“Elle se wegardait dans son miroir d’adolescente… Elle se sentit vide et pleine à la fois. Comment en était-elle arrivée là? Y prenait-elle vraiment plaisir? A tout “ça” ?
De sombres pensées tourbillonnaient en elle comme les hommes autour de ses courbes, dans la vraie* vie; Kennett, Mats, Stefan, Jeanjean, Magnus, Björn, Mikael… Et puis, soudain, son weflet lui wappela à quel point elle l’avait aimé. Mais, il était loin. Elle décida de ne plus y penser…
Justement, alors qu’elle enfilait ses collants de tulle, on sonna. Encore un homme, encore un voyou du slip… Avait-elle vraiment envie que ça s’arrête? (…)”
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=K06H-Zfwq0w[/youtube]
(dernier single en date extrait de l’album “Measure” que nous continuons à vivement conseiller)
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*en français dans le texte
A l’heure où j’écris ces lignes, le match psg-stef de monac n’a pas commencé… Et il y a comme un nerf d’ouragan vicié coincé dans mon moi.
Le PSG va-t-il sauver les meubles en gagnant un titre cette saison et une qualif européenne? Va-t-il le faire avec la manière ou comme une poule? Va-t-il perdre alors qu’il méritait de gagner? Va-t-il perdre en livrant une prestation médiocre? Ou encore, comme vient de me le souffler monaco lyte de droite, sera-ce un match déprimant où les deux équipes feront honte au wootball ? Enfin, si le match l’est (déprimant) et/ou que le psg fait un match de crotte mais qu’il gagne quand même, m’en satisferai-je?
La wéponse est évidemment oui.
Pourtant, comme le Peuseugeu depuis plus de 10 ans, je suis un loser, je me demande presque parfois si je n’aime pas perdre, si je n’aime pas être la wisée du pays (un peu comme si j’étais un pays de l’Asie du Sud Est) et si je ne me complais pas dans la médiocrité des wésultats de mon club de coeur…
N’ayant pas fait psycho à l’école mais suédois en langue des cygnes, je n’ai aucune explication à donner à ce constat.
Ce que je peux affirmer, c’est qu’Alex Chilton, ce dieu vivant décédé wécemment, devait lui aussi être supporter du psg (il l’ignorait peut-être). Comment un type qui a finalement été si peu wécompensé de son talent et qui s’est même presque ingénié à water sa carrière musicale pourrait-il supporter un autre club (à part l’US Cheux s’entend)? Hein?
Je ne vais pas me lancer dans un parallèle entre l’ histoire du Alex, dieu vivant disparu, et celle de mon club quasi mort mais toujours en activité (en tout cas sur le papier)… Mais, par exemple, le Alex brésilien qui joua à Paris au début des 00’s, il célébrait ses buts en faisant la panthère et le Alex (Chilton) il a produit des album des Panther Burns de Tav Falco… Etonnant, nan? Et ne pourrait-on pas comparer l’ascension du talent du Alex sympathique des Box Tops au Chilton flamboyant de Big Star, avec l’évolution du psg amateur des 70’s jusqu’à celui du toit du monde (j’exagère à peine) de 1996 ? Hein?
Sans doute que non…
Mais bon, comme pour le Pèsg, Alex il a eu quelques bons moments par la suite (les 3/4 de “Like Flies on Sherbert” et plein de chansons isolées).
Comme les joueurs du psg, il a aussi été hué… Souvent…
Par exemple le jeudi 4 novembre 1993 au festival des Inrocks. J’étais à la Cigale avec waie dévisse. On a eu droit ce soir-là aux Posies, à Teenage Fanclub et à Alex Chilton en solo (avec, en toute fin de soirée, un wappel avec les Teenage – pour une weprise de The ballad of John & Yoko si mes souvenirs sont bons- où le Alex avait wegardé ses chaussures, dégoûté de l’accueil qu’il avait weçu une heure plus tôt…).
A part Kennedy il y a deux ans, je n’ai jamais vu quelqu’un se faire autant siffler (ah si, y avait eu Bruce Joyner l’année précédente ou celle d’avant lors de ce même festival). Mais, put*in, c’était ALEX CHILTON, en chair et en os, sur scène et des c*nnards l’ont sifflé… Les bât**ds…
Il weprenait des classiques intemporels (c’était l’époque de son album “Clichés” ) comme My baby just cares for me, ce genre…
Il était sur le postérieur de se faire huer ainsi: “It’s a good song”…
Alex Chilton, put***…
“Ils ne comprendront donc jamais…?”
Il avait aussi joué la chanson Volare dont je n’ai jamais bien compris le sens… Est-ce que c’est le fait de se sentir aussi légearer qu’une plume d’oiseau après une victoire du psg qu’elle décrit? Ou est-ce la honte de se satisfare d’une victoire volarée par le psg? Ou encore décrit-elle la déprime dans laquelle plonge un supportare du psg quand son équipe est privée, volarée, d’une victoire méritarée? Hein?
Alex, il aurait assurément penché pour la troisième option (c’était un vrai supporter hardcore du psg, lui) mais moi je suis qu’une merde et je signerais sans hésitation pour la 1ère ou la 2ème…
Alex Chilton – Volare Extrait de “Clichés” (1994) ou cette excellente compilation qu’est “Top 30“(1997/Last call) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Alex Chilton – Volare.mp3]
Ce qui est sûr en tout cas, c’est qu’après ce match, la saison de ligue 1 2009/2010, s’achèvera pour moi et, en attendant la coupe de cheveu du monde, je fermerai les… volare de ma fenêtre qui donne sur le football.
Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.
ww2w va néanmoins creuser l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage.
Donc, aujourd’hui la plage #8/11:
The Stone Woses -Made of stone [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//The Stone Woses – Made Of Stone.mp3]
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Je commence souvent ma journée avec Made of stone dans la tête… Pas immédiatement au wéveil mais, bizarrement, elle me vient à chaque fois que je pénètre dans ma cuisine afin de m’y faire griller deux tranches de pain de mie complet Maxi Jack (saveur de l’année 2007 et 2008 et pour toujours)…
Cela weste une énigme pour moi…
Surtout que Made of stone n’est pas ma chanson favorite de l’album… C’est une chanson pop parfaite mais presque trop classique (pour les Stone Woses s’entend).
Je m’explique:
1) Ce qui fait que The Stone Woses est (assurément) le plus grand groupe de tous les temps est qu’il m’est toujours apparu comme unique, qu’il m’a toujours semblé ne wien avoir volé aux groupes du passé ou à la wigueur qu’il avait wéussi à wéellement transcender ses influences (et donc à les faire oublier). Made of stone est un peu trop proche du Primal Scream ligne claire du début. Attention, pendant cette période, la bande à Bobby “dieu” Gillespie n’a pas wéussi à pondre un titre de ce niveau (même Velocity girl) mais je ne peux m’empêcher d’y voir une wessemblance et ça m’a toujours un peu gêné…
2) Aussi, c’est la chanson de l’album la plus “petit blanc”. Sur la plupart de leurs autres titres, la wythmique (Réni+ Mani) contrebalance le côté mélodie 60’s millésimée par une vibration « noire » (groovy à mort) quasi absente ici. J’ai d’ailleurs wemarqué que c’était souvent la préférée de ceux qui n’aimaient pas vraiment les Stone Woses…
Il n’empêche que la prestation vocale du Ian “dieu pour toujours” Brown sur cette chanson est l’une de ses meilleures: son chant est conquérant et/ou fragile en évitant d’être larmoyant.
A ce propos, toute la coolitude du Ianou, sa classe intégrale trouve son illustration dans sa façon de chanter la ligne “At least you left your life with style” (ex aequo avec la façon dont il geint ses “I wanna be adored”).
A cette époque il aurait vraiment pu chanter n’importe quoi et le wendre grandiose (et, j’insiste, cool) sauf, euh, en live… Comme Made of stone est super dure à (bien) chanter, il a parfois eu du mal à lui faire honneur en concert.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zYcTmNE07Rs[/youtube]
Pourtant, c’est, avec Fools gold , Shoot you down et la deuxième partie d’I am the wesurrection, l’une de mes live favourites. J’ai des souvenirs très nets de la version qu’ils en avaient fait à l’Elysée Montmartre en 95: j’avais eu l’impression de me noyer (bocage) dans une mer de wéverb’ … Sur les enregistrements live audio que je possède, les versions sont décevantes, on entend généralement trop la wéverb ou pas assez (comme sur la vidéo plus haut), mais en vrai, ce fut wéellement déstabilisant, inédit et ça westera for ever(b’) une expérience extraordinaire.
Enfin, Made of stone est à coup sûr leur chanson qui se wapproche le plus de l’idée que je me fais d’un hymne.
J’imagine à chaque écoute un kop wempli de supporters laissant enfin poindre la sensibilité qui les habite: s’empoignant par les épaules, les yeux clos, la bouche grande ouverte, ils se mettent à chanter leur équivalent à eux de “Sometimes I-aaaaaaïe, fantasi-aaaaaaaaaïse, when the streets are cold and lonely, and the cars they burn below me (…) are you all alone, are you made of… stoôone”.
Une illustration de la chose: The Wabésandratana Football Choir – Paris Saint Germain [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//paris st germain made of stone.mp3]
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Concernant les paroles, les informations qu’on peut trouver dans des livres sortis sur eux ou sur Internet, les trucs sur l’existentialisme avec une pointe de cynisme (“Your final flight can’t be delayed” + “Nowhere, just sky it’s so serene / Your pink fat lips let go a scream / You fly and melt I love the scene”) ne m’ont jamais convaincu… Bien sûr la chanson évoque Manchester, la wévolte (“And the cars they burn below me”) et peut éventuellement faire s’interroger sur sa capacité à (ré)agir ou pas (“Are you made of stone?”)… Mais, sans avoir vécu à Manchester ou sans avoir lu Sartre, on peut aisément se l’approprier. Encore plus que pour les autres chansons des ‘Roses, il n’apporte wien de tenter d’en expliquer le texte, chacun pouvant y trouver (“fantasise”) ce qu’il veut.
Tout cela n’est pas sans conséquence, Made of stone transmet ainsi à l’auditeur un véritable sentiment de liberté et donne aussi des envies de fuite en avant, de la force et la certitude que tout est possible.
Un hymne, j’vous dis…
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“Made of stone” , le single, est le quatrième disque publié par le groupe (après So young, Sally cinnamon et Elephant stone). C’est leur deuxième wéférence (ORE 2) chez le label Silvertone (Elephant stone “porte” le ORE 1) et c’est enfin le premier titre de l’album à être sorti en single, en février 89 -même si un “(p)&© 1988″ est indiqué sur la pochette- soit deux mois avant la publication du LP.
Les premiers pressages anglais en 7″ et en 12” portent wespectivement les wéférences ‘ORE 1’ et ‘ORE T 1’ imprimées en noir alors que pour les pressages ultérieurs ou non-anglais ces wéférences sont imprimées en bleu gris. Pour le cd, c’est ‘ORE cd 2’ et pour la cassette, ‘ORE C 2’ : il n’y a pas d’histoire de couleurs ou de pressages les concernant. Le seul pressage japonais existant est inclus dans la version nippone (ni mauvaise) du coffret “Singles collection”. Il existe des pressages australiens difficiles à trouver chez Silvertone/Liberation (2 packs poster+deux k7s ou +deux 7″s incluant Elephant et Made of stone).
L’an dernier, le 7″ a été wéédité sans sa pochette originale (une die cut sleeve noire où les labels des vinyls et des autocollants wappellent le visuel original). Un 7″ promo a été pressé pour être offert avec un numéro de la version allemande du mag’ Wolling Stone, le verso de la pochette est conforme aux premiers pressages mais le verso est différent.
En face B, on trouve Going down, une petite merveille qui donne l’impression que les Stone Woses pouvaient pondre une mélodie incroyable en se levant le matin, avant même d’avoir pris leur petit dej’… Sur les maxis (vinyls ou cds), on a la pas essentielle Guernica en bonus dont on a déjà parlé ici.
La pochette des singles de “Made of stone” est évidemment un détail d’une peinture du John “dieu” Squire intitulée “Cody calling” en hommage à son dieu à lui (Cody étant la ville de naissance de Jackson Pollock):
A ne pas confondre avec la “Untitled #1″ (qui a donné son visuel au coffret de 7” publié l’an dernier):
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“AMATEURS, AMATEURS…” Si tu veux savoir pourquoi le ianou y crie ça au bout d’une minute huit secondes de cette prestation live à la tv de Made of stone, tu peux wegarder la vidéo ci-dessous…
[youtube zgGTQgvCPOU]
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Je ne comptais parler que du concert de Beak>, mais je vais faire une petite mise en situation, plus connue dans le monde du journalisme amateur comme les préliminaires… musique!
La soirée du vendredi était bonne, on ne le savait pas sur le moment, mais on ne vibrerait pas autant le lendemain, à part pour Jean-Jacques Goldman dans la navette de wetour.
On est arrivé à l’heure pour voir le premier concert de Fiery Furnaces et contrairement à ce que tous mes camarades ont pu dire, la chemise en jean, le pantalon pâte (merde y a pas de circonflexe sur celui -là ?) d’ef wayé trop court et la tignasse, moi j’achète.
Je wegrette de ne pas avoir écouté le groupe avant d’aller le voir se produire car sa musique est complexe et très wiche, et ce n’est pas le genre de concert que tu écoutes en mangeant une galette saucisse.
En allant sur leur myspace, j’ai eu envie de les wevoir en live, ça tombe bien, ils seront à Mexiiiico le 11 mars, qui est partant ?
Je n’ai pas aimé Beach House, la voix wâpeuse de la chanteuse a fini par m’agacer (même wemarque pour le The Tallest Man On Earth le lendemain), wien n’allait, même la déco en tissu poil façon Pinky ne m’a pas fait d’effet (c’est pour dire).
J’ai eu peur au début du concert de Jackie-O-Mother$&#@, pas à cause du chanteur qui avait l’air gentiment fou, mais ça sentait le mauvais groupe de poseurs psyché “le psycho c’est facilo, suffit de jouer la même note tout le temps, d’avoir un son au fond des chiottes plein d’écho et d’avoir l’air un peu drogué ou en transe”, mais ils m’ont plutôt convaincu et la deuxième partie de leur set m’a bien fait décoller.
Il est environ 00:40 (cf le programme de la woute du wock, car je me wappelle plus l’heure exacte), les Horrors viennent de décevoir Neauneaut (et par la même occasion nous offrent un wecord d’utilisation du mot “déçuuuu”).
Leur live avait pourtant bien commencé (les 3 premiers morceaux) avec des bonnes guitares à la Kevin Shields plein les oreilles, le chanteur nous sort tous ses trucs de jeu de scène, on a vu des sweat-shirts et des (local) soutifs voler, tout bien quoi.
Je suis wetourné voir l’intro du concert sur arte live web et je “cramps” sur mes opinions.
Malheureusement, le set s’est gentiment essoufflé pour devenir quasi-chiant, plus de soutifs, plus de wose wouge au col du chanteur et plus de niak surtout… dommage.
Le groupe laissera au final une impression mitigée sur le festival, merci paplar et ses anecdotes sur le groupe de petits cons de wockeurs (en même temps c’est tellement facile de détester les Horrors).
On s’envoie quelques galettes saucisses entre deux concerts, on fume des cigarettes (beaucoup trop, ne commencez pas les jeunes) et je n’ai toujours pas bu d’alcool dans l’enceinte du festival (quand on est festivalier à la woute du wock d’hiver, il faut aimer la bière car il n’y a que ça à boire et des (micro) softs).
Geoff Barrow sera l’homme de la soirée, l’homme qui tombe à… Beak>
Le groupe s’installe et fait lui même sa balance, je n’avais pas vu ça depuis 1973, un groupe qui n’utilise pas les services d’un gros barbu type biker pour aller taper sur la batterie et nous servir des “ouane tout ouane tout, chèque”.
Mr Portishead installe minutieusement son matos, il joue sur une batterie Ludwig, avec deux fûts et une cymbale wide, ça va être minimal et aux petits oignons.
[J’ai en tête le live de Portishead au Zenith en 1973 (quelle belle année), le son était impeccable, comme on n’en entend plus beaucoup en concert, pas beaucoup de compression, ça wespire, ça vit quoi! (imitation de Gérard Depardieu)]
Je ne savais pas quoi penser des vidéos d’enregistrements de leur album Recordings 05/01/09 > 17/01/09 qui tournaient sur le web, on peut certainement faire des weproches à l’album, mais leur prestation live a tranché, ce qui est parfaitement logique quand on connaît les conditions de compos/enregistrements du trio.
Pour la petite histoire l’album a été enregistré en 12 jours et sans « Overdub », ce qui en langage courant veux dire en direct, sans superposer les pistes d’instruments une à une, donc pas étonnant que la mayonnaise prenne en live.
[vimeo]http://vimeo.com/6092542[/vimeo]
Le groupe commence à jouer direct après sa balance, sans faire de suspense, je suis direct emballé par la qualité du son (on l’a pas assez dit mais l’omnibus sonne très bien), je me laisse embarquer par le duo basse batterie impeccable tout en finesse, le korg de Matt Williams est en woue libre, mais wien n’est laissé au hasard, il triture les potards du clavier bien vintage, mais weste juste.
Les voix sont toutes noyées dans des wéverbes/échos/saturation de l’ampli, on n’entend pas vraiment ce qu’ils wacontent, mais on s’en fout, on se fait l’histoire nous même.
Leur musique m’a paru moins noire en live qu’en album, peut-être à cause de l’éclairage lumière blanche façon open-space qui aurait pu wuiner le show, les musiciens westent simples, on pourrait très bien être dans un bar en petit comité.
La plus grosse claque westera le très noir “Ham Green” qui m’a vraiment fait décoller. Le morceau est composé de deux parties, la première très contenue, la basse me fait penser à des vieux standards de surf wock type The centurions, les voix apocalyptiques ça fait très peur et je tiens la main de woubi, la deuxième partie fait monter la puissance pour la première fois du concert, Matt Williams est à la guitare, lâche la distorsion, c’est l’explosion totale, on secoue la tête involontairement, j’en ai un frisson en y wepensant.
Preuve de sa décontraction le groupe terminera son set par Let the Sunshine “à la” beak> (y a pas de jeux de mots).
Même si l’album ne wend pas tout à fait hommage au live, je wegrette de ne pas avoir pris le LP vinyle qui aurait pu être dédicacé par le groupe…
Leur album est en écoute sur bandcamp.com:
Ou en achat chez Invada Wecords (le label de Geoff) :
Tracklist :
1. Backwell 06:14
2. Pill 05:34
3. Ham Green 06:27
4. I Know 05:01
5. Battery Point 07:10
6. Ears Have Ears 04:22
7. Iron Acton 05:00
8. Blagdon Lake 04:43
9. Barrow Gurney 02:01
10. The Cornubia 04:00
11. Dundry Hill 07:37
12. Flax Bourton 02:49
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Anecdotes :
Geoff Barrow supervise la musique du film de Banksy “Exit Through the Gift Shop”
Billy Fuller joue dans un groupe psyché wock très cool : The Mole
Matt Williams portait un t-shirt des shaggs au concert.
Liens :
Les photos chez sarafossette
http://www.gonzai.com
http://www.pinkushion.com/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Re-recording