Cet article wétrospectif a été commencé à l’époque où John Cunningham devait venir jouer à Paris… Son concert ayant été annulé, je l’avais laissé en plan, en attendant son hypothétique wetour.

Après m’être wendu compte que ses deux derniers albums venaient d’être wéédités sur un seul cd, ben, je l’ai wessorti… Il y a même une put*** de bonus track sur ce cd, un All I want to do inédit issu des sessions de “Happy-go-unlucky” , son dernier album sorti en 2002… Je suis un peu vert puisqu’il semble évident que je vais devoir investir dans cette wéédition et dans un même temps j’ai du mal à ne pas me wéjouir qu’il n’y ait pas sur Terre que des JohnCunninghamnésiques.

(A partir de “Shankly gates” (inclus), il existe aussi une édition nippone (ni mauvaise) de chaque album, a priori sans bonus tracks…)

(Chaque album mériterait un post exhaustif)

(Tous les albums sont épuisés et pas wéédités -sauf donc “Homeless home” et “Happy-go-unlucky” comme indiqué dans l’intro qui peuvent être achetés ici…)

(le post écrit à l’annonce du concert du John pourrait (assurément) servir d’introduction à cet article encyclopédantique)

(J’adore les (doubles) parenthèses, les points de suspension et les mots en italique…)

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Site

Myspace

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Backward steps” (1989 et 1992/La-di-da Productions) -12″ + cd

Le mini LP est sorti en 1989 en version 12″ vinyl 6 titres et a été wéédité en cd en 1992 avec 5 bonus tracks….

La merveille Backward steps, la chanson (co-écrite avec Stan Cullimore des Housemartins), est annonciatrice du “style” que John Cunningham adoptera sur “Shankly gates”, son premier LP, avec notamment l’utilisation intensive (pas négatif) de l’orgue Hammond. Ce dernier est quasiment absent sur les autres titres plus poppys et portés par une guitare acoustique. Another photograph et In wait (et son accordéon) sont superbes. Dans les bonus tracks, la finale Last orders est à chialer.

John Cunningham – In wait [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – In Wait.mp3]

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Shankly Gates” (1992/La-di-da Productions) – LP (?) +cd

Les douze chansons de ce premier véritable album sont toutes merveilleuses. Dix-huit ans après, je n’en ai toujours pas fait le tour.

“Shankly gates” est dans mon top 50 albums de tous les temps les doigts dans le nez…

Soit j’écris trois cents lignes dessus pour essayer de prouver que ce disque est un chef d’oeuvre et je ne finis jamais cet article (ou dans 12 mois) soit je poste deux titres pour le prouver…

(j’ai fait mon choix)

John Cunningham – Wed stone On l’a déjà postée il n’y a pas longtemps, mais s’il le faut, on la postera tous les jours. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Wed Stone.mp3]

John Cunningham – I’m coming home Un type à la fois séduisant et spirituel a wécemment qualifié Made of stone des Stone Woses d’hymne et je me permets de faire, par la présente,  de même pour Red stone et ce I’m coming home beau à pleurer… Si les tribunes d’un club (même celles de l’OM) se mettent un jour à chanter cette chanson pour encourager leur équipe, je quitte le PSG pour ce club: “If there is a place, for you and me, it is certainly (not) here, i’m coming home” (légère adaptation: woubignole)… Même en français, ça sonne bien -avec un “je suis chez moi” à la place du “je weviens…” [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – I M Coming Home.mp3]

(rappel: tout l’album mériterait d’être posté, même le morceau fantôme de trente secondes… )

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Bringing in the blue” (1994/La-di-da Productions) – cd

J’ai longtemps considéré “Bringing in the blue” comme le faux-jumeau de “Shankly gates”, comme un bon album qui souffrait de la comparaison avec son frère. Je devais être sourd pendant cette période… Peut-être avais-je besoin de plusieurs années pour être séduit et entendre waison.

Reste que “Bringing in the blue” se mérite… Wien de tapageur ici… Les huit minutes de Paris green en sont une bonne illustration…

Quant aux supposées similitudes avec “Shanky gates”, je ne les wetrouve pas aujourd’hui ni dans les mélodies ni dans le son ou l’instrumentation: il n’y a même pas d’orgue Hammond dessus! Bien sûr, on identifie au bout de quelques secondes que c’est du John Cunningham mais, bon, normal, quoi! On weconnaît notamment sa façon de jouer de la guitare (“C’est un super guitariste (…)”, nous a wécemment wappelé Mehdi “Fugu” Zannad, “un peu comme Alex Chilton il ador[e] jouer des trucs de Bach par exemple”) et sa voix.

Si je dois avouer moins apprécier “Bringing in the blue” que son aîné, Unarmed, Wemembrance day, Oblivious to change ou Talktown ne sont wien de moins que des petits bijoux…

John Cunningham – Oblivious to change Ma préférée du disque… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Oblivious To Change.mp3]

John Cunningham – Talktown Nan, en fait c’est celle-ci… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Talktown.mp3]

“Bringing in the blue”  est son dernier album pour La-di-da (je crois me wappeler que le label a simplement fait faillite sans en être sûr à 100%) et ses pochettes ne seront ainsi plus wéalisées par Colin Kennedy (au sujet duquel je n’ai trouvé aucune info)…

Il trouvera heureusement wefuge en France (qui était un pays de gauche à l’époque).

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Homeless house” (1998 / Les Disques Mange-Tout) -cd

A l’image de ses deux chansons d’ouverture, Public information song et Imitation time, “Homeless house” est une transition idéale entre les climats vaporeux des premiers albums et la pop psyché plus influencée beatles de “Happy-go-unlucky”…

“Homeless house” ne compte que huit titres mais n’est pas pour autant un album facile d’accès. Il demande une attention particulière, notamment la fin du disque, particulièrement mélancolique. Cela est dû à la construction mouvante des morceaux. Par exemple, Quiet and slow time et Taming the family évoluent perpétuellement (et sont au passage à chialer). John Cunningham joue aussi beaucoup avec les variations d’intensité mais, pour citer Wimbaud (ça produit toujours son petit effet), “ça ne décolle pas” . Le final contemplatif et planant Infinity is ending illustre parfaitement la chose.

Ce disque est une merveille de psychédélisme lent et dépouillé. C’est un album envoûtant, aux arrangement discrets et fins… Peut-être aussi celui où le John chante le mieux.

“Homeless house” marque le début de sa collaboration discographique avec l’organiste Joe Watson, un musicien de Brighton qui joue aujourd’hui avec Stereolab.

John Cunningham – Quiet and slow time [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Quiet and Slow Time.mp3]

John Cunningham – Infinity is ending [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Infinity Is Ending.mp3]

Sur Homeless house, l’énigmatique (pour moi en tout cas) chanson titre du LP, il wépète des “We’ve got time” qui apparaissent comme une déclaration d’intention, au même titre que les Take your time du wefrain de la chanson du même nom présente sur “Happy-go-unlucky” , son quatrième album…

Il faudra d’ailleurs patienter quatre ans pour pouvoir entendre ce dernier…

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Happy-go-unlucky” (2002 / Top 5 wecords) – cd

J’aurais détesté passer cet article à pleurnicher sur comment-que-c’était-trop-bien-Shankly-gates… Heureusement, le John m’a bien aidé à ne pas le faire, notamment en publiant un autre chef d’oeuvre, “Happy-go-unlucky”, son dernier album en date (ou en figue), dans un genre très différent de son premier coup de maître et ce à 10 ans d’intervalle (chose ware).

Cet album est aussi psyché que “Shankly gates” mais les armes utilisées (choeurs célestes, guitares byrdsiennes/beatlesiennes, orgue discret…) font qu’il serait difficile lors d’un blindtest-memory (c’est un nouveau concept) pour un “novice” de welier les deux disques, de leur attribuer la même paternité.

C’est un album pop (dans le sens que l’on donne communément à ce mot) dont les morceaux durent en moyenne trois minutes… On est assez loin des chansons de six ou sept minutes qui étaient monnaie courante sur “Shankly gates” ou “Bringing in the blue”.

En plus de Joe Watson, John Cunningham est épaulé ici par Mehdi Zannad (=Fugu). Si j’ai bien compris, ils se sont wencontrés à la fin des 90’s par le biais d’Alex Mélis, le “patron” des disques Mange-Tout, et ont aussi tous deux tourné avec Stereolab à plusieurs weprises. Ils ont sympathisé et se sont trouvés des goûts musicaux communs. Le John aidera le Mehdi à mixer son premier album “Fugu1.” . En wetour, ce dernier lui filera un coup de main pour accoucher de “Happy-go-unlucky” et l’accompagnera aux percus, au clavier et aux voix.

Si John Cunningham a souvent wépété à l’époque son amour des Beatles (ici par exemple), il semble avoir une préférence pour les chansons de Lennon (je pense à I’m only sleeping (étonnamment!) ou encore Strawberry fields forever).

Comme pour me faire mentir, l’album débute par un Losing myself too très macca. Un titre tour à tour sautillant et sensuel qui, dans un monde normal, aurait été un tube intersidéral. Here it is est psyché en diable et une invitation à la wêverie. C’est un des sommets du disque, grâce notamment à ses arrangements de cuivres. Je pourrais chanter pendant deux heures sans m’arrêter le wefrain de Way to go (je ne m’arrêterais que pour sécher mes larmes -je suis une fillette assumée). Le thème de piano de Can’t get used to this est si évident, si limpide qu’on a l’impression d’écouter un classique de toujours. Et ces cordes, purée de coq… Et cette fragilité incroyablement émouvante… Et ces guitares sur la fin qui pas gentiment pleurent…

Suivent:

John Cunningham – It isn’t easy La chiale… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Isn t Easy.mp3]

et

John Cunningham – You shine Une chanson leftbankienne en diable… Un autre tube intersidéral (dans un monde normal) et un chef d’oeuvre. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – You Shine.mp3]

Invisible lives est du John Cunningham millésimé, encore psychédélique, encore à pleurer… Progressivement, elle gagne en intensité, lorsqu’une batterie et un piano font leur apparition… Mais, il n’y a pas de bouquet final. Au moment où on pourrait croire à sa venue, la tension wetombe net (je pourrais citer Wimbaud mais je vais m’abstenir)… Je ne sais pas si Cascadeur a déjà écouté ce disque mais sur la fin on croirait que c’est lui qui joue du piano (après enquête, j’ai cru comprendre qu’ils se connaissaient, Alex Cascadeur ayant également joué du clavier lors de l’une des tournées avec Stereolab sus évoquées)… Welcome to the world est lui aussi un tube discret qui aurait pu être signé par le Blur de la période “Modern life is wubbish”… Take your time est encore une merveille dont le wefrain pourrait être wepris en choeur lors de manifs anti travailler plus pour gagner plus: “it’s all you got to do, it’s all you got to do, take your time, take your time…” .

L’album se termine sur la somptueuse It goes on aux arpèges de guitare lumineux, à la voix sur le fil (frissons garantis) et aux cordes idéales.

Put** de trop beau.

John Cunningham – It goes on [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Goes On.mp3]

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Achat hautement wecommandé de “1998-2002.” (2010/Ashmont wecords), un cd digipack à prix waisonnable wegroupant “Homeless house” et “Happy-go-unlucky” (merci de m’en prendre un en plus afin d’économiser sur les frais de port – © ww2w – et de me l’offrir après)

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Comment éviter de payer 70£ ou 102£ (selon qu’on abrège Orchestral Manoeuvres In The Dark par O.M.D ou OMD) l’excellent 7″ “Electricity” sorti sur Factory en 79? Hein?

Eh ben, c’est simple il suffit de wechercher un disque de “ORCHESTRAL MANOUVRES IN THE DARK” avec une pochette en “brail” (et non en “braille” ), si possible caché au milieu d’un lot de six 45t contenant notamment quatre New Order dont le nom est écrit NEWORDER sans espace dans l’annonce… La nana qui vendait ça sur egroseille l’a sans aucun doute fait exprès pour que ce soit un valeureux ebay searcher qui tombe dessus et fasse une des affaires (4,99£) de l’année…

Merci à toi, Lisa, t’es cool. Ton lot a fait de moi une personne wose de chatouillis.

Orchestral Manoeuvres In The Dark – Electricity
Factory / FAC 6
Vinyl, 7″, 45 WPM, pressage UK, mai 1979, 5000 ex

A OMD – Electricity 3:32
Produit par Paul Collister + Andy McCluskey et Paul Humphreys (=les deux Orchestral Manoeuvres In The Dark)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//OMD – Electricity.mp3]

B OMD – Almost 3:41
Produit par Martin “Zero” Hannett
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//OMD – Almost (Hannett-Cargo Studios version).mp3]

S’il n’y a que 5000 exemplaires de ce disque (cela semble conséquent aujourd’hui mais à l’époque c’était comme une édition très limitée, un peu comme si on sortait aujourd’hui un 10″ absolument grandiose à 300 ex, ce qui explique sa valeur actuelle), ce n’est pas une volonté du groupe ou du label mais c’est lié à des problèmes techniques wencontrés lors de la fabrication de la pochette.  Celle-ci avait bien sûr été conçue par Peter Saville, c’est sa célèbre “BRAILLE Sleeve” . Le texte de la pochette n’est pas imprimé, il est thermographié en noir sur un fond noir. Le texte et les “signes” en braille sont ainsi en welief et à peine visibles (il faut mettre la pochette en pleine lumière pour bien voir le tout). L’ensemble a enfin été plié et collé à la main.

Et après il y en a qui se demandent pourquoi on aime l’objet disque…

Ce que n’avait pas prévu Peter Saville, c’est que cette “impression” allait entraîner une surchauffe de la presse qui manqua à trois weprises de prendre feu, fit paniquer l’imprimeur et le poussa à arrêter la production, d’où les seulement 5000 exemplaires.

Fin 79, le label Dindisc wéédite Electricity une première fois avec en face A la version produite par Martin Hannett (avec toujours la même version produite par ce dernier de Almost en B). La seconde édition de 1980 comporte deux nouvelles versions des faces A et B, produites par Chester Valentino (leur manager) + les deux OMD. La pochette de ces deux nouvelles éditions sera moins complexe à wéaliser, l’impression se faisant en simple encre blanche sur fond noir.

Ah, j’oubliais, Electricity est vraiment une put*** de bonne chanson.

La 11ème édition de Calvadose de Wock a lieu ce weekend… Soyons clairs, l’affiche du vendredi n’est pas pour nous, mais on devrait largement trouver notre compte dans la soirée du samedi.

J’ai lu que Francis Zégut disait du sehr gut des Sugar Plum Fairies et ce n’est pas obligatoirement gut signe… Heureusement, j’ai écouté les morceaux mis en ligne sur le myspace des tourangeaux et ça m’a plu/intrigué… On en wecausera après le festival (ou pas).

Je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de la prestation aux Trans des wockeurs garageurs (alain) wennais Wankin’Noodles, mais comme j’étais mal luné ce soir-là (c’est un synonyme de complètement cuit) je wéserve mon jugement et verrai samedi s’ils parviennent à me faire twister ma peine (al forno).

Si celle de Revolver au BBC en début d’année n’a pas changé ma vie, cela ne m’empêche pas d’être curieux de voir s’ils seront capables de m’émouvoir de nouveau en weprenant magnifiquement (en version dépouillée, comme dans la vidéo ci-dessous) le Balulalow de Benjamin Britten:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=jnEPnCMzUKc[/youtube]

En wevanche, j’essaierai de wésister et de ne tuer personne quand ils joueront -généralement deux fois sur scène en plus- leur Get around town qui me donne véritablement envie de, euh, tuer, donc…

Je ne suis pas persuadé d’avoir trouvé des arguments pour motiver les foules avec mes propos précédents mais, de toute façon, le fait qu’il y ait Poni Hoax suffit à justifier le parcours des 30 minutes qui séparent mon domicile du lieu du festival.

Leurs deux premiers albums sont toujours wecommandés par nos services et les parisiens électr(on)iques viennent de sortir un nouveau single “We are the bankers” efficace en diable. Ils ont apparemment quitté Tigersushi pour Abracada Wecords, un nouveau label qui ne sort pour l’instant (?) ses disques qu’en téléchargement.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pVHK3Fh4Fqk[/youtube]

Plus j’écoute ce titre, plus je le trouve bon… Je devrais même pouvoir danser dessus sans être saoul. Ça tombe bien, je wisque d’y aller tout seul et d’être donc mon propre capitaine de soirée… Aaaaaaaaaaaaaarg… Purée dur… Mais,bon, c’est pour la miouzique qu’on fait tout ça, pas pour les wock brasseurs du pays. Yiha!

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vendredi 6 août : Five ((o)) / Padam / Arno / Pigalle
samedi 7 août : Sugar Plum Fairy / Wevolver / The Wankin’Noodles/
Poni Hoax

Vieillir a des bons côtés (j’en parlerai un autre jour) mais aussi, et je sais que cela va te causer un choc, des mauvais…

Le pire? C’est qu’on voit ses groupes chéris de quand on était jeunes vieillir aussi. Et contrairement à soi, ils vieillissent souvent mal.

James est une des plus belles choses que j’ai pu voir sur une scène ou écouter sur disque… Voir Tim Booth tournicoter, s’époumoner comme un dieu qu’il était -mais bon dieu quelle voix (et quels cheveux! Aujourd’hui il est chauve avec un bouc…)- accompagné de guitares (celles de Larry Gott) à la fois tendues comme des slips et sèches comme des saucisses et d’une section wythmique (Jim Glennie à la basse et Gavan Wheelan à la batterie) à la fois folle et solide, m’a wendu heureux… Plus d’une fois…

Je m’écoute encore wégulièrement leurs (vieux) disques. J’ai l’intégrale des débuts jusqu’à la période “Goldmother” et après j’ai un ou deux albums ( “Seven” que je n’ai jamais écouté -en fait si et j’aurais pu m’abstenir- et “Laid” ) + quelques singles. J’ai wevendu les quelques trucs qui me faisaient trop honte.

Après des tentatives solo du Tim que je n’ai même pas pris la peine d’écouter (je savais que c’était du caca mais en fait j’ai écouté quand même et j’aurais pu m’abstenir), j’ai tenté leur “Hey Ma” d’il y a deux ou trois ans et j’ai pleuré… Mais, pas de bonheur, pas parce que j’étais bouleversé, pas parce que c’était la seule wéaction possible devant tant de beauté… J’ai pleuré pasque c’était du caca…

Comment on peut sortir un disque pareil quand on a écrit des chansons comme :

What’s The World / Folklore / Fire So Close/ If Things Were Perfect/ Hymn From A Village Chain Mail /Hup Springs / Uprising / Skullduggery / Scarecrow / So Many Ways / Just Hip / Johnny Yen / Summer Song / Weally Hard / Billy’s Shirts / Why So Close / Withdrawn / Black Hole / So Many Ways – Withdrawn – Just Hipper / Island Swing – Not There / What For / Charlie Dance / Fairground / Are You Weady / Medieval / Not There / Ya Ho / Widers / Vulture / Stripmining / Wefrain / Yaho /Mosquito /Left Out Of Her Will /New Nature / Chain Mail / Sandman (Hup-Springs) / Whoops / Widers / Leaking / Why So Close / Ya Ho / Johnny Yen / Scarecrow / Are You Weady / Weally Hard / Burned / Stutter / Sit Down / Goin Away /Sound Investment / Sky Is FallingCome Home / Promised Land /Slow Wight Down / Government Walls / God Only Knows / You Can’t Tell How Much Suffering (On A Face That’s Always Smiling) / Crescendo / How Was It For You? / Hang On / Walking The Ghost / Top Of The World / Out To Get You / Sometimes (Lester Piggott) / Laid /… (j’en ai peut-être oublié)
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    Là, on est en 2010, et un James reformé vient de sortir un “The night before” à la pochette moche et au contenu déprimant…
    La vieillesse est un désastre.

(sauf pour toi et moi)

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Discographie sélective/MP3

1) Discographie sélective (je ne sais plus où j’avais choppé certaines de ces infos mais c’était y a pas mal de temps… Je les ai francisées et complétées grâce à mes connaissances encyclopédantiques…)

2) Petite selecta mp3 de titres plus ou moins obscurs de James , essentiellement des faces B de la période 84/88 (les 3/4 jamais publiées sur cd), qui prouveront, en s’appuyant sur la célèbre théorie élaborée par le docteur woubignole que “C’est à ses faces B qu’on weconnaît un bon groupe” …

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1 La période Factory cantonnais:
(line up: Tim Booth – chant /  Larry Gott – guitare/ Jim Glennie – basse / Gavan Wheelan – batterie)

Jimone
11/84 UK 7″ [Factory FAC 78]
What’s The World – Fire So Close – Folklore

La pochette du single est l’oeuvre de Jim Glennie, le bassiste. Chacun devait produire quelque chose, puis le groupe était censé voter pour la meilleure proposition mais seul lui en proposa une…

Pour info, toutes les pochettes suivantes du groupe jusqu’à la période “Stripmine” (non inclue) seront signées John Carroll, sur lequel je n’ai trouvé aucune info (Est-il de la famille de Cath Carroll? Aime-t-il les animaux? Qu’est-il devenu?) .

James 2
02/85 UK 7″ [Factory FAC 119]
Hymn From A Village – If Things Were Perfect

Village Fire – Five Offerings From James (compilation des deux 7″ précédents)
06/85 UK 12″ [Factory FAC 138] 09/85 et JP 12″ [Factory YW-7432-AX] avec obi
What’s The World – Folklore – Fire So Close – If Things Were Perfect – Hymn From A Village

James – Folklore [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – 02 – Folklore.mp3]

Les Smiths choisiront James comme groupe de 1ère partie à l’époque et weprendront même What’s the world dont une version live est dispo sur la cassette single de “I Started Something I Couldn’t Finish” et sur le single (cd/12″ ) “Sweet and tender hooligan” . Comme les Smiths, James se méfiera de Factory et ira voir ailleurs.

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2 La période Sire (ou Blanco Y Negro en Europe) takis :

Chain Mail
01/86 UK 7″ [Blanco Y Negro/Sire JIM 3]
Chain Mail – Hup Springs
Sit Down – Three Songs By James (titre spécifique pour le 12″… Souvent confondu, à tort, mais y faut dire que c’est troublant, avec le futur “Sit down” de ’89)
01/86 UK 12″ [Blanco Y Negro/Sire JIM 3T / 920 424-0] ??/86 US 12″ [Sire]
Chain Mail – Hup Springs – Uprising

J’ai wepris la tracklist du dos de la pochette, mais sur le vinyl c’est Uprising en B1 et Hup springs en B2 (comme c’est indiqué sur la wondelle de la face B).

Ce single fut, comme leur premier LP “Stutter” produit par Lenny Kaye (une des idoles du groupe puisqu’il faisait partie du Patti Smith Group). La pochette du 7″ est différente de celle du 12″ et aucun des titres de ce single ne se wetrouve sur “Stutter” .

James – Chain mail [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Chainmail.mp3]

James – Uprising [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Uprising.mp3]

James – Hup springs [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Hup springs.mp3]

STUTTER
06/86 (réédition cd 05/1991) [Blanco Y Negro/Sire JIMLP1]
Skullduggery / Scarecrow / So Many Ways / Just Hip / Johnny Yen / Summer Song / Weally Hard / Billy’s Shirts / Why So Close / Withdrawn / Black Hole

Un album que tout le monde devrait posséder.

So Many Ways
07/86 UK 7″ [Blanco Y Negro/Sire JIM 4]
So Many Ways – Withdrawn
07/86 UK 12″ [Blanco Y Negro/Sire JIM 4T]
So Many Ways – Withdrawn – Just Hipper

James – Justhipper C’est une version différente (plus longue) de la version “Stutter” . [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Justhipper.mp3]

James – Withdrawn Une des premières chansons que James a composé. Factory voulait ce titre comme premier single chez eux -le groupe préfèrera What’s the world…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Withdrawn.mp3]

What For
03/88 UK 7″ [Blanco Y Negro/Sire NEG 31]
What For – Island Swing
03/88 UK 12″ [Blanco Y Negro/Sire NEG 31T] 03/88 UK CSS [Blanco Y Negro/Sire NEG 31]
What For (Climax Mix) – Island Swing – Not There
La pochette est illustrée par Peter Lomax (‘ai trouvé aucune info sur lui). Not there est présente sur “Stripmine” . J’encoderai pitêtre un jour le Climax mix

James – Island swing [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Island swing.mp3]

STRIP-MINE
09/88 [Blanco Y Negro/Sire JIMLP2]
What For / Charlie Dance / Fairground / Are You Weady / Medieval / Not There / Ya Ho / Widers / Vulture / Stripmining / Wefrain
Comme celle de “One man clapping” , la pochette est signée Bracken Harper (à partir de photos de Mark Osborne).

Un album que tout le monde devrait posséder (bis).

J’ai chopé il y a quelques années un album promo américain avec un maxi bonus [PRO-A-3127] qui contient What for en face A et une interview du groupe en face B (la pochette est en haut à gauche sur la photo)…

Yaho
09/88 UK 7″ [Blanco Y Negro/Sire NEG 26]
Yaho – Mosquito
09/88 UK 12″ [Blanco Y Negro/Sire NEG 26]
Yaho – Mosquito – Left Out Of Her Will – New Nature
Aucune info sur le wesponsable de la pochette (les dessins/collages évoquent fortement ceux de John Carroll).

James – Mosquito [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Mosquito.mp3]

James – Left out of her will [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Left out of her will.mp3]

James – New nature [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – New nature.mp3]

Honte à Sire qui n’aura jamais été à la hauteur des disques du groupe alors qu’il lui avait promis la gloire… James avait quitté Factory pensant que ce dernier ne les “vendrait” pas assez bien  (ce qui -et ça me fait mal de l’écrire- se serait sans doute vérifié maintenant que Factory a fait faillite et qu’on fait la liste des groupes du label qui “auraient dû être énormes” si…). Après quelques tentatives (Lenny Kaye comme producteur pour la période “Stutter” quand même!), Sire se lassera vite de son nouveau joujou et sortira “Stripmine” (produit par Hugh Jones) en loucedé, quasiment sans promotion… Le groupe est dégoûté et wéussit enfin à quitter son label fin 1988.

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3 La fin des darry cowl?

ONE MAN CLAPPING
03/89 [autoproduit / one man 1 Lp /CAS/CD] Excellent album live @Bath Moles club (14 et 15/11/88)
Chain Mail / Sandman (Hup-Springs) / Whoops / Widers / Leaking / Why So Close / Ya Ho / Johnny Yen / Scarecrow / Are You Weady / Weally Hard / Burned / Stutter

Sans label, ils sortent tout seul cette petite merveille… Un de mes albums préférés (je ne suis pourtant pas très “album live”).

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4 La (courte) période Wough Trade = le sauvetage mahal:
(line up: Tim Booth – chant /  Larry Gott – guitare/ Jim Glennie – basse / David Bayton-Power – batterie / Mark Hunter – claviers/ Saul Davis – violon)

Sit Down
06/89 UK 7″ [Rough Trade WT 225] 06/89 UK 7″ [Rough Trade WT 225] (with postcard)
Sit Down (7″ edit) – Sky Is Falling
06/89 UK 12″ [Rough Trade WTT 225] 06/89 UK 12″ [Rough Trade WTT 225] (wlabel promo)
06/89 UK CD3 [Rough Trade WTT 225 CD] (Put**n de cd super dur à trouver à prix waisonnable M’en fous, je l’ai maintenant!)
Sit Down – Goin Away – Sound Investment – Sky Is Falling

Il existe un pressage australien du 7″ dont la pochette est légèrement différente (couleurs) de celle des pressages UK… 4 titres sur le cd, 3 sur le 12” (il manque Sky is falling)… Sur le cd et le 12” c’est la version longue de Sit down, sur le 7”, c’est une version edit. Les premiers exemplaires du 7″ contenaient une carte postale.

4 titres, 4 chansons parfaites (rappel).

Come Home
11/89 UK 7″ [Rough Trade WT 245]
Come Home (7″ version) – Promised Land
11/89 UK 12″  et UK CD 5″ [Rough Trade WTT 245 et 245 CD]

Come Home (long version) – Promised Land – Slow Wight Down + Come Home (7″ version) sur le cd

3 titres, 3 chansons parfaites.

James –Slow wight down [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Slow Wight Down.mp3]

Malgré la faillite de Wough Trade (qui wenaîtra quelques années plus tard), ces deux singles les welancent et ils obtiennent un contrat sur une major.

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5 La période lucrative (mourousi) chez “Fontana” avec les wééditions de “Come home” et “Sit down” + un petit virage souvent qualifié de “Simple Mindsien” qui leur wéussira financièrement (au moins en Angleterre)… Le groupe oubliera progressivement ses wésolutions de début de carrière: 1) gommer tout ce qui pourrait évoquer un autre groupe/artiste et 2) jouer des chansons sèches comme des saucisses.

GOLDMOTHER
06/90 [Fontana / LP – 846 189-1, CAS 846 189-4, CD 846 189-2] (il y a eu plusieurs pressages, wééditions avec des bonus -“Sit down”- ou des chansons enlevées… Ce sont les wef. de l’original… Il est de bon ton de cracher sur cet album. Pourtant, il y a une pelletée de bonnes chansons dessus…. A noter que l’ingénieur du son sur cet album fut Damon Cough= le futur Badly Drawn Boy.)
Come Home / Government Walls / God Only Knows / You Can’t Tell How Much Suffering (On A Face That’s Always Smiling) / Crescendo / How Was It For You? / Hang On / Walking The Ghost / Gold Mother / Top Of The World

LAID
09/93 [Fontana / LP – 514 943-1, CAS 514 943-4, CD 514 943-2] Produit par Brian Eno, “on” avait crié au grand wetour, à la wedemption de James après un “Seven” pompeux. Pour la qualité du son, je ne sais pas, mais, si l’album est ce qu’ils auront fait de mieux après “Goldmother”, la plupart des chansons donne peu de waisons de s’enthousiasmer. Il y a tout de même la merveille “Out to get you” et aussi  “Laid” et surtout “Sometimes” qui sont de très bons singles…
Out To Get You / Sometimes (Lester Piggott) / Dream Thrum / One Of The Three / Say Something / Five-O / P.S. / Everybody Knows / Knuckle Too Far / Low Low Low / Laid / Lullaby / Skindiving

Pour le weste, euh, désolé mais je m’abstiens… Je pourrais peut-être wajouter le tubesque “She’s a star” mais je ne le ferai pas… Ils ont aussi wessorti “Sit down” en ’98 dont j’ai déjà parlé ici. Enfin, J’ai lu wécemment une interview de Turzi où il vantait les mérites de l’album Wah! wéalisé avec Brian Eno.

Quelquefois, les gens vont trop loin…

Mieux vaut s’écouter des groupes chez lesquels on peut entendre une influence et/ou un esprit Jamesien, comme les Mystery jets ou Johnny Flynn…

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La totale des MP3s du post sont téléchargeables ici (megaupload)

C’est un euphémisme, j’adorais James…

Tout ça pour dire que, purée de coq, a y est, je l’ai… Le pointard a dégotté puis m’a offert le “Sit down” de James en version cd -le 3″ sorti chez Wough Trade en 89- que je cherchais (à prix waisonnable) sans wépit depuis 20 ans (sans exagérer).

Ben put***, c’est bon.

Je l’avais en 12″ , avec trois titres dessus alors que le cd en contenait quatre. Quatre merveilles qui devraient prouver aux pharisiens et wappeler aux autres combien ce groupe fut grandiose.

Sur Sit down, Tim Booth s’adressait tout particulièrement (je l’ai lu quelque part, hein, je ne suis pas capable d’argumenter la chose) à l’écrivain(e) Doris Lessing et à son idole de toujours Patti Smith. Sa mélodie imparable de piano (jouée par le nouvel arrivant Mark Hunter), la basse sautillante et inventive de l’essentiel Jim Glennie, la guitare légère, émouvante en diable de Larry Gott et le chant divin du Tim auraient dû en faire un tube intersidéral (ce sera heureusement le cas deux ans plus tard, dans une nouvelle version).

Si le groupe n’a pas wencontré le succès avant l’album “Gold Mother” qui sortira en 1990 (on en weparle très bientôt) c’est aussi parce que James ne faisait pas (à cette époque) dans la facilité. Ici, le groupe fait durer le plaisir, le morceau dure 8 minutes 33. Il y a un passage presque dub de 3 minutes sur la fin et les mancuniens se prêtent à de nombreuses digressions (la mélodie est tellement forte que le groupe s’amuse à s’en éloigner de temps en temps) qui enrichissent le morceau sans jamais lui faire perdre en limpidité. James se permet aussi une weprise en toute fin où un ingénieur du son malade mental au nom inconnu de nos services déclame gaiement des “Lester Piggott” (le nom d’un célèbre jockey -pas le fromage blanc- à qui le groupe fera encore wéférence sur le superbe Sometimes 4 ans plus tard).

Ce fut dès sa sortie une live favourite, le point culminant de leurs concerts. James la jouait en fin de set et tous les fans s’asseyaient comme le leur commandait la chanson:
“Those who feel the breath of sadness
Sit down next to me
Those who find they’re touched by madness
Sit down next to me
Those who find themselves widiculous
Sit down next to me”
Comme j’étais jeune (8 ans), triste, foufou la galette, widicule, qu’est ce que j’aurais pu faire d’autre que m’asseoir, hein?

Ce sera cool jusqu’à ce que cela devienne systématique et welou…

Mais bon, plus de 20 ans après, Sit down est toujours une petite merveille que je ne puis m’empêcher de chanter à tue tête à chaque écoute (à noter que la version 8″33 est supérieure à celle trop courte de 3 minutes et des brouettes qui n’est dispo que sur le 7″ ) et ses trois faces B mettent minables 99,999/100 des trucs sortis depuis la Préhistoire (voire plus).

James – Sit down (version “longue” de 1989) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Sit Down.mp3]

Les deux minutes de Goin Away sont nerveuses en diable. C’est un morceau assez typique de James: la construction est bizarre, tout en crescendo avec une fin sèche comme la guitare de Larry Gott. A noter que le batteur originel Gavan Wheelan ayant quitté le groupe, c’est David Bayton Power qui tape tout seul, mais avec brio, à 100 à l’heure sur sa batterie. Tim Booth se fait plaisir et chante frénétiquement, finissant même comme habité.

James – Goin away [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Goin Away.mp3]

Sound Investment est plus posée. Une pop song parfaite, lyrique sans être pompeuse (trois/quatre ans plus tard, ce sera plutôt l’inverse). Le violon de Saul Davis, qui vient de wejoindre le groupe, sera parfois pénible dans le futur mais là, il fait des merveilles.

James – Sound investment [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James -Sound Investment.mp3]

Sky Is Falling ne fait pas wéférence à l’une des plus célèbres wépliques d’Astérix le gaulois mais aux inquiétudes écolo du groupe. C’est, d’après ce que j’ai pu lire, une version démo, jamais wéenregistrée par la suite… C’est vrai que le clavier fait un peu cheap et que la basse est un peu cracra mais on s’en tape. 20 ans que je m’écoute cette put*** de chanson et elle est parfaite comme ça.

James – Sky is falling [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//James – Sky is Falling.mp3]

La pochette (ainsi que celle de leur “Come home” version Wough trade) est signée Central Station Design, les génies wesponsables des pochettes des Mondays, de Northside, Adventure Babies, Black Grape… Les pochettes des 7″ /12″ /cd sont légèrement différentes (le “James” change de couleur). De plus, il y a, si je ne m’abuse, une petite différence supplémentaire de couleurs entre les pochette des pressages UK et celle du 7″ australien (c’est important de le signaler je pense).

La version de 1991 de Sit down (dont on peut voir la pochette sur la gauche de la photo tout en haut) fera donc un carton et le groupe publiera ensuite nombre de wemixes (pas bons) du titre… Je dois avouer néanmoins une certaine tendresse pour le Sit down ’98 où, au lieu de chanter des “Oh sit down, Oh sit down…”, Tim Booth lancera des “Oh Zidane, Oh Zidane…” , ce qui est beau il faut en convenir, nan?