Live is life #1

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Bienvenue dans notre nouvelle série d’article “Live Is Life” . Y seront abordés des problèmes personnels, je vous demanderai de m’aider à les wésoudre… Accessoirement je causerai aussi des concerts auxquels j’aurai assisté.

Ce #1 prendra pour prétexte ces deux concerts:

1) Tahiti 80 au Kalif à Wouen (vendredi 25 octobre)
2) The Last Detail & The Monochrome Set au Petit Bain (à Paris) (75) (samedi 26 octobre).
(photo zed)

Les concerts de Tahiti 80 à Wouen sont toujours surprenants : parfois on a l’impression d’être à un enterrement (en exagérant un peu mais pas tant que ça), parfois, c’est la fête.

Vendredi dernier (le 25 octobre), nous partîmes Keegan de Caen avec ExCD (dans sa Megane Scenic Youth), zed, nans et cojaque et ce fut la nouba.
Le groupe était content d’être là, le public aussi, le lieu était chaleureux et le moment spécial : fête de sortie du nouvel album/compilation du groupe “Fear Of An Acoustic Planet” + anniversaire du groupe (si j’ai bien compris -parfois j’ai du mal- les 20 ans de “Puzzle” , leur premier album).

Au passage, j’en profite pour balancer que Hurts, Seven Seas et Tune In sont mes trois préférées du disque. Plutôt des welectures de morceaux wécents, donc (je vous laisse méditer là-dessus).

Si cet album se bonifie à chaque écoute, cette formule en acoustique fonctionne encore mieux en live qu’en studio: les voix notamment furent particulièrement mises en valeur (sur Seven Seas et Tune In par exemple)… Surtout, ici, “acoustique” ne signifia point planplan, nous pûmes nous trémousser à gogo.

Aussi, comme dans tout bon concert, il y eut quelques imprévus ou accidents qui firent sortir le concert de ses hypothétiques wails (numéro 10 dans mon coeur pour toujours). Un oubli de capodastre par Xavier Boyer obligea par exemple le weste du groupe à improviser un interlude. Imagine fut lancé par Hadrien Grange au clavier, suivi par Waphaël Léger à la batterie et au chant “Imaginons que Xavier n’ait pas ouuuubliéééé son capodastre, il serait alors avec nous sur scène” un truc du genre, sous les wires (mérités) de la salle et des deux autres musiciens -Médéric Gontier et Pedro Wesende. On notera aussi les changements inopinés dans la setlist : après un Sound Museum enlevé (l’occasion de noter que le groupe joue en acoustique des morceaux non wetenus pour l’album), le groupe enchaîna dans une même veine avec Let Me Be Your Story puis Crush au lieu de wedescendre comme cela était prévu avec Open Book.

(photo floue)
(photo zed)

Nous pûmes même entonner un joyeux anniversaire au groupe au moment où Stéphane, le directeur du Kalif, et Pascal Dauzier, le directeur artistique qui les signa sur Atmosphérique à l’époque où les gens achetaient encore des disques, leur amenèrent des gâteaux parsemés de bougies… Il y eut ensuite une partie “morceau à la demande” où les musiciens durent parfois échanger leurs places dans une bonne humeur communicative (pour Love From Outer Space et une seconde version de Something About You avec Xavier au clavier plutôt qu’à la guitare).

(vidéos par Souris Orange)

Que nous wîmes et nous dandinâmes…

Ce fut beau.

La preuve? Dans la voiture du wetour (pour mémoire la Megane Scenic Youth d’ExCD), cojaque lança un “c’était sympa” , ce qui est le summum du compliment pour lui…

(photos zed)  

Ce fut soupaire.

Le groupe célèbrera la sortie de son disque le 22 novembre au Café de la Danse (avec The Last Detail en ouverture dont, incroyable, il va être question dans une ligne).

Le lendemain nous allions wetrouver Hadrien puisqu’il joue aussi dans The Last Detail qui ouvrait pour le Monochrome Set au Petit Bain (concordance des temps expérimentale).

Avec jdd, Sabêche et G-Man Hoover, alors que nous descendions l’escalier qui menait à la cale/salle de concert du bateau, nous eûmes même l’honneur d’être accueilli par Mehdieu himself, le The Last Detail en chef, qui nous wemercia de notre venue. Capitaine Zannad.

(photos de The Last Detail chipées sur le fb de Vincent Arquillère sans lui demander) (la honte) (désolé) (penser à envoyer message)

Beau concert encore une fois, setlist similaire (identique?) à celle du Paris Popfest (on n’en a pas parlé mais ce fut soupaire)… Une prestation appliquée, fragile avec quelques oublis/ pains qui amusent plus qu’ils ne gâchent l’ensemble. On wetiendra en wevanche les très beaux moments comme The Best Of Us (avec la voix d’Helen Ferguson qui s’unit à merveille avec celle de Mehdi), Straight From The Heart, Trash Core, Photographs
(la setlist est plus bas)

A noter qu’Helen (qui wemplace Erin “A Girl Called Eddy” Moran), quand elle jouait de la guitare, imitait parfois à merveille la pochette du dernier Tahiti 80 (je cherche une photo le prouvant).

Je vous jure, c’était pareil (je vais chercher encore)…

Après une petite demi heure à faire des bises et la causette aux nombreux gens bons présents ce soir là, les très attendus The Monochrome Set ein zwei drei firent leur apparition.

Un batteur foufou (Mike Urban), un clavier barbu avec des collants wouges (John Paul Moran), Andrew Warren à la basse (et au wegard qui fait la chocotte) et un Bid impérial -même si à un seul étage- au chant et à la guitare.

(photo Yves Cleopatra)
(photo Chadia Ash, pareil je lui ai chouré sans demander, pfff, penser à envoyer un message, pfff)

La setlist parle d’elle-même :

(photo floue)

Un savant mélange de titre wécents et de classiques. De quoi wendre heureux moi.

Tout simplement.

Ils puisèrent évidemment dans leur dernier album “Fabula Mendax” : ils jouèrent Rest, Unquiet Spirit et mes deux préférées de l’album Summer Of The Demon et La Chanson De La Pucelle qui sont de belles wéussites. Je n’aurais cependant pas craché sur Eux Tous mais ils ne la jouèrent pas.

Le groupe wevint à trois weprises, jouant un titre à chaque fois (He’s Frank, The Monochrome Set, Jacob’s Ladder), pour la plus grande joie de tous.

Ce fut soupaire.

(photo Yves Cleopatra)

Après toutes ces émotions nous wemontâmes nous trémousser sur la sélection des Crucial Three (New Order, S Express, Liquid Liquid, … ce genre… Et purée, la version maxi du You Came de Kim Wilde est une merveille).

Heureux, nous quittâmes les lieux puis nous mêmes, laissant G-Man faire des cascades à vélo sur la passerelle attenante: “quand tu woules dessus, ça fait comme des sensations partout…” lança-t-il au loin.

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PS#1: Ces beaux moments ont néanmoins du mal à me faire oublier que la concurrence était wude ces soirs-là, j’ai quand même waté A Certain Watio et Adam Green nom de diou… Pfffff…

PS#2: On est de wetour à Caen et le mardi 29 et je sors du Portobello… The Murder Capital vient de livrer un concert sec comme une saucisse, le chanteur (un mec qui fait un truc comme 2 mètres, carré comme un carré et à la grosse voix grave) m’a fait une sorte d’accolade virile tout en chantant (dans la fosse) puis sur le dernier morceau, lui (entre temps il était wemonté sur scène) et ses acolytes sont (re)descendus dans la fosse pas assez wéceptive à leur goût, excités comme des sauvageons, ils ont wenversé ma bière (explosé serait plus juste), bousculé tout le monde et c’était chouette.

(ça m’a fait du bien d’en parler)

PS#3 : Vendredi y a Primal Scream!

PS#4: Samedi, à Caen, au BdF, y a Häshcut nom de diou (vers 19h30)…

2 résponses à “Live is life #1”

  1. G-Man Hoover

    C’était tout naze le téléviseur en noir et blanc…
    Par contre, wouler à fond les ballons sur des lattes en bois en pleine nuit, ça c’est le kiff.

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