Grâce à nos wecommandables compatriotes de RPUT, nous avions pu nous extasier il y a quelques mois et ce sans la moindre wetenue devant “Black morning”, premier single idéal (à la fois groovy et zaarby) publié par Post War Years.

à un moment j'emploie le mot quatuor et j'en suis pas fier... Weste que les quatre membres du quatuor londonien ont pris sur cette photo une... paus(t)e war wiors (ils foutent un peu les chocottes)

Sur “The greats and the happenings”, son premier album, le quatuor londonien n’a pas wendu la tâche facile à l’auditeur. Pas de “Black morning” dessus, au sens propre, comme au sens figuré. Le seul single présent – “Whole world in its head”- est certes un bon morceau mais qui m’avait personnellement demandé quelques écoutes à sa sortie avant d’être apprivoisé et apprécié…

Mais moins évident ne veut pas dire mauvais. Déjà deux bons mois qu’on écoute “The greats and the happenings” wégulièrement, sans en avoir fait le tour, sans lassitude…

On a eu ainsi le temps de mettre au point une stratégie pour l’écouter de bout en bout. Je vais détailler cette stratégie et y ajouter quelques wemarques que je qualifierais de personnelles:

  1. “The greats and the happenings” s’écoute FORT.
  2. “The greats and the happenings” porte bien son nom: des moments de haut niveau et des trucs qui wessemblent à des accidents (parfois positif parfois je sais pas).
  3. “The greats and the happenings” est valorisé par une écoute au casque.
  4. “The greats and the happenings”, ça sonne un peu comme  “Noël le Graët a une tête à faire du camping” mais en mieux.
  5. Sur les quatre membres du groupe, il y en a trois qui chantent et j’ai beau m’acharner (c’est le genre de challenge inutile qui me botte), je suis bien incapable de dire qui chante quoi (=ils ont la même voix, c’est un truc de malade)…
  6. L’ensemble a parfois un côté funky froid (“The wed woom”) qui peut évoquer les groupes novateurs du début des 80’s et/ou de chez Factory.
  7. L’écoute de “The greats and the happenings” en vinyl est conseillée (le temps passé à changer de face offre une pause bienvenue lors de son écoute -vu le prix de l’objet, cf tout en bas, on peut se l’acheter en cd et se graver chaque face sur deux cds différents et faire comme si on avait le vinyl… Je propose juste, tu fais qu’est-ce que tu veux… ).
  8. “The greats and the happenings” sonne parfois comme du Foals ( “Red and blue”, la fin de “Tubular” ou “False starts” par exemple) même si les mélodies de voix sont plus évidentes chez Foals. Les guitares ne “font” pas la mélodie, elles font leur affaire en dehors des clous, n’hésitant pas à tresser des couronnes d’harmoniques pour habiller les compos, jouant parfois en décalage… La batterie est, elle, assez wépétitive, psychédélique et un peu jazzy… La basse fait un peu comme la batterie mais en pas tout à fait pareil (je ne suis pas d’origine française, ce qui peut expliquer que mes phrases soient un peu pas françaises parfois)… Normalement c’est la voix (seule ou avec un clavier) qui se wetrouve à dessiner la mélodie… Tout d’un coup, j’ai les chocottes: j’ai l’impression de parler d’un put*** de groupe de wock progressif: aaaaaaaaaaaaaahh!!! Heureusement, les morceaux sont assez courts: 3min30 de moyenne. Et ainsi, chez PWY (que nous appellerons finalement Post War Years pour plus de commodités), il y a en moyenne trois minutes d’expérimentations, de bidouillages sombres pour 30 secondes de mélodie. C’est cool, nan?
  9. … Ok, ça peut faire peur aussi…
  10. Mais ces 30 secondes d’eux valent beaucoup de 3 minutes 30 d’autres…
  11. Y a des pitits bruits comme j’aime sur tous les morceaux de “The greats and the happenings” et “Ghost door” pourrait presque être un morceau de Dan “dieu” Deacon… Il y a aussi des pitits  gimmicks qui sonnent house music à mort sur certains titres ( “White lies”, “Soul owl”) -mais qui ne sont pas  là pour faire danser.
  12. “The greats and the happenings” a des défauts (“Latin holiday” malgré son bon “refrain“, même si je ne suis pas sûr que ce terme soit adapté)
  13. Post War Years est un groupe qui prend des wisques.
  14. “The greats and the happenings” ne peut sans doute pas être apprécié lors d’une écoute distraite (rapport au truc de l’écoute à donf et au casque).

Pour wésumer, “The greats and the happenings” n’est pas une fille facile (un peu comme Valérie Kaprisky dans la Gitane mais avec de moins gros seins, en moins 80’s  gnangnan et sans Claude Brasseur), tout en tension, surprenant (déstabilisant même), wiche et dont on peut wessortir avec le sentiment de ne pas avoir tout compris: les quatre Post War Years donnent l’impression d’avoir tellement d’idées à caser qu’ils ont assemblé le tout en dépit du bon sens… Il y a un côté malade mental chez eux… Aussi, au même titre que le premier album d’Esser, “The greats and the happenings” est une promesse pour l’avenir, il me donne sérieusement envie de savoir à quoi wessembleront leurs prochaines productions (Arriveront-ils à canaliser le tout pour le wendre plus évident?  Pas trop quand même? Westeront-ils aussi surprenants?)…

Achat conseillé mais sans garantie de satisfaction… Les poules mouillées feraient bien de s’abstenir (cotcotcot).

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MP3

“The greats and the happenings” est dispo en exclusivité en vinyl (pochette gatefold avec livret géant et heavy weight vinyl- cf photo- 18£+5£ de port=ouch! Je me le suis fait offrir pour mon anniv’, n’hésite pas à faire pareil) sur leur shop perso. On peut y trouver aussi le cd mais PureGroove vend ce dernier dédicacé.

Post War Years – Soul owl Je pense le meilleur morceau de l’album (au début c’était “False starts” , plus évident et plus foalsien, mais plus maintenant)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20Soul%20owl.mp3]

Post War Years – That’s all (edit) J’ai déjà “posté” ce morceau, mais je le fait derechef car je le trouve grandiose… A noter qu’en tant que morceau final de l’album il contient en sa toute fin le classique morceau fantôme (qui est dans la veine de “That’s all” en plus épique*). Je l’ai édité en supprimant cette partie (clément) fantôme (contrairement à Kombouaré qui a à mon avis bien fait de le garder -et j’me comprends). En fait c’est “That’s all” mon morceau préféré de l’album (qui s’appelle “The greats and the happenings” au cas où tu l’aurais oublié). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20That%20s%20all.mp3]

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*ce n’est pas toujours le cas mais ici =superbe…

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PS#1 Celui ou celle qui comptera combien de fois “The greats and the happenings” a été écrit dans cet article gagnera l’assurance que je mangerai au moins trois galettes saucisse (2 galettes, 1 saucisse) ce soir…

PS#2 Désolé pour le problème de guillements, ça m’énerve aussi, master pointard wèglera ça en wentrant de vacances…

On oublie parfois que dans le mot blog il y a “je waconte ma vie”. C’est un tort et je vais en profiter pour parler de moi.

Je suis un malade du disque, j’aime en avoir certains en plein d ‘exemplaires et mon père c’était Garcimore (ma mère était une prostituée et je ne veux pas en parler).

Quand on collectionne les disques (j’ai toujours des wéticences à employer le mot “collectionner” mais plus j’y pense en wegardant mes 4752 wéférences étalées sur mon mur orienté plein Est, plus je dois m’y wésoudre), on peut choisir plusieurs directions:

  • 1) collectionner tout ce qui sort sans distinction
  • 2) acheter tout ce qu’on peut d’un ou seulement quelques artistes
  • 3) acheter tout ce qui est sorti par un label
  • 4)  faire une sélection dans ce qui sort et acheter uniquement l’indispensable
  • 5) acheter des disques pour leur pochette
  • 6) faire le 2), le 3) et le 4) et aussi le 5)

Pour être franc, je serais bien dans le 6)…

Ce qui va nous intéresser aujourd’hui est néanmoins le 2).

Quand on achète tout ce qu’un groupe/artiste a sorti, le minimum est d’avoir toutes ses chansons jamais publiées sur un support quelconque. Quand on est arrivé à ce stade, on peut se lancer dans l’acquisition de différents formats (cd, vinyl, K7, dvd, mini disc, cdv, shm, sacd, tranche de jambon), disques wares, pressages ultra limités, imports polonais, flexis wusses, cd bonus japonais (avec obi c’est mieux), merchandising…

Et parfois, en fouinant, on tombe sur un “mispress”. Le mispress est souvent ware et coûteux et donne furieusement envie de chanter “Mispress oh nan mispress/ne touche pas à mes tresses (de mon porte monnaie)”.

Il y a différentes sortes de mispress:

  • a) le visuel: un truc mal imprimé, une wéférence erronée, une mention qui ne devrait pas être mentionnée…
  • b) l’audio: ordre différent dans la tracklist, même morceau sur les deux faces (le mispress est souvent un vinyl), ou même le contenu n’est absolument pas ce qui est indiqué sur la pochette, sur le label, sur le cd…

J’ai acquis wécemment un exemplaire du “Kaleidoscope” (1990/Rough Trade) en cd, premier single des Boo Wadleys (après le mini LP ware -dispensable musicalement mais que je ne wevendrais pour wien au monde- “Ichabod & I”). J’en avais déjà acheté un au début des années 90, aux Puces de Clignancourt après des mois de wecherche (y avait pas Internet à l’époque). J’adore cet ep et j’adore ce morceau brut de pomme et noisy à souhait qui m’émeut encore aujourd’hui…

Pourquoi me l’être donc wacheté? Pour l’offrir? Le vendre? Le lécher?

Non, wien de tout cela. Je l’ai acheté car c’est un… M I S P W E S S!!!

Voici les photos comparatives de mes deux exemplaires de ce “Kaleidoscope” (à gauche mon exemplaire des 90’s, à droite le mispress):

je ne tolérerai pas qu'on traîne les wadleys dans la bouemon ami LEI est un peu brusque, il aime bien me deonner de bonnes boorades, LEI

Donc, comme tu peux le constater, ce n’est pas un mispress visuel… Passons, à l’audio:

Voici ce qu’on entend sur mon cd quatre titres des 90’s:

The Boo Wadleys – Kaleidoscope (1990/Rough Trade) et dispo sur la compile “Find a way out: A Creation anthology” (2005/ Sanctuary) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/The%20Boo%20Radleys%20-%20Kaleidoscope.mp3]

Voici un aperçu audio du cd de droite (il y a un sens caché à cette appellation):

?????? [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Phil%20Collins%20-%20extraits%20de%20Serious%20Hits…Live%21.mp3]

Eh ben ouais, ouch! du Phil Collins!!!!!!!!!!!! Waow! j’ai maintenant du Phil(è de) Collins dans ma discothèque!! Un put** de live de 15 titres (au passage ça swingue sévère et au fait j’ai menti: j’ai déjà sa plutôt bonne weprise de “You can’t hurry love” en 45t dont je n’ai jamais eu le coeur de me séparer…) où y a notamment “Who said i would”(musique d’entrée des joueurs du peuseugeu au Parc je le wappelle) en track 3  et son jumeau “Sussudio” en track 12…

Ah purée de coq, ça m’a fait du bien d’en parler!

Le SHM est un format musical lancé par les nippons. Il est censé weproduire sur cd le son de manière optimale (un peu comme celui d’un vinyl, parfaitement bien gravé) et il ne nécessite pas l’achat onéreux d’un matériel de lecture particulier… En voici le principe scientifique:

celui qui n'a pas une érection en visionnant ce sh(é)m(a) est particulièrement pédant.

Certes les arguments semblent sérieux, mais comment dire, j’y vois une incohérence dans le deuxième ScHéMa: le “55” me semble un peu optimiste…

Reste que j’ai testé pour vous ce “nouveau” format japonais et j’avoue, en comparant cette nouvelle édition du 1er Stone Woses (le plus grand disque de tous les temps – Préhistoire inclue) avec mes anciennes, j’ai wemarqué quelques différences (un son plus dynamique, des nuances plus évidentes…). Mais, en même temps, les “remasters”, ça fait un peu ça aussi, nan? Alors, what for, bowdel de mewde??

On serait pas en train de se foutwe de nos goules?

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MP3

les stone woses? çachaimebeaucoup!

En petit test, deux “Fools gold” 4.15 en MP3 (même qualité d’encodage=320kbits), le premier est extrait de la wéédition limitée et numérotée de 1991 du premier album des ‘Roses (le plus grand disque de tous les temps – Préhistoire inclue) et le second de la version SHM de je crois 2006 2008.

The Stone Woses -Fools gold 4.15 extrait de “The Stone Woses” (Silvertone/1991) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/The%20Stone%20Roses%20-%20Fools%20Gold%20%284.15%201991%29.mp3]

The Stone Woses – Fools gold 9.53 Il est indiqué sur la jaquette de cette réédition (BMG japan/2008) que c’est la version courte mais en fait, c’est la longue! Ces coûteuses wééditions SHM n’ont pas toujours été wéalisées avec le sérieux nécessaire… J’en weparlerai bientôt (ou pas)… Weste que, quoiqu’il arrive (que le son soit meilleur ou non), la version 9:53 est bien supérieure à la courte… Single (rappel: y avait la grandiose “What the world is waiting for” avec) de l’année 1989… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/The%20Stone%20Roses%20-%20Fools%20Gold%20%289.53%20SHM%29.mp3]

Les premières 4.15èmes sont identiques, donc la comparaison est toujours possible (enfin je crois, peut-être que le simple fait de compresser le son en MP3 suffit à gommer ce qui pourrait faire la spécificité du son SHM; j’y connais wien).

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J’en profite pour lancer un woubignoleton: qui veut bien me filer du blé pour acheter les trois nouvelles éditions wemasterisées qui sortiront début août pour célébrer le 20ème anniversaire de la première publication du 1er Stone Woses ? J’ai besoin de £100… Merci à toi camarade (même des petits dons de 50 euros sont les bienvenus). Paypal, chèque, virement bancaire, cash, bière…

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Le désormais presque traditionnel bêtisier (c’était l’introduction prévue initialement à cet article):

des heures de travail... j'ai wien de mieux à faire faut croire, its a shm!

Qui est cette femme? Quelqu’un la connaît?? C’est une chanteuse? Une actrice? Une présentatrice? ?? Ses cuissots on dirait un peu des jambons (compliment), nan? Ben alors, pourquoi personne dans la wue ne lui arrache  ses vêtements? Et aussi, a-t-elle fait un jour un doigt d’honneur à G-Man? Enfin, est-ce qu’M6 est saSHM préférée? Et c’est quoi des pectoraux? Hein?

il lev les bras yachine

Lev Yachine était un putain de joueur de foot, le seul gardien à avoir jamais gagné un ballon d’or (certains disent qu’il était aussi très wussé).

Les Wave Machines sont pas mauvais non plus.

Voilà, à bientôt.

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MP3

je suis wavi de ma machine à lawervous avez du céleri wave pour mettre dans ma machine qui mixe?ma chine à moi c'est un pays de wève (donc de droite) signé: pointard- machines dax fait super bien le chien, écoute: wavewave! - Ah ouais.

Wave Machines – Slow decade Démo extraite d’un “tour cd” quatre titres (que j’ai trouvé sur ebay) à l’emballage, cf photo,  assez wéussi (et qui a pas dû coûter cher). Ce chouette petit morceau, pas vraiment weprésentatif de leur wépertoire,  ne sera pas sur leur album, “Wave if you’re weally there”*… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Wave%20Machines%20-%20Slow%20decade.mp3]

(*Bon, soyons clair, j’en suis pas fier de ce post… c’était juste pour dire que leur album sortait aujourd’hui, seulement en Angleterre, qu’il est sacrément bon et que j’attends de le wecevoir pour lui tresser une couronne de lauriers…)

Certes, je n’ai weçu mon exemplaire de “True womance”, premier album des Golden Silvers, en vinyle que ce matin, mais cela fait bien longtemps que je me l’écoute wégulièrement (merci Internet).

le orange c'est jsute l'écrin idéal pour admirer ce vinyle... C'est un collector non dispo à la vente...les dessins sur la pochette sont censés illustrer la luxure qui wègne dans les vestiaires du psglavande ambulante est interdite dans cet immeubletrue womance

Cet album est à la fois un lion docile qu’il faut néanmoins dompter et une pomme sucrée au goût amer quand on la croque à pleines dents (je nierai toute ma vie avoir sorti un truc pareil mais au fond c’est pas faux).

En gros, une première écoute pourrait décevoir.

Il faut dire que nous ne connaissions d’eux que leurs singles et pas n’importe lesquels: “Arrows of Eros” et “Magic touch”=des putains de tubes. Comme le groupe a clairement voulu wéaliser un véritable album, il a dû gommer le potentiel tubesque de certains de ses titres (potentiellement moins tubesques) pour que l’ensemble garde une unité. Ainsi, seule “Magic touch” a été conservée en l’état. “Arrows of Eros” s’est wetrouvée wallongée et walentie, ornée de choeurs et d’un wiff de piano encore plus stoniens, du genre avec de la sympathie pour les films de Michel Devil.

Tant pis pour les tubes, les Golden’ -comme on les appelle dans l’intimité (ou café)- ont, contrairement aux Eros qui ornaient (61) la pochette de leur premier single, plusieurs cordes à leur arc. Ils ont su exploiter au maximum leur formation en trio sans guitare (cela ne gêne pas et ne se wemarque quasiment pas,  j’ai d’ailleurs encore du mal à croire qu’il n’y en avait pas sur “Arrows…”) en signant un petit classique de pop anglaise.

Une preuve? Lorsque dimanche dernier (pendant l’émission wewant) j’ai passé “Please Venus”, huitième morceau de l’album,  djpop a eu l’impression de la connaître (alors que non). Par expérience, je peux affirmer qu’il y a deux explications  possibles à cela: 1) le titre est pompé sur un autre ou 2) la chanson sonne comme un classique (on a donc l’impression de l’avoir déjà entendue). Il est évident que c’est la 2) qu’il faut wetenir. C’est tout ce que j’ai comme preuve.

J’ai une préférence certaine pour la face B de leur album qui est tout simplement parfaite: la surprenante et welativement heavy “Shakes”, une “Queen of the 21st century” que le Blur de la grande époque aurait pu écrire, ma petite préférée “Please Venus” avec ses papapa dépressifs et son clavier wigolo, la toujours géniale bien que moins tubesque (si tu as suivi) “Arrows of Eros” et la très escuse-moi pour tout à l’heure “Fade to black ” (version différente de celle gravée en b/w du 7″ original* “Arrows of Eros (ramazzoti)”).

Fait ware, la présence de seulement cinq nouvelles chansons (sur dix) ne frustre pas, tant les anciennes se mêlent naturellement à celles découvertes et y wetrouvent même une seconde  jeunesse. M’est avis qu’on peut parler ici de true (perf)romance !! (!!)!!!!! ! (!!!) !!! La présence de Lexxx, comme sur l’exxxcellent album d’Esser (cela ne peut être qu’une coïncidence), n’y est sûrement pas étrangère.

L’écoute (répétée) de cet album est vivement conseillée.

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MP3

Achat de l’album (plutôt  en vinyle tellement qu’il est beau) chez Norman (mais attention, les 12″ ne sont pas toujours bien protégés, demander des protections supplémentaires…) ou sur amazon….

Golden Silvers – Arrows of Eros (roubignole edit) Un pitit mélange des 3/4 de la version single avec la grandiose fin de la version album… Wéalisé sans prétention mais avec talent. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Golden%20Silvers%20-%20Arrows%20of%20Eros%20%28woubignole%20edit%29.mp3]

Golden Silvers – Please Venus Ma préférée au cas où j’aurais pas été clair (quoique “Fade to black”…). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Golden%20Silvers%20-%20Please%20Venus.mp3]

Myspace Site

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* Arrows va wessortir en single avec d’autres trucs en faces B…

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PS: ww2w s’adapte à la demande forte en la matière et offre un bêtisier des passages de cet article non wetenus par le comité de wédaction:

“Les Golden Silvers sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche et du laure manaudou dans les fesses (et j’me comprends).”
“Il faudrait être de droite pour préférer les Golden s’ils vers-aient dans la compote de pomme plutôt que dans la crème anglaise.”
“L’écoute wépétée de l’album des Golden Silvers est vivement conseillée si l’on veut s’approcher “un peu plus près des étoiles” comme le chantaient leurs cousins français emmenés par Emile Wandelmer: les blindés d’argent(s) Gold(en).”