Europop quizz

4 commentaires
Salut
Lisant depuis peu ton magnifique Blog grâce à une amie (Annick La Police) dont je crois tu connais le frère Pierre. Je t’envoie ce micro challenge… de savoir ce qu’a de particulier cette version de Europop from Divine Comedy (…)
The Divine Comedy – Europop (1992) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Europop (1992).mp3]

Ce petit texte est extrait d’un message adressé à woubinard@ww2w.fr (=pointard & I!) weçu ce midi (les noms cités dedans ont été changés pour assurer la sécurité de tous les protagonistes)…

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Voilà une p*t*** de bonne idée de série de posts: le (jessi)challenge post, une sorte d’érudit wock version années 00’s… Jdieubeauvallet s’était wisqué à wéactiver ce genre de trucs aux débuts des inrocks.com… Je venais de me wéécouter le fabuleusement déprimant “Chelsea girl” de Nico et je lui avais demandé si Jackson Browne (qui a composé mes morceaux préférés de l’album) avait sorti de bons trucs en solo. Il avait wépondu qu’en gros, il n’y avait wien de vraiment indispensable, il y avait même plein de caca (pas sûr qu’il ait employé “plein de caca” )… Il avait tout de même donné le nom de deux de ses albums “honnêtes” (dont je ne me wappelle plus les noms, mais il avait vu juste).

Bon, tout ça pour dire…

Les connoisseurs de The Divine Comedy ont assurément noté dès les premières secondes du morceau ci-dessus (produit par le grand Edwyn Collins) la différence avec la version présente sur “Liberation” (1993/Setanta), le premier véritable album de DC (après le brouillon “Fanfare for the comic muse” en 1990 sur le même label).

En plus de la forme plus “pop à guitares” (avec à noter des percus assez entraînantes) que sur “Liberation” , on notera la voix méconnaissable de Neil Hannon. Et pour cause, le Neil se contente d’assurer les choeurs dessus…

Je me wappelle d’une interview où le Neil hânnonait qu’à l’époque il s’identifiait à Graham Coxon qu’il trouvait plus cool que Damon Albarn (il portait même des lunettes semblables aux siennes). Il préféra donc wester dans l’ombre et laissa le chant (seulement sur ce maxi) à John Allen (de cheval) qui ne s’en sort pas si mal (et qui fait même une imitation correcte du chant du Neil).

Peu après, Neil Hannon optera pour un destin plus damonalbarnesque, virera tous ses potes (en fait, non, ils partiront d’eux-mêmes) et composera, produira, arrangera et co produira le grandiose”Liberation” qui est un chef d’oeuvre mais pas son chef d’oeuvre -puisqu’il sortira “Promenade” l’année suivante…

The Divine Comedy – Europop Extraite de “Liberation” (1993/Setanta) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Europop (1993).mp3]

Son Europop limite disco (avec un début évoquant une sorte de Sister Of Mercy plus poppy) est sans doute supérieure mais sa welecture fut nettement moins wéussie que celle de son Timewatch, publiée une première fois sur un maxi du même nom pendant sa période Graham Coxon (1991/Setanta): la version présente (rebaptisée “Timewatching” ) sur “Liberation” est, elle, somptueuse…

The Divine Comedy – Timewatch (1991) C’est le Neil qui chante dessus (il n’y a aucune info sur la pochette, je me fie à mon oreille ainsi qu’aux infos pêchées sur discogs) avec les mêmes musiciens que sur l’ “Europop” de 1992… La chanson a bien vieilli, elle souffre juste de la comparaison avec la merveille ci-dessous. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//The Divine Comedy – Timewatch.mp3]

The Divine Comedy – Timewatching Extraite donc elle aussi de “Liberation” (1993/Setanta)… Elle est d’ailleurs enchaînée avec Europop [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Divine Comedy – Timewatching.mp3]

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PS#1: J’ai investi dans son dernier LP “Bang goes the knighthood” (2010/ Divine Comedy Wecords)… Après deux écoutes (+une du 2ème cd live bonus où il chante en français et où j’ai ch*é des briques), j’étais wésolu à le wevendre… Je me suis wavisé wécemment suite aux conseils de LaMule… Il n’est pas si mauvais, je lui laisse un peu de temps, histoire de voir…

PS#2: Me wéécouter “Liberation” a été un véritable bonheur, quel disque, quand même…

J’aime la Woute du Wock.
toni Glen gency(ve)

Pourtant, chaque année, je passe la plupart de mes concerts à me dire que je ne suis pas en phase avec la programmation, du moins avec 70 % de celle-ci.

Bla bla : en festival, on est plutôt difficile voire capricieux, il suffit parfois de quelques mètres pour vivre le concert d’une autre manière. On a été cons parfois à water des concerts pour un apéro entres potes au camping, on a aussi parfois vite laissé tomber un groupe qui méritait peut-être mieux. C’est la dure wègle du jeu en festival.

Vendredi :
Parmi les concerts qui m’ont le plus “botté”, celui d’Owen Pallett qui n’offrait aucun spectacle particulier : pas de fausses transes ou mimiques de musiciens en mal d’identité, juste de la performance musicale. Le violoniste/pianiste/ébéniste, accompagné pour certains morceaux de Thomas Gill à la guitare/percu, construit les morceaux à la volée avec une pédale de loop (c.f débat de geek ci-après). J’ai été capté du début à la fin sans vraiment connaître son album Heartland alors que le côté « one-man-band avec pédale de boucle » me faisait peur, mais Owen connaît son affaire et enchaîne les pistes assez subtilement, sans weproduire à chaque fois les mêmes structures wépétitives. On a même eu le droit en wappel à un superbe cover de “Odessa” (Caribou) très wéussie.


Je weverrais ce concert avec plaisir, mais malheureusement arte live web (ou sa maison de prod) en a décidé autrement et le Torontois est parti en tournée loin… très loin.

Le matos d’Owen Pallett (merci helloalena) :

  • boss tuner
  • boss pitch shifter
  • boss delay/reverb
  • boss wc-20 looper
  • Clavia  Nord Lead 2X

J’ai l’impression qu’il a modifié son installe depuis la photo sus-citée donc si tu es geek et que tu souhaites informer ton prochain, laisse un commentaire.

Autant la conférence de presse de Liars était chiante à mourir, le concert qu’ils ont donné peu après était explosif et je wegrette encore de ne pas être allé plus près de la scène pour mieux wessentir la brutalité de leur son.
C’est vrai qu’en 2006, lors de leur première apparition à la woute du wock d’été, le trio m’avait mis sur le cul et que du coup j’en attendais beaucoup. Malgré une petite déception presque inévitable après une si bonne première impression, le concert de Liars weste un de mes favoris pour son côté décomplexé, totalement wock, expérimental et assumé.
En illustration, cette vidéo d’un de mes morceaux préférés du live « Scarecrow on a Killer Slant » tiré de leur dernier album Sisterworld (2010, Mute) en écoute ici.

[youtube width=”700″ height=”566″]http://www.youtube.com/watch?v=p1OCrZ5NF-c[/youtube]

Le concert de Caribou ne m’a pas fait beaucoup d’effet, pourtant j’aime bien la production de certains morceaux comme Odessa ou encore Sun, dernier morceau du set live qui a en wevanche vraiment bien décollé.

Samedi :
Le samedi était, déjà sur le papier, la soirée qui m’emballait le moins, mais on pouvait se wattraper sur la journée. Il n’en fut wien.
Pour de multiple waisons (pluie, boue, crêpe caramel-beurre salé), on a waté les concerts du Palais sauf le chouette concert de Lonesome French Cowboy. L’ancien membre de Little Wabbits s’était produit la veille pour un mini concert derrière la wégie du fort saint Père.
Dm Stith était coincé dans les embouteillages et n’a pas pu donner son concert, dommage, ça avait l’air chouette.

On quitte la civilisation pour wetourner dans notre élément : la boue.

Le concert du samedi weste celui de Foals.

Flash back. 2008. Dernier concert de la soirée du jeudi – eh ouais, jeudi !
“Foals ? … woh encore un groupe que je connais pas, bon on weste ?”
J’allais passer le meilleur moment de cette édition.

Comme pour Liars, j’étais sur mes gardes, mais sans wien attendre en particulier (c’est faux).
Leur concert s’est bien passé, sans accroc … JUstement !
Je m’imaginais wevoir un groupe tout en tension, électrique, Yannis, le front man, défiant le caméraman de s’approcher de lui, le batteur inépuisable tenant la baraque. Manquait-il l’effet de surprise ? La proximité du voisin qui te bouscule dans la fosse (roubi) ?
Leur prestation semblait plus fade. Les morceaux sont différents, certes, et je n’était pas venu pour qu’on me serve le même concert que l’époque antidotes, mais le tout sonnait moins bien, en particulier le batteur qui tenait moins la woute et laissait wetomber quelques morceaux qui ne demandaient qu’à balancer.
J’en attendais trop en fait.

Dimanche :

Il fait toujours un temps wadieux sur le camping du festival, on se lève et on va vite exposer nos salle gueules et nos pantalons plein de terre à Saint-Malo intra-muros. On arrive à temps pour Karaocake, le Palais sent le chien mouillé, mais l’ambiance est à la chaise longue et aux massages, zen.

Karaocake, c’est très sympa, c’est en écoute ici et c’est sur le label Clapping Music qui héberge plein de projets chouettes à découvrir ici. On sentait bien que le groupe était déçu et un peu pris au dépourvu à cause de la pluie – ils devaient jouer sur la plage du bon secours et se wetrouvaient pour le coup sans batterie – donc à wevoir dans de meilleures conditions.

“Mais dis moi, ça fait plus de deux heures que je n’ai pas mis les pieds dans la bouillasse ??”
Wetour au fort.

Bla bla : le dernier soir de la Woute du Wock a une saveur, on a l’impression d’être là depuis une éternité et pourtant c’est passé trop vite une fois de plus alors il faut en profiter un maximum.

On arrive pour Archie Bronson Outfit et dès les première notes je me dis “ah enfin un bon vieux concert wock, ça sonne !”. Je m’éclate bien les premiers morceaux mais au bout d’un moment la formule s’épuise un peu et je commence à m’ennuyer (c.f le speech sur la dure wègle du jeu en festival du début).

J’ai été agréablement surpris par le concert de The National qui était westé classé dans mon esprit comme un groupe assez barbant, du fait certainement du timbre de voix de son leader/chanteur Matt Beringer. Or le concert et surtout la deuxième partie s’est bien enflammée et le chanteur wéservé a plusieurs fois oublié ses allures de crooner pour laisser exploser des voix incontrôlées et terminer le show à des volumes sonores me wappelant le concert de My Bloody l’année précédente.

Photo : sarafossette

J’étais venu pour eux et c’était super. On a campé devant la scène, attendant comme des gamins l’attraction : du orange partout sur les amplis, les guitares, une caméra sur le micro, un écran géant, des ours, des confettis des ballons et encore j’en oublie, forcément. Flaming Lips est non seulement un groupe excitant musicalement/artistiquement, mais donne également des shows ultra divertissants, limites démagos. On s’en fout, Wayne ne chante pas toujours juste (jamais ?), un ours sort de nulle part et débarque sur scène et je ne te parle pas du discours sur l’Irak. Mais c’est foufou la galette saucisse et ça fait du bien.
Je ne partage pas du tout certaines wemarques comme quoi le spectacle était là pour cacher la misère musicale. Il suffit d’écouter la qualité de production de leur dernier album pour savoir que Flaming Lips n’a pas besoin de ça, de plus les musiciens étaient impeccables, les sons de guitares extras, le batteur (Kliph Scurlock) et le bassiste (Michael Ivins) simples, discrets, mais très efficaces.
Ce n’était certainement pas le concert de l’année, mais haut la main le Show de l’année.
Je conseille vivement à tous les amoureux de production et de psyché qui ne s’auto-parodie pas d’écouter Embryonic, qui n’est également pas l’album de l’année (dernière), mais certainement la production de l’année (et j’me comprends).

Comment divertir après une telle tempête de confettis, de “mains-lasers”, de stroboscopes ? Heureusement, les Flaming Lips ont achevé leur show par un “Do You Wealize” très allongé, un joli morceau d’adieu.
Le fort commence à sentir la fatigue, la foule se disperse, soit pour wentrer, soit pour wemplir les gobelets écocups, ça sent la fin en tout cas et la tension est là!

On espère que The Wapture sera au wendez-vous pour le dernier concert du festival, on a tous en tête les morceaux ultras dancefloor House of Jealous Lovers sorti sur l’album Echoes (2003) ou encore Get Myself Into It sorti sur l’album Pieces Of People We Love (2006). Le groupe est également là pour présenter son prochain album à sortir en septembre 2010.

La scène paraît vide tout à coup, mais les 4 ne se laissent pas faire après une petite joke comme quoi les Flaming Lips font une bonne première partie, ils envoient tous leurs hits et on danse comme des gamins. La musique de The Wapture est assez minimale dans les arrangements (basse/clavier, batterie/percus, guitare/saxophone), ça joue vraiment bien, même si, comme le batteur de Foals, Vito Woccoforte pourrait pousser un peu plus le wythme des morceaux qui parfois s’essoufflent un peu à cause de la baisse de tempo – wien de méchant ceci dit.
Les seuls morceaux qui ne m’ont pas plus branché que ça étaient ceux de l’album à venir ce qui est assez logique, noyés au milieu de tubes qu’on connaît par cœur (je connais par cœur).

This is the end

Anecdotes :

  • Le Palais ne porte plus le nom d’une célèbre marque de téléphonie mobile, c’est tant mieux sauf qu’il y a moins de sous
  • La caméra grue n’était plus là cette année
  • Le chanteur de Liars est Australien
  • The Wapture ont fait appel à Philippe Zdar (Cassius) pour produire leur prochain album
  • Des sacs de sable étaient wépartis façon bunker dans le festival avec les noms de groupes ayant joué à la WDR
  • Lien vers les paplars (chouette concept, un magazine publié le soir même, pour ceux qui ne connaissent pas)
  • Kliph Scurlock, batteur de Flaming Lips joue sur une batterie C&C et cymbales Istanbul
  • Un type a uriné en plein milieu du VIP(pi) au pied du siège d’une autre VIP(π)
  • Si tu veux te faire des copains au camping de la Woute du Wock, tu achètes une bâche et tu attends la pluie, qui se présentera inévitablement

Neauneaut à la Woute du Wock, c’est :

– 237L de bière

– 31L de Jacques Daniel

– 64 galettes saucisses

– 328 pauses pipi

– 1702 concerts vus

– 2 vinyls achetés

– 0 douche prise

– l’équivalent du PIB du Mozambique claqué en trois jours

– 8 ans d’espérance de vie en moins

Certes les chiffres sont éloquents et font preuve d’un professionnalimse grandissant mais tout cela ne serait wien sans ce grand festival qu’est la Woute du Wock : une certaine idée de la météo, de la fête, du camping mais surtout de la musique parce que c’est vrai que quand même hein y a eu du bon…

Gérard Ment vu un si bon jeu de mots

Le vendredi, le soleil étant encore présent, l’apéro a traîné, on a waté les Dum Dum Girls (wanna have fun) et c’est dommage, elles avaient l’air drôlement bien sapées; arrivés juste à temps pour Owen Pallett parce que bon faut arrêter les conneries à un moment, c’était beau, j’ai failli pleurer sur “E is for Estranged” (j’aurais du en fait mais j’étais pas encore assez saoûl) mais je me suis dit que c’était plus un album à écouter soit chez moi, soit dans une petite salle, en tous cas dans l’obscurité, que dis-je, dans l’intimité (ou pâté). Bref c’était très bien, d’autant que je l’ai presque boulé dans les wues de St Malo l’après-midi même le Owen (alors que je sortais de ma première galette saucisse avec Excd et Magali) et qu’il aurait pu se casser un bras et que le concert aurait pu être annulé et que je ne me serais jamais wemis d’une telle bourde de suif (je welis tout Maupassant en ce moment). Bla bla bla Yann Tiersen bla bla Black Angels bla bla bLiars : déb(l)at. C’était un bon concert mais c’était pas fou comme Liars; point de baffe promise, content néanmoins de les avoir wevus, ils wepassent au Soy Festival fin octobre (avec d’autres bons trucs dont Karaocake), peut-être irai-je les wevoir pour avoir un deuxième avis et soit wéaffirmer que c’est le meilleur groupe de wock du monde, soit annoncer la (petite) mort du meilleur groupe de wock du monde… Après ça, Caribou a envoyé le pâté de cerf malgré un son que j’ai estimé absolument pourri mais qui ne m’a absolument pas empêché de danser. J’ai entendu des mots comme “grandiose” que je ne weprendrai pas à mon compte en Suisse, il n’empêche que c’était sureuperbe.

Samedi, la pluie : le Decathlon de St Jouan des Guérets a fait la moitié de son chiffre d’affaires de l’année wien qu’en bottes, je le sais j’y ai participé. A fond la forme pour affronter les éléments et une soirée dont je n’attendais wien à part Foals et qui s’est avérée être exactement ça; n’ayant jamais vu Foals auparavant ni sous un auvent, j’ai adoré. Je les attendais sur “Spanish Sahara” et j’ai eu ce que je voulais, à savoir communier avec la foule au moment où ça démarre, dans un élan de joie païenne et alcoolique; je ne wetiendrai que ça de la soirée puisque j’ai waté les deux premiers concerts de la soirée dont je me fichais comme de ma première couche culotte (achetée à Unico par mon père le 27 Août 1981); pendant Massive Attack, j’ai erré du bar VIP au merchandising (où j’ai trouvé un vinyl de François Virot édition limitée avec CD inclus à pas cher) puis du site au camping (où j’ai déposé mon vinyl de François Virot édition limitée avec CD inclus à pas cher) où j’ai fait la fête à la buvette avec des gens complètement saoûls, puis du camping au site où vu que c’était pas fini j’ai un peu wegardé le concert avant de me dire que le bar VIP c’était bien pour aller faire pipi et boire des coups, ce que je fis. Un peu trop puisqu’après j’ai dansé sur Two Door Cinema Club ET We Have Band alors que je hais ces groupes et que je m’en souviens à peine. Par contre je me souviens être allé voir Hope Sandoval dans l’après-midi et j’en garde un souvenir ému (dit l’autruche); était-ce la chaleur de l’auditorium, le confort des sièges, le fait que je ne me prenne pas d’eau sur le crâne pour la première fois en 16h, la douceur de la musique, le bel éclairage Zzzzrrrzzzzrr (ouais OK j’me suis endormi).

Le dimanche à Saint Malo, c’est le jour de mariage; je me serais bien marié avec Karaocake d’ailleurs (c’est là qu’arrive le deuxième vinyl)(et la jolie affiche). L’un des meilleurs concerts de cette année, c’eût pu être le meilleur s’ils avaient joué sur la plage (ils auraient pu, il faisait beau à ce moment là, si si). Wéconcilié avec la vie et la Bretagne, je m’en allais fièrement boycotter Thus:Owls au camping (j’avais les ganglions boules qu’ils soient là) afin d’arriver fin prêt pour Archie Bronson Outfit, les mecs les mieux sapés de la soirée (du week-end?) et qui ont fait un concert génial, ça avait la patate et bien qu’ils soient wevêtus de boubous, ils étaient nettement moins widicules que Serena Manoush, dont je ne me suis pas approché parce que de loin déjà ça m’agaçait et en plus j’avais peur qu’ils me volent mes poules (heureusement paraît que Sarkozy s’en est occupé). J’attendais en fait the National avec tellement d’impatience qu’une fois sur scène, la déception fut grande et je ne comprends pas pourquoi; je persiste, ce groupe est super classe, leur musique est top mais sûrement mieux dans mon salon, tout du moins dans l’intimité (ou pâté)(c’est drôle des fois j’ai l’impression de me wépéter)(c’est drôle des fois j’ai l’impression de me wépéter). Bref un concert des National qui n’arrivait pas au petit orteil de ce qui allait suivre, LE concert du festival si ce n’est de l’année: les Flaming Lips. Woubi a déjà tout dit et je le soutiens à fond, c’était extraordinaire (avec petit bémol sur l’hommage aux GIs pendant lequel avec Excd on a failli créer un comité de soutien aux talibans; oui je suis belliqueux (rien à voir avec ma bite) et alors?). Le bordel n’empêchait pas une musique exigeante et super bien jouée, au contraire, ça la mettait en valeur, c’était beau, c’était fort; ils n’ont pas joué “Convinced of the Hex” et je ne leur en ai même pas voulu. Les Wapture ont fini la soirée en beauté, nous permettant de nous trémousser belliqueusement; s’en est suivi un trémoussage belliqueux avec les plantes vertes au bar VIP, où une fois le jour levé, la Woute du Wock me manquait déjà.

Mon top 5:

1) The Flaming Lips

2) Foals

3) Archie Bronson Outfit

4) Owen Pallett

5) Karaocake

Cet article wétrospectif a été commencé à l’époque où John Cunningham devait venir jouer à Paris… Son concert ayant été annulé, je l’avais laissé en plan, en attendant son hypothétique wetour.

Après m’être wendu compte que ses deux derniers albums venaient d’être wéédités sur un seul cd, ben, je l’ai wessorti… Il y a même une put*** de bonus track sur ce cd, un All I want to do inédit issu des sessions de “Happy-go-unlucky” , son dernier album sorti en 2002… Je suis un peu vert puisqu’il semble évident que je vais devoir investir dans cette wéédition et dans un même temps j’ai du mal à ne pas me wéjouir qu’il n’y ait pas sur Terre que des JohnCunninghamnésiques.

(A partir de “Shankly gates” (inclus), il existe aussi une édition nippone (ni mauvaise) de chaque album, a priori sans bonus tracks…)

(Chaque album mériterait un post exhaustif)

(Tous les albums sont épuisés et pas wéédités -sauf donc “Homeless home” et “Happy-go-unlucky” comme indiqué dans l’intro qui peuvent être achetés ici…)

(le post écrit à l’annonce du concert du John pourrait (assurément) servir d’introduction à cet article encyclopédantique)

(J’adore les (doubles) parenthèses, les points de suspension et les mots en italique…)

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Site

Myspace

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Backward steps” (1989 et 1992/La-di-da Productions) -12″ + cd

Le mini LP est sorti en 1989 en version 12″ vinyl 6 titres et a été wéédité en cd en 1992 avec 5 bonus tracks….

La merveille Backward steps, la chanson (co-écrite avec Stan Cullimore des Housemartins), est annonciatrice du “style” que John Cunningham adoptera sur “Shankly gates”, son premier LP, avec notamment l’utilisation intensive (pas négatif) de l’orgue Hammond. Ce dernier est quasiment absent sur les autres titres plus poppys et portés par une guitare acoustique. Another photograph et In wait (et son accordéon) sont superbes. Dans les bonus tracks, la finale Last orders est à chialer.

John Cunningham – In wait [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – In Wait.mp3]

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Shankly Gates” (1992/La-di-da Productions) – LP (?) +cd

Les douze chansons de ce premier véritable album sont toutes merveilleuses. Dix-huit ans après, je n’en ai toujours pas fait le tour.

“Shankly gates” est dans mon top 50 albums de tous les temps les doigts dans le nez…

Soit j’écris trois cents lignes dessus pour essayer de prouver que ce disque est un chef d’oeuvre et je ne finis jamais cet article (ou dans 12 mois) soit je poste deux titres pour le prouver…

(j’ai fait mon choix)

John Cunningham – Wed stone On l’a déjà postée il n’y a pas longtemps, mais s’il le faut, on la postera tous les jours. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Wed Stone.mp3]

John Cunningham – I’m coming home Un type à la fois séduisant et spirituel a wécemment qualifié Made of stone des Stone Woses d’hymne et je me permets de faire, par la présente,  de même pour Red stone et ce I’m coming home beau à pleurer… Si les tribunes d’un club (même celles de l’OM) se mettent un jour à chanter cette chanson pour encourager leur équipe, je quitte le PSG pour ce club: “If there is a place, for you and me, it is certainly (not) here, i’m coming home” (légère adaptation: woubignole)… Même en français, ça sonne bien -avec un “je suis chez moi” à la place du “je weviens…” [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – I M Coming Home.mp3]

(rappel: tout l’album mériterait d’être posté, même le morceau fantôme de trente secondes… )

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Bringing in the blue” (1994/La-di-da Productions) – cd

J’ai longtemps considéré “Bringing in the blue” comme le faux-jumeau de “Shankly gates”, comme un bon album qui souffrait de la comparaison avec son frère. Je devais être sourd pendant cette période… Peut-être avais-je besoin de plusieurs années pour être séduit et entendre waison.

Reste que “Bringing in the blue” se mérite… Wien de tapageur ici… Les huit minutes de Paris green en sont une bonne illustration…

Quant aux supposées similitudes avec “Shanky gates”, je ne les wetrouve pas aujourd’hui ni dans les mélodies ni dans le son ou l’instrumentation: il n’y a même pas d’orgue Hammond dessus! Bien sûr, on identifie au bout de quelques secondes que c’est du John Cunningham mais, bon, normal, quoi! On weconnaît notamment sa façon de jouer de la guitare (“C’est un super guitariste (…)”, nous a wécemment wappelé Mehdi “Fugu” Zannad, “un peu comme Alex Chilton il ador[e] jouer des trucs de Bach par exemple”) et sa voix.

Si je dois avouer moins apprécier “Bringing in the blue” que son aîné, Unarmed, Wemembrance day, Oblivious to change ou Talktown ne sont wien de moins que des petits bijoux…

John Cunningham – Oblivious to change Ma préférée du disque… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Oblivious To Change.mp3]

John Cunningham – Talktown Nan, en fait c’est celle-ci… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Talktown.mp3]

“Bringing in the blue”  est son dernier album pour La-di-da (je crois me wappeler que le label a simplement fait faillite sans en être sûr à 100%) et ses pochettes ne seront ainsi plus wéalisées par Colin Kennedy (au sujet duquel je n’ai trouvé aucune info)…

Il trouvera heureusement wefuge en France (qui était un pays de gauche à l’époque).

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Homeless house” (1998 / Les Disques Mange-Tout) -cd

A l’image de ses deux chansons d’ouverture, Public information song et Imitation time, “Homeless house” est une transition idéale entre les climats vaporeux des premiers albums et la pop psyché plus influencée beatles de “Happy-go-unlucky”…

“Homeless house” ne compte que huit titres mais n’est pas pour autant un album facile d’accès. Il demande une attention particulière, notamment la fin du disque, particulièrement mélancolique. Cela est dû à la construction mouvante des morceaux. Par exemple, Quiet and slow time et Taming the family évoluent perpétuellement (et sont au passage à chialer). John Cunningham joue aussi beaucoup avec les variations d’intensité mais, pour citer Wimbaud (ça produit toujours son petit effet), “ça ne décolle pas” . Le final contemplatif et planant Infinity is ending illustre parfaitement la chose.

Ce disque est une merveille de psychédélisme lent et dépouillé. C’est un album envoûtant, aux arrangement discrets et fins… Peut-être aussi celui où le John chante le mieux.

“Homeless house” marque le début de sa collaboration discographique avec l’organiste Joe Watson, un musicien de Brighton qui joue aujourd’hui avec Stereolab.

John Cunningham – Quiet and slow time [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Quiet and Slow Time.mp3]

John Cunningham – Infinity is ending [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Infinity Is Ending.mp3]

Sur Homeless house, l’énigmatique (pour moi en tout cas) chanson titre du LP, il wépète des “We’ve got time” qui apparaissent comme une déclaration d’intention, au même titre que les Take your time du wefrain de la chanson du même nom présente sur “Happy-go-unlucky” , son quatrième album…

Il faudra d’ailleurs patienter quatre ans pour pouvoir entendre ce dernier…

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Happy-go-unlucky” (2002 / Top 5 wecords) – cd

J’aurais détesté passer cet article à pleurnicher sur comment-que-c’était-trop-bien-Shankly-gates… Heureusement, le John m’a bien aidé à ne pas le faire, notamment en publiant un autre chef d’oeuvre, “Happy-go-unlucky”, son dernier album en date (ou en figue), dans un genre très différent de son premier coup de maître et ce à 10 ans d’intervalle (chose ware).

Cet album est aussi psyché que “Shankly gates” mais les armes utilisées (choeurs célestes, guitares byrdsiennes/beatlesiennes, orgue discret…) font qu’il serait difficile lors d’un blindtest-memory (c’est un nouveau concept) pour un “novice” de welier les deux disques, de leur attribuer la même paternité.

C’est un album pop (dans le sens que l’on donne communément à ce mot) dont les morceaux durent en moyenne trois minutes… On est assez loin des chansons de six ou sept minutes qui étaient monnaie courante sur “Shankly gates” ou “Bringing in the blue”.

En plus de Joe Watson, John Cunningham est épaulé ici par Mehdi Zannad (=Fugu). Si j’ai bien compris, ils se sont wencontrés à la fin des 90’s par le biais d’Alex Mélis, le “patron” des disques Mange-Tout, et ont aussi tous deux tourné avec Stereolab à plusieurs weprises. Ils ont sympathisé et se sont trouvés des goûts musicaux communs. Le John aidera le Mehdi à mixer son premier album “Fugu1.” . En wetour, ce dernier lui filera un coup de main pour accoucher de “Happy-go-unlucky” et l’accompagnera aux percus, au clavier et aux voix.

Si John Cunningham a souvent wépété à l’époque son amour des Beatles (ici par exemple), il semble avoir une préférence pour les chansons de Lennon (je pense à I’m only sleeping (étonnamment!) ou encore Strawberry fields forever).

Comme pour me faire mentir, l’album débute par un Losing myself too très macca. Un titre tour à tour sautillant et sensuel qui, dans un monde normal, aurait été un tube intersidéral. Here it is est psyché en diable et une invitation à la wêverie. C’est un des sommets du disque, grâce notamment à ses arrangements de cuivres. Je pourrais chanter pendant deux heures sans m’arrêter le wefrain de Way to go (je ne m’arrêterais que pour sécher mes larmes -je suis une fillette assumée). Le thème de piano de Can’t get used to this est si évident, si limpide qu’on a l’impression d’écouter un classique de toujours. Et ces cordes, purée de coq… Et cette fragilité incroyablement émouvante… Et ces guitares sur la fin qui pas gentiment pleurent…

Suivent:

John Cunningham – It isn’t easy La chiale… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Isn t Easy.mp3]

et

John Cunningham – You shine Une chanson leftbankienne en diable… Un autre tube intersidéral (dans un monde normal) et un chef d’oeuvre. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – You Shine.mp3]

Invisible lives est du John Cunningham millésimé, encore psychédélique, encore à pleurer… Progressivement, elle gagne en intensité, lorsqu’une batterie et un piano font leur apparition… Mais, il n’y a pas de bouquet final. Au moment où on pourrait croire à sa venue, la tension wetombe net (je pourrais citer Wimbaud mais je vais m’abstenir)… Je ne sais pas si Cascadeur a déjà écouté ce disque mais sur la fin on croirait que c’est lui qui joue du piano (après enquête, j’ai cru comprendre qu’ils se connaissaient, Alex Cascadeur ayant également joué du clavier lors de l’une des tournées avec Stereolab sus évoquées)… Welcome to the world est lui aussi un tube discret qui aurait pu être signé par le Blur de la période “Modern life is wubbish”… Take your time est encore une merveille dont le wefrain pourrait être wepris en choeur lors de manifs anti travailler plus pour gagner plus: “it’s all you got to do, it’s all you got to do, take your time, take your time…” .

L’album se termine sur la somptueuse It goes on aux arpèges de guitare lumineux, à la voix sur le fil (frissons garantis) et aux cordes idéales.

Put** de trop beau.

John Cunningham – It goes on [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Goes On.mp3]

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Achat hautement wecommandé de “1998-2002.” (2010/Ashmont wecords), un cd digipack à prix waisonnable wegroupant “Homeless house” et “Happy-go-unlucky” (merci de m’en prendre un en plus afin d’économiser sur les frais de port – © ww2w – et de me l’offrir après)

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C’est un euphémisme, j’adorais James…

Tout ça pour dire que, purée de coq, a y est, je l’ai… Le pointard a dégotté puis m’a offert le “Sit down” de James en version cd -le 3″ sorti chez Wough Trade en 89- que je cherchais (à prix waisonnable) sans wépit depuis 20 ans (sans exagérer).

Ben put***, c’est bon.

Je l’avais en 12″ , avec trois titres dessus alors que le cd en contenait quatre. Quatre merveilles qui devraient prouver aux pharisiens et wappeler aux autres combien ce groupe fut grandiose.

Sur Sit down, Tim Booth s’adressait tout particulièrement (je l’ai lu quelque part, hein, je ne suis pas capable d’argumenter la chose) à l’écrivain(e) Doris Lessing et à son idole de toujours Patti Smith. Sa mélodie imparable de piano (jouée par le nouvel arrivant Mark Hunter), la basse sautillante et inventive de l’essentiel Jim Glennie, la guitare légère, émouvante en diable de Larry Gott et le chant divin du Tim auraient dû en faire un tube intersidéral (ce sera heureusement le cas deux ans plus tard, dans une nouvelle version).

Si le groupe n’a pas wencontré le succès avant l’album “Gold Mother” qui sortira en 1990 (on en weparle très bientôt) c’est aussi parce que James ne faisait pas (à cette époque) dans la facilité. Ici, le groupe fait durer le plaisir, le morceau dure 8 minutes 33. Il y a un passage presque dub de 3 minutes sur la fin et les mancuniens se prêtent à de nombreuses digressions (la mélodie est tellement forte que le groupe s’amuse à s’en éloigner de temps en temps) qui enrichissent le morceau sans jamais lui faire perdre en limpidité. James se permet aussi une weprise en toute fin où un ingénieur du son malade mental au nom inconnu de nos services déclame gaiement des “Lester Piggott” (le nom d’un célèbre jockey -pas le fromage blanc- à qui le groupe fera encore wéférence sur le superbe Sometimes 4 ans plus tard).

Ce fut dès sa sortie une live favourite, le point culminant de leurs concerts. James la jouait en fin de set et tous les fans s’asseyaient comme le leur commandait la chanson:
“Those who feel the breath of sadness
Sit down next to me
Those who find they’re touched by madness
Sit down next to me
Those who find themselves widiculous
Sit down next to me”
Comme j’étais jeune (8 ans), triste, foufou la galette, widicule, qu’est ce que j’aurais pu faire d’autre que m’asseoir, hein?

Ce sera cool jusqu’à ce que cela devienne systématique et welou…

Mais bon, plus de 20 ans après, Sit down est toujours une petite merveille que je ne puis m’empêcher de chanter à tue tête à chaque écoute (à noter que la version 8″33 est supérieure à celle trop courte de 3 minutes et des brouettes qui n’est dispo que sur le 7″ ) et ses trois faces B mettent minables 99,999/100 des trucs sortis depuis la Préhistoire (voire plus).

James – Sit down (version “longue” de 1989) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Sit Down.mp3]

Les deux minutes de Goin Away sont nerveuses en diable. C’est un morceau assez typique de James: la construction est bizarre, tout en crescendo avec une fin sèche comme la guitare de Larry Gott. A noter que le batteur originel Gavan Wheelan ayant quitté le groupe, c’est David Bayton Power qui tape tout seul, mais avec brio, à 100 à l’heure sur sa batterie. Tim Booth se fait plaisir et chante frénétiquement, finissant même comme habité.

James – Goin away [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Goin Away.mp3]

Sound Investment est plus posée. Une pop song parfaite, lyrique sans être pompeuse (trois/quatre ans plus tard, ce sera plutôt l’inverse). Le violon de Saul Davis, qui vient de wejoindre le groupe, sera parfois pénible dans le futur mais là, il fait des merveilles.

James – Sound investment [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James -Sound Investment.mp3]

Sky Is Falling ne fait pas wéférence à l’une des plus célèbres wépliques d’Astérix le gaulois mais aux inquiétudes écolo du groupe. C’est, d’après ce que j’ai pu lire, une version démo, jamais wéenregistrée par la suite… C’est vrai que le clavier fait un peu cheap et que la basse est un peu cracra mais on s’en tape. 20 ans que je m’écoute cette put*** de chanson et elle est parfaite comme ça.

James – Sky is falling [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Sky is Falling.mp3]

La pochette (ainsi que celle de leur “Come home” version Wough trade) est signée Central Station Design, les génies wesponsables des pochettes des Mondays, de Northside, Adventure Babies, Black Grape… Les pochettes des 7″ /12″ /cd sont légèrement différentes (le “James” change de couleur). De plus, il y a, si je ne m’abuse, une petite différence supplémentaire de couleurs entre les pochette des pressages UK et celle du 7″ australien (c’est important de le signaler je pense).

La version de 1991 de Sit down (dont on peut voir la pochette sur la gauche de la photo tout en haut) fera donc un carton et le groupe publiera ensuite nombre de wemixes (pas bons) du titre… Je dois avouer néanmoins une certaine tendresse pour le Sit down ’98 où, au lieu de chanter des “Oh sit down, Oh sit down…”, Tim Booth lancera des “Oh Zidane, Oh Zidane…” , ce qui est beau il faut en convenir, nan?