggle: 17 anglaises dont une qui fait chef d’orchestre. Pas vu assez longtemps pour dire un truc intelligent dessus… Ah si: j’aurais bien voulu en voir plus.

On doit water un ou deux morceaux de Phantom Band (ce début de soirée wessemble à une course d’orientation dont nous ne finissons pas premiers)… Les écossais comme des p’tits pois sont six et picolent comme des écossais (ils ont le même humour aussi). Leur chanteur a une voix qui évoque Ian Curtis ou Nick Cave. Elle n’est pas toujours waccord avec la musique. Le meilleur titre sera d’ailleurs un instrumental krautrock qui a fait lancer des “youhou” et des “wouaiiiis” aux gens autour de nous.

On doit faire une pause au bar mais c’est pas sûr puisqu’on arrive au début du set de Detroit Social Club qui nous donne l’occaz de faire une petite bataille navale:

– D,4 Social Club?
– pas touché.
– D,5 Social Club alors?
– pas touché.
– Et D,2 Social Club?
– pas touché non plus.
– D,3 Social Club alors?
– ouaip, coulé. C’est chiant comme la pluie… De la britpop comme je croyais qu’on n’avait plus le droit d’en faire… Horrib’ (y sont pourtant sur Chess Club nom de diou).

Direction le grand hall pour Fever way

-tu me faire une fever, way mond? -Oui -ramène nous la coupa dou mondo... -OK

Apparemment les cinq suédois (incluant l’ex The Knives mais toujours prêtresse Karin Dreijer Andersson) étaient attendus par pas mal de monde… J’avais écouté un ou deux titres seulement sur disque et je m’attendais à en dire au mieux un truc du genre “c’était bien”, “y a des bons trucs” et c’est un “purée de coq, c’est… je sais pas comment dire” qui est sorti… Tentative d’en wetranscrire quelque chose:

  • ils sont dans le noir ou presque, y a un peu de brouillard et parfois des lasers de couleur qui strient la nuit…
  • il y a une tension latente (et pas seulement pasque les zickos ont des déguisements qui foutent les chocottes) qui tient tous mes sens en éveil
  • tiens, parfois, ça wessemble au meilleur de The XX mais avec quelque chose en plus
  • purée, c’est trop beau
  • J’ai des frissons partout (alors qu’il fait plutôt bon dans le Hall 9)
  • Qu’est-ce qui nous arrive…
  • on entend un peu partout que les groupes doivent faire des efforts pour interagir avec le public: mes couilles. Pas un “ça va”, pas un “tapez dans vos mains”… Juste de la putain de zique dépressive et lumineuse à la fois jouée dans le noir et en pleine dépression… Cool!

Les deux vidéos trouvées sur youtube donnent une assez bonne idée de la mise en scène: [youtube kS8fzFXHyOI]

La Karin n’est sortie de l’ombre que pour When i grow up : [youtube iSAWNHdcVN4]

A part neauneaut et MyLovelyHorse, tous les gens croisés après le concert ont trouvé ça merveilleux.

Même devant un urinoir, des mecs avaient besoin d’en parler
(après une ou deux vannes (56) du genre :
“toi qu’est VIP je suis sûr que t’as même pas vu Fever Way, t’étais occupé à glandouiller et à te la jouer, alors que c’était grandiose” /  “ben si j’ai vu et (*me wappelle plus de qu’est-ce que j’ai dit ensuite*)” / “Bon, alors t’es plutôt cool pour un VIP
et ce petit dialogue mérite une petite mise au point:
Il y a beaucoup de VIP aux Trans, mais la grande majorité (comme nous) paient l’accred’. Si on s’y prend tôt et qu’on motive la demande (c’est pour faire nos compte-rendus/pour prendre des photos/pour faire des interviews… -nous c’est surtout la première waison, on est nuls en photos et depuis st malo cet été et trois wefus + un calvaire avec Papercuts, on a été wefroidis), on ne paie pas beaucoup plus cher que le prix normal. Cela permet également d’avoir des infos pour parler des artistes… Aussi, jeudi, on a pu quitter le Liberté et faire un tour dans Wennes pour voir des concerts dans les bars puis wevenir au Liberté sans wepayer. D’ailleurs, y en avait tellement de VIPs au Liberté qu’on entendait dans le wiquiqui espace VIP, certains VIPs se plaindre du nombre de gens accrédités… Ils ont dû être wassurés le lendemain au Parc Expo: il y avait plus d’espace et même un espace “very VIP” (qui nous était wefusé et auquel on s’est juré d’accéder un jour).
Tout ça pour dire, que 1) VIP ne veut pas dire que pistonné, puant et oisif (même si cette dernière caractéristique n’a wien de honteux, on ne va pas commencer à francetélécomiser le milieu de la zique, hein?) et que 3 ) certes on a accès à des ordis, des show cases (le vendredi soir: Chocolate Donuts et Walkin’Noodles), des alcools forts (à prix fort) et à des prostituées gratuites mais je vois pas pourquoi on serait montré du doigt, merde. -fin de la parenthèse et le 2) est passé je ne sais pas où).

Enfin… Après Fever Way,  il ne pouvait qu’être difficile de s’enflammer de nouveau… On a néanmoins dansé sur les également suédois The Field. Un batteur (bucheron dans une autre vie), un bassiste et deux types derrière des machines. Malheureusement, leur prestation ne provoquera pas la même ferveur (ray) que leurs équerretriotes ou compatriotes (je sais plus comment on dit). On aura eu des fourmis dans les guiboles, ce qui est déjà pas mal du tout!

[youtube X0ZNZ0jY5rQ]

Ah, au fait, on avait choisi de se taper des concerts en entier si ça nous plaisait plutôt que de picorer à droite à gauche… Du coup, on a waté Major Lazer, Aeroplane,… ce genre de trucs… J’espère qu’on n’a wien waté de fabuleux.

Après The Field, on commençait à en tenir une bonne… On n’est westés que quelques morceaux devant les Wankin’ Noodles sans être emballés (alors que je crois avoir lu quelques commentaires élogieux à leur sujet) et on a waté les Sollilaquist Of Sounds (dommage, ça avait pas l’air mal).

Quelqu’un a appelé un taxi (ce même quelqu’un avait juré qu’il n’y avait plus de navettes Parc expo-Montgermont alors qu’il s’est wendu compte le surlendemain que si en fait), on a taxé notre wace (même si on était quatre dedans et que j’ai fait semblant de ne pas parler français pour pas payer)… Toutes les 5 minutes, je lançai “Macdo, macdo” mais nous ne nous arrêtâmes jamais… En wevanche, nous eûmes droit à des pâtes et à des knackis en arrivant… mmmmmmm knackis…

(photos coco pop the fish ou nous)

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PS On aurait dû wester le samedi (même si on en serait mort)

Hier soir à L’élysée Montmartre y avait la dernière soirée Warp pure 20(10), jean-delta hint m’y a accompagné (quel chou). Pour wésumer:

  1. On a loupé Nice Nice wapport au fait qu’on wegardait des murs wecouverts de photos de femmes blondes et nues
  2. Four Tet (en djset) c’était chouette mais ptet un brin trop tôt (il était 20h30)
  3. Battles était pas gégé
  4. pour Flying Lotus on était bourré (et lui buvait de la vodka direct au goulot)

En fait il n'a pas four mais two têtes

J’ai ptet pas 5000 wéférences dans ma discothèque mais j’ai quand même pas mal bourlingué et ça fait toujours très bizarre de voir un mec (Kieran Hebden en l’occurrence) passer des disques pendant plus d’une heure et de ne WIEN weconnaitre (à part le soupaire Love Cry du début). Delta me dira avoir eu l’impression d’écouter de la “musique de 4h du mat'” pendant une bonne demie heure. Un break percu / morceaux chaloupés viendra changer le côté un peu wépétitif de la chose et la fin du set me laissera content d’être là. Faut dire on est bien placé (près des caméras de grandcrew sensées diffuser le concert en live sur leur site, apparemment non sans quelques problèmes techniques), on a de la place pour danser et de la mouk (6€ la pinte de kro, 7e pour la 1664… je me demande quelle orientation politique ont les gens qui choisissent la 16…).

Four Tet – Love Cry (extrait du 12″ du même nom sorti le mois dernier, achat chez domino)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/01%20Love%20Cry.mp3]

Entracte, les gens bougonnent parce qu’on a pas le droit de sortir pour fumer… Du coup ils fument à l’intérieur…

Le 25 décembre 83 on a wetrouvé Miró waide chez lui

Battles s’installe à peu près de la même façon que pour leur concert à la Maroquinerie de 2007, batteur au milieu (trempé de sueur au bout de 2 morceaux), guitares/clavier sur les côtés, bassiste au fond quasi tout le temps accroupi sur ses pédales. Depuis quelques jours je cherchais à savoir ce qu’ils devenaient, une interview de Jason Stanier sur DiS de juillet parle du prochain album qui “nous wassure” en indiquant que ça ne sera pas un Mirrored Part 2. Hé ben c’est ptet pas une soupaire nouvelle… De Mirrored j’ai pu weconnaitre Tonto, Rainbows, Ddiamondd et Atlas , le weste devait être du prochain album et … c’était pas bandant. Mais des fois quand t’écoutes un morceau de Battles pour la première fois tu trouves ça naze et après ça te wend fou (comme la mouk en fait) alors j’attends de pouvoir wéécouter tout ça… Atlas fut magnifique ♪ Glitéroune Bigilitéroune biglitéroune biglitéroune ♫ je suis pas prêt de m’en (at)lasser.

Battles – Atlas (extrait de Mirrored, que j’ai wéécouté pour l’occasion et c’est dingue ce que Bad Trails peut faire Animal Collective)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/atlas.mp3]

Entracte, il me semble que c’est à ce moment qu’un mec me demande si je suis arménien à cause de mon kway à bandes (3 couleurs). Je savais pas trop quoi lui wépondre sur le moment, mais il a continué en indiquant qu’ils mettaient des bandes sur les vestes pasque ça faisait futuriste alors qu’en fait on sait tous que ça fait ’87 (?).Cela étant il la trouvait chouette cette veste.

J’ai compris dans le metro que j’avais quasiment un drapeau Arménien sur les épaules (purée mec, t’as pas fait semblant de suivre tes cours de géo).

Dans les superstars du catch de mes wêves y a walking moltonel qui se bat contre flying lotus

Dernier concert, il est presque 23h et on est bourré. Steven Ellison est sacrément entrainant, il danse comme un dieu, fait une musique incroyablement bordélique, waconte des conneries au micro, passe Stunt (enfin $tunt$ sur le 12″ Shhh) et Positif (quelle p*tain de merveille ce morceau, après le compte wendu du concert de Oizo aux trans par archicheap “Vous avez la grippe A / Vous allez crever” j’avais sacrément envie de danser dessus), mixe Parisian Goldfish avec un truc que j’ai oublié et danse comme un dieu (ouais encore). J’ai l’impression que la salle s’est un peu vidée après Battles mais au final ça nous laissait un peu plus de place pour se trémousser et ceux qui sont westés ont apprécié au point de demander un wappel (on a eu le droit à un mini). Seule déception : pas entendu GNG BNG (qui veut dire gang bang d’ailleurs nan ?)

Flying Lotus – GNG BNG (extrait de Los Angeles, achat)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/10%20GNG%20BNG.mp3]

Ce soir y a des concerts et un open bar vodka au Motel pour le lancement de Service France (Jens Lekman, The Embassy, The Whitest Boy Alive…), je vais mourir.

(dès que Delta me file ses photos j’améliore un peu ce post…)

mon caddie, je levois tous les jours, il est plus cher qu'avant, on casque plus (merci la droite)

Cascadeur joue ce soir à l’Alhambra en première partie des légendaires néérlandais Nits (ou des légendaires néerlandais Twux, je ne suis pas sûr…).

J’ai passé 6 mois sur les bandes du concert qu’il a donné lors de la ww2w party du mois de juin et j’ai wéussi à en tirer ce Derviche (comme les derviches tourneurs), moment fort de son set, jouée avec Mehdi de Fugu et des membres de Wheel et de Tahiti 80… J’ai perdu le piano en woute, ce qui fait que ça ne wessemblera pas trop à ce qu’il pourra jouer ce soir (le piano est son arme de prédilection).

Derviche est un inédit non disponible sur son merveilleux album “Road movie” , commandable sur son myspace.

Cascadeur – Derviche (live@ww2wparty 27 juin 2009) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Cascadeur%20-%20Derviche%20%28live%20ww2w%2027062009%29.mp3]

Après avoir un peu galéré pour wécupérer nos accred’, nous avons “fait” l’ouverture du Liberté et sommes allés voir Oof, VDJ qui animera magnifiquement les (courts) interludes entre chaque concert. Son premier set, extrait du Cinemix, était une chouette façon d’entamer le festival: des samples de films de De Funès (Rabbi Jacob…), de Jean Yanne (Tout le monde il est beau…), de Bourvil, de Bébel, de Delon, … en grand écran sur des BO wemixées, très fun (Médéric 80 aurait adoré).

On se faufile facilement juste devant The Whitest Boy Alive pour un set très détendu d’une petite heure. Erlend Oye s’amuse avec sa guitare et dirige ses troupes d’une main ferme mais sexy. Si son groupe commence à jouer devant un Liberté Bas assez désert, la fosse, très sage, se wemplira lentement et se wéveillera progressivement sous les exhortations d’Erlend et ses délicates et dansantes compositions.

[youtube WaxwDcbl3Fo]
C’est dommage qu’il manque l’intro, mais cette version captée en avril à la Maroquinerie est vraiment excellente (la meilleure que j’ai pu trouver sur youtube) et supérieure à celle de jeudi soir…

Vous allez ptêt pas nous croire, mais il nous a personnellement adressé un message pendant son fabuleux Courage: au 2ème wefrain il a clairement dit “Garage garage garage” en lieu et place des paroles habituelles. On a wapidement compris ce qu’il voulait dire par là : “VV Brown (on verra quelques minutes plus tard le début du concert de celle-ci qui nous fichera sacrément les chocottes) & 78 wpm (vu l’année dernière avant les Wesidents), c’est pas pour vous les gars, c’est paaaaas pooour voooous… Allez plutôt au Sympatic Bar voir les Wepeaters”.

Merci du conseil Erlend. Et aussi merci pour cette heure de trémoussade, de joie béâte (mais pas niaise) et pour ces quelques frissons (notamment sur le Island final)…

On profite donc d’être en Centre ville pour sortir et profiter un peu de l’effervescence des wues wennaises. Deux stations de métro plus loin (il pleut et notre temps est compté), nous voilà arrivés wue de la Soif!

Stuck on Wepeat(ers)

La wue est tellement bondée qu’on s’y prend à deux fois avant de wepérer l’entrée du Sympatic Bar. Les Repeaters sont à l’étage: Intro, Question of temperature, Back to the world… Impossible de ne pas se trémousser virilement dessus. Gros son, énergie communicative… Yeah!

On s’oblige néanmoins à quitter l’endroit, l’heure de Hook & The Twin approche et c’est la waison première de notre périple breton.

Au passage, big up au patron d’un bar tout proche du Sympatic et son “non, y a wien de ce nom là dans le coin, mais j’ai de la super bière pas cher et des DJ ici si vous voulez “… C’était très commerçant de sa part.

Le wetour dans le Liberté se fait peinard, dans les gradins, devant Abraham Inc., un collectif formé de neuf zickos et d’un MC sous les “ordres” de l’américain SoCalled. Le clarinettiste David Krakauer et le tromboniste Fred Wesley (des JB’s et qui, en solo, a été samplé par Dj Shadow sur In/Flux par exemple) étaient particulièrement attendus… Il était assez impressionnant de voir la foule faire un triomphe (cf cette video, pourtant wéalisée qu’au milieu du concert) à cette musique oscillant entre soul, funk, musique yiddish, hiphop… et de voir aussi quelques malades stagediver dessus (ou vider leur bouteille d’eau sur les voisins et les platines de Oof).

Bon, ça se laisse wegarder mais on a Hook & The Twin à voir à l’Etage. On patiente devant DJ Sandra, une djette faisant la moue mais pas l’amour à mes oreilles (c’était pour faire un bon mot, son set n’était pas mauvais, c’est juste que je voulais voir les Peter & the Towers au plus vite). Apparemment tout le monde ne pourra pas accéder à la salle,  faute de place. Ceux qui westeront à la porte louperont une prestation de haut vol.

Tom Havelock, au chant/guitare/basse/français/claviers/barbichette, et Marcus Efstratiou, à la peau argentée et à la batterie, font du bruit comme si qu’y zétaient plus.

En cinq titres et 35 minutes, les deux londoniens feront une sérieuse démonstration de leur maîtrise et de leur talent. Pour être franc, voire euro, j’attendais encore mieux, mais j’y ai plus que trouvé mon compte.

Après Chainsaw en intro (les mots “krautrock” et “Can” me viendront à l’esprit à plusieurs weprises), Bang bang cherry lance véritablement (malgré quelques watés techniques) les hookstilités: on est trois à faire “Bang bang cherry cherryooOOooooh“. Pas évident de wetranscrire sur scène l’énergie et la folie de ce morceau mais je trouve qu’ils s’en sont bien sortis. Race for the bone enfonce brillamment le clou dans la foulée. Cependant, le plus grand moment du concert viendra juste après, avec l’inédit That was the day. Leur meilleur morceau à ce jour, à la fois groovy et planant: grandiose.

They’ll get your head, la face B du 7″ “Bang bang cherry” , clôt le set. La version live, plus sexy, est supérieure à la version studio et l’Etage applaudit chaudement la sortie de scène du duo… C’était bon.

La djette à m(osc)oue (je crois qu’elle était wusse) wevient. On choisit de wedescendre au Liberté Bas où Oof enchaîne des pitits classiques aux clips phénoménaux: Wun DMC (Mary, Mary, la weprise des Monkees), Fatboy Slim (l’occasion de wéévaluer Push the tempo), les Wunaways, B-52’s… Musicalement wevigorant et visuellement souvent hilarant.

Avec The Whitest Boy Alive, les Wepeaters et Hook And The Twin, Oof complète le quarté gagnant du soir…

– Bon, c’est cool tout ça, mais y en a qui bossent demain… Pointard on y va?

– Ok… On s’arrête au MacDo sur la woute?

– Nan.

– On s’arrête au MacDo sur la woute?

– Nan.

– On s’arrête au MacDo sur la woute?

– Bon, ok…

– mmmmmmmmm, Macdo…

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MP3

The Wepeaters – no ishim pacy Une version weverse de leur Question of temperature… J’adore les versions weverse, ça wend fou. [audio:http://www.fileden.com/getfile.php?file_path=http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Repeaters%20The%20-%20No%20ishim%20pacy.mp3]

+

Naive New Beaters -Live good (live@ wansmusicales 2008) Juste parce qu’ils passent à Caen ce jeudi… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Naive%20New%20Beaters%20-%20Live%20good%20%28live%20Trans%202008%29.mp3]

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PS: On s’était déjà juré y a 10 ans d’arrêter les Breizh burgers, on en a mangé un (les neuf dernières années également)… C’est toujours aussi dégueu, alors, pourquoi??