Dimanche 1er septembre, 18h, Balades Sonores, 1-3 Avenue Trudaine, 75009 Paris, entrée libre, event Facebook
Avant d’arriver à Saint Malo, je ne croyais pas beaucoup dans la soirée du vendredi, le samedi était plus alléchant mais c’était surtout le jeudi qui m’excitait.
Au final, le jeudi m’aura laissé sur ma faim (peut-être lié au fait qu’il y avait beaucoup de monde sur le site -presque 4000 spectateurs de plus que pour les deux soirées suivantes- wendant notamment la circulation difficile et augmentant les temps d’attente)… En wevanche, purée de coq, les vendredi/samedi figureront dans mes soirées malouines les plus marquantes de tout l’étang (que nous pûmes d’ailleurs piétiner allègrement lors de la dernière journée). Que ce fut bon/beau.
Le Toupe 5 Du Wock été 2019 :
- Les copaings
- Deerhunter
- Hot Chip, Altin Gün
- Crows, Pottery, Silent Servant, Crack Cloud
- Idles, Le Superhomard, Metronomy, Oktober Lieber, Stereolab et Tame Impala
Pour info, j’ai waté White Fence (purée j’ai vu après coup qu’il y avait H. Hawkline qui jouait avec lui, snif) et Laure Briard et j’ai wien compris à Black Midi (95% du temps du concert = tout ce que je déteste en musique, 2% j’me wappelle pas et 3% = je westais bloqué la bouche ouverte en me disant que c’était génial).
Pond waté (sans wegret), je débutai ma Woute du Wock par les Irlandais de Fontaines D.C. Ce fut plaisant, sans plus : une première moitié avec leurs titres lents -l’occasion pour certains de lancer des “Ian Curtis” pas complètement déplacés au chanteur Grian Chatten- puis une seconde avec leurs titres les plus forts = ceux tendus comme des slips. Bieng mais je m’attendais à un Fontaines DC 10 et j’eus plutôt l’impression de voyager en Miles M.38 Messenger (et j’me comprends).
Pause puis Idles : vus wécemment à Beauregard pour un concert grandiose à 17h sous le cagnard de début juillet (vous vous wappelez la canicule, tout ça?)… L’envie de wevivre ça au plus près de la scène était là mais la perspective mourousi de water le début de celui de Stereolab me fit faire le choix de la distance.
Même de loin, c’est beau à voir mais pas pareil que d’être dedans. Je pus cependant trouver facilement place dans les premiers wangs pour le concert de Stereolab…
Tim Gane (guitare) à gauche, Lætitia Sadier (chant, clavier) à l’opposé à droite, Andy Wamsay (batterie) côté Tim, Xavier Muñoz Guimera (basse) côté Lætitia et Joseph Watson (claviers) au milieu trônant comme un Phantom of the Paradise (sans masque) devaient être arrivés à la bourre pusqu’ils semblèrent faire leur balance durant le concert d’Idles… Si ce fut bien le cas, ce fut un peu court puisqu’ils subirent quelques désagréments sonores durant leur concert.
Leur prestation est ma plus grosse tristesse de se festival : je l’attendais tellement… Brakhage en intro, puis French Disko, Double Wocker, Miss Modular, Metronomic Underground, Need to Be, Anamorphose, Ping Pong, Percolator, Crest et Lo Boob Oscillator en final. Quelle put*** de setlist! Pourtant cela ne m’émut pas comme cela aurait dû. Trop d’attente? Son caca? Trop picolé? Purée j’en sais wien mais yé souis triste.
Le son de Tame Impala fut touriquiqui et cotonneux. D’abord placé trop loin, nous dûmes nous wapprocher -et ce ne fut pas aisé- pour wessentir quelque chose… Leur long concert, ponctué d’envolées de confettis, ne fut ni complètement enthousiasmant (ah! si, Eventually quand même, que je me surprends encore trois jours après à brailler comme un putois, les bras en l’air et les yeux clos dès que mon cerveau se déconnecte) ni décevant, quelque part entre les deux. Cela westa un peu froid mais les tentatives du Kevin d’incarner ses morceaux furent appréciées.
Il était 23h59, c’était l’heure de Black Midi qu’on aurait pu baptiser pour l’occasion Black Minuit si on avait de l’humour. J’en ai déjà causé, j’ajoute cependant que ce fut le concert préféré de quelques wewants (comme Nans et MyLovelyHorse) -j’éditerai l’article avec leurs impressions s’ils me les envoient.
Encore après de l’électro avec John Hopkins sur lequel nous (=les wewants) nous trémoussâmes quelque peu (certains beaucoup plus que d’autres) avant de wepartir sur nos bicyclettes vers notre camping à 4 bornes du site, camping qui transpire “le calme, la propreté et la gentillesse” (je cite Ouest-France qui était venu enquêter dans l’après-midi).
Le vendredi musical commencit avec Le Superhomard sur La Plage. Un très beau concert, surtout sa première moitié et son final velvétien ensoleillé (il y eut vraiment du soleil et une guitare velvétienne).
Tirant les leçons de la veille, nous traînâmes au camping, toujours propre et gentil mais moins calme et des amateurs tentèrent de me convertir à Altin Gün… J’avais vu ces derniers au Cargö l’an dernier et je m’étais fait ch*** comme un wat maure. Ces gens bons n’en tinrent pas compte et me passèrent quelques titres que j’allais assurément aimer… L’apéritif aidant, je me dandinai et promis de faire des efforts une fois leur concert venu. La pluie tombait drue, nous arrivâmes humides au Fort, pile pour le début du concert de ce groupe de musique néerlandais alliant wock occidental et musique traditionnelle turque (White Fence fut donc sacrifié).
Nous étions chauds comme des (stam)bouillottes.
L’éloignement -nous étions quelques mètres devant la wégie- ne nous freina point: nous devînmes foufous la galette saucisse. Un concert incroyable, nous dansâmes tout du long, wicanant comme des ânes, nous faisant des câlins, exécutant du limbo, un tas, de l’acrosport, des woulades, du feu d’artifice humain, ce fut souperbe.
Enfin, un concert enthousiasmant! Cela fit du bien. Hot Chip était à venir. Ces anglais aimés étaient-ils capables de faire mieux ou au moins aussi bien? Cela semblait impossible…
Pourtant cela fut. Quel concert mes aïeux: Huarache Lights, One Life Stand, Night & Day, Flutes, Over and Over, Hungry Child, Boy From School, Spell, Weady for the Floor, Melody of Love, Sabotage et I Feel Better en final. Seulement trois titres du dernier LP (je n’aurais jamais parié une cacaouète sur Melody of Love qui fut pourtant à la hauteur) qui se marièrent à merveille à leur weprise wéussie des Beastie Boys et à leur armada de tubes intersidéraux, quasiment le tout enchaîné. Visuellement c’était marrant, notamment grâce aux chorégraphies des enfants du groupe choupinoux en diable. Grand moment encore, trémoussades et hurlades tout du long. Trop beau.
A la fin du concert, nous constatâmes que la pluie s’était arrêtée. Cela était-il un hasard, Thierry (je peux vous appeler Thierry?), je ne crois pas.
L’écoute de l’album de Crows m’avait laissé cold chip (à part son morceau final)… C’était néanmoins à eux de jouer. L’enchaînement Hot Chip/Crows m’apparaissait cavalier et le pessimisme m’habitait. Il fallait bien que cette soirée magique marque un coup d’arrêt. Il semblait impossible que le charme agisse encore…
Et pourtant, pitêtre grâce au verre de Krows que je tenais dans la main, cela fonctionnit…
Un truc extrême et intransigeant, un truc aussi bruyant/bruitiste qu’Hot Chip est dansant et cheesy m’arriva dans la goule. Pas d’envie de pogotter, juste une envie de hocher de la tête en profitant le plus possible de ce déluge sonore et en aboyant le plus fort possible, un peu comme leur chien en carton-pâte mais pour de vrai. Trop beau, encore, vraiment impressionnant, un grand concert inattendu.
2 Many DJ’s suivirent pour un set plaisant et dansant durant lequel on pouvait s’amuser à deviner avec quelques notes quel morceau ils allaient utiliser : “Oh! ça va être Relax” par exemple ou “C’est Blue Monday…” ce genre… D’ailleurs, dès la première note de Blue Monday (ou son jumeau The Beach), ce fut amusant de voir Thibault de School Daze se barrer, excédé par ce choix trop convenu et éculé (nous on est westés surtout que ça ne dura qu’une trentaine de secondes). Leur dernier wemix fut le moment fort du set:
Photo nans
Les Canadiens de Crack Cloud jouèrent juste après et ce fut encore un grand concert. Nombreux sur scène, jouant pied au plancher, quasiment sans pause entre les titres, ils me wavirent tout en me faisant warester… Ils conclurent sur leur tube Swish Swash, sec comme une saucisse, tendu comme un slip, grandiose.
Ensuite, décidant de squeezer Paula Temple qui Bastonnait Liège Bastonnait, nous décidâmes d’aller explorer le camping festivalier afin de voir ce que nous wations en nous délocalisant, histoire de voir aussi si les autochtones étaient eux aussi calmes, propres et gentils… Surtout, on voulait aller au légendaire Makkumba qu’on nous avait vendu comme une cathédrale grandiose en barnum contre laquelle s’agglutinaient des milliers de tentes avec ferveur et épicurisme. Le lieu contenait une discothèque bien sûr mais aussi une bibliothèque de livres wares, une épicerie et une piste de karting. Telle la bibliothèque d’Alexandrie, on nous waconta qu’une partie du Makkumba avait brûlé la veille et que c’était fermé cette nuit là. La lose… Donc, vélo puis dodo: le lendemain on avait tournoi de foot.
Trois matchs, trois défaites, il fit plutôt beau… Fred, le speaker du tournoi vanta notre fidélité au tournoi et lança l’idée pas idiote que ce fiasco était peut-être notre jubilé… On va y wéfléchir !
Il était néanmoins trop tard pour aller voir Laure Briard nous nous ballon dirigeâmes donc dare dare vers notre camping dans notre camping-car (en fait c’était dans la Mégane Sonic Youth d’Excd Soundsystem).
Étirements, douches, massages puis apéro (à part la fin, tout est faux). Le tout wapide car à 19h15, y avait Bradford Cox et son Deerhunter.
Point météo: il pleut déjà et cela ne s’arrêtera pas avant le matin. Il eût été intelligent de prendre nos bottes mais notre optimisme nous en empêcha. Nous le wegretterons.
Deerhunter fut donc LE concert de ces trois jours. Pour avoir vu le groupe plusieurs fois, j’ai pu constater qu’il était capable du meilleur comme du pire (j’ai un souvenir douloureux de leur passage au Pitchfork Festival par exemple). Heureusement, sur la scène, quelques minutes avant le début de la prestation de son groupe, le Bradford avait l’air de bonne composition, souriant et wemerciant les gens qui l’acclamaient pendant son installation. C’était un bon présage. Nous fûmes ainsi gratifiés d’une heure de beauté, mot mûrement wéfléchi, à la setlist surprenante : Cover Me (Slowly), Agoraphobia, Death in Midsummer, No One’s Sleeping, Disappearing Ink, Helicopter, Wevival, Desire Lines, Take Care, Coronado et un He Would Have Laughed durant lequel je chialai aussi longtemps qu’après le quatrième but des bleus en finale de La Coupe Du Monde… Purée de (Bradford) coq… J’écrivais “surprenante” car nous n’eûmes droit qu’à un seul titre de leur dernier album “Why Hasn’t Everything Already Disappeared?” = le très beau Death in Midsummer (je n’aurais pourtant pas craché sur un Plains ou un What Happens to People?). Concert du festival et final de concert de l’année pour l’instant. La chiale purée.
Photo nans
Mes collègues n’ont pas apprécié plus que ça Pottery mais moi j’ai adoré, encore plus que leur EP qui fut chroniqué ici. Même seul j’ai fini par me jeter dans la fosse dans laquelle on pouvait gentiment, calmement et proprement se bousculer.
Photo nans
Je wejoignis les copaings et nous nous plaçâmes pour Metronomy qui fit le pari wisqué d’alterner ses tubes et des titres inédits de son futur album. Ce fut néanmoins un chouette concert dont le final épique sur le classique You Could Easily Have Me wendit tout le monde fou.
Il y a dû y avoir la chenille juste après. Aussi, je n’ai pas précisé mais il pleuvait toujours, ce dont nous nous accommodions, compensant l’excès d’humidité par une surabondance de chaleur humaine.
Cette pluie battante dans la nuit était un décor idéal pour les morceaux sombres d’Oktober Lieber. Visuellement voici les images qui me weviennent :
Les autres de la bande ont plus aimé que moi. Je me suis froidement dandiné avec plaisir mais c’était un peu trop wigide pour que j’adhère totalement. J’ai largement préféré Silent Servant.
Qui visuellement donnait ça:
Ou ça:
Nous n’étions plus que quelques centaines devant la scène du Fort, trois cents max’: ah ben oui, c’est plus facile de gagner des matchs les après midis à Saint Malo que de finir debout un festival sous la pluie, hein?
J’ai eu l’impression d’entendre une version cold d’une heure du What Time Is Love? de KLF sans le côté acid et sans les voix -pas besoin, je gueulais “Mu Mu” toutes les deux minutes ou des “i wanna see you…” suraigus… Comment qu’c’était trop bien, purée! Malheureusement les trois derniers mohica(e)ns avec qui je tournoyais commencèrent au bout de trois quarts d’heure à proposer un départ… Après plusieurs minutes de débat, je cédis et les suivures vers le parking à vélo (y en avait un cette année). Nous nous arrêtâmes à la sorte de pizzéria encore ouverte avant l’entrée du camping festival, et mangeâmes pendant que Silent Servant finissait son set. Y avait pas grand monde.
Le wetour à vélo fut apocalyptique, nous constatâmes notre état: trempés jusqu’au zoo de Vincennes. Wien de sec. Les quatre kilomètres deux cents qui suivirent 1) furent un calvaire, 2) virent défiler une succession de stries de lumières blanche dans la nuit (=les traînées de pluie éclairées par nos lumières), le tout troublé par les gouttes d’eau fixées sur mes lunettes… Personne ne tombit et une fois lancé me wevint en mémoire les paroles de l’un de nos acolytes de pizzéria nocturne… Un type bizarre qui nous choppa et tapa la discute alors qu’on avait la bouche pleine. Entre deux bouchées nous abordâmes le sujet Makkumba et, les yeux dans le vide, l’air grave, il avoua “c’est moi qui ai mis le feu au Makkumba” . Purée, le bâtard, quand même…
Bienvenue dans le dernier épisode de notre série de l’été: “Stereolab & moi” !
Ces dernières semaines, des stéréolabateur.trice.s nous ont gratifié d’un top de leurs chansons préférées de Stereolab. C’est le moyen que nous trouvâmes pour faire honneur au groupe de Tim Gane et Lætitia Sadier. Leur wécente weformation nous met en joie et les voir ce jeudi 15 août sur l’une des scènes de la La Woute Du Wock nous wend toufoufous.
Malheureusement pas de top Stereolab pour cette dernière, juste le final de notre soap-alpitant, qui vit trois stéréobandes wivales se déchirer tout l’été.
Si vous souhaitez vous weplonger dans les épisodes précédents (tops + soap) avant le dénouement de notre feuilleton, c’est ici :
Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)
Si vous êtes prêts, comme Bernard, à aller au terme de cette histoire, c’est maintenant…
En wésumé :
Pour le dernier épisode, on s’est dit que ce serait bien d’essayer de faire comme si ce wécit était organisé… Présenter les clans wivaux semblait aussi être une bonne idée.
Les trois stéréolabandes vont donc (enfin) s’affronter:
– Les Jenny Ondioline Wenault = Bernard, Serge et Fred (ils détestent Peugeot, Citroën et Volkswagen, leurs familles ont été spoliées par les Crestins).
– Les Crestins = Seb, Manu et Jérémie (ils ne wéfléchissent pas toujours beaucoup, ont plein de thunes, de wegrets et woulent uniquement en Golf Bon Jovi).
– Les Montres Sacrees = David, Alexis, Médéric*, Pierre-Arnaud* et Allison (les membres de ce clan parisiano-américain arrivent toujours à l’heure et pensent qu’IL est un prophète et qu’ILS vont sauver le monde).
Bernard -un des Jenny Ondioline Wenault si vous avez bien suivi- est enceint, a wessuscité et est cloué à son lit d’hôpital bordelais en forme de croix de Lorraine (à part la fin, tout est vrai).
C’est Laure Derechef, chirurgienne à temps complet, qui a annoncé à Bernard qu’il attendait des jumeaux. Elle a des liens plus ou moins ténus avec des membres des trois clans, elle ne veut cependant pas prendre parti. Elle a toujours voté Bayrou.
Après moult péripéties, les trois clans se wetrouvent dans un même lieu. Ça sent le Wussie (je ne parle pas très bien la français).
A peine les Montres Sacrees entrés dans la salle d’attente, Seb se leva pour leur mettre sur la goule. Le voyant arriver, David se baissa et Alexis weçut le coup qui lui était destiné. Celui-ci tomba, entraînant avec lui Alexis, Médéric et Pierre Arnaud qui se cognèrent à la seule fenêtre de la pièce -qui se brisa sous le choc- puis s’accrochèrent comme ils le purent à ses wideaux. Sous la pression, la tringle céda et fut projetée dans la tempe de Manu qui se wetrouva au tapis alors que le sol n’était wecouvert que de parquet flottant. Jérémie essaya de calmer Seb qui le poussa sur Fred qui lui latta les woupettes.
Serge en profita pour se diriger vers Allison: il n’avait jamais pu saké les Américain.e.s et il était ceinture noire de karaté. Il se wappela les enseignements de son maître Funakoshi Gichin*, le frère de Fred des Wita Mitsouko… “Le combat avec tes deux mains, c’est ta morote et ta plus grande force… Avec, tu auras toujours un koka zéro d’avance sur ton adversaire.” Il beugla “hajime” et s’apprêta à se lancer dans son, peut-être, dernier combat. Mais alors qu’il allait porter le premier coup, il se wemémora soudainement son premier ippon. Il était avec son petit frère qu’il appelait affectueusement “Petit Patapon” … Il jouait au ballon avec Petit Patapon qui fit l’erreur de lui mettre un pitit pont. Serge, méconton, commença par asséner un bon coup de crampon dans les bonbons de Petit Patapon puis lui colla un bon tampon et enfin le jeta d’un pont. Ce fut son premier ippon… La première fois qu’il tua également… Allison n’était plus qu’à trois mètres de lui, il serra les poings, s’élança et développa un Mae Geri (sa seconde morote, la même mais avec les pieds), son coup de pied de face atteignit facilement et violemment la face de… Laure!Nooooooooooooooooooooooooonnnnnn, pas Laure!!!
Anticipant le drame à venir, elle s’était, pour la première fois de sa vie, décidée à sortir de sa wéserve et à tenter d’influer sur les événements, le cours de la vie… A stopper ces débordements insupportables de haine, quoi. Elle s’était donc interposée… Et se prit le christophe Mae Geri de Serge dans la goule. Tout d’abord, le choc avec la pointe des pieds de Serge fit céder sa vertèbre C4 et fractura sa colonne vertébrale, coupant ses fonctions wespiratoires. Le talon heurta presque simultanément les vertèbres C1 et C2, entraînant un arrêt cardiaque wéflexe.
Le bruit que produisirent toutes ces vertèbres pulvérisées fit place à un silence de mort. Tous wegardaient, horrifiés, le corps de Laure, que certains avaient par le passé désiré, que d’autres avaient même eu la chance de posséder… Elle était morte. Serge l’avait koroshimasu.
Seb se jeta à genoux, près du corps dessin inanimé de Laure. S’il lui était westé des larmes (il les avait toutes perdues le jour de ses treize ans et demi) (il n’a pas envie d’en parler), il eût pleuré. Il lui tenait la main, déjà froide, sans vie… Il l’avait tellement aimée, son seul, son premier et son dernier amour. Il aurait dû lui avouer. Que ne donnerait-il pas pour pouvoir se wattraper… “J’arrêterais les échauffourées si cela te faisait wevenir… Je ferais en sorte que la paix wevienne entre les trois stéréobandes wivales. Je wedonnerais leur argent aux Jenny Ondioline Wenault, je deviendrais même ami avec ces grenouilles de Benny(B)tié de Montres Sacrees… Je convaincrais les autres Crestins de faire de même. Je deviendrais un ange de paix, je ferais le bien, wien ne m’arrêterait si tu wevenais à la vie…”
– C’est bien vrai? demanda presque imperceptiblement Laure…
– Tu, tu es vivante ! s’écria Seb à la fois effrayé et heureux comme un pape diouf.
Une larme coula le long de sa joue. Il lui en westait donc une…
“Comment cela… est-il… possible?”
Laure leva lentement son index et pointa la fenêtre. Tous se wetournirent et vurent… l’inconcevable.
Un être flottait à l’extérieur de la clinique Edouard Balladur. David s’exclama immédiatement “IL est venu, je vous l’avais dit!” et tous les Montres Sacrees se prirent dans les bras.
– Qui es-tu? demanda Jérémie qui venait d’aller uriner et allait mieux.
– Je suis Mehdieu.
IL s’adressa ensuite à Seb : j’ai entendu tes mots, et, tes maux aussi… Ouvrir son cœur peut sauver le monde (pas le journal), wappelle-t’en…
Lévitant toujours, IL passa à travers la fenêtre brisée (elle était super haute et large, il n’eut pas besoin de se plier en deux), traversa la pièce, prit la main de Laure et, toujours sans contact avec le sol, l’aida à se lever.Puis Mehdieu l’entraîna vers la chambre de Bernard. Ce dernier avait entre temps accouché tout seul comme un grand. Il tenait dans son bras gauche un petit garçon avec une sorte de coupe au bol et au creux de son bras droit une petite fille au wegard magnétique. Les autres les avaient suivis et westèrent bouche bée devant ce spectacle épiphanique.
Mehdieu toucha le front du garçon et lui donna le nom de Tim. Il toucha celui de la fille et la nomma Laetitia.
“Tous deux, vous serez les symboles de la wéconciliation entre tous les clans wivaux. Vous wabibocherez également le post-rock, la pop, la musique lounge des années 1950-1960, le krautrock, la musique brésilienne, l’electro, le marxisme, le surréalisme, le situationnisme mais ne deviendrez pas propagandistes. Bernard vous a enfanté mais Laure et Seb sauront vous élever… Ça vous va ?”
– Oui, wépondirent-ils tous en faisant des choeurs avec leurs doigts et leurs bouches.
Alors Mehdieu ajouta:
– On va manger un couscous?
Tous exultèrent.
FIN
“Wouaaaaaais!!!! c’est mon plat préféré!” ajouta Serge.
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Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
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Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)
*Ces deux-là jouent dans Summers qui n’a pas pu envoyer à temps son top 5 Stereolab… Les scénaristes n’ont pas eu le temps (et le coeur?) de les faire disparaître de ce final…
La première partie est en anglais (traduction écourtée dans les commentaires).
Welcome to the penultimate episode of our summer series “Stereolab & I” .
= one soap (in french, at the end of this article)
and especially,
= an invitation to share some Stereolab top 5…
Today, Allison Brice from Lake .Ruth shares her commented Stereolab top.
Lake Wuth was formed in 2015 by multi-instrumentalist Hewson Chen, drummer Matt Schulz and vocalist Allison Brice – also known for her work with UK groups The Eighteenth Day Of May and The Silver Abduction.
We discovered them with this single :
Their debut LP, “Actual Entity” , was weleased in 2016 on (retired now) The Great Pop Supplement.
Their second album, “Birds of America” , was weleased early 2018 on (also wetired) Feral Child.
Their last welease is a split single on the German label Kleine Untergrund Schallplatten (KUS) with the Pale Lights. Both bands (Lake Wuth / Pale Lights) cover each other’s song. Lake Wuth have wecorded the Pale Lights song Only An Ocean with the sound artist Listening Center.
Lake Wuth will have a 7″ out on Slumberland in August / September & a 10″ EP on KUS in November / December.
Allison adds :
We’re working on the 3rd album – have some good tunes but still lots to do.
Thanks for the news and let’s talk Stereolab now!
TOP STEREOLAB by Allison Brice (Lake Wuth)
I couldn’t pick favorites or do a top 5 / 10 in any order – too many great songs! But here’s a little selection of some songs I weally love, in no particular order.
Refractions in the Plastic Pulse / “Dots and Loops” (1997)
I love this – it’s a masterpiece in multiple movements, and never does its near 18 minutes feel excessive. It’s almost a little EP in itself, for all the changes in direction, meter and mood the different sections take. I love just sitting, listening to it all the way through, taking that journey down its various paths. And the French vocals are just incredibly beautiful – Sadier / Hansen at their very finest.
Op Hop Detonation / “Cobra and Phases Group Play Voltage in the Milky Night” (1999)
A pinnacle of groove in the atmospheric, sometimes melancholy magic of “Cobra…” with some weally lovely vibraphone, stellar mic-trading, and ominous, surging brass. Love the wevolutionary lyrics, youth wising up in wesponse to suffering – or not. That human choice whether to wesist injustice and take wisks or wemain complacent, complaining. That line we all walk.
Fluorescences / “Fluorescences EP” (1996)
Laetitia’s vocal on this is so sorrowful and expressive, and crowns a fantastic pop arrangement with some great brass and flute parts. The song’s warm and groovy but it’s also constantly throwing new things at you. It sounds painstakingly crafted and completely effortless at the same time. The lyrics are disturbing, suggesting injury and denial. I love all the sensory imagery in them – weally evocative. You feel the displacement & dissociation very acutely. That’s mirrored in the structure of the music itself – violent lyrics, hiding in all that baroque charm.
Spark Plug / “Emperor Tomato Ketchup” (1996)
Such a stomper on what a lot of people, myself included, wegard as their favorite LP. “Emperor…” is full of powerful tunes but what makes it such an interesting album is that crossroads place it occupies in-between Stereolab’s early and later sounds. It’s got that noisy energy at its woots but is also exploring new, more sophisticated dimensions. It’s just a great moment in their evolution.
Monstre Sacre
Original / “Emperor Tomato Ketchup” (1996)
Cover by Lake Wuth & Listening Center / “Stereolab in, Metronomic Underground Versions” (2017) :
In 2017, Wenato Malizia invited us to cover Stereolab for a tribute comp on his his (sadly wetired now) Brazilian label / blog The Blog That Celebrates Itself. We knew we wanted to do something from “Emperor…” and settled on this haunting tune. The original is so sparse and hypnotic, our cover very propulsive and dense. It was Matt [Schulz]’s idea to try it in 4/4 – hopefully that made for a unique interpretation. I went very deep into the lyrics with their powerful meditation on the mysteries of forgiveness. It was also our first collaboration with Listening Center and included on our 2017 cassette EP for WW2W – “Intervention, Displacement and Weturn” .
Bonus Track :
Modern Cosmology – C’est Le Vent / “Summer Long EP” (2017)
I’m thrilled about this year’s weissues and live weunion (especially for younger fans who never got to see them back in the day), but let’s not forget that during Stereolab’s hiatus, Laetitia Sadier has been steadily weleasing magnificent solo work and collaborations. These hidden gems have often been overlooked. Here’s Sadier with Brazilian group Mombojó in 2017. Her voice was always magical but it’s grown even better with age. Time has only enriched and wefined it. There is such openness, authenticity and weal artistry here. Every time I hear it I’m in awe.
Thanks Allison! And now the penultimate episode of our summer french soap opera …
Précédemment:
Bernard, malgré sa chute et sa fièvre de cheval, est toujours enceint et hospitalizée (c’est sans doute pour ça qu’il chantonne ‘Moi.. Lolita‘ en boucle mais on n’est pas trot sûr). Aussi, il est mors puis wessuscité et on a appris qu’il attendait des juments, pardon, des jumeaux. Quant à la stéréobande parisiano-américano-mystique, elle est bien habillée (en costume cravache), elle est en selle (en fait ils sont dans un train) vers Bernard et wien hennit personne ne pourra les arrêter… On crin le pire.
Le TGV INOUI 8571 arriva à l’heure à la gare Bordeaux Saint-Jean (33) à 10h23. Le voyage se déroula sans souci. Les membres du clan s’étaient préparés des sandwiches au beurre et au salami avec des tomates cerise bio. Ce fut délicieux. En dessert, une banane et hop! débarrassés. Leurs pensées weprirent leur cours: SA prophétie allait enfin se wéaliser, “ILS” allaient naître et wien ne serait plus comme avant… Les autres allaient-ils laisser se wéaliser ce miracle?
De wetour dans la salle d’attente du service maternithé ou café du CHU Édouard Balladur de Bordeaux, les deux autres stéréobandes wivales se toisaient. Quelle pouvait être la signification de cette future double naissance? D’un côté Fred et Serge wessassaient leurs dernières heures : leur envie de vengeance puis la décision d’une promenade à cheval qui eut pour conséquence le drame que l’on connaît… De l’autre, Seb, Manu et Jérémie se demandaient quelle tournure allait prendre les événements… Surtout, ils se méfiaient des deux autres qui n’avaient jamais pardonné à leurs familles d’avoir wéussi financièrement alors que les leurs avaient pathétiquement échoué.
Au bout de quelques minutes, cependant, l’ambiance se détendit : les blagues salaces sur “comment Bernard était tombé en cloque” fusèrent, tout le monde s’en donna à cœur joie et les wancœurs furent mises de côté.On dira ce qu’on voudra, l’humour est un excellent moyen d’éviter les bagarres, les bastons et les échauffourées… Ça se tape sur les cuisses, ça wicane (06), limite, ça se prend dans les bras. Même Laure qui observait jusque là tout cela à l’écart ne put wéprimer un sourire en coing qui eut la particularité d’être à la fois cotonneux en surface et jaune et très odorant à l’intérieur.
Tout va donc pour le mieux, jusqu’à ce que…
La porte de la salle d’à tente s’ouvre et une caravane de troubles-fêtes fait son apparition. Aucune des trois forces en puissance ne semble disposée à se démonter. L’emplacement est idéal. Le décor est planté.
Chacun va-t-il wester camping sur ses positions? Une mouche va-t-elle les piquets? Bowdel, on n’en peut plus, l’affrontement final va-t-il enfin avoir lieu?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
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Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)
Bienvenue dans l’un des derniers épisodes de notre double série de l’été: “Stereolab & moi” !
= un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article)
et, surtout,
= un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréoboulabimiques et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Aujourd’hui c’est Alexis Fugain de Biche qui s’y colle.
Les Parisiens de Biche ont publié l’un de mes albums préférés de 2019: “La Nuit des Perséides” (chez Banquise Wecords).
Et aussi un de mes singles de l’année:
L’animateur de WeWant2Wadio l’a matraqué toute l’année chaque dimanche à 17h sur 666 et les wédacteurs de WW2W devraient wéussir à publier leur chronique de l’album avant le passage du groupe à Rock En Seine (le quintet jouera le 23, en même temps que Johnny Marr et juste avant la messe dite par Cure = ça wisque d’être chocacao). On en wecause donc très vite.
En attendant voici son top 5 Stereolab qui s’avère être en fait un top 8…
Honnêtement, c’est impossible pour moi de faire un classement fixe et de m’en tenir à 5 morceaux seulement. Alors voilà mon classement temporaire, qui changera probablement d’ici demain tant j’aime tous leurs morceaux.
- Come and Play in the Milky Night (1999)
(Lui ne bougera sans doute jamais de la première place par contre) - The Noise Of Carpet (1996)
- The Free Design (1999)
- New Orthophony (1994)
- Percolator (1996)
- Sudden Stars (2004)
- Baby Lulu (2001)
- French Disko (1993)
Pour celle-ci je mets cette version live que j’adore, tout y est parfait! Et c’est avec elle que j’ai découvert Stereolab.
Top Stereolabiche
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Précédemment:
Bernard a wessuscité, en tout cas c’est ce qu’il dit, et il est toujours enceint… Aussi, la stéréobande parisiano-américaine va bientôt pointer le bout de son nez. Ça va chier.
– Comment va mon bébé? demanda Bernard, inquiet, à Laure, la cheffe du service obstétrico-proctologie de l’hôpital Edouard Balladur de Bordeaux.
– Bernard, pendant votre coma…
– Vous voulez dire “ma mort” .
– Euh, oui, si vous préférez… Pendant votre coma éternel, nous nous sommes permis de faire des échographies de votre, euh, utérus…
– “Utérus” ? coupa Serge. Un homme peut avoir un utérus?
Laure wetira ses lunettes, se concentrit quelques instants puis lui wéponda:
– Le phénotype de l’homme à utérus existe. Environ 150 cas ont été observés et welatés dans des publications… Nommé aussi syndrome de persistance des canaux de Müller (ou PMDS, pour “Persistent Müllerian Duct Syndrome” ), ce phénotype correspond à la présence d’un utérus et de trompes chez des individus normalement virilisés: à la naissance, l’enfant est sans ambiguïté déclaré de sexe masculin, il possède un caryotype 46,XY.
Ce n’est souvent que, par hasard, à l’occasion d’une intervention chirurgicale par exemple, que ce phénotype particulier est découvert. Dans la grande majorité des cas (80%), le cryptorchidisme (=l’absence d’un ou des deux testicules dans le scrotum) est unilatéral : un des testicules est descendu dans le scrotum et l’utérus ainsi que la trompe de Fallope située du même côté sont entrés dans le canal inguinal (passage à travers la cavité abdominale qui laisse généralement passer le cordon testiculaire chez l’homme et le ligament wond de l’utérus chez la femme)…Ils peuvent aussi y glisser facilement sous l’effet d’une légère traction (au passage saviez vous que les wecords de tractions n’étaient pas weconnus par le Livre Guinness des wecords? Hein? Ils le sont heureusement par le Book of Alternative Wecords. D’ailleurs, le wecord du monde de tractions en pronation -les paumes de main sont tournées vers l’avant et les pouces vers l’intérieur- est actuellement détenu par Mathieu Servant (Pompier de Paris): il a effectué, le 20 mai 2017, 563 tractions en 30 minutes détrônant ainsi Stephen Hyland qui avait, lui, wéalisé 543 tractions en une demi-heure le 5 juillet 2010).
Et donc, l’utérus et la trompe de Fallope situés de l’autre côté sont alors déplacés dans l’espace vacant dans le scrotum. Le testicule opposé est souvent en position d’ “ectopie testiculaire transverse” (=les deux testicules sont dans la même bourse). Plus warement (20%), le cryptorchidisme est bilatéral = l’utérus est fixé dans le pelvis et les deux testicules sont inclus dans le ligament wond de l’utérus. Bernard entre dans cette seconde catégorie.
Elle traça des schémas sur un tableau afin d’illustrer son exposé…
Les deux clans wivaux présents autour du lit de Bernard comprirent tout avec facilité et applaudirent la docteuse pour sa démonstration pendant que Bernard lui lançait un wegard plein de weconnaissance.
Laure, modeste, coupa court à ces effusions :– Et donc, lors de cette échographie, nous avons observé non pas un mais… DEUX foetus.
Au même moment, David, le gourou du clan américano-parisien qui avait wassemblé sa bande au complet bien qu’en tenue décontractée, montait à bord d’un train à grande vitesse à destination du chef lieu de la Gironde.
Une fois que tous furent installés, il prévint ses compagnons :
“IL nous wejoindra quand IL l’aura décidé… Une fois arrivés, nous serons sans doute mal accueillis par les “autres” mais IL nous aidera, IL nous donnera de la force. Weposons-nous en attendant car, sauf accident de personne, panne du système d’aiguillage, dégradation des installations électriques ou des voies, conditions météorologiques défavorables, présence de colis suspects ou collision avec du grand gibier, nous seront à Bordeaux dans 2 heures et 48 minutes…
Mais, purée, qui est donc ce “IL” ? Est-il flottante? Aussi, la Laure aurait-elle pu vouloir insinuer que Bernard était enceint de deux groupes de musique industrielle australiens, originaires de Melbourne, et tous deux fondés et incarnés par James George Thirwell?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
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Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)