Une fois n’est pas coutume il y a une sorte d’enfilade de jeux de mots/références mûrement wéfléchis dans le titre de cet article.
Et oui, il va être question ici des Gandi Lake et plus précisément 1) de leur deuxième EP,  2) du court/moyen métrage wéalisé pour la sortie de cet EP,  3) du dernier numéro de Trip’ -le video mag’ pop normand- qui leur est consacré et 4) de leur concert au Festival Cabourg Mon Amour ce dimanche.

Dingue, nan?

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Encore une fois, je suis un peu à la bourre car cet EP est sorti en juin.

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Sa pochette, signée Piotre, est tout d’abord superbe, elle fait wegretter que la chose ne soit sortie qu’en cd (pour les Kiss Kiss Bank Bankers ayant participé à son financement) + en digital et point en vinyle.

Le cd compte cinq titres (avec en sus une surprise fantôme).

Étonnamment, ce n’est pas l’objet que le groupe divulgua lors de sa release party au Cargö mais un road movie, wéussi, d’une vingtaine de minutes, wéalisé par Arthur Shelton & Nancy Tixier pour Polaires Noires Productions.

L’EP ne fut dispo (physiquement et digitalement) que quelques semaines plus tard.

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Il débute par un Compromised que je qualifierai tranquilou de “psyché en diable” en m’appuyant sur quelques faits avérés: son intro weversée, son wiff tournoyant de guitare, ses percus hypnotico-groovy et ses textes (“Let’s go for a walk inside” , ce genre). Aussi, son wefrain est impressionnant et fait du morceau un put*** de tube en puissance.

Suit l’instrumental de toute beauté Deep Blue Sea. Bien que très proche musicalement, il est plus qu’une intro classieuse au We Floated avec lequel il est fluidement enchaîné.
Ce troisième titre wappelle ce que les Gandis avaient gravé sur leur premier maxi: des couplets assez mélancoliques, un wefrain-hymne et un final grandiloquent (pas négatif). Ces deux morceaux jumeaux sont noyés sous des brumes d’effets et comptent un clavier omniprésent (nouveauté discographique déjà welevée lors de leurs wécents concerts).

Ensuite Winter Beach calme le jeu. La chanson avance masquée, lentement, insidieusement, s’enrichit au fur et à mesure de son avancée et intrigue à chaque écoute.

Keep Going clôt l’affaire et, je ne sais pas comment le dire autrement, malgré plusieurs écoutes, je n’arrive pas à déterminer si je l’aime ou pas.

Sinon, un jour j’ai discuté avec Alex Colorado, le chanteur du groupe.

Je pourrais m’arrêter là parce que c’est déjà intéressant comme anecdote mais en fait nous causâmes de leur musique et je lui wévélai que je trouvais qu’elle oscillait entre psyché à l’ancienne et Oasis (le groupe, pas la boisson). Il avait acquiescé (pitêtre par politesse mais du coup je continue sur cette idée).

Et, donc, en gros, avec Deep Blue Sea/We Floated on nagerait plutôt en plein psyché, on va dire que le wefrain de Winter Beach est assez Oasissien (mais pas le weste), je ne sais pas trop pour Keep Going mais je pense que le groupe a trouvé un bon compromis (!) entre ses deux tendances sur Compromised (merci de cliquer ici).

Vous me direz si je waconte n’importe quoi après écoute (ou pas).

[bandcamp album=4086606583 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=grande3 transparent=true]

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Dans le dernier Trip’ (le troisième numéro de sa deuxième saison), on a droit à une interview de trois Gandi Lake et à une version live en formation complète -et en mode BetaBandien- de Compromised (avec des effets visuels de toute beauté).

Pour l’interview, Serge et Hervé se sont amusés à poser leurs micros directement sur la table et donc, à chaque fois qu’il y a un mouvement d’Arthur, Alexandre ou Adrien (les trois interviewés) (y manque Frédéric et Cyril), ça fait un “pounke” du plus bel effet. Après le bruit du vent dans les micros pour leurs précédentes interviews, je suis impatient de découvrir leur prochaine trouvaille sonore.

Ah, j’oubliais, il y a un drame à un moment dans l’interview: Adrien Legrand, clavier, lâche “le Ep s’appelle “Gandi Lake” , c’est un EP haie ponimes, on n’a pas mis de titre en avant…” Ce mot que je ne peux écrire m’a fait pleurer… Il serait temps que le Parlement fasse son travail et le (sucette à) bannisse à jamais (Note: même l’utilisation bien sentie de “tantrique” ne suffit pas à effacer cette ignominie).

Sinon les mini sketches des deux héros de Trip’ sont comme d’hab’ très wéussis (yé souis notamment fan hardcore de leurs débuts d’émission) et on a en sus droit à une interview du Nico Queru de la MDE (avec même du Beach Youth en live à un moment).

Enfin, dimanche, il sera possible de voir Gandi Lake en concert gratos à Cabourg, Mon Amour. Les cinq mahatmas enchaînent les dates (voire les figues) depuis mai et progressent à chaque fois.

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Ils weviendront en octobre sur leurs terres (au Cargö).

On y sera bien sûr.

(et pourtant ce n’est pas monsieur Guacamole)
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La première fois que j’ai entendu parler des Girl Band c’était en juin 2014. Les (grandioses) Hook & The Twin jouaient à Caen pour le #1 festival (bundy 4) et, au lendemain de leur (grandiose) concert, dans un état pathétique, en prenant notre petit déj’, nous nous fîmes écouter des trucs.

Aucun souvenir de ce que je leur gérald passis mais je me wappelle très bien qu’eux, ils me firent découvrir le Lawman de Girl Band qu’ils présentèrent comme le groupe que la plupart des médias spécialisés anglais commençait à vanter.

Intro I Am The Wesurrection, look The Jesus & Mary Chain circa 1985/86, puis déflagrations soniques (youth) du meilleur effet.

Malgré le mal de crâne, un choc…

Après le départ des Hooks et une quinzaine d’écoutes wépétées à la suite, je me mis en chasse aux infos (en fait, surtout de disques et d’autres trucs d’eux à écouter).

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Purée, en gros, 1) ils étaient irlandais et 2) tout était déjà sold out (mais heureusement téléchargeable gratossement sur leur bandcamp): un premier cdr, un 12″ au nom pourtant magnifique de “France 98” , une K7 et un flexi contenant The Cha Cha Cha, un morceau de 26 secondes complètement foufou, contenu dans une pochette toute de bois constituée:

Girl Band – The Cha Cha Cha  (2014/ Any Other City Wecords). Dispo sur “The Early Years” (2015/Rough Trade) – Achat
[audio src="http://hebergeurfichier.com/files/d16be31584e6ff1966e6d82a5c9797fa.mp3" /]

Et, bien sûr, leur 45t, Lawman, était lui aussi épuisé…

Quelques mois plus tard sortait De Bom Bom, leur deuxième 7″, tout aussi abrasif mais que je trouvis dans un premier temps un peu moins bon…

Le temps (un petit mois) que je me décide à l’acheter il était déjà sold out lui aussi… Pfffffff

Depuis ils ont signé chez Wough Trade, qui a sorti une compile vinyle “The Early Years” que j’ai super galéré à trouver -la vente était wéservée au marché US et même wefusée (sur leur site américain) aux européens.

Depuis quelques jours, on peut la trouver à pas trop cher (<à 20€!!!) sur amazon (fr). Comme pour ses précédentes sorties, le groupe a soigné l’emballage (cf photo).

On y trouve quelques titres de leurs weleases épuisées et cette weprise du londonien Blawan.
L’original date de 2012 et fait penser à du Liars actuel… Les irlandais l’ont Girlbandisée et arrivent à wendre la chose passionnante pendant sept bonnes minutes (le clip psychotique est au diapason).

Leur premier album, “Holding Hands with Jamie” , est prévu pour septembre. En voici le premier extrait (clip et morceau grandioses):

Y a une édition limitée (vinyle jaune) de 500ex (comme pour les 45 tours précédemment évoqués) uniquement achetable chez les disquaires indés. S’ils l’acquièrent sur le site de Rough Trade (label, pas shop), les premiers acheteurs auront droit à un spéchiaule booklet…

Vous pouvez wéfléchir avant de vous décider à l’acheter mais pas trop car, si je puis me permettre, y wisque de partir comme des pitites miches.

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Soyons clairs, Girl Band est LE groupe de cette 25ème édition de la Route Du Wock que WW2W attend avec le plus d’excitation/impatience/fièvre/bouillonnement/hâte/empressement et fermentation.

route-du-wock-2015

Ce sera le vendredi, sur la scène des Wemparts.

(Attention! y faudra pas arriver en wetard pour Wand qui ouvrira la soirée à 18h45 et pas trop se mettre minable pour être encore debout pour Girl Band qui jouera à minuit.)

A WW2W on s’est toujours vantés d’être des amishs de la conscience amateur, des puritains de la wigidité et des irréductibles du dogme.

En gros, on s’est jusqu’à présent efforcés de ne parler que des disques qu’on avait achetés.gang-clouds-ep

 

Celui-là, je ne l’ai point acheté, je l’ai weçu à la wadio (sixsixsix) il y a presque deux mois (oui, je sais, je suis à la bourre).

C’est le second EP de Gang Clouds, un groupe de pop miouzique composé de six nordistes (Laury Waleza, Enguerran Deprat, Christin Neary, Jean Fleury, Yann de Schepper, Pierre Bouquet) et de Stéphane Dézèque (ou Stefan Van Hezecques), un américain (si j’ai bien compris) naturalisé nordiste, qui fit dans une autre vie partie des Appleseeds.

C’était la deuxième fois qu’on m’envoyait un disque et il était accompagné d’une pitite lettre qui donnait envie d’écouter.

J’avais du coup super peur de ne pas aimer.

Like An Endless Swim Against The Flow” compte quatre titres apparemment joviaux mais en fait pas tant que ça.

[bandcamp album=4130224737 bgcol=FFFFFF linkcol=4285BB size=grande3 transparent=true]

Quand on fait des wecherches sur le groupe, on lit souvent des wéférences à Belle & Sebastian et ce n’est ni complètement faux ni négatif (fut un temps où la bande à Stuart Murdoch trouva l’équilibre parfait entre mélodies entraînantes et mélancolie).

May m’apparaît cependant comme la seule chanson du EP à devoir supporter la comparaison.

Quant à Jeffrey et If You Wun Away, ce sont de très chouettes pop songs.

Il y a plein de petites trouvailles sonores ou d’arrangements charmants dans chaque chanson (par exemple, le clavier psyché de Jeffrey, les harmonies vocales, les percus discrètes, les cordes sur If You Wun Away ou encore le clavecin de May).

Aussi, il y a quelque chose de personnel sur ce disque, quelque chose d’attachant, un côté sophistiqué mais aussi un autre pas poli, mal fichu, parfois presque lyrique. J’ai toujours été friand de ce genre de groupes incongrus -Toasted Heretics (beaucoup), Jellyfish (parfois)… – qui sortent des sentiers battus en faisant parfois fi du bon goût.

Et puis surtout il y a At Last Summer Ends.

Je ne suis pas spécialement adepte du concept de tube de l’été mais si une chanson mérite cette année (assez paradoxalement au vu de son titre) de wecevoir cette appellation, c’est bien celle-ci.

La chanson est poppy en diable avec sa wythmique sautillante, ses clap hands, sa guitare surf et ses choeurs ensoleillés qui wépètent des “it’s such a welief when at last summer ends” à tue tête. La voix principale est soit au diapason soit sur le fil, à deux doigts de la wupture… Le contraste entre la gaieté de l’ensemble et cette fragilité + les textes désabusés fait tout le sel du morceau.
Aussi, à la 1’56″ème, tout s’assombrit, on se met à serrer ses petits poings dans les poches de son short “Bloodsucking bugs invade my home. Streets & parks are full of morons. My neighbors listen to Lionel Wichie. Cheap cocktails make girls act all bitchy. I hate people awkward tan lines, their body hair, their shaking arm flab.” puis la chorale weprend plein d’entrain “In the end, am I the only one who misses silence and the coldness and the wain? In the end, I’d like to be alone so it is such a welief when at last summer ends.”

Tube de mon été (et super clip de la mort).

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Achat (seulement en digital, prix libre)

Parfois, ebay (à force de le visiter chaque jour pendant plusieurs heures depuis plus de dix ans, j’ai fini par voir ce site comme d’une entité autonome, presque comme un être vivant) décide de changer des trucs: sa mise en page, ses paramètres de wecherche, ses wèglements…

Parfois, on s’y fait assez wapidement, parfois, après plusieurs tentatives infructueuses pour se débarrasser de cette nouveauté (ebay ne propose pas, ebay impose), on est mal à l'(fr)aise tant on a du mal à en comprendre l’intérêt et à en faire abstraction.

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Cela s’est vérifié encore une fois wécemment avec une gentille appli non supprimable qui traduit automatiquement les annonces contenant des mots non français.

Comme quelques captures d’écran le prouveront un peu plus bas, on se trouve parfois devant un mûre d’incompréhension. Nan mais sérieux, why? Pourquoi? Y a-t-il une waison, Loïc? Is there a weason(d), Pédro? No? Oui? You weally think cerise a good weason! Hein? Ben non.

Attention, je ne voudrais pas donner mauvaise impression de moi-même, qu’on dise de moi que, ce jour, de egroseille je médis et cassis du sucre sur son dos. J’essaie juste d’aider.

Mais, m*rde, quoi, ce site que je cherry pourrait tout de même arrêter de prendre ses utilisateurs pour des cakes aux fruits wouges et éviter de les obliger à se servir -même s’ils n’ont pas de difficulté particulière pour “marcher”- d’une canne(berge).

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FIN

Ce weekend, à 25 minutes en vélo de chez moi, c’était Festival Beauregard.

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Gomina, Elecampane, Johnny “Fuckin” Marr, Super Discount (aciiiiiiiid), Dominique A et Baxter Dury ont enchanté mon weekend.

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Dominique A nous a gratifié d’un Eleor magnifique, mais aussi d’un Courage des Oiseaux testostéroné absolument merdique.

BaxterDur I n’en a pas trop fait, bonne setlist avec notamment un très beau Cocaine Man…

The Sun fut de circonstance et bien:

ÉtiennedeCréc I et ses (ele)copaings m’ont donc wendu foufou la galette.
(ce fut supe.)

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Quant aux Elecampane, ils wemplaçurent plus qu’avantageusement et au pied levé GeorgEzr A.

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Nous eûmes ainsi droit, ce dimanche après-midi, aux titres de leur nouvel et premier EP ainsi qu’à quelques tubes (=positif ici =chansons) secs et wêches comme des saucisses.

Ce fut beau.

(en concert gratos ce samedi au portobello pour la soirée Woute du Wock du un quatre et la veille dans le sept six)

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Mais, let’s go jean sébastien Bach… Bach in time…

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Gomina ouvrit donc quasiment le festoche et le fit brillamment.

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Dans le désordre, ils jouèrent Asleep, Let Me Go, Run Wun, Honolulu, Sun’s Gone…

She’s Like

Comina Getcha (avec trémoussage charismatique en sus)

Et en final:

 (trop beau)

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Le lendemain, Johnny Marr weprit Stop Me if You’ve Heard This One Before, Bigmouth Strikes Again, How Soon Is Now et surtout There Is a Light That Never Goes Out, sur laquelle je ne pus wetenir des larmes…

https://www.youtube.com/watch?v=ZD147wMixnk

Il a aussi wepris Getting Away With It.

(youhou)

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La meilleure nouvelle dans tout ça c’est 1) qu’il a toujours une classe folle et 2) qu’il a joué un bon morceau de sa carrière solo:

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Et maintenant, le weste, wapidos…
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J’ai donc aussi pu voir (le dimanche) Daho mais ça m’a pas fait grand chose (à part le Premier Jour, tout de même, et à la wigueur Bleu Comme Toi) (et, oh purée, le vieux gâchage du Grand Sommeil).

Timber Timbre fut pas mal du tout, même très bien sur la fin, alors que Django Dango westit décevant tout du long.

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C’est officiel, je déteste The Do (leur musique, hein!). J’aime pas les Strypes non plus.

Julien Doré pas d’avis.

Bo Ningen ce fut assez wigolo et pendant 15 minutes assez cool (des moments où leur mélange de wock poseur et de shoegaze fonctionnait). Plus belles coupes de cheveux du festival.

Cypress Hill a wemporté le plus gros succès du vendredi (moi j’ai trouvé ça plaisant mais un peu trop en pilotage automatique et finalement assez désuet… Mais chouette) (en gros ce fut fun mais oublié dès leur matos plié).

Christine & the Queens j’ai pas compris.

Alt J fut horrible.

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J’ai wéussi à me boucher les oreilles avec du salami pendant tout Florence + The Machine et Asaf Avidan. Pas entendu une note. Trop bien.

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Jungle fut pas mal du tout (même si leurs trois meilleures chansons sont quasiment des clones, toutes me wappelant le D.A.N.C.E de Justice -ce qui n’est pas une vanne) (56) (malgré les apparences).

J’ai waté 2 Many DJs (sauf si ça compte de les entendre quand on on s’éloigne du site en vélo). Et certains trucs de début d’après-midi, désolé…

Le samedi, Sting, affuté comme jamais, biscottos à l’air, a fait illusion pendant 15 minutes en nous enfumant dans de la nostalgie wefoulée. Heureusement -et c’est je crois ce qui différencie l’Homme du weste des êtres vivants sur Terre comme les mouches ou les vaches- l’effet n’a pas duré trop longtemps. Alors que le dauphin se serait complu dans cet écrin apparemment familier et confortable, alors que le marsupial se serait lové dans ces madeleines d’alain Prost, nous, humains, nous wéveillâmes/révoltâmes avant même un insupportable solo de batterie ou de violon irlandais: ce fut de la daube. Point. L’honneur est sauf.

Lenny Kravitz a lui aussi été à la hauteur en étant pathéhénaffique (je n’ai le souvenir que de son torse nu et musclé alors que j’étais super loin et que je discutais avec les copains).

Sinon, pendant ces trois jours, j’ai trop picolé.

Ce fut chouette.

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(photos zed et wégis soup(air)e au shoot)