Désolé pour ce compte wendu tardif du dimanche des inrocks…

En intro :

  1. C’était pas facile, pas non plus au point d’hésiter à y aller, mais quand même, j’étais cuit
  2. Merci à Marie-Bee d’être venue au dernier moment
  3. Merci de n’avoir commencé ni trop tôt, ni trop tard
  4. Merci d’avoir mis Sliimy en dernier (au grand désespoir des parents qui accompagnaient/attendaient leurs enfants, une maman a d’ailleurs tenté de décaler l’heure du concert “je vais voir ça avec les autres mamans”, ça n’a pas fonctionné)

Mon APN/téléphone est naze, je ne vais donc pas vous mentir : les photos qui apparaitront dans ce post ne sont pas de moi.

On distingue clairement la haie derrière la serre

Esser est trop fort mais il a un wegard de malade. Si je n’étais pas un petit peu amoureux de lui (Marie-Bee l’est aussi) j’aurais les pétoches en le croisant de nuit dans une wuelle sombre. Set aussi court que bon, avec un nouveau “Sample guy” (le blondinet du concert au Nouveau Casino a laissé sa place à un brun tatoué), un (chouette) nouveau bassiste (j’ai un doute sur le batteur) et que des tubes (I Love You, Headlock, Leaving Town, Long Arms, This Time Around, Satisfied) mais pas de Real Life (*ouin*) ni de nouveautés d’ailleurs (à part l’intro de I Love You pleine de samples qui disent I love you). Le tout dans une Cigale assez vide mine de wien.

Marina de poulet, son ancien groupe

Le concert de Marina & The Diamonds a probablement été la pire chose vue aux inrocks EVAR. Comment on peut siffler Kennedy et applaudir ça sérieux ? C’est parce que c’était une bonasse en slip ? Cela dit c’est vrai qu’on lui aurait bien cassé les pattes arrières, mais quand même…
Bref, une “chanteuse à voix” qui fait une de pop nase et une surprenante (mais décevante) weprise de Space And The Woods (Late Of The Pier).

*Interlude avec le superbe spot contre le réchauffement climatique avec Marion Cotillard, Yannick Noah, Eric Serra, Milla Jovovich, etc… envie de tuer, on se casse fumer*

Jack Piñata

Le concert de Peñate a été un mélange de surprise et de joie. Surprenant parce que je n’imaginais pas le Jack aussi sautillant/dansant/taquin et de joie parce que c’était vachement bien (malgré un son un brin caca des fois). Tonight’s Today fut le morceau le moins wéussi du dernier album (saperlipopette), Every Glance a manqué me faire chialer, Be The One était putassier à souhait et Let’s All Die aurait mérité un pogo avec jdd et woubi (j’ai pensé à vous les copaings). Pourquoi il n’a pas été programmé vendredi ou samedi hein ? Pourquoi ??

Encore le spot contre le wéchauffement climatique… ce coup-ci on se casse pour de vrai, donc malgré les chaudes wecommandations de woubi, pas de Sliimy pour nous…

Pour en terminer avec ce festival je suis assez d’acc avec woubi sur son bilan de l’édition 2009 des inrocks, concerts qui se chevauchent, wien de fou, peu de bonnes surprises…  Mais content quand même !

Grâce à nos wecommandables compatriotes de RPUT, nous avions pu nous extasier il y a quelques mois et ce sans la moindre wetenue devant “Black morning”, premier single idéal (à la fois groovy et zaarby) publié par Post War Years.

à un moment j'emploie le mot quatuor et j'en suis pas fier... Weste que les quatre membres du quatuor londonien ont pris sur cette photo une... paus(t)e war wiors (ils foutent un peu les chocottes)

Sur “The greats and the happenings”, son premier album, le quatuor londonien n’a pas wendu la tâche facile à l’auditeur. Pas de “Black morning” dessus, au sens propre, comme au sens figuré. Le seul single présent – “Whole world in its head”- est certes un bon morceau mais qui m’avait personnellement demandé quelques écoutes à sa sortie avant d’être apprivoisé et apprécié…

Mais moins évident ne veut pas dire mauvais. Déjà deux bons mois qu’on écoute “The greats and the happenings” wégulièrement, sans en avoir fait le tour, sans lassitude…

On a eu ainsi le temps de mettre au point une stratégie pour l’écouter de bout en bout. Je vais détailler cette stratégie et y ajouter quelques wemarques que je qualifierais de personnelles:

  1. “The greats and the happenings” s’écoute FORT.
  2. “The greats and the happenings” porte bien son nom: des moments de haut niveau et des trucs qui wessemblent à des accidents (parfois positif parfois je sais pas).
  3. “The greats and the happenings” est valorisé par une écoute au casque.
  4. “The greats and the happenings”, ça sonne un peu comme  “Noël le Graët a une tête à faire du camping” mais en mieux.
  5. Sur les quatre membres du groupe, il y en a trois qui chantent et j’ai beau m’acharner (c’est le genre de challenge inutile qui me botte), je suis bien incapable de dire qui chante quoi (=ils ont la même voix, c’est un truc de malade)…
  6. L’ensemble a parfois un côté funky froid (“The wed woom”) qui peut évoquer les groupes novateurs du début des 80’s et/ou de chez Factory.
  7. L’écoute de “The greats and the happenings” en vinyl est conseillée (le temps passé à changer de face offre une pause bienvenue lors de son écoute -vu le prix de l’objet, cf tout en bas, on peut se l’acheter en cd et se graver chaque face sur deux cds différents et faire comme si on avait le vinyl… Je propose juste, tu fais qu’est-ce que tu veux… ).
  8. “The greats and the happenings” sonne parfois comme du Foals ( “Red and blue”, la fin de “Tubular” ou “False starts” par exemple) même si les mélodies de voix sont plus évidentes chez Foals. Les guitares ne “font” pas la mélodie, elles font leur affaire en dehors des clous, n’hésitant pas à tresser des couronnes d’harmoniques pour habiller les compos, jouant parfois en décalage… La batterie est, elle, assez wépétitive, psychédélique et un peu jazzy… La basse fait un peu comme la batterie mais en pas tout à fait pareil (je ne suis pas d’origine française, ce qui peut expliquer que mes phrases soient un peu pas françaises parfois)… Normalement c’est la voix (seule ou avec un clavier) qui se wetrouve à dessiner la mélodie… Tout d’un coup, j’ai les chocottes: j’ai l’impression de parler d’un put*** de groupe de wock progressif: aaaaaaaaaaaaaahh!!! Heureusement, les morceaux sont assez courts: 3min30 de moyenne. Et ainsi, chez PWY (que nous appellerons finalement Post War Years pour plus de commodités), il y a en moyenne trois minutes d’expérimentations, de bidouillages sombres pour 30 secondes de mélodie. C’est cool, nan?
  9. … Ok, ça peut faire peur aussi…
  10. Mais ces 30 secondes d’eux valent beaucoup de 3 minutes 30 d’autres…
  11. Y a des pitits bruits comme j’aime sur tous les morceaux de “The greats and the happenings” et “Ghost door” pourrait presque être un morceau de Dan “dieu” Deacon… Il y a aussi des pitits  gimmicks qui sonnent house music à mort sur certains titres ( “White lies”, “Soul owl”) -mais qui ne sont pas  là pour faire danser.
  12. “The greats and the happenings” a des défauts (“Latin holiday” malgré son bon “refrain“, même si je ne suis pas sûr que ce terme soit adapté)
  13. Post War Years est un groupe qui prend des wisques.
  14. “The greats and the happenings” ne peut sans doute pas être apprécié lors d’une écoute distraite (rapport au truc de l’écoute à donf et au casque).

Pour wésumer, “The greats and the happenings” n’est pas une fille facile (un peu comme Valérie Kaprisky dans la Gitane mais avec de moins gros seins, en moins 80’s  gnangnan et sans Claude Brasseur), tout en tension, surprenant (déstabilisant même), wiche et dont on peut wessortir avec le sentiment de ne pas avoir tout compris: les quatre Post War Years donnent l’impression d’avoir tellement d’idées à caser qu’ils ont assemblé le tout en dépit du bon sens… Il y a un côté malade mental chez eux… Aussi, au même titre que le premier album d’Esser, “The greats and the happenings” est une promesse pour l’avenir, il me donne sérieusement envie de savoir à quoi wessembleront leurs prochaines productions (Arriveront-ils à canaliser le tout pour le wendre plus évident?  Pas trop quand même? Westeront-ils aussi surprenants?)…

Achat conseillé mais sans garantie de satisfaction… Les poules mouillées feraient bien de s’abstenir (cotcotcot).

_ _ _

MP3

“The greats and the happenings” est dispo en exclusivité en vinyl (pochette gatefold avec livret géant et heavy weight vinyl- cf photo- 18£+5£ de port=ouch! Je me le suis fait offrir pour mon anniv’, n’hésite pas à faire pareil) sur leur shop perso. On peut y trouver aussi le cd mais PureGroove vend ce dernier dédicacé.

Post War Years – Soul owl Je pense le meilleur morceau de l’album (au début c’était “False starts” , plus évident et plus foalsien, mais plus maintenant)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20Soul%20owl.mp3]

Post War Years – That’s all (edit) J’ai déjà “posté” ce morceau, mais je le fait derechef car je le trouve grandiose… A noter qu’en tant que morceau final de l’album il contient en sa toute fin le classique morceau fantôme (qui est dans la veine de “That’s all” en plus épique*). Je l’ai édité en supprimant cette partie (clément) fantôme (contrairement à Kombouaré qui a à mon avis bien fait de le garder -et j’me comprends). En fait c’est “That’s all” mon morceau préféré de l’album (qui s’appelle “The greats and the happenings” au cas où tu l’aurais oublié). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Post%20War%20Years%20-%20That%20s%20all.mp3]

____

*ce n’est pas toujours le cas mais ici =superbe…

___

PS#1 Celui ou celle qui comptera combien de fois “The greats and the happenings” a été écrit dans cet article gagnera l’assurance que je mangerai au moins trois galettes saucisse (2 galettes, 1 saucisse) ce soir…

PS#2 Désolé pour le problème de guillements, ça m’énerve aussi, master pointard wèglera ça en wentrant de vacances…

Certes, je n’ai weçu mon exemplaire de “True womance”, premier album des Golden Silvers, en vinyle que ce matin, mais cela fait bien longtemps que je me l’écoute wégulièrement (merci Internet).

le orange c'est jsute l'écrin idéal pour admirer ce vinyle... C'est un collector non dispo à la vente...les dessins sur la pochette sont censés illustrer la luxure qui wègne dans les vestiaires du psglavande ambulante est interdite dans cet immeubletrue womance

Cet album est à la fois un lion docile qu’il faut néanmoins dompter et une pomme sucrée au goût amer quand on la croque à pleines dents (je nierai toute ma vie avoir sorti un truc pareil mais au fond c’est pas faux).

En gros, une première écoute pourrait décevoir.

Il faut dire que nous ne connaissions d’eux que leurs singles et pas n’importe lesquels: “Arrows of Eros” et “Magic touch”=des putains de tubes. Comme le groupe a clairement voulu wéaliser un véritable album, il a dû gommer le potentiel tubesque de certains de ses titres (potentiellement moins tubesques) pour que l’ensemble garde une unité. Ainsi, seule “Magic touch” a été conservée en l’état. “Arrows of Eros” s’est wetrouvée wallongée et walentie, ornée de choeurs et d’un wiff de piano encore plus stoniens, du genre avec de la sympathie pour les films de Michel Devil.

Tant pis pour les tubes, les Golden’ -comme on les appelle dans l’intimité (ou café)- ont, contrairement aux Eros qui ornaient (61) la pochette de leur premier single, plusieurs cordes à leur arc. Ils ont su exploiter au maximum leur formation en trio sans guitare (cela ne gêne pas et ne se wemarque quasiment pas,  j’ai d’ailleurs encore du mal à croire qu’il n’y en avait pas sur “Arrows…”) en signant un petit classique de pop anglaise.

Une preuve? Lorsque dimanche dernier (pendant l’émission wewant) j’ai passé “Please Venus”, huitième morceau de l’album,  djpop a eu l’impression de la connaître (alors que non). Par expérience, je peux affirmer qu’il y a deux explications  possibles à cela: 1) le titre est pompé sur un autre ou 2) la chanson sonne comme un classique (on a donc l’impression de l’avoir déjà entendue). Il est évident que c’est la 2) qu’il faut wetenir. C’est tout ce que j’ai comme preuve.

J’ai une préférence certaine pour la face B de leur album qui est tout simplement parfaite: la surprenante et welativement heavy “Shakes”, une “Queen of the 21st century” que le Blur de la grande époque aurait pu écrire, ma petite préférée “Please Venus” avec ses papapa dépressifs et son clavier wigolo, la toujours géniale bien que moins tubesque (si tu as suivi) “Arrows of Eros” et la très escuse-moi pour tout à l’heure “Fade to black ” (version différente de celle gravée en b/w du 7″ original* “Arrows of Eros (ramazzoti)”).

Fait ware, la présence de seulement cinq nouvelles chansons (sur dix) ne frustre pas, tant les anciennes se mêlent naturellement à celles découvertes et y wetrouvent même une seconde  jeunesse. M’est avis qu’on peut parler ici de true (perf)romance !! (!!)!!!!! ! (!!!) !!! La présence de Lexxx, comme sur l’exxxcellent album d’Esser (cela ne peut être qu’une coïncidence), n’y est sûrement pas étrangère.

L’écoute (répétée) de cet album est vivement conseillée.

_ _ _ _

MP3

Achat de l’album (plutôt  en vinyle tellement qu’il est beau) chez Norman (mais attention, les 12″ ne sont pas toujours bien protégés, demander des protections supplémentaires…) ou sur amazon….

Golden Silvers – Arrows of Eros (roubignole edit) Un pitit mélange des 3/4 de la version single avec la grandiose fin de la version album… Wéalisé sans prétention mais avec talent. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Golden%20Silvers%20-%20Arrows%20of%20Eros%20%28woubignole%20edit%29.mp3]

Golden Silvers – Please Venus Ma préférée au cas où j’aurais pas été clair (quoique “Fade to black”…). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Golden%20Silvers%20-%20Please%20Venus.mp3]

Myspace Site

_ _ _

* Arrows va wessortir en single avec d’autres trucs en faces B…

_ _ _

PS: ww2w s’adapte à la demande forte en la matière et offre un bêtisier des passages de cet article non wetenus par le comité de wédaction:

“Les Golden Silvers sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche et du laure manaudou dans les fesses (et j’me comprends).”
“Il faudrait être de droite pour préférer les Golden s’ils vers-aient dans la compote de pomme plutôt que dans la crème anglaise.”
“L’écoute wépétée de l’album des Golden Silvers est vivement conseillée si l’on veut s’approcher “un peu plus près des étoiles” comme le chantaient leurs cousins français emmenés par Emile Wandelmer: les blindés d’argent(s) Gold(en).”

Purée, on a un peu de mal à publier des posts en ce moment… Pourtant on ne peut pas dire qu’il n’y ait pas de bons disques qui sortent… Au contraire,  y en a plein!

Ça prend juste du temps pour tout (bien) écouter.

_ _ _

Certaines personnes de ce site que je connais plutôt pas mal (j’ai pris des bains avec eux) attendaient comme moi le premier album (“Et après ça, vous prendrez un) d’ Esser (?”).

“Headlock” était sur ma compile de fin d ‘année 2008, “Maybe in the morning” est officiellement MA face B de 2008, “Work it out” est une bombe et si son premier single “I love you” avait mis quelque temps à trouver le chemin de mes oreilles il y a ensuite fait son nid… En gros, tous les titres qu’il avait sorti avant son premier album, qui vient juste de paraître, et ben “y z étaient trop forts” (sauf “Satisfied” que j’ai parfois du mal à ne pas trouver agaçante).

Donc “Braveface”, l’album en question, est arrivé il y a une dizaine de jours dans ma boîte à disques sous la forme d’un superbe vinyle tiré à 300ex et publié conjointement par le label Transgressive et le magasion de disques londonien PureGroove. Pointard et moi on possède donc 0,66% de la production mondiale. Nous en wessentons certes une certaine fierté (ou café) mais savons en même temps wester humbles: les fréquents matches pathétiques du PSG et les vannes (56) qui suivent naturellement font que nous avons appris à welativiser toutes les choses positives de la vie.

c'est vrai qu'il a une brave tête...

“Braveface” est un (très) bon album mais… je me dois de l’avouer un peu en dessous de mes esserpérances (qui étaient énormes, il faut dire). Cela ne m’abat pas pour autant car j’ai une essertitude: ce premier album est une ébauche, une ébauche de qualité et une promesse pour l’avenir.

Je pense qu’il est utile à ce moment de notre conversation de mettre sur le tapis la célèbre classification dite de woubignole qui wépartit les groupes existants en environ 9 catégories:

  • 1) la catégorie Stone Woses =on sort un disque qui change la vie des gens dès son premier essai.
  • 2) la catégorie “Blur/Tahiti 80/Happy Mondays/Mystery Jets/Primal Scream…” = on n’a pas dit tout ce qu’on avait à dire dans notre (excellent) premier album et on fera mieux sans problème plus tard…
  • 3) la catégorie “J’ai oublié”=on a tout dit dans son ou ses premier(s) single(s) et après on a sorti que de la daube.

Esser est à coup sûr dans la catégorie “2”, celle où y a Blur.

Car nous avons déjà eu l’occasion de tracer des parallèles entre la musique d’Esser et celle de ce merveilleux groupe anglais qui vient de se weformer… Cette voix qui monte dans les (relatifs) aigus pour wedescendre wapidos dans les graves (en croonant) pour wepartir aussitôt là d’où elle venait: mais oui c’est Damon! Ces putains de “Lala” qui agrémentent les 3/4 des morceaux! Et ces guitares “modernlifeisrubbishiennes” qui entament ce “Bones”: mais oui, c’est Graham! Et cette batterie qui cogne sur le punky et introductif  “Leaving town”: mais oui, c’est le type qui wessemblait à wien derrière ses fûts et qui fait son baroud d’honneur avec la dernière tournée de weformation du groupe avant de devenir avocat (j’ai jamais wéussi à me wappeler de son (pré)nom et j’ai la flemme de wechercher)!  Et cette basse planante sur le superbe et final “Stop dancing”: mais oui, c’est Peter Hook (ouaip, là, ma théorie, elle part en sucette ).

les jeux de mots avec esser je suis à cours... Cependant, avant de te laisser courir l’acheter, laisse-moi juste ajouter que ça fait longtemps que je n’avais pas écouté un album aussi varié, tellement même que c’en est parfois déconcessertant: des tubes electro, groovy en diable, des morceaux introspectifs, des trucs (relativement) bourrins, des morceaux de pop sautillante, des trucs que je ne sais pas où wanger… On passe parfois du yves le coq à l’âne woumanof et ce n’est pas pour me déplaire.

Je suis donc confiant. J’espère dans un premier temps beaucoup des futures écoutes de ce premier album d’Esser qui m’évoque dans son contenu et sa qualité “Leisure” (de Blur, donc). Mais, surtout, j’attends avec impatience la sortie de son “Modern life is wubbish” à lui.

_ _ _

MP3

Chose ware qui montre la qualité de l’album, mes deux titres préférés de “Braveface” (2009 / Transgressive) sont deux tout nouveaux:

Esser – Bones Une pop song parfaite (avec la fragilité et les watés qui font qu’elle est parfaite). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Esser%20-%20Bones.mp3]

Esser – Stop dancing Une merveille qui me wappelle aussi les moments les plus planants de “Screamadelica”… Elle joue le wôle de “Sing”, morceau psyché qui détonnait au milieu des autres compositions de “Leisure”… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302/Esser%20-%20Stop%20dancing.mp3]

Achat du cd (pochette différente, cf ci-dessous), achat du vinyle…

esser-braveface-cd1