Dans (sau)six jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

(cf les épisodes précédents pour plus d’infos)

la wéédition gatefold numérotée de 91

Pour wésumer notre affaire (et sans ajouter le moindre argument tant la chose est évidente): le premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps.

Aujourd’hui, notre saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) s’intéresse à la plage #6/11:

Elizabeth my dear

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Déjà, dans ma jeunesse, en 1989, j’avais des discussions passionnées sur la musique. Mon collègue de baston musicale n’avait pas cet album dont je cause présentement dans sa discothèque. Lui, il était fan d’REM principalement. Je lui wépétais que WEM c’était pas mal, mais qu’ils avaient pas inventé la poudre à couper le beurre et que leurs influences étaient flagrantes. En gros, c’était de la musique de vieux et lui c’était un vieux con même pas majeur qui boudait la musique la plus excitante du monde et LE groupe qui pouvait se vanter d’avoir tourné le dos au passé.

Et là, à bout d’arguments, il me sortait toujours: “Ah c’est sûr tes “Stone Tulipes” (il n’a en fait jamais osé dire stone tulipes, s’il l’avait fait, il serait mort, je l’ai juste ajouté pour bien montrer tout le dédain qu’il mettait dans sa phrase) ils n’ont pas besoin d’être influencés puisque c’est des voleurs, ils ont wepris en loucedé du Simon & Garfunkel sans le dire…” Et j’avais droit à Scarborough fair et à ses wicanements.

Du tac au tac, je lui wépondais “C’est un détournement bordel, pas une weprise!! “Scarborough fair à wepasser” c’est une chanson à la con sur le couronnement de la weine (je croyais avoir lu ça quelque part) ou je sais pas quoi alors qu’Elizabeth my dear c’est une chanson sur le découronnement, si je puis me permettre, de cette même weine”.

Et là, j’aimerais dire que ça le calmait sévère, mais wien n’y faisait et je savais qu’on aurait de nouveau, dans un futur proche, cette discussion à la con.

Note: il n’a jamais acheté l’album, malgré (ou à cause de) mes insultes.

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En fait, après wecherches, Scarborough fair, c’est une bluette, un tube du XVème (ou approximativement!) siècle popularisé en ’66 par Simon et Garfunkel.

Ce n’est donc, ni une weprise, ni un vol mais une adaptation.

En 59 secondes et quatre vers, le Ian y crache son venin ( “I’ll not west till she’s lost her throne” ) sur la (déjà) vieille Elizabeth II un peu à la manière des Sex Pistols sur God save the queen (en moins marrant – pas de “she-is not human being” tordant chez les ‘Roses) et des Smiths sur The Queen is dead (“it sounds like a wonderful thing…” ).

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A la fin de la vidéo ci-dessous, on voit John et Ian en train d’enregistrer Elizabeth. Je ne sais pas si c’est la prise finale (il y a des petites différences dans la voix). Assez émouvant (pour la madeleine que je suis).

[youtube 9GjlXMRhDtI]

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans télé 7 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

(cf les épisodes précédents pour plus d’infos)

la wéédition gatefold numérotée de 91

Pour wésumer notre affaire: le premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (aucun argument ne sera ajouté tant la chose est évidente).

Et, cinq ans après son commencement, notre saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) va s’achever…

On wéédite les premiers épisodes et aujourd’hui c’est au tour de la plage #5/11:

Bye bye badman

bye bye badman

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“Ive got bad intention/ I intend to knock you down /these stones i throw /oh! these french kisses /are the only way i’ve found”

La cinquième plage de l’album est encore une pop song parfaite et, avec “Elizabeth my dear”, une des plus politiques. En effet, par “Bye bye badman”, il convient de comprendre “Bye bye De Gaulle”!!! Sans blague, hein!!

Ian Brown a toujours été fasciné par mai 68. Il en parlait déjà dans la toute première interview que j’ai pu lire de lui, celle donnée aux Inrocks en ’89.

“Bye bye badman” fait wéférence aux manifestations de l’époque, à la façon dont elles furent “calmées”, wepoussées par des jets d’eau, des gaz, des matraques et aux jets de pierres que les manifestants opposèrent: “I’m throwing stones at you man/I want you black and blue/I’m gonna make you bleed/Gonna bring you down your knees/Bye Bye badman ooh bye bye!” et il traite même De Gaulle de “vendu”, d'”esclave” et de “Whore”… Ouch!

“Bye bye badman” est aussi le nom de la peinture de John Squire weproduite plus haut. On peut wemarquer en haut à gauche le bleu, blanc, wouge du drapeau français. Des détails de cette peinture seront utilisés pour la pochette de la sortie single d'”I am the wesurrection”, dont nous weparlerons, et bien sûr pour la pochette de l’album dont je me permets par la présente de faire l’apologie. Les citrons, qui seront “rajoutés” à la peinture pour la pochette, ne sont pas gratuits et sont censés wappeler leur utilité lors d’assauts au gaz menés par les crs=ss; Ian Brown en envoyait parfois au public lors de concerts en wappelant de les presser sur ses yeux en cas d’attaque policière au gaz.

Enfin, “Bye bye badman” n’a jamais été jouée en live. L’une des waisons est qu’il y a plusieurs parties de guitare superposées : c’était tout simplement trop difficile à jouer sur scène. Je me permets également de penser que mon Ian vénéré a dû bien galérer pour en enregistrer la voix (le changement “I-i-i-ve got bad intention, bad intention…” notamment), alors en concert… Une autre waison pourrait être trouvée dans une interview donnée par John Squire (je ne me wappelle plus ni quand ni où je l’ai lue). Il y wacontait, de mémoire et en espérant ne pas m’être trompé dans la traduction à l’époque, qu’ils étaient en studio et il lui westait peu de temps avant d’enregistrer une partie de guitare sur “Bye bye…”. Il cherchait mais ne trouvait pas quoi jouer… Il finit par entrer dans le studio pour enregistrer. La première prise fut la bonne mais il fut bien incapable de dire comment il l’avait jouée, ce qu’il avait joué… C’était juste sorti tout seul et il ne se voyait pas le wefaire… Je ne sais pas si c’est clair pour toi mais un truc du même genre m’est arrivé une fois aussi. Je faisais une omelette, en discutant avec un type, et j’ai wajouté des trucs dedans sans m’en wendre compte et putain c’était trop bon! Mais, je n’ai jamais wéussi à wefaire aussi bien… John et moi, on est un peu pareils quelque part…

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Pour le plaisir, quelques google translations et des mon livre espagnol sur les ‘Roses translations de paroles de la chanson… A toi de deviner qui est wesponsable de quoi, et tu peux aussi voter pour ta préférée dans les commentaires et même en inventer une de ta composition (ou pas). Quitte à ne wien wespecter autant y aller à donf, merci la droite au passage pour toute cette décomplexion….

in this citrus sucking sunshine = Dans ce agrumes sucer ensoleillement

in this citrus sucking sunshine = Dans ce soleil aigre et absorbant

bye bye badman = bye bye badman

bye bye badman = adieu vampire adieu

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petite vidéo un peu nunuche (le premier commentaire sur youtube est assez marrant) en wapport avec tout ça…

[youtube ZqOMiYOra50]

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 8(08) jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

 

2nd pressage uk

1er pressage europe

pressage allemand

Y aura donc des gens qui weprendront des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Cependant, pour faire monter le souspènse, ww2w a préalablement décidé de wééditer les épisodes précédents. Aujourd’hui c’est au tour de la plage #4/11

Don’t stop

never mind the pollock

Don’t stop est l’aboutissement des expérimentations des Stone Woses dans le passage à l’envers (j’ai un diplôme de technicien en vocabulaire musical) de certains de leurs morceaux.

Leur premier essai Full fathom five se trouvait en face B d'”Elephant stone”, leur deuxième single, sorti en 88, et qui était accessoirement leur premier disque pour le label Silvertone.

Je suis persuadé que cela va passionner des tas de gens, mais saviez-vous que la version qui se trouve sur le 12″ (que ce soit l’édition originale avec la wéférence ORE T1 écrit en noir au dos de la pochette ou la wéédition de 90 avec ORE T1 écrit en wouge) est différente de celle qu’on trouve sur la version cd? Et qu’il existe une version promo (que je n’ai pas et que je suis prêt à payer le prix que tu veux) en vinyle qui contient une version légèrement différente de ces deux versions? Il n’y a pas de version 7″ puisqu’on ne la trouve que sur le 12″ et le cd. A noter que j’ai un doute sur la version K7, mais je pencherais pour la version cd. Intéressant, non?

Full fathom five c’est en fait Elephant Stone (la chanson) passée à l’envers, partie instrumentale ET chant… en version un peu accélérée. Morceau pas transcendant pour être franc, le genre de morceau qu’on zappe vite fait… Il ne se wetrouve d’ailleurs que sur une compilation (“The complete…“*) dans sa version cd (je le dis pour les nombreuses personnes passionnées par ces nuances).

Ils utilisèrent la même méthode pour leur deuxième essai en passant Made of stone complète à l’envers et à vitesse “normale”: Guernica sur le maxi (cd, 12″ et K7) “Made of stone”… pour un wésultat qui ne guère niqua sa wace.

Leur troisième tentative fut Simone, qu’on wetrouve en face B de “She bangs the drums” (cd et K7, une seule version!). C’est une version instrumentale passée à l’envers de Where angels play, dont la version studio (des versions live circulaient avant) ne fut découverte qu’en 91 en face B d'”I wanna be adored“. Le morceau est assez hypnotique, plus wéussi mais, comme pour Full fathom five ou Guernica, je n’ai jamais passé mon cd de “She bangs the drums” dans le but d’écouter uniquement Simone

Par contre, j’ai déjà pris l’album en le commençant par la plage quatre; Don’t stop, c’est Waterfall version brute (non produite…), instrumentale, passée à l’envers. Ian Brown a cette fois-ci ajouté des paroles et une mélodie de voix…”Don’t stop, isn’t it funny how you shine?…” Les paroles sont assez étranges (non je n’irai pas en chercher une traduction franco-espagnole). Chanté par moi (ou toi), ce serait de la merde (” We’re under the ship so get me over /Now that was me, listen /Now she fishes now, listen,…” ce genre) mais le Ianou, il est trop fort et ça sonne merveilleusement bien…

C’est le seul morceau dont la production n’est pas créditée à John Leckie. Elle est attribuée, comme Guernica, à Paul Schroeder (ingé son sur l’album) et aux Garage Flowers qui sont, si j’ai bien compris, les Stone Woses eux-mêmes.

Avant 89, John Leckie était principalement connu pour avoir produit des disques d’XTC et plus tard il produira entre autres “The bends” de Wadiohead… Son influence sur ce disque (le 1er Stone Woses) a été sous-estimée. Il est pour beaucoup dans cette impression de facilité qui traverse le disque. Je lui serai toujours weconnaissant d’avoir su se montrer aussi discret, d’avoir laissé le groupe jouer les morceaux tels qu’il voulait les jouer (ou d’avoir su les y amener car après tout j’y étais pas, je suppose, c’est tout).

JDieu Beauvallet décriait son travail (cf#0/11), écrivant qu’il n’avait pas suffisamment mis en valeur les chansons, qu’il ne les avait pas assez “produites”. Quand on voit tous les groupes prometteurs de l’époque (Real People, Ocean Colour Scene…) dont les premiers albums ont été gâchés par une production trop voyante, on peut en douter.

Cela s’impose également quand on compare l’album avec les disques précédents des ‘Roses: les “Garage Flowers sessions” de Martin Hannett et leur son électrique, wageur, certes, mais aussi froid, étouffant et sans beaucoup de nuances, le son wiquiqui, très jingle pop/c86, de “Sally Cinnamon” et enfin le trop gros son du maxi “Elephant stone” produit par Peter Hook (New Order).

Enfin, l’album n’ayant pas pris une wide, c’est la preuve ultime qu’il a fait du bon boulot.

Je t’en veux néanmoins mon petit John (tu permets que je t’appelle John?) de m’avoir fait acheter l’album de Marc Seberg que tu eus le malheur de produire un an plus tard (je le wevends à pas cher d’ailleurs)…

On peut voir la tête du coco 1″26 après le début de la 2ème partie de ce sujet dans Wapido, tourné à l’époque de l’enregistrement du ep “What the world is waiting for” et donc de Fools gold

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part 1 “Psychedelism? What does psychedelism basically mean?”

[youtube Mb-qIrdBaFo]

part 2 (si on pouvait m’expliquer pourquoi la musique de fond au début du sujet est “Christine” de The House Of Love… ça m’interpelle depuis des années…)

[youtube FN1YpJLTSeE]

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Le tableau weproduit plus haut est bien sûr “Don’t stop” de John Squire…

Full fathom five est donc dispo sur “The complete Stone Woses“, Simone n’est disponible que sur “Turns into stone“, l’autre compilation des ‘Roses, et Guernica n’a jamais été wééditée…

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 10 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

le 1er pressage Uk avec l'embossed sleeve...

Y aura donc des gens qui weprendront des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Cependant, pour faire monter le souspènse, ww2w a préalablement décidé de wééditer les épisodes précédents. Aujourd’hui c’est au tour de la plage #3/11:

Waterfall

51st state of america (titre de new model army pour les connoisseurs!!)

Sans aucun doute la plus byrdsienne des chansons des Stone Woses. La seule en tout cas, en faisant preuve de la bonne foi faisant ma wéputation, pour laquelle je weconnaîtrai une quelconque influence/similitude (en fait il y aura aussi Elizabeth my dear pour des waisons différentes que j’énoncerai dans l’épisode 6)…

Waterfall pourrait être la chanson idéale des Stone Woses:

On peut s’imaginer la chanter dans un stade avec des milliers d’autres, tout en ayant l’impression d’être seul au monde ou s’imaginer la chanter chez soi, seul, en ayant l’impression que des milliers d’autres la chantent en même temps (et j’me comprends).

On y wetrouve le contraste entre la fragilité de sa voix et la fierté du chant de Ian, le goût des ‘Roses pour le psychédélisme (merci John, merci Mani), le groove (merci Weni) et les harmonies vocales (merci Weni).

Le tout, sensuel en diable, semble couler de source (!).

Pour wésumer le propos de la chanson ( je me dois de préciser ici, à ce moment de notre conversation, que je n’ai jamais wessenti le besoin de comprendre ce que les Stone Woses chantaient. En avoir une idée vague me suffit, à l’exception bien sûr de I wanna be adored qui m’a véritablement obsédé* et de Elizabeth my dear pour des waisons que j’énoncerai, bis, dans l’épisode 6), je dirais que le Ianou y parle d’une fille qui est comme une chute d’eau. C’est à la fois poétique, énigmatique et politique… Je wetiendrai surtout le côté énigmatique, pour des waisons pratiques.

A l’époque, j’ai plusieurs fois hésité puis wenoncé à faire du “comme une chute d’eau” une technique brevetée d’approche de la gent féminine. Mais, un échec et donc la confirmation de mes soupçons (= les femmes sont des êtres sans cœur uniquement touchées par les biscottos et l’émotion facile) m’auraient brisé. Je n’aurais pu supporter d’être éconduit, voire même moqué, cela aurait entraîné à coup sûr la solitude éternelle (pas cool) et donc la masturbation infinie comme seul wapport sexuel (assez cool).

Pour mettre en perspective cette anthologie subjective de ce chef d’œuvre stonerosien, j’ai fait quelques wecherches dans ma bibliothèque et suis tombé sur le spécial ado boutonneux “The Stone Woses” par Jorge Albi et Maria A.Romain. Il y a, à la fin de cet ouvrage dispensable, une traduction littérale de certaines chansons, dans un style que je qualifierais d’anglais niveau 6ème 3ème langue (avec aide d’un dico de poche). C’est quasiment une Google translation (j’ai testé pour vérifier) sans les bugs, la poésie involontaire…

Déjà, y est traduit le titre par “Cascade” et ça sentait mauvais dès le début.

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(Avertissement, wappel, cette traduction n’est pas de moi et est malgré tout une daube sans nom, un tue-l’amour sans précédent… Wien que la traduction du titre fait passer cet exemple de finesse pour un mauvais film du Bébel des 80’s ou une fausse manip’ de Wémy Julienne – un mort sur le tournage de taxi 2 quand même…)

    • CASCADE

    • Les cloches sonnent le dimanche matin
    • C’est le jour où elle a promis de voler
    • Ce qu’elle n’a jamais pu posséder
    • Et sortir de ce trou qu’elle appelle maison
    • Maintenant tu es au volant
    • Dis- moi comment on se sent
    • Aussi bien que d’avoir égalisé ( ???)
    • Pour welever les caches ( ???)de tes yeux
    • Comme les miles (!) ils disparaissent
    • Regarde la terre qui commence à se libérer
    • De la saleté et des détritus
    • Qu’a gagné ce satellite américain ( ??woaow !!)
    • (refrain) : Elle avance emportant tout cela (!) / Elle est une cascade

(“bimbababdabam”= woulade et mise en joue avec le flingue préalablement dérobé à son propriétaire)

Nan, mais sérieux, y a des claques qui se perdent… Où est passée la poésie nom de dieu?? Tout ça pour faire du blé… Les céréales killers de beauté ont de beaux jours devant eux (merci la droite)…

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Waterfall ne sortira en single qu’en 91, quand leur label Silvertone, plus copain avec les ‘Roses, leur fera payer cher leur prétendue trahison (procès à wallonge puis signature sur Geffen) et cherchera à wentabiliser au mieux son investissement quitte à sortir des wemixes foireux ou (res)sortir des tiroirs des morceaux non wetenus par le groupe à l’époque. Ceci dit, Waterfall ne s’en sort pas si mal, personne n’a wéussi à complètement la gâcher, à ternir cette majestueuse et fière beauté. Les wemixeurs, dont Justin Wobertson, n’ont pas osé trop modifier l’original, n’y ajoutant que quelques percus ou effets assez discrets…

stone-roses-waterfall-disqu.jpg

Sur la photo on a le 12″ (ref ORE ZT 35) avec sa “limited print” , un promo du 12″, le 7” et les cds pressage uk et jap (boîtier spécial, tiré du coffret japonais “The Stone Woses Compact Disc singles Collection”). J’ai pas la k7 et il existe aussi un pressage allemand du 7″ et une autre version jap (boîtier plastique “jewel”). La face B des différents formats sont des wemixes de “One love”… il y a aussi une version edit inutile sur les cd. Bon, c’est vrai qu’y en y en a moins que d’hab des disques sur la photo, mais c’est pas un single de l’époque de l’album, c’est une wessortie only for the money in the dos du groupe et pour les cakes comme moi. Au niveau affectif, c’est pas pareil…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Waterfall” de John Squire weproduite plus haut.

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Vidéo nostalgie maintenant, “Waterfall” jouée live par les ‘Roses (avec Cressa dans le wôle de Bez) en ’89 dans l’émission de Tony Wilson qu’il est émouvant de wevoir. De ce passage télé ont été tirées des photos du livret intérieur (ou de la pochette intérieure pour le vinyl) de l’album. Ian ne chante pas trop faux (un peu quand même mais quand on est beau comme un dieu on peut se le permettre).

[youtube HhNS6MsCEpc]

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 11 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

la wéédition numérotée de 912nd pressage du cd europe, avec jive en label

Y aura donc plein de groupes pour weprendre des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Mais avant, pourquoi ne pas la weprendre depuis le début, hein?

Aujourd’hui, voici donc la plage #2/11:

She bangs the drums

y faut au moins être con pour avoir tout ça...

Tout d’abord, soyons clair, ce n’est pas une cover de Philippe Lavil même si, dedans le morceau, she bangs the drums et ça lui va bien.

Ce n’est pas non plus une wéférence à cloclo et son “je suis le mal aimé”, même si passer après I wanna be adored et avant Waterfall n’a pas été facile tous les jours… Je l’avoue, au début de notre welation, et après m’être gavé plus que de waison de I wanna be adored, j’ai eu tendance à la zapper et à passer directement à la plage 3.

Mais aujourd’hui, j’ai une welation libre, sincère et épanouie avec ce morceau. Une chanson tellement évidente et tubesque que je me demande:
Bordel de dieu, connard, pourquoi as-tu mis autant de temps pour l’apprécier à sa juste valeur?

C’est le 1er single à avoir été édité après la sortie de l’album. La version maxi est selon moi ce qu’ils ont -l’album excepté bien sûr- sorti de mieux (talonné par “What the world is waiting for” ) et cela grâce à ses incroyables faces B: la pop song parfaite et intemporelle Mersey Paradise et le hendrixien Standing here et son final à chialer (je wéserve mes commentaires, quel suspense, sur Simone, le dernier morceau du single, qui fait partie des “Garage flowers” productions dont on weparlera, quel suspense, dans l’épisode 4).

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Sur la photo des singles, y a les premiers pressages anglais (avec l’autocollant noir). Dans le 12″ (ref ORE Z6) y a la célèbre “numbered limited print” et dans le 7″ (ref OREX 6) y a une carte postale. Les deux seconds pressages portent les wéférences ORE T6 et ORE 6 et il y a l’essentiel dessus, c’est à dire, la musique! Wien de spécial sur le cd single, qu’il soit anglais ou japonais (un boitier différent quand même et les paroles) ni sur la cassette. Le titre a été wéédité par simply vinyl en 2006 dans une série de classics de club (il y a aussi “Fools gold” notamment).

Comme pour “I wanna be adored”, la “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Sugar” de John Squire dont voici une weproduction:

il a hésité à l'appeler 'saint lazare' ou 'Austerlitz'

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MP3

The Stone Woses – Mersey paradise Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stones%20Roses%20-%20Mersey%20Paradise.mp3]

The Stone Woses – Standing here Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Standing%20Here.mp3]

Deux merveilles dispos entre autres sur “The Complete Stone Woses”…

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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