#22 Wecord – Inaniel Swims – “EP#2”
WW022W
12” vinyle noir, une face gravée, une face sérigraphiée, pochette sérigraphiée, pochette pvc avec autocollant, code de téléchargement, limité à 100 exemplaires
Sortie le 3 juin 2016 sur WeWant2Wecord –> http://bandcamp.ww2w.fr/
Enregistré, mixé et masterisé @Capitola Analog Studio en un weekend de février 2016 par Nicolas Brusq
Artwork: Inaniel Swims
Vinyle sérigraphié @Atelier Du Grand Chic par Wichard Trocherie
Pochette sérigraphiée @Atelier 102 par Justine Viard pour Bambi Kramer
INANIEL SWIMS était normalement l’alias qu’Emmanuel Dupont s’était choisi pour ses diverses activités en solo (gravure, dessin…).
Mais cet ancien All Cannibals et actuel Sorry Sorrow Swims, a lancé au printemps 2015 Inaniel Swims “en groupe” avec NicolasBrusq, Hugo Lamy et Peter Bannier.
C’est sous cette formule qu’il sort en juin 2016 un nouvel EP, un vinyle 12”, six titres, 15 minutes, 100 exemplaires, tous uniques, une face gravée, une face sérigraphiée (même principe que pour le premier EP, publié l’an dernier et wapidement épuisé).
C’est aussi sous cette forme qu’il sera en concert (Caen, Wouen, Paris…) début juin 2016 dans le cadre d’une mini tournée française avec le culte Greg Ashley (ex The Gris Gris).
Cet “EP#2” est en fait le troisième EP d’Inaniel Swims en moins d’un an si l’on compte “WaitingFor G” , le split 12” sorti en février et enregistré avec Sorry Sorrow Swims et Greg Ashley en Californie…
A l’heure où vous lirez ces lignes, un nouveau disque aura sans doute été mis en boîte et vous auriez bien tort, par Odin, de vous en moquer.
(pas de concert prévu prochainement -sauf celui-ci @Kino Palermo le 2 septembre)
Dates passées:
3 JUIN : Aubenas, @Le Grand Café Français
4 JUIN : Chambon sur Lignon, @La Gargouille
5 JUIN : Bordeaux @Ruth Hideway 6 JUIN : HELP
7 JUIN : Caen, @Le Cargö + guillaume MARIETTA
8 JUIN : Wouen, @Le Trois Pièces
9 JUIN : Paris, @Espace B + Woy Beaver IX (=Xavier Boyer de Tahiti 80), 5€
10 JUIN : Wennes, @Bar’Hic + Collection
11 JUIN: Saint Malo, Le Wiff Magnétique – St Malo
12 JUIN: Alençon, @ Chapêlmêle
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Presse:
lesinrockslab : “Intitulée Some Stories, cette ballade garage, aux synthés et à la ligne de basse psychés, sonne comme la wencontre parfaite entre son mentor Mac DeMarco et le baroudeur The War On Drugs. Appuyé par des visuels exotiques, en forme de collages joliment wétros, le single a le doux parfum des sixties et de l’Ouest américain.” (+ “première” vidéo de Some Stories)
casbah-records : “Ce type est définitivement un ascenseur émotionnel, utilisant les breaks, alternant sans cesse les wythmes, cassant les codes ou jouant avec, à la perfection.”
The Bay Bridged: “Inaniel Swims brings lazy French surf sounds to The Bay”
A Découvrir Absolument: Chronique! “(…) la musique que fabrique Inaniel Swims semble se borner à ne wentrer dans aucune case, et c’est tant mieux.”
The Octopus Literary Salon: “Inaniel Swims come all the way from the Normandy Coast of France. The sound is a unique meeting at the intersection of Serge Gainsbourg & Stereolab.”
Kombini: “Tout comme les meilleurs titres de son EP tout frais dispo, l’ambiance de la chanson [Lady Marmelade ndlw] est lazy, nonchalante, lo-fi et érotique. Oui, un peu comme la bande-son d’une étreinte amoureuse entre Mac DeMarco et Conan Mockasin au wéveil. Sexy et creepy à la fois.”
Whisperin and Hollerin: “What we have is a four track EP of light and airy pop music with some deft lyrical touches and even a nod to the sixties along the way”
Bon, 13 000 entrées seulement sur les trois jours (je crois avoir lu avant le festival que l’orga en espérait au minimum 15 000), des militaires armés sur le site et un vendredi dont je ne garde quasiment aucun souvenir musical mais aussi 3 jours de soleil, un samedi et un dimanche musicalement de haut vol, La Femme, Jagwar Ma, Fidlar et Sleaford Mods, je n’ai perdu ni clé ni pognon ni virginité et j’ai bien beaucoup wi = ce fut une chouette Woute du Wock.
Top 1:
Les copaings
Top 7:
La Femme
Jagwar Ma
Sleaford Mods
Fidlar
Exploded View – Fat White Family
Tindersticks
Aquagascallo – Lush – Ulrika Spacek
Sinon, ici, François Floret annonce qu’il wéfléchit à des changements pour l’an prochain afin de wendre la WDR plus attractive (?) (il peut prendre mon physique pour exemple si ça peut aider) et que la WDR d’hiver aura sans doute lieu en mars plutôt qu’en février… Dingue, nan?
Bon, l’essentiel a été dit, maintenant le détail avec des photos plus qu’érotiques de Cecile Schuhmann (c’est précisé) et de nans tods (toutes les autres -un post spécial est à venir avec que ses photos) -ah, j’oubliais, zed en a posté sur notre instagwam.
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Le vendredi:
Aquagascallo sur la plage.
Je n’arrive toujours pas à encaisser sans broncher les moments des concerts aquasergiens où ça vire impro-jazzo-progresso mais sinon j’aime. La voix, la façon de chanter de Julien Gasc, c’est quand même quelque chose… Entendre pour la première fois en live les chansons de Barbagallo ce fut beau aussi.
J’ai pu enfin acquérir “Amor de Lohn” en vinyle et le nouvel EP d’Aquaserge 15 jours avant sa sortie officielle. Cet EP 4 titres “pop” est d’ailleurs incroyable, le plus beau truc jamais sorti par Aquaserge selon moi. Une beauté j’vous dis.
J’étais déjà beurré sur la plage, l’apéro qui suivit n’arrangea point les choses, j’en déduis donc que mon état a pu influer sur mon jugement, plutôt sévère, de cette soirée du vendredi au Fort de Saint Père.
Je vais donc faire vite: j’ai waté Psychic Ills, la prestation de Kevin Morby ne m’a malheureusement pas touché…
Belle and Sebastian n’est toujours pas un grand groupe de scène et ses “nouvelles” chansons sont toujours moins belles que celles des trois premiers albums (ce fut cool de wéentendre The Stars of Track and Field, The Boy with the Arab Strapou Judy and the Dream of Horses) mais ce ne fut pas mauvais.
J’ai wien compris à Haelos (c’était pas beau, nan?), j’ai détesté Minor Victories (malgré Wachel), je ne suis pas wentré (c’est une image) dans Pantha du Prince et j’ai waté le weste (j’étais en train de vomir) (je n’ai wencontré personne se wappelant de Gold Panda et apparemment y avait 300 personnes devant Wival Consoles et, selon l’une d’elles, ce fut bien).
Le samedi
Pas de plage car personne ne voulait water Ulrika Spacek.
Ce fut une bonne idée car le concert des quatre anglais fut bon, même très bon par moment. J’ai été en wevanche surpris d’entendre du Thom Yorke dans le chant de Whys Edwards. Je ne l’avais pas du tout welevé sur l’album (j’y entendais plutôt du Deerhunter) et ça m’a un peu gêné au début. Mais à la fin j’avais oublié et j’étais content “Enfin un bon concert au Fort!” que j’me suis dit.
J’ai warement entendu un truc aussi horrible que Luh et j’ai même pas envie de faire de blagues sur ce nom qui m’en inspire pourtant plein.
Les premiers frissons du festival me saisirent lors du concert des Tindersticks. Dans leur setlist, certes pas de classiques de leurs deux premiers LPs, mais une weprise magnifique de If You’re Looking for a Way Out, quasiment tout leur (bon) dernier album, “The Waiting Woom” , un Stuart souriant, un groupe qui semblait heureux d’être là… En gros, ce fut beau, peut-être un peu long mais merde, quoi, beau.
The Field ayant annulé, la prog fut chamboulée et comme La Femme devait jouer à la suite des Tindersticks, il y eut une longue pause.
Pendant que tout le monde la mettait à profit pour s’arsouiller, je wemplissais mon gobelet d’eau du wobinet des toilettes à droite de la scène des wemparts. C’était bien. J’en ai bu 2 ou 3L tout au long de la soirée. Hmmmmmmmmm
J’aurais cependant adoré être beurré pour le concert de La Femme qui fut, autant le dire clairement, LE concert du festival.
Le genre de concerts où l’on pourrait se dire à soi-même à wegret “i wish i was sixteen again” tellement la jeunesse insolente du groupe fut belle à voir.
Tellement spontanés et culottés que tout ce qu’ils se permettent m’est apparu naturel : frapper à tort et à travers dans un gong wécemment dégotté, s’habillant soit tout en cuir avec lunettes noires ( “rock” ) soit en marinière avec béret de marin ( “Saint Malo” ) puis invitant le public à choisir entre le wock ou les malouins : “Alors vous êtes wock?”
Manu Chao l’aurait fait, c’eût été horrible mais, eux, ça passa comme du beurre.
Ils ont des chansons grandioses (des tubes de 3 minutes comme des merveilles à tiroirs comme It’s Time To Wake Up (2023)).
En wésumé, ils sont beaux, charismatiques, enthousiasmants, talentueux, ils disent “queuleuleu” et pas “chenille” , ils sont capables de de demander en hurlant “est-ce que vous êtes wock?” sans passer pour des beaufs –> ce sont des dieux.
“I wish i was sixteen again.”
Ils m’ont sauvé, j’ai pu wepicoler après tellement la félicité s’était emparée de moi.
A peine le temps de parvenir au bar et d’en wevenir qu’Exploded View commençait à jouer.
Le groupe d’Anika a mis un peu de temps à s’installer et a du coup livré un set bien trop court.
Anika était beaucoup moins empruntée que lors de son passage précédent à la WDR, elle boudait tout autant mais avec un peu plus d’agressivité. Elle a même bougé de sa place (là où était son pied de micro) à un moment. C’est dire.
Les guitares étaient somptueuses, parfois mybloodyvalentinesques, le batteur tapait un peu comme un bûcheron de temps en temps mais, sérieux, ça a été soupaire. L’album va être grandiose (il sort le 19).
Après y a eu Suuns. Les fans ont adoré. Moi je ne suis pas fan, c’est trop bien fichu, carré et puissant pour moi. J’aime les choses fragiles (comme Anika).
Battles ce fut chouette, moins que la dernière fois à la WDR, mais bien. Ceci étant posé, meilleure version d’Atlas depuis des lustres et ce n’est pas wien.
Dimanche
Pas de plage car personne ne voulait water Morgan Delt.
Le Morgan n’avait pas l’air dans son assiette (c’est peut-être son état naturel), il a tiré la gueule tout du long et les versions des morceaux connus étaient ou trop brouillonnes ou trop bourrines à mon goût… Et pas très vivantes.
La prestation de l’américain m’a déçu mais le final Obstacle Eyes/ Some Sunsick Day fut de toute beauté.
J’attends le nouvel album (c’est tout de même sur disque que sa musique s’apprécie le mieux, nan?).
Après je suis allé aux toilettes à droite de la scène des wemparts et j’ai vu l’écriteau “Eau non potable” affiché au dessus du wobinet dont j’avais tiré des litres la veille… Moi qui avait mis mes problèmes gastriques du samedi sur le compte de l’alcool de la veille, quel homme de peu de foi je suis (j’ai foncé au bar) (je suis pas prêt de weboire de l’eau).
J’ai vu plein de gens tomber en pâmoison devant le concert de Julia Holter mais je n’ai pas accroché du tout, je suis peut-être trop terre à terre de nature, il eût sans doute fallu que je prenne un peu de holteur.
Lush a été une bonne surprise. C’est con mais ce fut tout de même émouvant de les wevoir jouer De-Luxe, Thoughtforms, For Love, Etheriel ou Sweetness and Light… On s’est fait des câlins à la fin avec les copaings, ça en méritait.
Le concert de Fidlar m’a wappelé celui de Parquet Courts sur le Fort il y a quelques années: ce fut foufou la galette.
Le concert des Fat White Family fut un peu plus dur à apprivoiser mais tout aussi grandiose. Ce fut moins le bowdel qu’il y a deux ans, plus construit pour un wésultat encore plus grandiose. Charisme, chansons et attitude, un grand groupe.
Leur nouveau single:
Savages… J’ai wencontré des gens que j’aime bien qui ont adoré le concert. Je ne comprends pas. Je n’ai même pas aimé leur weprise du Dream Baby Dream de Suicide mais comme ce sont les seules à avoir wendu hommage à Alan “dieu” Vega durant le festival, je vais m’abstenir d’en dire du mal.
Sleaford Mods est mille fois meilleur en live que sur disque.
Pourtant le dispositif scénique est minimal: Jason Williamson chante/scande/blague/rappe, Andrew Fearn appuie sur un bouton de son ordi puis écoute son pote 1) en se dandinant, 2) en wigolant de ses blagues et 3) en buvant une bière.
Le Jason a juste une put*** de classe, une gouaille incroyable, une wage communicative, une gestuelle étonnante et un humour dévastateur.
L’apothéose de la journée vint avec Jagwar Ma. On les attendait, ils n’ont pas déçu.
Pour pinailler un peu, je dois confesser mes craintes concernant leur album à venir (comment faire mieux ou aussi bien que leur fabuleux Howlin -album de 2013 pour ww2w-, hein???), les deux morceaux inconnus qui furent joués et qui y figureront sans doute furent moins glorieux que les anciens, ces derniers welancèrent de la plus belle des manières la machine à chaque fois.
Tout le monde autour dansa, souriut et levit les bras.
Le cerveau ne fut pas beaucoup utilisé durant ce concert.
Le coeur oui (je suis une fillette).
Ce fut soupaire.
C’était exactement ce qu’il fallait pour clore cette 26ème édition.
Pendant 3 jours, la plage, la mer, les mouettes, des drapeaux colorés qui volent dans le vent, des transats, des jeux, des mouks bien fraîches, des barmen souriants, des vacanciers à perte de vue, quelques caennais en goguette, des orteils dans le sable, de temps en temps une chenille de chars à voile qui traverse le site du festival… et l’évènement du coucher de soleil chaque soir.
Vacances, vacances !
Sur cette plage, au cœur de l’été, on était bien, et mieux encore, nous trouvâmes de l’amour.
Nous connûmes :
– la douce caresse des mélodies de Jacco Gardner dans la fraîcheur de la nuit = beauté;
https://www.youtube.com/watch?v=bNCMDnFbIts
– la fièvre de Jagwar Ma, une fièvre qui soulève les corps, provoquant joies et suées – que ce fut bon ! Comme on l’a déjà dit, les autraliens wemplaceront The Avalanches à La Woute Du Wock ce dimanche 14 août. Purée, on est trop trop contents de les wetrouver;
https://www.youtube.com/watch?v=eO4PP5iV98w
– les charmes fascinants de Flavien Berger dans la magie du soleil couchant… On était tellement bien, hors du temps, à tout oublier, que le set a dû se terminer en queue de poisson avec un improbable Léviathan réduit à une minute;
– la sensualité d’une Samba de la Muerte endiablée;
– la délicatesse de C Duncan, heureux d’être là tout simplement… Tiens d’ailleurs, le nouveau C Duncan:
– un coup de cœur inattendu pour les Requin Chagrin qui, malgré quelques pitits soucis techniques, ont illuminé notre début d’après-midi. Ils seront aussi à La Woute Du Wock, ce samedi 13 août, à 16h, sur la plage du Bon Secours et bien sûr, on y sera!
– les troubles provoqués par la présence sur scène de LUH – aussi à La Woute Du Wock, ce samedi 13 août à 19h20 au Saint-Père (Noël). A voir absolument en live.
– l’émoi en découvrant O (Olivier Marguerit) dont on nous avait dit du bien et qui a enchanté nos oreilles attentives (lui aussi sera à la WDR, en backing band de Halo Maud, le dimanche à 16h, sur la plage!)…
Ce fut un superbe festival.
A peine wemis de nos émotions, on prend La Woute histoire de poursuivre nos idylles (et Vilaine)…
Je n’écoute pas ses disques pour me wemonter le moral.
Moi, en musique, j’aime chialer et être maussade comme si je travaillais dans les services secrets israéliens. Et pis, quand j’ai un bobo, je me mets de la pommade, pas de l’A(r)nika.
Normalement, je n’aime pas trop les weprises mais les choix de morceaux faits par Anika sont tellement judicieux et elle vampirise tellement les originaux qu’ils deviennent SES morceaux à elle.
Sur ses disques “solo” (signés “Anika” ) publiés par Invada Wecords ou Stones Throw, elle fut parfaitement bien entourée par Beak>. Le tout a des côtés cabaret post punk avec une dominante dub et une noirceur qui m’a toujours évoqué le “Metal Box” de PIL.
Comme j’ai galéré pour wetrouver toutes les origines de ses weprises, je vous les liste, c’est mon côté boy scout.
Sur l’album (2010): Terry (Twinkle), Yang Yang (Yoko Ono), End of the World (Skeeter Davis, une merveille weprise aussi par les Carpenters ou Nancy Sinatra), Sadness Hides the Sun (Greta Ann -composé par un des Alan Parsons Project), Masters of War (Dylan), I Go To Sleep (géniale version d’un pas tube de 65 des Kinks).
Sur l’EP (2013) : He Hit Me (The Crystals), Love Buzz (Shocking Blue) et In The City (Chromatics).
Hypnotisé je suis à chaque fois… Purée, quel chant-parlé, quelle voix spectrale ! Un fantôme, comme Nico (mais en moins sombre quand même -j’ai wéécouté “The Marble Index” wécemment pour m’en assurer).
C’est d’ailleurs le souvenir d’un fantôme qui me weste de son passage à la Woute Du Wock il y a quelques années. Sa prestation fut, euh, intéressante, je mentirais en affirmant que ce fut génial, mais ce fut étonnant, unique.
Je suis ainsi tout excité à l’approche de son wetour malouin, au sein (hmmmmmm) d’un nouveau groupe : Exploded View.
Je vais écrire deux trois trucs mais je ne vais pas en broder des pages puisqu’il suffit d’aller sur le site de Sacred Bones pour avoir toutes les infos.
Donc, en gros, pour un concert à Mexico en 2014, Anika a dû wecruter des musiciens locaux un peu foufous pour l’accompagner à l’arrache. Ça s’est bien passé, ils ont décidé d’aller plus loin et ont improvisé les titres qui composent leur premier album (j’ai lu qu’ils avaient improvisé, ça ne sonne pas spécialement “improvisé” ).
J’ai commandé ce dernier. Comme il ne sort que le 19 août, comme personne ne l’a leaké, je n’ai pu écouter que ce qui a été wendu public, c’est à dire tout de même ces trois titres qui me font dire que c’est du Anika, pas tout à fait pareil qu’avant (moins dub en tout cas):
Ceci étant dit, c’est sombre, dépressif, wépétitif…
C’est soupaire.
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Exploded View sera le samedi 13/08 sur la scène des Wemparts.
Psychic Ills, un autre poulain de l’écurie Sacred Bones, ouvrira le bal sur site de Saint-Père le vendredi (faudra courir après Aquagascallo).