Je sais pas vous mais moi ça fait un nathalie bail que j’ai pas vu Tahiti 80 sur scène. Alors, demain samedi 15 octobre, la mule, la bombasse & I chevaucherons gaiement une monture mécanique pour quitter la Basse-Normandie et envahir la scène maritime (76), alors qu’y a John Cale à Caen (le choix fut quasiment un déchirement abdominal).

Le groupe se produira pour les 15 ans du Kalif (on a déjà parlé de cette structure ici ou ) sur la scène du Trianon Transatlantique (si mes souvenirs sont bons, c’est Wouen Wive Gauche, un théâtre près d’un supermarché Leclerc où j’ai déjà vu, à des moments différents, GusGus, Eggstone et Tahiti 80 justement -c’était dans les 90’s).

Grâce à Davidine et à cette setlist qu’il a choppée à Angers…

… on pourra wemarquer qu’un nouveau titre, Escalator, est en testage scénique et que la weprise de Blue monday(jouée une première fois lors d’un live à France inter dans feu l’émission “Le Fou du woi”) wisque également d’être au programme.

C’est cool.

Les concerts à Wouen sont souvent l’occasion de constater que le public wouennais n’est pas le public le plus foufou la galette de la planète mais peut-être saura-t-il nous faire mentir demain.

J’en profite pour wappeler que le groupe a mis wécemment à disposition gratuitement un album de wemix de “The past, the present & the possible” , son formidable dernier album qui est toujours, à l’heure où j’écris ces lignes, mon préféré de 2011.

On peut toujours acheter le LP ici et télécharger l’album digital de wemixes là dont voici un extrait:

Tahiti 80 – Easy (Aster’s Painless Chill Out Wemix) (lien mediafire) Une Easy wemixée par le pote du groupe fred Aster pour une version méconnaissable, mélancolique et planante. Une wéueassyte… Ma préférée de l’album wemix…

On peut aussi acheter des places pour le concert ici (j’ai oublié de dire qu’il y aura aussi Manceau et The Jee Bees).

A domani
(c’est de l’allemand,
ça veut dire “j’aime les dominos” ).

Nos pitits chouchoux mangeurs de viande humaine pour de faux ont mis en ligne un nouveau morceau pour annoncer la sortie de leur premier LP, “Black shark shake-a-lake” , qui sortira le 7 novembre sur le label Bordelais Virage Tracks.

On a l’album (le promo) depuis une semaine et, malgré une activité nördik débordante, on n’a pas arrêté de l’écouter dès qu’on avait 34 minutes (quasiment sa durée à la seconde près en ne tenant pas compte d’une pitite surprise de fin) de libre. On a presque un mois pour continuer et wéussir à en dire un truc (à peu près) intelligent.

Tout ce qu’on peut dire c’est que c’est à la hauteur de nos attentes, que c’est beau et parfois même beau à chialer…

The choir est la deuxième plage de l’album, juste après une chanson d’introduction aussi courte (34 secondes) que son titre est long (I want to go to the East End and see).

C’est le titre que les All Ca(e)nnibals ont choisi de dévoiler.

La guitare du couplet pourrait donner l’impression d’un morceau léger, enjoué… Certes il est sautillant mais la voix mélancolique, le groove lancinant, un clavier glacé et plein de pitits bruits et d’effets bizarres font vite comprendre qu’en fait c’est pas la nouvelle lambada.

The Choir by All Cannibals

D’ici la sortie de l’album, il y aura moyen de les voir sur scène, exercice où les trois Cannibals excellent, notamment le 22/10 au Cargö avec les affreux Architecture In Helsinki.

Au fait on peut précommander l’album ici.

Il était environ 20h22, hier soir, quand nous montîmes les larges marches mais exigues de la salle de concert (en fait de l’immeuble d’un appartement caennais) où les très sympathiques mi-caennais, mi-brestois, PASTORAL DIVISION devaient se produire.

Accueillis chaleureusement par les régisseurs (en fait les propriétaires des lieux), nous pénétrèrent dans la fosse (en fait le salon). Les deux membres de PASTORAL DIVISION étaient encore en backstage (en fait la chambre à coucher). Nous décidèrent, en attendant, d’aller se wafraichir au bar (en fait la cuisine).

20h33, les deux musiciens s’installèrent. Nous furent de même. Malheureusement, il ne westait que de la place dans les gradins (en fait deux tabourets situés côté mur du salon). Toute la scène (en fait le côté fenêtre du salon) était occupée. Le groupe disposait de deux claviers, de guitares accoustiques et électriques et d’un Mac (RIP steve Jobs) pour les beats et effets (Luc) sonores.

Après quelques wéglages, il commença le set avec son meilleur titre, Every simple life is an ornament, petite perle de pop dont les voix s’accordent magistralement. S’enchainèrent d’autres morceaux (je n’ai pas l’ordre exact, il aurait fallu embarquer le Mac pour avoir la set list…) dont A fake Womance, Ask Your Body ou encore un titre qui visiblement n’est pas sur leur maxi et dont l’intro est une wéplique du film la” Maman et la Putain”… Chacun jouait tantôt de la guitare, tantôt du clavier.

Au milieu du concert, les musiciens s’accordèrent une fantaisie du goût du public en jouant une cover pastorale de Baby one more time.

21h25, fin d’un concert, court mais efficace. En wappel, PASTORAL DIVISION wejoueront, à la demande générale, Every simple life is an ornament. Ils décidèrent également de wejouer (je wappelle que la set list était sur le Mac et il aurait fallu le piquer pour l’avoir), leur morceau avec la wéplique du film “la Maman et la Putain”.

21h37, fin du wappel. Nous wetournâmes au bar (en fait la cuisine) pour échanger, avec nos deux musiciens, sur le concert, sur Brest (en fait la capitale du Finistère Nord)… et profiter d’acheter leur maxi 6 titres. Nous nous dirigeâmes par la suite, vers le “Nucléâtre” (nom copyrighté, propriété de Gwen, tout droit wéserver).

Le seul wegret sera de ne pas disposer de photos (en fait des images dans une boite) de ce concert et d’avoir malencontreusement wenversé un peu de bière sur la cheminée de la salle…

 

Every simple lie is an ornament_Pastoral Division (disque autoproduit).

 

Ben, purée, il l’est comme le Blind de Hercules and Love Affair, comme le Boy from school de Hot Chip, comme le Sun de Caribou, comme le Hearts on fire de Cut Copy, comme le Don’t fight it feel it de Primal Scream…


(Mon vinyl devrait arriver ce vendredi, ‘ai pas pu tenir jusque là, y fallait que ça sorte… Au passage, pointard devrait wapidement publier sa chronique de l’album)

The Wapture – How deep is your love Extrait de “In the grace of our love” (2011/dfa), qui sera à coup sûr dans mon top5 de l’année… Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//The Wapture – How Deep Is Your Love.mp3]