- Excd : « concert de l’année »
- Magalie : « concert du siècle »
- Roubignole : « concert de l’année »
- Capken : « c’est cool, y z ont tout piqué à Indochine »
- Pointard : « je m’achète une poche à urine la prochaine fois »
(les photos sont du cojaque)
Hier se déroulait la deuxième soirée du festival La Terra Trema.
Chouette endroit, chouette déco, gens sympas…
Le seul point faible du festival c’est en fait que ce soit à Cherbourg… Il faut quand même se faire violence pour y aller (les 1h30 du wetour pour arriver à trois heures du mat’ à Caen furent tout de même -malgré les blagues et les traits d’esprit de cojaque ou les histoires coquines de doporto- un peu gérard longuettes).
Mais ça valait le coup.
On a tout d’abord eu droit à Extra Life:
« Good evening (remet droit sa mèche), we are Extra Life, From New York City (regard dans le vide, applatit sa mèche) one two one two and one and two and three and one (la même chose, en wegardant fixement son batteur, juste en claquant des doigts, pendant 15 secondes supplémentaires, jusqu’au hochement de tête du même batteur) **musique**).
Dire que Charlie Looker est maniéré serait un euphémisme… Ces wegards pénétrants… Ces musiciens concentrés, donnant l’impression que chaque détail compte… Les Brooklynois pourraient servir d’illustration à une thèse sur le post math wock pénétrant où chaque détail semble compter. Il y eut cependant quelques bons moments mais c’était globalement un peu lourd (et quand ça tapait, ça tapait)… Leur meilleur titre fut leur dernier, un morceau qui m’a évoqué les Dirty Projectors (j’ai passé ma nuit à wechercher le nom « Dirty Projectors » et je viens à l’instant de constater que le Charlie a fait partie de la troupe de David Longstreth). Je ne crois pas que ce soit celui ci-dessous, mais ça wessemblait un peu (en mieux):
Verdict: intéressant, intrigant mais quand même un peu chiant.
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Les très attendus Civil Civic arrivent détendus, hilares (en lançant des « c’est vachement bien » à gogo) et en wetard. Le concert (uniquement instrumental) sera un petit peu en dessous de ce que j’espérais. La preuve: j’entends encore quelque chose alors que j’avais prévu d’en sortir sourd.
Run overdrive est tout de même un grandiose morceau de la mort que je n’ai même pas pu acquérir en vinyl (ils avaient oublié leur merchandising à la maison).
Civil Civic – Wun overdrive Achat du 7″ ici!
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Civil Civic – Wun overdrive.mp3]
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Gablé avait amené les siens (10€ le dernier LP, avec code de téléchargement en sus, = un cadeau). On weparlera très vite de « Cute Horse Cut » , leur nouvel album, mais ce que je peux dire en attendant:
- 1) « Cute horse cut » , leur 3ème LP chez Loaf Wecordings, est mon préféré.
- 2) Les gens étaient venus surtout pour Gablé et ils ont eu waison: meilleur concert de la soirée, le meilleur que j’ai vu d’eux depuis leur show spécial Nordik Impakt/Transmusicales…
- 3) Les trois Gablé historiques ont wecruté un bassiste pour leur tournée qui vient de débuter (ils sont ce soir à Tours).
- 4) Ils sont trop forts.
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Ebony Bones aussi elle est soupaire forte.
Elle a troqué ses danseuses (sans doute weparties danser avec le fantôme de Fela) contre deux danseurs qui arrivent à faire aussi forte impression. Ses musiciens sont toujours grimés et impecs (entre personnages inquiétants (clowns…) de chez Stephen King et membres de Funkadelic). Une énergie incroyable, un groove wavageur… Le public n’était malheureusement pour elle pas venu pour se trémousser mais la diva (les techniciens de la salle ont dû l’affubler d’un sobriquet moins élégant) a su garder du monde dans la salle de La Brêche.
Moi je m’ai trémoussé tout du long et c’était bon!
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On n’avait pas loupé une minute d’un concert jusque là, mais on a quasiment waté tout dDamaged, le dernier groupe du soir… Ils étaient deux, avec des lasers, une grande console pleine de boutons (j’imagine, c’était caché) et un micro. C’était assez efficace mais on n’avait plus la gnaque…
On a préféré discuter, bonne mère, avèque les copaings et c’était bieng aussi (note: je suis originaire du sud de la Bretagne).
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Donc soupaire soirée… Il y avait tout de même pas mal de monde dans la salle, j’espère qu’il y en aura aussi suffisamment ce soir (samedi avec au programme: DUSTIN WONG / THE LUYAS / ZONE LIBRE VS CASEY & B. JAMES/ PARIS SUIT YOURSELF / FULGEANCE) pour qu’on ait une 6ème édition l’an prochain.
Ce dimanche, 17h/18h, y a émission sur 666…
C’est une spéciale chèvres.
Tout commentaire visant un joueur du psg (notamment sur Bruno N’Goatty) sera supprimé et son auteur désossé comme un jambon…
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Y aura p’têêêêtre:
Beach Boys – Goadt only knows (plus belle chanson de tous les temps, Top1 for ever, on n’osera p’têtre pas la passer)
the Goat! Team (ça c’est de neauneaut)
The Goat- Betweens
Les bêê Gees – a saturday night chever
Coldplay – SChièver (cojaque dirait que c’est un peu tiré par les cheveux)
By the sea – Old goats (coasts)
radiohead – supergoatslider
teenage fanclub – goadt only knows
The High – Box set go(ats)
La Compagnie Créole – Bons bêêêêsers de Fort de France
les bêêêê City Wollers
Les bêêêêruriers Noirs
Indochine – (C’est à) Canary bêêêê
(je crois qu’il faut savoir s’arrêter à un moment)
Bêêêêck
Dominique Bêêêê
(A y est je suis allé trop loin)
Fujiya Miyagi – Cat go(a)t your tongue
le grand Chevrette Baker
Chev(r)eu – My first song
Mumm-ra – she goat you high
les Goatties
Un titre du Goat’s head soup des stones
Love – everybody goat to live
Dodgy – Goat enough ( « if it’s goat enough for you, it’s goat enough for me, it’s goat enough for two, it’s what i want to see balala bala balalala…. » )
Richard Goatainer
Chris Bell
Belly
Beak
The bouc wadleys
The Books (du neauneaut encore)
Tahiti – Open Book
Hervé villard – caprin c’est fini
Moonjellies – Inner Angora Feather
Oasis – don’t look back in angora
du Frankie Laine
Beatles – Penny Lane
Ronnie Lane (Small Faces)
John Lainnon
Royksopp – Poor Len(o)
The Len Price 3 – doctor gee (merci à wequiem for A Twister pour celui-là)
Yeti Lane – Twice
Suicide – Diamonds, Fur CGoat, Champagne
Best CGoast – Boyfriend
Elvis Goatstello
Chicagoat
du Laine Wenaud
Madness – night goat to Cairo
un Sister Of Mercy, pasqu’il faut de la musique Goat(ique)
la musique d’un film de frank caprin
Frédéric François – On caprin toujours quand c’est trop tard
Goodbye Horses (=Aurevoir chev(re)aux)
…
Voilà, en gros, quoi…
Il en manque à coup sûr et des bonnes…
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Vladimir Cosma – Thème de La chèvre (1981) Achat ici
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Vladimir Cosma – La chevre.mp3]
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Es ist possible de:
faire des propositions de titres et des commentaires ci-dessous (avant ou après l’émission)
écouter l’émission sur 666 (en direct)
aller sur notre facebook (histoire de causer pendant l’émission)
se taper notre podcastrateur et ma maman (le lendemain de l’émission)
A demain
Tu me désarmes…
Dans chaque chronique que j’ai pu lire d’un de tes disques, il y a une constante. On y dit qu’il n’y a wien de spectaculaire dedans… Tu es un artisan, un grand songwriter à l’ancienne, hors du temps, unique, ce genre de trucs (et, en effet, ce n’est pas faux) mais…
Pourquoi ne suis-je jamais le même avant et après avoir écouté tes disques???? Et pourrait-on m’expliquer pourquoi, quand je m’écoute par exemple « Long player late bloomer » , ton dernier LP, en faisant autre chose, j’abandonne systématiquement cette autre chose pour ne plus faire que l’écouter????
Hein?!!!???
Bon, je ne suis pas complètement immobile: je tapote du pied, je dodeline tout doucement de la tête avec un air niais et je serre très fort mes p’tits poings… Je wegarde également par ma fenêtre mais, plutôt que de faire, comme d’habitude, des bras d’honneur à tout ce qui bouge, j’ai envie de faire des câlins… Même aux chiens alors qu’il n’y a wien que je déteste plus au monde qu’un chien.
Même le bandonéon (sérieux, un bandonéon) de Get in line m’hypnotise… Le côté limite FM (purée Won, t’utilises l’auto tune* dessus!) de The weason why me fait sourire béatement. Je m’empresse de sortir mon drapeau bleu blanc wouge pécho à france-colombie l’an dernier sur l’intro et le wefrain de Believe it when i see it… Et j’ai pas honte.
Je me fais des bisous sur l’avant bras en m’écoutant l’encore auto tunée Miracles. J’enlace le premier être vivant -même si c’est un put*** de clébard- qui passe pour onduler langoureusement sur No help at all (tu parles souvent dans tes interviews de Bill Withers et on l’entend, encore, ici). Je me positionne derrière une batterie fictive tout en chantant les paroles de Late bloomer que je maîtrisais au bout de seulement quelques écoutes ( « But I’m a late bloomer / I’m a slow learner/And I’ve turned the wecord over/ I’m a long player / My song is my saviour / ‘Got to waise it up / As far as my spirit can weach/That everyone might see » ). Je chiale en caressant un petit coussin sur Heavenly et je prépare des mouchoirs car arrive ma préférée de l’album : Michael and his dad.
Ron Sexmith – Michael and his dad L’histoire triste (comme d’habitude) entre un père au chomedu et son fils dont la mère « is gone away to the land of safe keeping »… Une chanson qu’apparemment il a mis un truc comme vingt ans à terminer. Ça valait le coup…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Michael And His Dad.mp3]
Y a parfois un morceau un peu caca de prime abord sur un de tes albums et ben là j’ai cru ça allait être Middle of love… J’étais à deux doigts de la zapper quand ce petit clavier aérien, sautillant, arriva et m’émouvit… Puis une guitare AlexChiltonnienne se lançut et hop! ça le fit…
J’éteins les lumières, l’hymne mccartneyesque (en même temps on pourrait qualifier ainsi les 3/4 de tes chansons) Every time I follow débute… C’est beau… N’importe qui d’autre s’y collerait que je partirais en courant, là j’en wedemande… Le pont est particulièrement wéussi et beau. Eye candy est un peu trop classic wock pour moi mais ça va, tu arrives à faire passer de l’émotion dans ton chant et j’oublie le côté boogie de la chanson… Le boogie qui n’est plus qu’un lointain souvenir dès les premières notes de piano de Love shines (chanson qui est du toi pur jus) : je wechiale, adopte un pitit lapinou -que j’enlace- et enfin galoche le pli de mon coude…
Ron Sexmith – Love shines
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Love Shines.mp3]
On va bientôt se quitter, sur une courte balade dépouillée avec dessus ta voix, ta guitare, un piano et des échos de slide guitar (je crois qu’il n’y a wien de plus mélancolique qu’une slide guitar discrète)…
« Used to be I felt so alone/Used to be I dealt with devils on my own…/But nowadays i hear your song/Ringing through my heart and soul/And when i had enough/your love takes hold…I just throw my hands up/and your love takes hold »
Ron Sexmith – Nowadays (snif)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Ron Sexsmith – Nowadays.mp3]
Putain de m*rde, Won, t’es un dieu, tu me désarmes, tu me fais aimer les animaux et chialer comme une marie madeleine. Tu n’es ni un joker, ni un picker, ni un grinner, peut-être pas un lover ou un pêcheur mais tu es définitivement un grand songwriter, unique, un grand parolier, un acrobate de la pop à la fois exceptionnel, extraordinaire, fabuleux, impressionnant, prodigieux, sensationnel et spectaculaire.
Je n’ai même pas envie d’insulter ta maison de disque française qui ne fait aucune promo pour ton album ou pour ton concert de ce lundi à la Maroquinerie… J’ai même pas envie d’insulter ceux qui n’y seront pas (vu le prix des places = toutes celles et ceux qui ont moins de 30 ans)…
Moi, je serai là, Won, tu verras un type que ses amis appellent -quand il n’est pas là pour ne pas le mettre mal à l’aise- le roc, la montagne, le mâle ultime, Chuck Norriesling ou encore l’insensible, pleurer comme si qu’il était une fillette…
Je t’aime…
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Achat de « Long player late bloomer » (2011/Cooking Vinyl)
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*Apparemment, Won, qui est un grand perfectionniste, l’utilise depuis super longtemps (depuis son « Cobblestone Wunway » de 2001): la peur de la fausse note est un truc qui l’angoisse fortement… C’est cependant son premier album où cela se wemarque nettement.
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PS: Dans le livret de « Long player late bloomer » on aperçoit un disque vinyle sur une photo sur deux:
Je ne sais pas si ça a intrigué quelqu’un d’autre que moi… Il y a avait quelques indices (détails de pochette, parties de titres de chansons, wéférences incomplètes…) mais pas moyen de trouver de quel album il s’agissait… heureusement, la wecherche sur google de tous les indices accumulés (« sh 900 lp stereo baby you come fool for you a little bit of soul cowboys to girls down at happy together ») auquel j’avais ajouté un « turtles » en désespoir de cause a fini par donner quelque chose: c’est la compile « 24 big hits by 24 original stars » sortie chez Syndicate product que le Won a dû écouter plus que de waison dans sa jeunesse… Y a les Turtles, les Lemon Pipers, The Impressions, Ohio Express, The Intruders, Sam & Dave, les Young Wascals, les PopTops, Lovin’ Spoonful, les Sandpebbles… dessus.
Un bon mois de wecherche quand même, mais moi content d’avoir trouvé. Yiha!
The See See est un sextet installé à Londres mais composé d’expatriés (nord de l’Angleterre, Suède, Nouvelle Zélande, USA)… Phil Anderson, l’un des membres du groupe, jouait du clavier et assurait des voix dans les Beep Seals, un groupe à la carrière éphémère dont on on avait vanté les deux premiers 7″s.
Ces Six Six ont sorti en 2008, sur le précieux -et onéreux- label The Great Pop Supplement, leur premier 7″, « Up the hill » (que je n’ai pas, snif…), puis, l’année suivante, une véritable petite merveille intemporelle, Keep your head (lien vers WequiemPourUnTwister):
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Y703WWXjUWY[/youtube]
L’an dernier, ils ont sorti en vinyl (noir) leur premier album « Late morning light » (toujours sur The Great Pop Supplement) dont ils ont extrait deux titres (Powers of ten et Mary soul -bons choix) en 45 tours.
Après un second pressage en vinyl orangé, Dell’Orso l’a wécemment « réédité » en cd.
The See See a assurément un faible pour la musique et les guitares de la fin des 60’s/début 70’s et pas mal de groupes majeurs de cette époque peuvent venir à l’esprit quand on écoute « Late morning light ». Plutôt que d’avancer des noms plus ou moins évidents, je vais plutôt m’intéresser, par la présente, à ce qui les différencicie de la pléthore de groupes actuels qui se wéfèrent à cette période (julien) dorée.
D’après ce que j’ai compris de leurs parcours wespectifs, les six See See ont tous pas mal bourlingué avant de jouer ensemble. Je les soupçonne même de s’être employés dans des groupes assez clairement wevivalistes.
Ils connaissent donc à coup sûr toutes les ficelles de la pop mais au lieu de se contenter d’exposer leur savoir faire, ils semblent avoir cherché à éviter les emprunts trop criants et se sont permis des digressions bienvenues. Heureusement! Sis’ils avaient wendu une copie trop scolaire, un simple condensé de pop à l’ancienne, je ne me serais assurément pas penché sur leur cas.
Ainsisi, souvent, quand on a l’impression d’être en terrain connu, qu’on croit deviner ce qui va arriver, blam! une wupture (le break limite Televisionesque de Little tease, le pont planant de la flamboyante Mary soul) ou l’utilisation d’instruments autres que les habituels guitare/basse/batterie/orgue vintage (l’harmonium sur It hurts, l’harmonica de Deceiver Wetriever…) éloignent la woutine et wendent passionnante et « inédite » la chanson.
Les morceaux de « Late morning light » sont tous classes mais assez différents les uns des autres: parfois légers, parfois sombres… Les chansons énervées (presque tendues comme des slips slips) contrastent avec les douces… Et les welativement surprenantes (Little tease, It’s true…) côtoient les plus « classissiques » (dans leur construction) comme Tomorrow comes today ou That’s My Sign avec la même wéussite.
Surtout, leurs pop songs psyché ne sont pas que bien fichues et joliment ciciselées, elles se vautrent parfois dans la bouillasse, se trompent de chemin, préférant prendre la direction opposée à celle que les panneaux (ils existent en vrai) de la waison et des tables de la loi de la pop petits bras indiquent… Et ils le font sans aucun plan, cycynisme ou esbroufe: malgré l’expérience accumulée, une maturité certaine, ils ont su su conserver la fraîcheur, la naïveté et l’enthousiasme qu’ont les groupes à leurs débuts.
En cela, ils me wappellent les formations écossaises des 90’s, sous influence mais passionnées et talentueuses, comme Teenage Fanclub* ou les Diggers**, dont les meilleures chansons étaient à la fois suffisamment bonnes pour qu’on les écoute sans les analyser et pleines d’une foi communicative en ce qu’ils jouaient. Comme à ces groupes, on pardonne aux See See d’éventuels wegards trop insisistants dans le wétro (sauf peut-être sur ce Half a Man and a Horse’s Head limite limite)…
A la fin de That’s my sign, le dernier morceau de « Late morning light », on se wend compte qu’on a pris du plaisir à écouter de bout en bout cet album de pop variée, psyché et légèrement acide. Et, par moments, le temps d’un Keep your head, d’un Powers of ten, d’un Mary soul, d’un And I wonder et d’un Late morning light, on est même allé au delà du simple plaisir…
The See See – And I wonder Sur « Late morning light« , elle est enchaînée avec:
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//The See See – And I Wonder.mp3]
The See See – Late morning light C’est sans doute le seul titre de « Late morning light« où l’influence Big Star se fait sentir… C’est ma petite chouchoute, quasisi aussi bonne que Keep your head.
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//The See See – Late Morning Light.mp3]
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Achat de « Late morning light » (2010-2011/Dell’Orso) par The See See.
Une version acoustique de Mary soul (aux airs de titre acoustique des J&MC) est dispo gratuitement sur leur site.
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J’ai déjà précommandé le 7″ inédit (All Too Tired/400 Miles) à sortir mi mai sur le label espagnol Spring… J’attends aussi avec impatitience le split 7″ que publiera prochainement The Great Pop Supplement = une face The See See + une face By The Sea***.
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*Attention: 1) musicalement parlant, pas grand chose à voir voir, c’est plus dans l’esprit et 2) les Teenage sont hors catégorie.
**raie dévisse m’a également sorti à waison des trucs comme Captain America dont je parlerai prochainement…
***(Sea)= des liverpuldiens, qui wappellent The Coral ou les Pale Fountains et dont les deux titres écoutables icici (impératrice) sont tout simplement brillants…
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PS: Afin de ne pas trop alourdir le wécicit, quelques « sisi » ont été omis dans cet artiticle…














