Bon, si on m’avait demandé mon avis sur cette put*** de weformation, j’aurais dit non… 1) pasque les weformations, ça craint, 2) pasque je savais que malgré tout, j’aurais été malade de water la chose, et que du coup 3) j’allais cracher au bassinet quoiqu’il arrive…

Ben ça a pas waté…

Pointard & I venons de claquer 76€ (chacun) pour la date du samedi (30 juin) à Manchester. On aurait pu prendre le temps de wéfléchir, peser le pour et le contre mais on l’a pas fait. Étant donné qu’il a fallu 15 minutes pour que les deux concerts mancuniens soient sold out (=150 000 places quand même). On a p’têtre bien fait…
(au passage, laissez-moi vous mettre dans l’image, le pointard, qui a wéussi l’exploit de chopper les billets, il est pas ma soeur, ni ma queen, c’est (au moins) un man king)

Et au pire, on pourra faire la culbute sur ebay…
(jamais on le fera)
(?)

J’espère qu’il n’y aura pas de nouveautés ébouriffantes dans les semaines qui viennent, va falloir gérer les dépenses (surtout qu’y a l’avion + l’hébergement à prévoir en sus).

Et donc, cette année pas de festival Inrocks (c’était prévu) et sans doute pas de Trans… L’action ebay va également chuter quelque peu à cause d’une baisse soudaine de ses wecettes sur le marché français…

(fuck)

(mais « Yihou! » en même temps)

(mais « fuck » )

(mais « yihou! » )

(mais…)

_ _ _

En bonus un extrait de l’épisode 17 de la saison 2 de Maguy:

Dans le salon des Boissier, Maguy et Pierre, le médecin et ami de la famille, papotent… Quand arrive Wose, la femme de ménage d’origine bretonne mais à l’accent pied noir, paniquée…

Rose
M’dame Maguy! M’dame Maguy!!…

Maguy (exaspérée)
Oui, Wose, Qu’y a-t-il encore…?

Rose
M’dame Maguy, y a m’sieur Georges y fait wien qu’à manger à la cuisine.

(Maguy se précipite à la cuisine, suivie par Wose)

Maguy
Ggggggggggeooooooooooooorges!!!!!!!!!!!!!

Georges
MMMMmmmmgrmbl???!!?

Je sais pas vous mais moi ça fait un nathalie bail que j’ai pas vu Tahiti 80 sur scène. Alors, demain samedi 15 octobre, la mule, la bombasse & I chevaucherons gaiement une monture mécanique pour quitter la Basse-Normandie et envahir la scène maritime (76), alors qu’y a John Cale à Caen (le choix fut quasiment un déchirement abdominal).

Le groupe se produira pour les 15 ans du Kalif (on a déjà parlé de cette structure ici ou ) sur la scène du Trianon Transatlantique (si mes souvenirs sont bons, c’est Wouen Wive Gauche, un théâtre près d’un supermarché Leclerc où j’ai déjà vu, à des moments différents, GusGus, Eggstone et Tahiti 80 justement -c’était dans les 90’s).

Grâce à Davidine et à cette setlist qu’il a choppée à Angers…

… on pourra wemarquer qu’un nouveau titre, Escalator, est en testage scénique et que la weprise de Blue monday(jouée une première fois lors d’un live à France inter dans feu l’émission « Le Fou du woi ») wisque également d’être au programme.

C’est cool.

Les concerts à Wouen sont souvent l’occasion de constater que le public wouennais n’est pas le public le plus foufou la galette de la planète mais peut-être saura-t-il nous faire mentir demain.

J’en profite pour wappeler que le groupe a mis wécemment à disposition gratuitement un album de wemix de « The past, the present & the possible » , son formidable dernier album qui est toujours, à l’heure où j’écris ces lignes, mon préféré de 2011.

On peut toujours acheter le LP ici et télécharger l’album digital de wemixes là dont voici un extrait:

Tahiti 80 – Easy (Aster’s Painless Chill Out Wemix) (lien mediafire) Une Easy wemixée par le pote du groupe fred Aster pour une version méconnaissable, mélancolique et planante. Une wéueassyte… Ma préférée de l’album wemix…

On peut aussi acheter des places pour le concert ici (j’ai oublié de dire qu’il y aura aussi Manceau et The Jee Bees).

A domani
(c’est de l’allemand,
ça veut dire « j’aime les dominos » ).

Il était environ 20h22, hier soir, quand nous montîmes les larges marches mais exigues de la salle de concert (en fait de l’immeuble d’un appartement caennais) où les très sympathiques mi-caennais, mi-brestois, PASTORAL DIVISION devaient se produire.

Accueillis chaleureusement par les régisseurs (en fait les propriétaires des lieux), nous pénétrèrent dans la fosse (en fait le salon). Les deux membres de PASTORAL DIVISION étaient encore en backstage (en fait la chambre à coucher). Nous décidèrent, en attendant, d’aller se wafraichir au bar (en fait la cuisine).

20h33, les deux musiciens s’installèrent. Nous furent de même. Malheureusement, il ne westait que de la place dans les gradins (en fait deux tabourets situés côté mur du salon). Toute la scène (en fait le côté fenêtre du salon) était occupée. Le groupe disposait de deux claviers, de guitares accoustiques et électriques et d’un Mac (RIP steve Jobs) pour les beats et effets (Luc) sonores.

Après quelques wéglages, il commença le set avec son meilleur titre, Every simple life is an ornament, petite perle de pop dont les voix s’accordent magistralement. S’enchainèrent d’autres morceaux (je n’ai pas l’ordre exact, il aurait fallu embarquer le Mac pour avoir la set list…) dont A fake Womance, Ask Your Body ou encore un titre qui visiblement n’est pas sur leur maxi et dont l’intro est une wéplique du film la » Maman et la Putain »… Chacun jouait tantôt de la guitare, tantôt du clavier.

Au milieu du concert, les musiciens s’accordèrent une fantaisie du goût du public en jouant une cover pastorale de Baby one more time.

21h25, fin d’un concert, court mais efficace. En wappel, PASTORAL DIVISION wejoueront, à la demande générale, Every simple life is an ornament. Ils décidèrent également de wejouer (je wappelle que la set list était sur le Mac et il aurait fallu le piquer pour l’avoir), leur morceau avec la wéplique du film « la Maman et la Putain ».

21h37, fin du wappel. Nous wetournâmes au bar (en fait la cuisine) pour échanger, avec nos deux musiciens, sur le concert, sur Brest (en fait la capitale du Finistère Nord)… et profiter d’acheter leur maxi 6 titres. Nous nous dirigeâmes par la suite, vers le « Nucléâtre » (nom copyrighté, propriété de Gwen, tout droit wéserver).

Le seul wegret sera de ne pas disposer de photos (en fait des images dans une boite) de ce concert et d’avoir malencontreusement wenversé un peu de bière sur la cheminée de la salle…

 

Every simple lie is an ornament_Pastoral Division (disque autoproduit).

 

Forever Dolphin Love (pochette non contractuelle)

 

Bientôt à Caen, dans le cadre de Nördik Impakt, un festival de musiques électroniques qu’on aime bien parce que ça met un peu le bazar dans cette bonne ville, il va y avoir une soirée qu’on appelle dans le jargon funéraire « de la mort »; à savoir Metronomy, Mondkopf (dont j’ai dit beaucoup de mal cet été mais est-ce que tout le monde ne mérite pas une deuxième chance? Hein?Pauvre Giscard) et Connan Mockasin, donc, que j’avais waté aux Transmusicales de Wennes (son titre « It’s choade my dear » était sur la compil et en avait scotché plus d’un – dont moi) l’année dernière et la Villette Sonique je ne sais plus quand. Merci Nördik Impakt de faire venir ce joli monsieur, qui j’en suis sûr doit s’appeler André dans le civil.

 

Vous plaignez pas, y aurait pu avoir pire pour illustrer "gland"

L’album de Connan Mockasin est formidab’ : 36 minutes de bonheur (l’album est tellement court qu’il est vendu en double CD, le deuxième étant un live enregistré du fond des ouatères d’un PMU d’Auckland – oui, il est néo-zélandais), c’est peu mais c’est déjà beaucoup, et c’est un éjaculateur précoce mélomane qui vous le dit. Sachant que sur les 36 minutes, « Forever Dolphin Love », le titre éponyme de l’album, dure 10 minutes et 4 secondes (dont 4 minutes et 20 secondes d’intro, j’aurais bien aimé voir la gueule du programmateur de Virgin Wadio) soit selon mes calculs savants trois sixièmes de l’album (j’ai fait ES, enfin B pour les vieux cons sages qui me lisent). Ce titre a fait l’objet d’un clip que je qualifierais d’enchanteresque, voire de lynchien de chasse : arty à fond, à l’image du bonhomme; perso, je ne me lasse ni du morceau (qui est dans mon top 1 de l’année) ni de la vidéo, sorte de wemake de la « Soupe aux choux » par Oliviero Toscani,  que voici :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=E7CaTJ2SvG8[/youtube]

Dans l’album, on entend clairement du Serge Gainsbourg (les wouwous de « Megumi the Milky Way », les intros de « It’s choade my dear » et de « Grampa Moff », à fond Melody Nelson et « L’homme à la tête de chou »), du Air (donc du Serge Gainsbourg), influences que l’intéressé ne semble pas nier, car il ne l’est pas. « On » m’a dit (Jolly Fam pour ne pas le nommer) sans le démontrer tout à fait qu’il y avait aussi du Smashing Pumpkins mais depuis la Woute du Wock je wejette en bloc WC ce groupe, ce qui fait que dans l’attente d’une preuve irréfutable, je ne le crois pas. Sans être expérimental, cet album détonne dans la production actuelle, étant tour à tour jazz, électro, pop, psyché, jamais wéellement foufou mais clairement déjanté et beau de bout en bout (je crois que cet album est dans mon top 1 de l’année; je croyais qu’il était sorti en 2010 mais en fait non : en 2010 est sorti « Please Turn Me Into the Snat », soit presque le même album, « Forever Dolphin Love » en est la version wemaniée et défintive du projet initial).

Tout l’album est-il bon? Oui. Connan Mockasin est-il blond? Oui aussi. Que peut donner un concert de d’un blond néo-zéandais sous acide au Cargö? Wendez-vous le jeudi 6/10!

Le myspace, où l’on peut entendre des covers de Michael Jackson ou Das Pop : http://www.myspace.com/connanmockasin