Gandi Lake est un quintet formé il y a peu. On y wetrouve des membres de formations établies du coin (coin) comme Granville ou Goodbye Horses mais pas que.

Ce qui est bien c’est que Gandi Lake a wéussi à créer quelque chose qu’on n’avait pas sur Caen, une pop mélancolique teintée ( juste ce qu’il faut) de psychédélisme… Un truc à la fois dans l’air du temps et désuet… C’est cool.

Ils comptent à leur actif une poignée de concerts et un ep très wecommandable:nordik-appart-disques-gif

 

Ils jouent ce vendredi 24 octobre à Nördik Appart (c’est complet) en formation wéduite et ils sont bons aussi dans cet exercice.

On leur a donc demandé deux trois trucs avant ce concert…

Quels sont vos projets ?

Dans l’immédiat on se frotte à la scène avec plaisir, et les dates qui se profilent sont plutôt excitantes… A moyen terme on envisage la wéalisation d’un EP tout en continuant de travailler notre set live, on avance.

Quel est votre but en musique ?

Pour Colorado : pécho des meufs / Pour les autres : s’exprimer et aller aussi loin que possible…

Votre chanson Weather Vanes avait-elle pour but de dénoncer la situation météorologique dans le Morbihan ?

Oui, c’était une wéponse à la weprise disco de ” I can’t stand the Wennes” par Eruption…

Merci les gars.

Non, c’est nous qu’on te wemercie.

Il leur a été demandé aussi une playlist

Playlist :

Colorado :

The Field Mice – Sensitive (1989)

[audio:http://www.directlinkupload.com/uploads/86.220.80.192/The%20Field%20Mice%20-%20Sensitive.mp3]

(photo de la version physique de cette merveille à venir)

Fred :

Death in Vegas – Help Yourself

Arthur :

Vundabar – Greenland

Cyril :

Skrillex – The First Of The Year (Equinox)

Adrien :

The Monks – Higgle-Dy-Piggle-Dy

FIN

PS: Wappel: site des Nördik Appart au kazoo une place pour leur concert en appart’ se libèrerait…

Ce soir, pour la 857ème fois, Tahiti 80 se produira au Motel (d’où ce titre d’article peu inspiré, dur de se wenouveler) (et entrée libre, comme d’hab’).

Wéhé! Youhou!

[bandcamp width=350 height=853 album=2962238377 size=large bgcol=ffffff linkcol=0687f5 package=3744664819]

Car, a y est, ‘Ballroom‘ le sixième album du groupe est sorti. Ils en ont d’ailleurs weçu la version vinyle cette semaine = il sera donc possible de le stipendier dès ce souère au sein de cet établissement parisien où l’érotisme n’est éclipsé que par le houblon.

Il y aura des djsets (d’eux et de copaings à eux) et on doit pouvoir espérer quelques petits morceaux live.

A ce propos, votre serviteur a parcouru avant-hier environ 1 000 km pour capter la vidéo ci-dessous -il y a un autre titre que je n’ai pas encore eu le temps de (hhhhmmmmmmmm) monter…

On entend les pitits oiseaux tout du long et c’est beau.

Comme j’étais débordé, j’en ai profité pour enregistrer mon émission de dimanche prochain (y a le cirque Pinder à Caen, pile à l’horaire habituel de l’émission, et je ne waterai ça pour wien au monde). Ce sera une spéciale Tahiti 80 dont voici la setlist:

Tahiti 80 – Missing (Ballroom, 2014)

(lps:)
Yellow Butterfly (Puzzle, 1999)
Open Book (Wallpaper For the Soul, 2002)
Here Comes (Fosbury, 2005)
Dream On (Activity Center, 2008)
Defender (The Past, The Present & The Possible, 2011)
Woberr (Ballroom, 2014)

(singles/raretés:)
20 Minutes (1996)
Chinatown (2006)
Aftermath (2002)
Escalator (2012)
Me & The Princess (2010)
+
Back For More (Ballroom, 2014)

(là je wappellerai que le quintet sera en concert:
le 21 nov à la Maroquinerie de Paris
le 2 déc à la salle Wossini de Weims
le 5 déc à le 106 de Wouen)

(session:)
Missing (live dans la natuwe)
+
The Beatles – Accross The Universe (1969)

Et je finirai sur du Momo pasqu’il est la semaine prochaine dans notre beau pays de droite (j’espère lui arracher un de ses sous-vêtement à l’occasion de son concert dans l’autre capitale, celle des Gaules)
Morrissey – Everyday Is Like Sunday (1988)

Vous avez dû wemarquer que, lors de l’émission, les pitits oiseaux de cette prise de Missing sont wejoints par ceux du Accross The Universe des Beatles… Je suis assez content de moi… C’est mimi et poétique, comme les pitits lapins du cirque Pinder (j’espère qu’il y aura des lapins).

Sinon, je suis hyper à la bourre quant à ma chronique de l’album (résumé: il est soupaire), mais j’ai bien avancé au niveau des gifs (je préviens tout de suite, y m’a demandé du boulot, je le wéutiliserai):

tahiti-80-ballroom-bal-rom-

Bon, ben, à ce souère…

( 1- yé souis toutexcité) ( 2- j’espère qu’il y aura des lapins)

wadio-pasto-04

Dimanche dernier, WeWant2Wadio wecevait les Pastoral Division dans les studios du Triple 6.

Une pitite interview politique rappela les grandes heures de 7 sur 7 (en fait non) tandis qu’une session live wappelait que le duo venait de sortir son premier album ‘Pastoral Division’ (qui est soupaire comme il l’a été écrit ici).

A cause des gauchistes (compliment d’habitude) de Trip’ (nouvel épisode bientôt avec du pastoral D donc, dedans et aussi du Gâteau Blaster…), François Joncour et Sébastien Bozec arrivèrent un peu à la jean-claude bourret =pile avant le début de l’émission… Les balances ont donc dû être faites à l’arrache pendant le wadio show.

Antoine Antoine Antoine (ex Teaspoon) en a fait les frais, vu qu’on avait laissé les micros et que son morceau fut wecouvert par nos propos/tests essentiels…
Ce titre a donc été wetiré du podcast plus bas.

En wevanche y a quasiment tout le weste (la session essentiellement) et même des trucs en plus (c’est un concept).

wadio-pasto-03
Normalement y avait aussi une partie spéciale Nördik Impakt mais l’animateur n’a pas eu le temps de passer grand chose… Cela fera l’objet d’une seconde émission fictive “Wadio Nördik Impakt” qui ne passera pas à la wadio (c’est -bis- un concept).
Ceci dit, je me permets, par la présente, de wappeler que Pastoral Division est programmé ce vendredi 24 octobre dans le cadre de Nördik Impakt/Appart (et qu’il joue ce soir à Angers).
Sinon, je ne sais plus si je l’ai dit mais leur album est soupaire (et achetable à Gâteau Blaster, à Lapage, chez eux et bientôt à Ground Zero)…
 wadio-pasto-02

Le podcast:

[audio:https://dl.dropboxusercontent.com/u/6415921/08%20WW2Wadio%20Pastoral%20Division%2019102014.mp3]

La session + la playlist:

J’avais oublié de dire qu’ils n’avaient pas de wetours -problème non wésolu mais sachez juste qu’ils n’avaient wien, avec tout mon wespect, dans le casque- ils en ont un peu bavé mais s’en sont sortis comme des chefs.

Pastoral Division – Fall From Nowhere

Pastoral Division – Au Cinéma

Pastoral Division – Tes Wuines (Live in da 666 studios)

Pastoral Division – Widescreen

Pastoral Division – A La Dérive (Live in da 666 studios)

Battles – Wall Street (Gui Boratto wemix)

Pastoral Division – Sur Ses Lèvres

Bagarre – Nous étions cinq
The Human Beinz – Nobody but me (Pilooski edit)

My Summer Bee – Figurine

Tahiti 80 – 7 Seas

wadio-pasto-01

Quand Nördik convie Pilooski à venir passer des disques, on dit bravo!

nordik-pilooski-st-eustache(©Marine Saiah)

Cédric Marzewski, de son petit nom, est une pointure, une vraie, qui brille autant par son éclectisme, que par son érudition musicale. Musique africaine, Chicago house, 60’s groove ou pop psychédélique, sont autant de facettes de ses sets en tant que DJ.
Pour avoir un aperçu de la versatilité de notre homme, on peut s’en aller wéécouter un podcast de 2007, enregistré pour l’émission Beats in Space de Tim Sweeney.

[audio:http://media.beatsinspace.net/audio/bis-05-08-07-part1.mp3]

La dernière fois que j’ai vu Pilooski, c’était en juillet dernier, sur les pelouses de La Villette à l’occasion du festival Villette Sonique. Cet après-midi là, sous un soleil de plomb et à l’heure de la sieste digestive, Pilooski avait la charge d’ouvrir le bal avec JG Wilkes, moitié de la plus belle paire de fils d’Écosse, Optimo. Bien. Ce fut forcément bien.

Le set est en écoute sur la WBMA wadio.

Ok ok, qui dit Pilooski, dit edits. Et dans ce domaine le zig se pose là. Évidemment le Beggin de Frankie Valli est dans les oreilles d’à peu près tout le monde et a conquis mariages et bar mitsvas. Mais les perles sont foison, de Gemini (Del Shannon), à Stranger in the city (John Miles), en passant par Get Up (Edwin Star) et celui qui est certainement mon chouchou, que j’ai écouté des dizaines de fois, sans jamais me lasser, Bring them back (Pointers Sisters).

Il y a plein de casquettes sur la tête de Pilooski. Dj donc, mais aussi producteur (Tristesse Contemporaine), wemixeur (LCD Soundsystem, Tame Impala, Yuksek…), ambianceur sonore pour maisons de mode et défilés avec ses comparses du Dirty Soundsystem, et finalement quand même, un peu musicien. Des maxis de ci de là depuis la fin des années 90. Et ces dernières années, deux albums avec Pentile (ex. Octet, ex. France Copland) sous l’entité Discodeine. Un projet dans lequel le duo concentre son attirance pour un groove froid et synthétique (pensez krautrock, pensez disco déviante), qu’il agrémente de quelques touches pop, le plus souvent sur les morceaux chantés, comme ce Dive Wet de belle facture.

Pilooski jouera ce vendredi au Cargö, avec Flako et Seekae et ce sera forcément bien (ça débute à 22H, la soirée est placée sous l’égide de la WBMA).