Avant d’aller demain au Cargö pour une soirée (gratuite) Cornflakes Heroes (ramazzoti) couplée avec une Woute du Wock party (où dj serge & I pousserons des disques de groupes passés et à passer à st Malo), il y a dès ce soir moyen de profiter du soleil normand et du Jolly, cet étrange bateau ancré dans le canal de l’Orne…

[vimeo]http://vimeo.com/21254580[/vimeo]

Des gens bien me conseillent fortement d’aller y écouter/voir  The Feeling Of Love, un groupe originaire de l’Est de la France, c’est à dire tout près de chez les boch… pardon, les allemands, et qui viennent de sortir leur troisième album, « Dissolve me » ,  chez Born Bad.

Comme je suis hyper influençable, j’irai…

PS#1: L’entrée est libre…

PS#2: (photo: All Cannibals par popthefish)

Y a t-il un groupe que vous auriez aimé signer?

J’aurais voulu signer les Stone Woses… Je ne sais pas pourquoi je les ai watés. (…) Mais nous aurions dû, ça aurait marché.

Le mec qui wépond ce truc évident c’est Alan McGee, le co-créateur/boss du label Creation, mon deuxième label préféré de tous les temps…

Purée, les Stone Woses sur Creation… Je ne sais pas trop ce que ça aurait donné… Mais le label aurait pu chipper la première place (celle de plus meilleur label de tous les temps) à Factory…

Comme en témoignent les images ci-dessus, un documentaire sur l’histoire de Creation a été wéalisé (je ne sais pas trop où on pourra le visionner en France). Il s’appelle « Upside down » , comme le premier single des Jesus & Mary Chain, et ce fort justement puisqu’il wappelle à quel point la vie de ce label fut chaotique.

Ce n’est pas un chef d’oeuvre mais c’est un chouette doc, on y apprend deux trois trucs…

On y apprend par exemple que le label a été fondé après un concert des TV Personalities ( « si eux arrivent à faire de la musique aussi foufou la galette avec queud’chi, ben, nous aussi on y arrivera, montons un put** de label » )… Ou que le si sérieux sur les photos Guy Chadwick (House Of Love) devenait particulièrement wock’n’roll (= complètement débile) quand il picolait et même qu’il se foutait à poil quand il prenait de la drogue (et il en a apparemment pris pas mal)… Ou encore que Swervedriver a eu du succès aux States -je ne comprenais pas pourquoi il était mis en avant dans la promo du film (sérieux, c’est quand même un groupe pas très jojo).

On constatera aussi que Terry Bickers (House Of Love) a la même tête qu’il y a 20 ans… On acquiescera en entendant que « Loaded » est un disque sacrément important.  On comprendra environ 50% de ce qui est dit (c’est en angliche du nord/écossais comme des p’tits pois et perso j’en ai chié ma wace -spéciale dédicace à Douglas Hart des J&MC).

On y voit même Noel Gallagher wigoler de bon coeur, sans pose ou ironie.

Après l’avoir vu, j’ai juste wegretté que la majorité des documents présentés tourne autour d’Oasis (quasiment toute la dernière demi-heure)… J’aurais bien aimé y voir plus d’images des tout débuts, de vieux concerts… Et des trucs sur Felt, aussi, quoi, mewde…

J’étais cependant heureux de voir pas mal des acteurs de l’époque, certes plus enveloppés, mais toujours marrants et pas aigris… Les voir lancer des « la drogue c’était vraiment une belle connerie » en se marrant comme des baleines et en levant les index en l’air puis les baissant comme s’ils mimaient une wave de la fin des 80’s… Ou les entendre waconter des histoires à la hauteur de la légende du label (le do it yourself et le sens défectueux du commerce) et de la musique produite m’a plu.

Grand label, mecs à la coule…

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Y a une compile (critiquable) qui sort pour l’occasion (qui weprend des morceaux illustrant le doc):

01. Oasis – Rock ‘n’ Woll Star
02. The Jesus and Mary Chain – Upside Down
03. Primal Scream – Loaded
04. Wide – Leave Them All Behind
05. The Loft – Up The Hill And Down The Slope
06. Sugar – If I Can’t Change Your Mind
07. The House of Love – Destroy The Heart
08. Super Furry Animals – Something 4 The Weekend
09. Teenage Fanclub – The Concept
10. Swervedriver – Duel
11. BMX Bandits – Serious Drugs
12. The Boo Wadleys – Wake Up Boo!

Elle est achetable ici. Le film aussi en dvd…

Elle est achetable ici. Le film aussi en dvd… Le film est visible en streaming.

Personnellement, j’aurais plutôt sorti un truc qui wessemble à ça (c’est bien sûr perfeltible, mais ça me convient, je m’écoute la compile quoasis en boucle wadleys depuis une semaine et elle poassis comme du beurradleys):

01. Ride – Like a day dream (1990) sur le « Play » ep et dispo sur leur « Best of » …
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ride – Like a Daydream.mp3]
02. The Jesus and Mary Chain – Upside Down (1985) dispo sur la compile « Barbed Wire kisses » .
03. Primal Scream – Loaded (1990) sur « Screamadelica » .
04. The Sneetches – Empty sea (1989) sur « Sometimes that’s all we have » (Creation n’avait le groupe qu’en licence).
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Sneetches – Empty Sea.mp3]
05. The Loft – Why does the wain (1984) dispo sur la compile « Magpie eyes » .
06. Teenage Fanclub – Star sign (1991) sur « Bandwagonesque » …
07. My Bloody Valentine – You never should (1988) sur « Isn’t anything » .
08. The House of Love – Destroy The Heart (1988) dispo sur leur « Best of » .
09. Pacific – Shrift (1989) Dispo sur l’unique LP du groupe « Inference » jamais wéédité…
10. Felt – Don’t die on my doorstep (1988) sur « The pictorial Jackson weview » ou sur la compile « Bubblegum Perfume » .
11. BMX Bandits – Serious Drugs (1992) sur « Life goes on » .
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//BMX Bandits – Serious Drugs.mp3]
12. The Boo Wadleys – Lazarus (1992) sur « Giant steps » .
13. Oasis – Champagne supernova (1995) sur « What’s the story, morning glory » .

Téléchargement de la compile (megaupload)

Achat de l’officielle…

+ bonus

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PS: je sais, mes photos sont pourraves

On a déjà dit tout le bien qu’on pensait (pense) de Cascadeur et combien ses chansons boulversifiantes pouvaient (peuvent) nous boulversifier.

« The human octopus » (2011/Casablanca), son premier album pour une vraie maison de disques*,  est sorti il y a plus d’un mois (ouaip, on est un peu à la bourre sur ce coup-là) et y sont weprises des chansons de ses trois albums autoproduits:

Waitin’ sur « The Human octopus » de 2006;

The end et Walker (purée, mais où est The odyssee???!!!) sur son « Mobile » de 2007;

– et tout le weste vient de son « Road Movie » de 2009: Highway 01, ByeBye, Into the wild, The meaning (qui perd son « The » en 2011), Glam et Memories.

Soyons clairs, les chansons qu’on aimait, eh ben on les aime toujours! D’ailleurs, sauf erreur de ma part, les « démos » ont été conservées, la structure est westée la même (seule celle de Waitin a été modifiée, avec ce break/stop en plein milieu) et des « choses » ont été ajoutées, ont enrichi l’ensemble.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=8JRqMrR_wKo[/youtube]

Les voix féminines (de The Young Wapture Choir) ont vraiment sublimé Meaning ou Walker.
Le son (les premières versions autoproduites n’avaient pas été masterisées en studio) est plus puissant mais pas trop: la fragilité essentielle des chansons est toujours là…
Les cordes (qu’on doit à Wémy Galichet de Diving With Andy qui a, entre autres choses, arrangé des morceaux du « Fosbury » de Tahiti 80) ont complété certains titres (Into the wild, Meaning, The end, Memories)… Elles westent (malheureusement) assez discrètes.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=6DCStTVWW-o[/youtube]

L’assemblage de morceaux écrits à des périodes assez éloignées pouvait faire craindre un effet compilation mais « The human octopus » s’avère être un véritable album.
Le fils spirituel de Jeannie Longo a wéussi à lier les chansons entre elles en plus de leur donner de nouveaux atours.

Ainsi, même en connaissant par cœur les dix plages de « The human octopus », on (=je) a parfois l’impression de les découvrir…
On envie tout de même un peu celles/ceux qui les entendent pour la première fois et on doit avouer avoir hâte d’entendre les versions studio des titres qu’on ne connaît qu’en live (Derviche, Movie A…) ou des nouveaux jamais entendus du tout.

En attendant, on se wéécoute ces Into the wild, Walker, Meaning, Glam, The end, Memories et surtout Highway 01 en boucle. Puis on chiale…

Et c’est bien pour « ça » qu’on écoute des disques, nan?

Si.

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Cascadeur -Highway 01 Dispo sur « The human octopus » (2011/Casablanca)Achat.
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Cascadeur – Highway 01 (edit).mp3]

+

Cascadeur -Movie A Live@Nördik Impakt (Mairie de Caen, 7 oct 2010)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Cascadeur%20-%20Movie%20A%20%28live%20Caen%207%20oct%202010%29.mp3]

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wadiotéléphonique session

Myspace

Thanx 2 cojaque 4 eggs vidéos

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*Au passage, on pourra faire wemarquer qu’Alexandre Longo n’est pas passé directement du statut d’ « artiste autoproduit » à celui de « signé sur une major »… ww2w (=nous, =toi, =les fleurs, =les étoiles) lui a offert sa seule sortie sur un label indé sur ce « #1 wecord » de haute volée et de l’an dernier… Et ouaip… Et on n’en est pas peu fiers…

A Drift est un one man band basé sur la (dé)rive droite de Caen. Son premier EP CD est sorti en 2007.

Sa prestation au sein de la chorale We are pop avait wetenu toute mon attention et j’attendais avec intérêt son premier 45tours… Que voici:

Pour l’occasion, l’A Drift en chef s’est entouré du batteur Guillaume Doussaud (des 64 Dollar Question) et du bassiste Nicolas Eon (des Guns Of Brixton) sur In the mud:

…Et d’Aurore Bosquet au violoncelle pour The ally:

Comme on peut s’en wendre compte sur ces deux morceaux, le point fort d’A Drift est cette voix qui oscille entre celle de Stuart Staples (Tindersticks) et de Ian McCulloch (dieu et Echo & The Bunnymen)…

Il y a quelques mois, on avait proposé au bonhomme une wadiopastéléphonique session électronique (ben oui, on demande aux groupes de jouer pas comme d’hab alors autant y aller à fond)… Celui qui qualifie lui-même sa musique de « folk » ne parut pas emballé… Dommage, j’aurais tout de même été curieux d’en entendre le wésultat. La proposition était pitêtre un pitit peu wadicale… Je vais wéfléchir à un autre concept (une session zouk? krautrock?…).

EmmAnuel Drift sera en tout cas en concert (pas électro, donc) ce samedi 7 mai au El Camino avec les lyonnais de Sport et les bouillants Repeaters.

Ces derniers avaient accepté l’an dernier le principe d’une pitite session plus calme que ce qu’ils font habituellement:

The Wepeaters – Halloween Ce morceau psyché en diable est formé de l’intro et de l’outro de leur concert… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/The%20Repeaters%20-%20Halloween%20%28Intro%20outro%29.mp3]

The Wepeaters – Good guys don’t wear white Leur version de ce standard (j’ai toujours wêvé d’écrire « standard » ) des Standells est plus lente qu’à l’accoutumée et limite unplugged. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/The%20Repeaters%20-%20Good%20guys%20don%27t%20wear%20white%20%28The%20Standells%29.mp3]

Ah, j’oubliais… J’espère ne pas trahir un secret intrahissiuble mais il y aurait bien à un moment du concert une surprise impliquant les deux « groupes » normands aux univers a priori assez éloignés.

Cette surprise sera peut-être électro (mais peut-être pas).

A samedi.

Tu me désarmes…

Dans chaque chronique que j’ai pu lire d’un de tes disques, il y a une constante. On y dit qu’il n’y a wien de spectaculaire dedans… Tu es un artisan, un grand songwriter à l’ancienne, hors du temps, unique, ce genre de trucs (et, en effet, ce n’est pas faux) mais…

Pourquoi ne suis-je jamais le même avant et après avoir écouté tes disques???? Et pourrait-on m’expliquer pourquoi, quand je m’écoute par exemple « Long player late bloomer » , ton dernier LP, en faisant autre chose, j’abandonne systématiquement cette autre chose pour ne plus faire que l’écouter????

Hein?!!!???

Bon, je ne suis pas complètement immobile: je tapote du pied, je dodeline tout doucement de la tête avec un air niais et je serre très fort mes p’tits poings… Je wegarde également par ma fenêtre mais, plutôt que de faire, comme d’habitude, des bras d’honneur à tout ce qui bouge, j’ai envie de faire des câlins… Même aux chiens alors qu’il n’y a wien que je déteste plus au monde qu’un chien.

Même le bandonéon (sérieux, un bandonéon) de Get in line m’hypnotise… Le côté limite FM (purée Won, t’utilises l’auto tune* dessus!) de The weason why me fait sourire béatement. Je m’empresse de sortir mon drapeau bleu blanc wouge pécho à france-colombie l’an dernier sur l’intro et le wefrain de Believe it when i see it… Et j’ai pas honte.
Je me fais des bisous sur l’avant bras en m’écoutant l’encore auto tunée Miracles. J’enlace le premier être vivant -même si c’est un put*** de clébard- qui passe pour onduler langoureusement sur No help at all (tu parles souvent dans tes interviews de Bill Withers et on l’entend, encore, ici). Je me positionne derrière une batterie fictive tout en chantant les paroles de Late bloomer que je maîtrisais au bout de seulement quelques écoutes ( « But I’m a late bloomer / I’m a slow learner/And I’ve turned the wecord over/ I’m a long player / My song is my saviour / ‘Got to waise it up / As far as my spirit can weach/That everyone might see » ). Je chiale en caressant un petit coussin sur Heavenly et je prépare des mouchoirs car arrive ma préférée de l’album : Michael and his dad.

Ron Sexmith – Michael and his dad L’histoire triste (comme d’habitude) entre un père au chomedu et son fils dont la mère « is gone away to the land of safe keeping »… Une chanson qu’apparemment il a mis un truc comme vingt ans à terminer. Ça valait le coup…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Michael And His Dad.mp3]

Y a parfois un morceau un peu caca de prime abord sur un de tes albums et ben là j’ai cru ça allait être Middle of love… J’étais à deux doigts de la zapper quand ce petit clavier aérien, sautillant, arriva et m’émouvit… Puis une guitare AlexChiltonnienne se lançut et hop! ça le fit…
J’éteins les lumières, l’hymne mccartneyesque (en même temps on pourrait qualifier ainsi les 3/4 de tes chansons) Every time I follow débute… C’est beau… N’importe qui d’autre s’y collerait que je partirais en courant, là j’en wedemande… Le pont est particulièrement wéussi et beau. Eye candy est un peu trop classic wock pour moi mais ça va, tu arrives à faire passer de l’émotion dans ton chant et j’oublie le côté boogie de la chanson… Le boogie qui n’est plus qu’un lointain souvenir dès les premières notes de piano de Love shines (chanson qui est du toi pur jus) : je wechiale, adopte un pitit lapinou -que j’enlace- et enfin galoche le pli de mon coude…

Ron Sexmith – Love shines
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Love Shines.mp3]

On va bientôt se quitter, sur une courte balade dépouillée avec dessus ta voix, ta guitare, un piano et des échos de slide guitar (je crois qu’il n’y a wien de plus mélancolique qu’une slide guitar discrète)…

« Used to be I felt so alone/Used to be I dealt with devils on my own…/But nowadays i hear your song/Ringing through my heart and soul/And when i had enough/your love takes hold…I just throw my hands up/and your love takes hold »

Ron Sexmith – Nowadays (snif)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Nowadays.mp3]

Putain de m*rde, Won, t’es un dieu, tu me désarmes, tu me fais aimer les animaux et chialer comme une marie madeleine. Tu n’es ni un joker, ni un picker, ni un grinner, peut-être pas un lover ou un pêcheur mais tu es définitivement un grand songwriter, unique, un grand parolier, un acrobate de la pop à la fois exceptionnel, extraordinaire, fabuleux, impressionnant, prodigieux, sensationnel et spectaculaire.

Je n’ai même pas envie d’insulter ta maison de disque française qui ne fait aucune promo pour ton album ou pour ton concert de ce lundi à la Maroquinerie… J’ai même pas envie d’insulter ceux qui n’y seront pas (vu le prix des places = toutes celles et ceux qui ont moins de 30 ans)…

Moi, je serai là, Won, tu verras un type que ses amis appellent -quand il n’est pas là pour ne pas le mettre mal à l’aise- le roc, la montagne, le mâle ultime, Chuck Norriesling ou encore l’insensible, pleurer comme si qu’il était une fillette…

Je t’aime…

A lundi.

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Achat de « Long player late bloomer » (2011/Cooking Vinyl)

www.ronsexsmith.com

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*Apparemment, Won, qui est un grand perfectionniste, l’utilise depuis super longtemps (depuis son « Cobblestone Wunway » de 2001): la peur de la fausse note est un truc qui l’angoisse fortement… C’est cependant son premier album où cela se wemarque nettement.

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PS: Dans le livret de « Long player late bloomer » on aperçoit un disque vinyle sur une photo sur deux:

Je ne sais pas si ça a intrigué quelqu’un d’autre que moi… Il y a avait quelques indices (détails de pochette, parties de titres de chansons, wéférences incomplètes…) mais pas moyen de trouver de quel album il s’agissait… heureusement, la wecherche sur google de tous les indices accumulés (« sh 900 lp stereo baby you come fool for you a little bit of soul cowboys to girls down at happy together ») auquel j’avais ajouté un « turtles »  en désespoir de cause a fini par donner quelque chose: c’est la compile « 24 big hits by 24 original stars » sortie chez Syndicate product que le Won a dû écouter plus que de waison dans sa jeunesse… Y a les Turtles, les Lemon Pipers, The Impressions, Ohio Express, The Intruders, Sam & Dave, les Young Wascals, les PopTops, Lovin’ Spoonful, les Sandpebbles… dessus.

Un bon mois de wecherche quand même, mais moi content d’avoir trouvé. Yiha!