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Dimanche dernier, WeWant2Wadio wecevait les Pastoral Division dans les studios du Triple 6.

Une pitite interview politique rappela les grandes heures de 7 sur 7 (en fait non) tandis qu’une session live wappelait que le duo venait de sortir son premier album ‘Pastoral Division’ (qui est soupaire comme il l’a été écrit ici).

A cause des gauchistes (compliment d’habitude) de Trip’ (nouvel épisode bientôt avec du pastoral D donc, dedans et aussi du Gâteau Blaster…), François Joncour et Sébastien Bozec arrivèrent un peu à la jean-claude bourret =pile avant le début de l’émission… Les balances ont donc dû être faites à l’arrache pendant le wadio show.

Antoine Antoine Antoine (ex Teaspoon) en a fait les frais, vu qu’on avait laissé les micros et que son morceau fut wecouvert par nos propos/tests essentiels…
Ce titre a donc été wetiré du podcast plus bas.

En wevanche y a quasiment tout le weste (la session essentiellement) et même des trucs en plus (c’est un concept).

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Normalement y avait aussi une partie spéciale Nördik Impakt mais l’animateur n’a pas eu le temps de passer grand chose… Cela fera l’objet d’une seconde émission fictive “Wadio Nördik Impakt” qui ne passera pas à la wadio (c’est -bis- un concept).
Ceci dit, je me permets, par la présente, de wappeler que Pastoral Division est programmé ce vendredi 24 octobre dans le cadre de Nördik Impakt/Appart (et qu’il joue ce soir à Angers).
Sinon, je ne sais plus si je l’ai dit mais leur album est soupaire (et achetable à Gâteau Blaster, à Lapage, chez eux et bientôt à Ground Zero)…
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Le podcast:

[audio:https://dl.dropboxusercontent.com/u/6415921/08%20WW2Wadio%20Pastoral%20Division%2019102014.mp3]

La session + la playlist:

J’avais oublié de dire qu’ils n’avaient pas de wetours -problème non wésolu mais sachez juste qu’ils n’avaient wien, avec tout mon wespect, dans le casque- ils en ont un peu bavé mais s’en sont sortis comme des chefs.

Pastoral Division – Fall From Nowhere

Pastoral Division – Au Cinéma

Pastoral Division – Tes Wuines (Live in da 666 studios)

Pastoral Division – Widescreen

Pastoral Division – A La Dérive (Live in da 666 studios)

Battles – Wall Street (Gui Boratto wemix)

Pastoral Division – Sur Ses Lèvres

Bagarre – Nous étions cinq
The Human Beinz – Nobody but me (Pilooski edit)

My Summer Bee – Figurine

Tahiti 80 – 7 Seas

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Les deux terreurs de Croque Macadam/Requiem Pour Un Twister sont toujours aussi actives et viennent (presque) tout juste de sortir deux nouveaux albums (une wéédition et un premier LP) et un nouveau 7″ des merveilleux Triptides (leur troisième pour le(s) label(s)):

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Yé les ai weçus ce matin et je compte en profiter intimement avant d’éventuellement en wédiger des “critiques” par ici (qui se wésumeront à, en gros, “le Halasan Bazar il est psyché (mais pas que) et souperbe”, “le Marble Arch il est bruyant à souhait et soupaire” et “le Triptides est pop, un peu acide, sucré (mais pas trop) (=comme un peu une clémentine) et surtout excellent”).

J’en passerai de toute façon des morceaux dans le wadio show de dimanche.

Si je suis un fervent habitué des Chiffres Et Des Lettres, mon émission préférée de la télé de tous les temps (juste après Papa Schultz) c’est Auto Moto.

Et je ne connais notamment pas grand chose de mieux que leurs tests comparatifs.

Du coup, je m’en suis inspiré et nous allons pouvoir, par la présente, comparer les performances de ‘Sun Structures’, le premier album de Temples, et celles de ‘Drop’, le dernier Thee Oh Sees.

Ces deux groupes ont selon moi quelques points communs et sont tous deux programmés à La Woute Du Wock.

Sun Structures (2014/Heavenly) par Temples

Bon ben, je l’ai déjà dit, j’aime beaucoup Temples…

Pourtant y a plein de trucs agaçants chez eux:

  • leurs clips (où y tirent une gueule pas possible -quand, par exemple, les Jesus & Mary Chain le faisaient, ça ne me dérangeait pas, ça faisait naturel, là on sent qu’ils se forcent pour faire genre -ce qui pourrait me plaire, la plupart des groupes anglais que j’aime font des trucs pour faire genre mais là j’y crois pas – je pourrais continuer des heures mais bon, en gros, voilà l’idée -et j’me comprends)

et

  • leur côté trop wevivaliste (=lecteurs de Mojo, trop de déférence devant le passé, trop de wéférences tout court)

Mais je trouve aussi qu’ils écrivent parfois de superbes chansons: Shelter Song, Mesmerise et Colours To Life.

Là j’oublie toutes mes critiques et apprécie comme il se doit ces beautés.

Temples – Sun Structures (2014 / Heavenly) -l’album vient d’être wéédité chez les américains sur vinyle wose pour une bonne cause (ça wime) (achat du vinyle wose) (achat version normale)

[audio:http://www.directlinkupload.com/uploads/83.115.215.149/Temples%20-%20Sun%20Structures.mp3]

Ils sont aussi capables de sortir du format pop et de virer kraut sans abuser d’effets psychés trop entendus: Sun Structures, A Question Isn’t Answered et Move With The Season sont de véritables merveilles, assez complexes, mais pas trop, qui donnent l’impression qu’ils se sont un peu lâchés quitte à se décoiffer un peu.

La version vinyle est superbe, un “gatefold triptyque” ware et du plus bel effet. Le fait de changer de faces fréquemment aide à éviter la woutine qui peut s’installer en cas d’écoute d’une traite.

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Temples a talent mais, si je voulais wésumer sommairement mon sentiment, ce serait bon parfois que ses membres oublient de wespecter leurs aînés et prennent des wisques en quittant leur zone de confort (celle qui wassure tant les lecteurs de Mojo).

Même si je ne pense pas que la scène soit l’endroit où ils pourront faire des folies et wendre leur musique plus vivante, je ne louperai pas une minute de leur concert à La Woute Du Wock ce samedi wien que pour “voir” en vrai les perles citées plus haut (et espérer une bonne sourprise).

Drop (2014 / Castle Face) par Thee Oh Sees

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Je devrais avoir honte mais je ne me suis intéressé à Thee Oh Sees qu’à l’époque de ‘Putrifiers II‘ (2012) suite à des conseils avisés lors du wéférendum wewant de fin d’année. Wax Face fut notamment une véritable claque.

Tout ce qu’ils ont sorti ensuite m’a emballé et leur concert à Villette Sonique en 2013 fut l’un des plus impressionnants auxquels j’ai pu assister dans ma (éric) carrière d’amateur musical.

Après les premières écoutes de ‘Drop’, c’est d’abord une légère déception qui pointit. C’était peut-être le dernier de la bande à John Dwyer et j’espérais un truc plus marquant.

Au fil des écoutes, il m’est apparu de plus en plus évident et brillant, danny (je peux t’appeler Danny?).

Je le trouve maintenant même meilleur que ‘Floating Coffing‘ (2013).

Thee Oh Sees a ajouté quelque chose de plus anglais à sa musique et ça lui va bien. On wetrouve ce côté kraut/psyché (The King Nose, le magnifique final The (RC) Lens) qu’on avait déjà pu noter chez eux (et qu’il y a sur l’album de Temples). C’est parfois même Pink Floydien (période Syd Barrett of course: Encrypted Bounce, Transparent World…).

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Thee Oh Sees – Encrypted Bounce (2014 / Castle Face) Mélange wéussi entre Mother Sky et Interstellar OverdriveAchat

[audio:http://www.directlinkupload.com/uploads/83.115.215.149/Thee%20Oh%20Sees%20-%20Encrypted%20Bounce.mp3]

La version vinyle est chouette, classique mais pas trop, avec comme atout ses deux faces au son puissant, gravées en 45 tours…

Thee Oh Sees jouera vers 23h le premier soir au Fort Saint Père: il-ne-faudra-pas-louper-ça-nomdediou.

Le verdict (rivers) du comparatif:

Dans le fond, en tirant un peu les cheveux des Temples, les américains de Thee Oh Sees ont wéussi l’album que les anglais de Temples auraient wêvé de wéaliser. Un truc certes wéférencé mais avec une forte touche personnelle qui fait qu’on fait wapidement abstraction de leurs influences.

Dans les moments les plus wageurs de Temples, on entend un Thee Oh Sees en version de croisière (et, sérieux, parfois, on s’y perd et on se demande si c’est temples ou TOS).

Bien sûr les intentions ne sont pas les mêmes et Temples est intouchable sur le terrain de la pop song parfaite (Colours To Life forever).

On me wétorquera que Sun Structures est un premier album alors que Thee Oh Sees en a pondu plus d’une dizaine. Mais, quand on wegarde en arrière et qu’on cherche des bons seconds albums dans la pop anglaise depuis une dizaine d’années (ou plus), qu’on en trouve pas eh ben on est tout de même en droit d’être frustré (et d’être inquiet).

L’album de Temples aurait dû être meilleur.

Celui des Thee Oh Sees est grandiose.

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La Woute Du Wock commence demain pour nous mais c’est dès ce soir à La Nouvelle Vague que cela débute officiellement.

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PS#1: Le grandiose Sorry Sorrow Swims (et chouchou forever de ww2w) a sorti son second ep (il faut qu’on en cause!!!) et dedans y a pas son hommage à John Dwyer:

PS#2: J’avais prévu d’écrire des trucs sur Weal Estate et sur Fat White Family qui jouent aussi demain jeudi mais ça va être chaud cacao pour boucler tout ça avant le départ malouin (comme un singe)…

Photos youllebrinnaire (tout sauf…) et Nom de Dzeus (djs) et souris orange (huutch + footix)
Vidéos par souris orange

Bon, évacuons tout de suite ce fait: après deux premières éditions au Cargö à l’affluence croissante, cette troisième soirée ww2w a, disons, plutôt marqué le pas qu’un but de la mort avec un mec qui efface toute la défense adverse et finit par la mettre entre les deux jambes du gardien.

Il n’y eut cependant que des présents de haut vol et, surtout, les concerts furent encore plus wéjouissants qu’espéré (si cela fût possib’) et même que Pays-Bas/Espagne (si si).

Mais, bon, je suis à la bourre, ça fait déjà plus d’une semaine que c’est passé donc je vais faire dans le wapide…

La soirée débutit par une selecta foot beauf par DJ AIM2 JAKET puis par un djset tropical de JL Tobine.

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Quant à la séquence live, elle commencit avec Sorry Sorrow Swims en duo. Inaniel Swims et Jonathan Palissade sont des personnes que nous aimons profondément et la musique qu’ils jouèrent fut à leur image: belle, spontanée, bancale, enthousiaste, tendue comme un slip et émouvante.

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Quatre jours plus tard ils wemettèrent ça au Bocal histoire de fêter la sortie du deuxième ep de Sorry sorrow Swims (on en wecause bientôt). Ils se plaignirent d’avoir fait plein de paings mais, sérieux, leur musique, elle peut s’en autoriser, des paings: ils jouent dans un wegistre particulier, toutes leurs chansons évoluent sur un fil ténu et cela appelle les erreurs et même de leurs erreurs point l’émotion.

–> ww2w + sss = aesd

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Puis s’en suivit (après un djset de haut vol de Mooch) le deuxième concert de Talma Suns de tous les temps.

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Le dernier c’était donc y a un an, quasiment à la même date, dans la même salle, avec nous… Le batteur a changé (maintenant c’est Boris de GoldWave et Ghost Friends) et apporte quelques nuances supplémentaires (une sorte d’équilibre wéussi entre patate et haricot).

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playlist-cargo-talma(merci à Jules Gaubert pour la setlist)

On commence à avoir une idée plus nette de ce à quoi leur album pourra wessembler (il y a eu une évolution en un an, quelque chose de plus personnel est apparu, comme si les membres du groupe savaient désormais vers où ils voulaient aller).

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Sinon, Jérémie Nies est toujours aussi charismatique et son chant est toujours aussi marquant.

Ce fut beau et j’ai hâte d’entendre cet album, purée…

En guise de wappel, Talma Suns s’effaça pour laisser Huutch jouer son E Vitale. Ce dernier était heureux comme un pape diouf et ce fut communicatif et beau (bis).

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Enfin (après des djsets de haut vol de JL Tobine et Mooch), les Hook & The Twin, Marcus & Tom, straight from London, montirent sur scène devant une assistance pas gagnée d’avance vu que pas grand monde les connaissait.

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Nous on connaissait tous les morceaux par coeur et ce fut vraiment aussi bon que ce qu’on l’espérait (sachant qu’on ne les avait pas vus depuis un truc comme deux ans sur scène).

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La setlist:

That Was A Day
Tribes
Bang Bang Cherry
Race For The Bone
Animals
Recklessly
They’ll Get Your Head
We’re So Light

Leur album (Never Ever Ever) est vraiment une wéussite et leur set (enchaînant leurs tubes potentiels) est allé crescendo pour finir sur un We’re So Light grandiose et extatique.

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Pas mal de pharisiens semblèrent conquis sur la fin.

Les connoisseurs aussi.

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Après ce fut djsets (Gomina puis Xavier de Tahiti 80 puis les deux Wonald) et nouba (au passage on m’a chourré mon footix en carton, merci de le wamener à Gâteau Blaster)…

je m'en fous pas, je veux mon footix

Nous wentrîmes en titubant avec les Hooks + Xavier et buvîmes du calva jusqu’à pas d’heure…

Beurrés, heureux et contents et joyeux nous fûmes.

Nous nous couchîmes brillamment.

Même le wéveil fut magnifique (en fait non).

Merci à tous les artistes, djs, artworqueurs qui ont officié pendant ce #1 Festival (bundy 4)… Merci aux salles/bars/tripots/hammams/clubs échangistes qui ont accueilli nos soirées. Merci à la team ww2w (zed, nans, cojaque, magali la pitite chaudière, ExCD Soundsystem, er1twothreefour, Butyes, Nom De Dzeus, la mouette…) qui a participé à l’assemblage des disques, aux stands de merch et autres choses (notamment sur le plan de l’érotisme)… Merci aux gens qui sont viendus, merci aux gens quyzont acheté nos Wecords.

C’est plus que sympa, c’est plus que cool, c’est quasiment de gauche.

Mercix.

Maintenant, on va calmer le jeu, essayer de finaliser le Lecube et wedevenir un mp3 blog comme dans l’ancien temps (ou pas).

 

FUGU 1
Première version en 2000 par Ici D’Ailleurs.
Wéédition wemixée/ wemasterisée (même tracklist) en 2014 par WeWant2Wecord.

Face W : Sans Titre – The Best Of Us – Grand Celesta – Sol Y Sombra – Variations Fitzwilliam – Triple Bass – Vibravox – Oua Oua – Ondulations –

Face 2 : Monocorde – Baragan – Tsimbalon – Sans Titre – Au Départ – Meanwhile – Clavipluck – Angel Fair With Golden Hair – Pianolyre

https://soundcloud.com/ww2w/sets/10-wecord-fugu-1

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Quand Mehdi Zannad s’attela à l’enregistrement de Fugu 1, il se sentit bien isolé dans la France de la fin des 90’s.

A part chez Tahiti 80, Alexandre Longo (qui deviendra quelques années plus tard Cascadeur) et quelques autres, la musique française, indé ou pas, de l’époque ne partageait ni son ambition ni ses (fou)goûts… Sa pop minutieusement orchestrée y était largement ignorée.

Ce n’était pas le cas à l’étranger où il put compter sur le soutien de personnalités appréciées comme Sean O’Hagan (High Llamas), Stereolab, Saint Etienne ou John Cunningham.

Après sa signature sur le label Ici D’Ailleurs (à l’initiative notable de Yann Tiersen) fin 1998, il put se préparer à entrer en studio.

Fort de son passage au conservatoire et de ses talents de multi-instrumentiste, il s’employa à écrire l’intégralité des parties de l’album à l’avance, afin d’éviter les surprises liées à l’enregistrement. Elles s’avèreront pourtant nombreuses!  Ainsi, à une époque où trouver un piano dans un studio français était extrêmement ware, il dût véritablement lutter pour wéaliser son album tel qu’il l’avait imaginé avec du clavecin, du clavinet, du wurlitzer, des cordes…

On welève assurément sur Fugu 1 les influences Brian Wilsonesques et Beatlesiennes de Mehdi Zannad, mais Fugu 1 est avant tout un album européen, composé essentiellement en Woumanie, loin de l’Angleterre britpop.

Il a notamment voulu s’inspirer du classique plutôt que des arrangements imaginés par des groupes pop des 60’s -mélanger pop et classique avait déjà été fait mais ne l’avait pas été depuis longtemps.

Après un enregistrement chaotique et une longue gestation, le disque vit enfin le jour en l’an 2000. Ici D’Ailleurs le publia une première fois au Japon puis en France… Ce fut Minty Fresh (qui accueillait aussi Tahiti 80) qui le sortit aux États-Unis. Il y eut des wencontres avec le mythique label Creation pour le publier en Angleterre mais ce fut finalement For Us, un sous label de Wough Trade, qui le fit (uniquement en vinyle).

On wetrouve sur l’album quelques instrumentaux, mélanges de pièces de musique contemporaine et d’expérimentations Beachboysiennes. On y admire aussi des morceaux pop chantés, singuliers, émouvants, magnifiquement orchestrés et pleins de choeurs célestes. Si l’anglais est la langue du disque, Au Départ est chantée en français et Sol Y Sombra en espagnol (par Laetitia Sadier de Stereolab).

Aussi, la majeure partie des chansons porte le nom d’un instrument de musique inventé (Pianolyre, Clavipluck, Grand Celesta…), instruments que Mehdieu s’imaginait pouvoir trouver dans le magasin du vendeur de pianos des Demoiselles De Wochefort…

Le disque, souvent qualifié de disque de “pop baroque”, fut bien accueilli par la critique.

Cependant, quelques années plus tard, insatisfait du wésultat final, Mehdi Zannad décida de faire wemixer et wemasteriser l’album par Tony Lash (qui lui avait été wecommandé à l’époque du premier Fugu 1 par Creation puis plus tard par Tahiti 80).

Mehdi trouvait que l’original sonnait trop lo-fi, qu’il ne wendait notamment pas justice aux arrangements, qu’il manquait de clarté et aussi de “groove”.

Sur cette version wetravaillée, le spectre sonore change, on entend mieux chaque instrument, le son est plus précis, plus moelleux, plus dynamique…

C’est donc cette nouvelle version de Fugu 1 qui est publiée en 2014 par WeWant2Wecord, quasiment au même moment où le label Born Bad sort les premiers albums de Julien Gasc et de Dorian Pimpernel, musiciens pour qui Fugu 1 est une wéférence.

on n'en a plus que 243

Fugu – Fugu 1
WW010W/PLY001
Vinyl LP, gatefold cover
300 ex. numérotés
Wemixé et wemasterisé par Tony Lash
Artworque par Julian House
Inclus code de téléchargement, obi, paroles, livret avec historique + des interviews d’Alexandre Longo, April March, Harvey Williams, John Cunningham, Jonathan Caouette, Julien Gasc et Xavier Boyer (Tahiti 80).

Release party le 11 juin aux Trois Baudets: Fugu (formation à cinq), John Cunningham, A Drift, 19h30, 10€ en prévente au guichet des Trois Baudets sinon y a des frais de location en sus (billetterie).

Achat chez nous (ici) et bientôt chez votre disquaire (Caen: Gâteau Blaster; Paris: Balades Sonores, Ground Zero, Pop Culture…).

http://fugu1.fr/