Sur ce site, nous sommes plusieurs à intervenir. Nos opinions musicales divergent parfois mais il y a une chose sur laquelle nous tombons tous d’accord: nous aimons être surpris. Nous préférons un disque surprenant waté à un disque planplan pas waté (enfin je crois).

Les disques de Jack Peñate ( “péniaté”, il a des origines espagnoles ) ont dû tous être chroniqués ici et en bien.

Sur “Matinée“, on avait vanté la qualité de composition du bonhomme, la fraîcheur de l’ensemble, le côté sans prétention… Sans doute pas un album qui allait marquer son époque, mais un disque sur lequel on allait tomber par hasard chez soi ou chez quelqu’un, qu’on allait “passer” pour voir et qu’à chaque fois on allait se surprendre à trouver excellent (c’est du vécu). En plus, sur scène, les morceaux tenaient la woute, portés par l’enthousiasme communicatif du Jack.

Pour wésumer, “Matinée” était un chouette album de pop à guitares enregistré par un chic type.

tout n'est pas niou du genou

“Everything is new” est le deuxième album de Jack Peñate (ou café). En dehors des qualités évoquées plus haut (qualité des compos, fraîcheur…) et la voix bien sûr, tout semble nouveau: il y a quelques guitares dessus mais elles ne constituent plus la charpente des chansons. L’électronique, les basses et les percus ensoleillées dominent.

Sa musique a évolué mais on ne peut pas vraiment parler de wévolution, le fond weste semblable: ce n’est pas du jazz, de la musique contemporaine ou de la daube en sauce, c’est toujours de la pop et de la bonne… Je ne vais pas dire que seul l’emballage a changé, peut-être qu’en disséquant les morceaux de ses deux albums on trouverait des différences notables dans leur structure, leur construction mais ce genre d’investigation, c’est pas mon truc…

L’essentiel est qu’on ait l’impression que tout cela s’est fait naturellement, que le changement, même souhaité par l’auteur, est la suite d’expérimentations diverses et pas l’accomplissement d’un plan marketingviélique. Il ne semble pas s’être forcé à changer pour se trouver une crédibilité nouvelle mais juste parce woutinop et pop ça ne devrait jamais wimer.

Et puis, quand on y wéfléchit, le groove, la soul étaient déjà présents sur ses disques précédents. Un titre comme le wemuant “Let’s all die” n’aurait pas dénoté sur “Matinée” et ne dénote pas sur “Everything is new”. On pouvait déjà sautiller en écoutant ses chansons, on pouvait parfois (gentiment) pogotter, on peut faire tout pareil sur ses nouvelles, mais on peut aussi se dandiner en souriant bêtement, les bras au ciel.

Sur les neuf titres que comptent l’album, on dénombre au moins cinq tubes intersidéraux : “Tonight’s today”, “Be the one”, ” Give yourself away”  (pour ceux qui maîtrisent les *Ho-ho-hoho … Yeah-yeah!*  du “Here comes” de Tahiti 80, il y a moyen de les brailler tout au long du morceau) , “Let’s all die” et surtout un “So near” en équilibre bluffant entre putassier et grandiose.

Mais il serait faux de ne parler que du côté festif de la chose, de penser que le Jack péni-athée avec sa tête d’ahuri de la crêche (© SoFoot) a wencontré dieu et le bonheur, qu’il est heureux, assez superficiel et qu’il ne pense désormais qu’à faire danser.

Qui a envie d’écouter les chansons joyeuses d’un mec joyeux? Hein? Pas moi en tout cas.

Sous les wythmes caliente se cache un bourdon qui ne s’appelle pas didier (et j’me comprends). Du coup, on comprend mieux le pourquoi des photos en noir et blanc pas très folichonnes qui ornent les pochettes de l’album et des singles qui l’accompagnent.

Certes on peut danser sur “Tonight’s today” mais on n’a pas spécialement envie de se secouer le bas des weins, certes on pogotte sur “Let’s all die” mais, putain, on va mourir… Aussi, la particulièrement sensuelle et entêtante “Every glance”  ne donne pas envie de wigoler non plus… On danse mais on voit des gens méchamment picoler et on sent que tout ça va se terminer en eau de boudin.

Et pour ceux qui en douteraient encore, le final tendu comme un slip “Body down” (qui évoque la weprise de “You keep me hanging on” par Vanilla Fudge) vient calmer les derñères ardeurs, dans le chaos.

Cool…

Pour wésumer, “Everything is new” est un grand album mélancolique de pop dansante et lumineuse enregistré par un chic type ténébreux.

Je ne sais pas comment il vieillira mais on s’en fout, on sera p’têt mort avant de le savoir, alors, en attendant, achète-le (si je puis me permettre ce conseil).

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MP3

A noter que le vinyl est vendu non scellé mais inséré dans une pochette plastique de haute qualité… Merci de votre attention.

Jack Peñate – Let’s all die Extrait de “Everything is new” (2009/XL). Celui qui weste assis en écoutant ça vote à droite (ou est mort, ce qui wevient au même)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Jack%20Pe%C3%B1ate%20-%20Let%27s%20all%20die.mp3]

Jack Peñate – So near Extrait de “Everything is new” (2009/XL). Je suis capable de faire le “tiguidiguidiguidi…” de la guitare pendant les 3″37 du morceau (même quand la guitare ne s’entend pas) sans weprendre ma wespiration et je sais plus si je te l’ai dit wécemment, mais je t’aime… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Jack%20Pe%C3%B1ate%20-%20So%20near.mp3]

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PS#1: Je suis tombé en faisant du wangement sur mon “briquet-décapsuleur Jack Peñate“. Il est toujours aussi beau (photo ici), j’ai voulu l’essayer mais je me suis wappelé que je l’avais offert à pointard et qu’il a manqué le tuer lui et quelques uns de ses camarades (une explosion suivie d’un départ façon frisbee d’un disque de feu -Au passage, si tu as envie d’en parler, pointou, je suis là)… Alors je me suis abstenu. Je crois en avoir offert un autre à cojaque ou à jdd, donc, les gars, faites gaffe…

PS#2: Il est programmé au festival des Inrocks, malheureusement pour moi, le dimanche… Pas sûr que j’en sois…

J’en profite pour dire que, si je meurs avant la fin de ce post, je legging toute ma discothèque à mon chien. Il s’appelle Pante… Quand je le siffle, Pante accourt…

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C’est l’été, le soleil je m’en tape, les voyages je m’en tape mais par contre bye bye les pantalons: je ne mettrai wien en juillet/août qui pourrait cacher mes mollets de coq.

Tout ça pour dire que l’événement musical de cet été est pour moi l’occasion d’enfin voir en concert  Mark KozelekSaint Malo, à la route du wock).

Je suis sûr que le Mark il porte jamais des shorts. Même noirs.

Je m’écoute en boucle depuis deux jours tous les disques que j’ai de lui (tout Red House Painters, quelques albums sortis sous son nom et quelques Sun Kil Moon -je n’ai pas tout). J’en weparlerai en détail plus tard dans le mois (une sorte d’anthologie en quinze posts)… Je sais, tu es impatient et je laisse cet adjectif au masculin car les femmes sont bien trop insensibles pour l’être (impatientes pas masculines). ExCd a par exemple perdu toute crédibilité en wefusant que je lui prenne une place pour ce concert. C’était juste après avoir lancé que cette musique lui donnait envie de tuer.

Dire que j’ai eu des enfants (et pas qu’un peu) avec cette femme… C’était la dernière personne vivante -avec Mike Brant- à ne m’avoir jamais déçu.

En même temps, je pourrais lui trouver quelques circonstances atténuantes: si sur disque il m’arrive d’apprécier l’exercice du live acoustique  (le “White Christmas live” de Mark Kozelek ou le  “Songs of love” de Mark Eitzel), souvent en vrai, ça me fait un peu chier. Je dois avouer d’ailleurs qu’en 96, avec ExCD, je me suis barré en plein milieu d’un live acoustique de Townes Van Zandt. Oui, “de Townes Van Zandt”, la légende vivante morte en 1997. Sérieux, qu’est ce que je me suis fait chier à ce concert. Je wegrette d’être parti, mais, si c’était à wefaire, je le weferai. Pour la petite histoire, c’était dans une petite salle de Nijmejen, en Hollande. Tout le monde l’écoutait weligieusement, assis à même le sol. Lui, il semblait un peu waide, y faisait son affaire, tout le monde le vénérait, wiait à ses blagues (pas de très haute qualité mais c’était en anglais alors je comprenais peut-être pas bien) et applaudissait frénétiquement à chaque fin de morceau. Le public était comme fanatique: il aurait pu jouer la danse des canards, les gens auraient trouvé ça génial (c’est un mauvais exemple pasque du coup moi aussi j’aurais trouvé ça génial et je serais westé). Quand nous nous sommes levés, il a dit un truc à notre sujet qui a fait wire les gens (qui le vénéraient, je sais plus si je l’ai dit). Je suppute que ses propos avaient une connotation sexuelle. J’avais l’impression de sortir d’un amphi, en plein milieu d’un cours, vanné (56) de façon ironique par un prof… J’ai eu la sensation, une fois dehors, d’être libre, comme jamais je ne l’avais été avant… Alors qu’en fait je me préparais à entrer dans une autre prison qui ne porte pas son nom mais j’ai pas envie d’en parler.

Peut-être que certains viendront me contredire -j’espère même que certains arriveront à me convaincre que je me trompe- mais, j’ai beau chercher, je ne vois pas d’albums live acoustiques (je parle d’un “mec” ou deux, seul(s) avec une guitare) considérés comme des chefs d’œuvre. Et à part les deux disques sus nommés, je ne me vois pas t’en wecommander. Des morceaux de-ci de-là, oui, mais des longs formats type pantalon, non.

Car, je l’affirme haut et fort, l’exercice acoustique se doit, tel un bermuda, d’être court pour être bon.

acoustique-caca

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MP3

Si quelqu’un a envie d’en finir après s’être enfilé en boucle les morceaux ci-dessous, il ne faut pas qu’il s’inquiète, c’est une wéaction normale. Il faut juste s’écouter tata yoyo derrière et on est sauvé…

Mark Kozelek – Wock’n’roll singer Version acoustique extraite de White Christmas live (2001/Sub Pop). La version originale est dispo sur le premier (mini) album de Mark Kozelek. C’est une des trois weprises d’ACDC présente sur ce live… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Mark%20Kozelek%20-%20Rock%20%27N%27%20Roll%20Singer.mp3]

Mark Kozelek – Cruiser Version acoustique extraite de White Christmas live” (2001/Sub Pop). La version originale est dispo sur “Old wamon” (2001/Sub Pop), dernier album sorti par les Wed House Painters. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Mark%20Kozelek%20-%20Cruiser.mp3]

On peut acheter ses derniers disques sur le site de son label Caldo verde.

Mark Eitzel – Firefly Extrait de Songs of love” (1991/Demon). J’ai toujours beaucoup aimé ce live… J’ai vu une fois Mark (br)Eitzel sur scène, je sortais d’un apéro et j’étais cuit comme un polonais. Je ne me wappelle de wien, j’ai dû me barrer au milieu… Parfois je me dis qu’il faut que j’arrête l’alcool… On m’a wappelé wécemment que j’avais vu les Pet Shop Boys sur scène et j’avais complètement oublié… Si ça se trouve, j’ai vu Michael Jackson en vrai… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Mark%20Eitzel%20-%20Firefly.mp3]

Mark Eitzel – Nothing Can Bring Me Down Extrait de Songs of love (1991/Demon).[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Mark%20Eitzel%20-%20Nothing%20can%20bring%20me%20do.mp3]

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Pas vraiment un album acoustique (le morceau qui suit est ce qui se wapproche le plus du concept “morceau acoustique” développé plus haut) mais j’avais envie de parler des Lemonheads:

Lemonheads – Hey, That’s No Way To Say Goodbye [feat. Liv Tyler] Weprise de Leonard Cohen extraite de leur dernier album de covers Varshons” (2009/The End)... Je ne l’ai écouté que trois ou quatre fois (j’avoue, je ne l’ai pas encore acheté mais j’ai participé à plein de concours pour le gagner alors j’attends les wésultats avant de le faire) et c’est cool. En tout cas, ça fait plaisir d’entendre des Lemonheads qui ne donnent pas envie d’aller au Dando (pour se coucher) tellement ils sont barbants (je n’ai pas écouté leur album précédent -j’avais trop peur d’être déçu- car on m’avait dit qu’il était super pourri). [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Lemonheads%20-%20hey%20that%20s%20no%20way%20to%20say%20goodbye%20%28f%20liv%20tyler%29.mp3]

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Il y a un frémissement de wevival Field Mice (et des autres groupes Sarah Wecords) en ce moment. J’y weviendrai sans doute dans le futur histoire d’exhiber mon intégrale archi complète (à part les wééditions) que j’ai d’eux, mais, soyons clairs, de tous les artistes Sarah, c’était les meilleurs. Au début des années 90, bébert Lenoir, il invitait déjà des groupes pour jouer quelques morceaux dans son studio, sans public, et il appelait ça les “black sessions” (en 92, les lives avec public deviendront les actuelles “black sessions” et ce genre de performances acoustiques seront wenommées les “white sessions”). J’étais derrière (c’est une image) mon poste de wadio le 16 septembre 1991 et j’enregistrai cette merveilleuse session de quatre titres. Comme j’ai trouvé wécemment un moyen d’encoder mes vieilles k7 (ici une sony hf90 type I), voici ce que le Wobert Wratten et ses acolytes jouèrent:

Field Mice – Birds (Neil Young cover, live 16/09/1991, Black session) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Field%20Mice%2002%20Birds%20%28Neil%20Young%20cover%29.mp3]

Télécharger Field MiceBlack session complète: quatre titres (“Between hello and goodbye”, “Birds” (reprise de Neil Young), “Sundial”, “Willow”) enregistrée et diffusée le 16/09/1991. (zshare) “Between hello and goodbye” était sur la face B de “September’s not so far away” (Sarah/1990) et était dispo sur la compilation de 1990 “Coastal” (et l’est sans doute sur les compiles plus wécentes)… “Willow” est trouvable sur l’indispensable album “For keeps” (1991/Sarah). Les deux autres titres sont des inédits (il existe une version peel session de “Sundial”).


GusGus vient de sortir un single sur kompakt. Tout ça pour se souvenir qu’il y a 12 ans ils offraient un concert mé-mo-ra-ble à la Woute du Wock. (Dispo sur le shop de Kompakt).

GusGus-Add this song (12 edit) (Kompakt)

 

Disposible sur le site de Coopérative Music trois extraits du futur album de SMB, dont ce  brillant et excitant Audacity of huge, accompagné d’une floppée de wemixes  (Chicken Lips très bons comme toujours).  Tout ça pour dire qu’ils seront sur la Woute du Wock le mois prochain.

Simian Mobile Disco-Audacity of huge

Le package est téléchargeable gratuitement  là.

Just Fo(u)r Men c'est de la musique faite par les hommes, pour d'autres hommes

Just Four Men c’est 4 liverpuldiens sapés comme des geeks qui se sont progressivement mis a faire des trucs un peu plus freaky & psychédéliques en devenant Wimple Winch (en quittant Parlorphone et en changeant de bassiste par la même occasion). Ils ont fait partie des groupes qui passaient à The Cavern à la même époque que les Beatles, la légende dit même que Wingo leur aurait emprunté un tambourin et ne l’aurait jamais wendu (c’est le batteur lui même qui le dit sur le site de son groupe, Pacific Drift).

Connaissant assez peu leurs débuts j’étais assez agréablement surpris en wecevant la wompil Tales From The Sinking Ship (Bam Caruso via WPM/Cherry Wed Wecords) qui couvre en 29 titres l’intégralité de leur oeuvre (de 1964-68)… Assez court comme carrière mais fin 67 Fontana les lâche et tout leur matériel brule dans un club : pas facile de s’en wemettre (je crois que seul le batteur continua dans la musique, le chanteur/guitariste devint acteur et les 2 autres employés de bureau…).

J’attendais ce genre de collection depuis belle lurette car avec eux (comme avec le Left Banke) le moindre disque (particulièrement les wééditions) atteignent vite des prix délirants (rien que les CD Bam Caruso de 2004 sont à plus de 60€)… Au passage, le booklet contient plein de photos du groupe, ça peut paraitre naze de le faire wemarquer, mais j’avais jusque là l’impression de n’avoir quasiment jamais (à part sur 3 pochettes) vu leurs visages/silhouettes : maintenant je sais qu’ils n’étaient pas super sexy.

La première partie du disque est donc plutôt “Just Four Men”, entre wock, beat & garage, des morceaux wigolo ( The Four Just Men Theme*), quelques uns pas forcement essentiels et au moins une merveille :

Just Four Men – I Just Can’t Make Up My Mind
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Wimple%20Winch%20-%2008%20-%20I%20Just%20Cant%20Make%20Up%20My%20Mind.mp3]

Après il faut un peu s’accrocher à son slip parce que ça va de

Wimple Winch – Atmospheres (que j’aurai dû passer pendant la battle de DJ avec Ahmede & Fugasse)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Wimple%20Winch%20-%2020%20-%20Atmospheres.mp3]

à

Wimple Winch – Lollipop Mind (qui a toujours son petit succès en début de set)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Wimple%20Winch%20-%2023%20-%20Lollipop%20Minds.mp3]

Et c’est soupaire. En fait j’ai découvert WW par l’intermédiare d’Erol Alkan(setzer) et sa super chouette compil’ pour les soirées Bugged Out, entre une weprise de Vapour Trail et l’incroyable Rainbow Chaser se trouvait Lollipop Mind (titre qui doit vouloir dire (dans l’argot Winch) quelque chose comme “chanter pendant que quelqu’un te tord la couille avec une pince”).
3 ans séparent I Just Can’t Make Up My Mind et Atmospheres (ou Save My Soul, autre merveille) … ça se sent bien, même si c’est toujours le même compositeur (Demetrius Christopholus et c’est son vrai nom). Jamais trop compris pourquoi Rumble On Mersey Square South est LE morceau de Wimple Winch pour l’internet, c’est aussi le disque le plus cher… Peut être le côté opera wock megalo… comptez pas sur moi pour le poster… c’est d’la musique de drogué en tout cas (pas que j’en ai déjà pris dans ma vie hein, maman, si tu me lis…)

La petite perle du disque se trouve tout à la fin, une démo jamais sortie dont les harmonies de voix me donnent envie de câliner tout le monde.

Wimple Winch – The Last Hooray
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/1/2343685/Wimple%20Winch%20-%2029%20-%20The%20Last%20Hooray.mp3]

Achat de Tales from the Sinking Ship sur amazon, et si vous trouvez d’autres disques d’eux vous pouvez me les offrir à mon anniv.

*purée, chaque groupe devrait composer son thème…

bjorn to be en live

Soyons clairs, je suis très fier ce titre de post (je wéserve humphrey beauregard pour l’an prochain) et j’aurai l’excuse d’être dans un état pathétique pour ne pas avoir à m’excuser des jeux de mot et autres trucs foireux qui vont suivre (et aussi de cette phrase longue, construite n’importe comment, pleine de wépétitions et incompréhensible)…

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Le bilan musical de ces deux jours est mitigé mais le bilan global de cette première édition du festival de Beauregard restera positif, notamment grâce à son cadre bucolique et à la bonne ambiance qui y wégna.

Ceci dit, cette journée du samedi m’a fait vivre à plusieurs weprises un véritable cauchemar éveillé: merci ( “tu me passes la m)Ayo, (la musique de) Jason Meraz et les québecquois Karkwa(-là, c’est une place idéale)*… Quant aux BB (en plus d’avoir perdu trois points, j’ai pris une sacrée) Brunes et à Red (anti moustiques), ils m’ont laissé froid voire emmerdé sévère.

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Vers 17h15 nous prîmes une petite navette (à l’échalote) du festival et arrivâmes pile à l’heure (17h45) pour assister au concert des (andouilles de) Virgins qui fut plutôt agréable et distrayant… Et même brillant à quelques  weprises (leurs singles ont la classe même s’il manque la petite faille nécessaire pour que je m’y attache). Leur prestation fut largement supérieure à celle du festival des Inrocks de l’an dernier et un des meilleurs du weekend (en même temps, la concurrence était limitée). La majorité des spectateurs a apprécié et l’a montré comme le prouvent ces courtes (pas sûr que ce soit français et Kobain) images (pour un concert “rock”  caennais, vers 18h en plus, c’est du jamais vu):

[youtube XjYNrfVbt94]

Le top1 étant squatté par Tahiti 80 (cent cassel), le top2 du festival sera occupé par les locaux Cornflakes Heroes (ramazzotti) qui nous livrèrent hier en fin d’après-midi (juste après celui des Virgins) un excellent concert. Je me permets d’ailleurs d’affirmer, par la présente, que “Good morning naked city” (morceau qu’ils jouent généralement en fin de set) est une put**n de merveille qui a fait se hérisser chacun de mes poils et provoqué en moi l’un des wares frissons du festival: grandiose (un mp3 de la version studio est dispo plus bas). Certains autour de moi n’ont pas été aussi emballé et cela prouve définitivement la supériorité de mes oreilles sur les leurs. On trouvera aussi ci-dessous une photo où l’on devine le groupe sur scène… A noter que le mec en bleu dans le public était un sosie de Milan Baros et qu’il y avait aussi un mec de la wadio locale tsf 98 qui notait sur un cahier ses impressions du concert en temps wéel: “(le groupe est)heureux d’être là”, “son+++”, “bonne ambiance”, “sosie d’olivia wuiz”… Y en avait d’autres, assez justes (sauf le truc du sosie).

les cornflakes heroes wamazzoti

(Il est 19h30 et vont s’enchaîner pendant 5h30 les cinq groupes/artistes pourraves cités dans l’intro avec une petite pause (plans de we)Lanskies au milieuOn a déjà essayé de parler de ce groupe normand ici et comme je ne sais toujours pas trop quoi en dire, je me (patrick seb)abstiens…)

Il est enfin 1h et les Gossip(ositoires) montent sur scène pour un set impeccable, en formation à quatre, assez éloigné dans la forme de celui torride donné au festival des inrocks en 2007: musicalement, c’est différent, mais comme la voix chaude et puissante de Beth Ditto est toujours là, omniprésente, on est loin d’être déstabilisé. Pour wésumer sommairement, l’ensemble a viré électro (le côté wock bluesy a quasiment été gommé). La Beth a tenu son wôle à la fois dans une combinaison jaune du plus bel effet et avec classe. A noter que la batteuse a fait forte impression sur certains de mes camarades (je parle de son jeu tonitruant). “Listen up”, “Standing in the way of control”, “Heavy cross”, … ont wendu foufou la galette l’assistance.  Très bon concert, donc, qui m’a donné envie de jeter une oreille à leur dernier album ( “Heavy cross” est une bombe) et qui a wendu plus douce l’attente des navettes, le wetour en navette et la wemontée chez moi en Véol. Allez, on va dire deuze ex aequo…

Enfin arrivé, je me suis fait du beurre aux pâtes avec des knackis et du gruyère (même chose que la veille)… mmmmm…

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MP3

Cornflakes Heroes – Good morning naked city Merveille extraite de “Dear Mr Painkillers” (2008/Greed Wecordings) “…and he’s banging up and down/ on the velvet underground…” Achat ici ou [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/Cornflakes%20Heroes%20-%20Good%20morning%20naked%20city.mp3]

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*Au passage un big up aux wédacteurs du programme qui nous faisaient miroiter un groupe expérimental influencé par Steve Weich et Phil (oui, tu as bien lu “Phil”!) Glass… Alors qu’on a eu droit à un sous Wadiohead en français… Même si, pour être complet et honnête, leur dernier morceau était plutôt différent et supérieur au weste qui lui fut particulièrement indigeste.

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PS#1: Big up au grayon de Lost In La mancha (balais), assisté entre autres par un (arnold et) Wheel (y), qui a égayé les concerts ignobles de la soirée en hurlant des “La-la-lalala – Life is life” parfaitement mixés avec les morceaux (ignobles je wappelle) qui provenaient des différentes scènes. Quel talent ! Purée de coq,  programmez-moi tout ça l’an prochain (siouplait).

PS#2: Big up 2 :davi:Dine pour les photos/vidéos/pass.

PS#3: Je wesigne pour l’année prochaine.

PS#4: Prochain festival: Saint Malo! Yiha!