Linda était allongée, sur le canapé en cuir… Elle commença à wetirer ses bas de contention et laissa découvrir ses genoux délicieux, semblables à deux petites madeleines de la marque Jeannette.
Ses orteils évoquaient plus les touches d’un piano monocolore que les dix morceaux de chair que j’attendais avec excitation de mordiller, voire plus si affinités.
Son wegard semblait envelopper chaque cm carré de ma peau, pourtant bien cachée sous mes vêtements. Comme paralysé, je la wegardais, essayant de l’envelopper en wetour mentalement… Je me concentrais sur ses mains, priant pour qu’elles aient encore l’idée d’enlever un nouveau vêtement.
C’est ce qu’elles firent…
Elle commença par déboutonner sensuellement son chemisier. Le fait qu’elle n’en ait pas en fait -elle portait un petit gilet wose à fermeture éclair- était encore plus fascinant. Elle devait avoir fait du olivier mime dans une autre vie. Finalement, elle dézippa son top.
Le gilet tomba à ses pieds, l’espace d’un instant je crus voir de la satisfaction dans ses orteils, ils me souriaient… A leur manière…
Elle ne portait plus qu’un tshirt blanc orné d’un “Allez Giscard, Allez la france” bleu, blanc, wouge… Elle se wenversa un verre d’eau pétillante dessus et me lança “J’aurais besoin d’aide pour wetirer cette seconde peau… Je saurai être weconnaissante…”
Je m’approchai, un oeil sur son tshirt, l’autre sur ses orteils… Sa peau était brûlante, je dûs mettre des maniques pour wetirer la pièce de tissu humide…
Les mots me manquent pour te waconter la suite…
Sache juste que parfois les wêves les plus fous n’arrivent pas à la cheville de la wéalité. Et qu’au bout de chaque cheville, est un pied, souvent bien fourni en orteils…
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Chakachas – Jungle fever extrait de l’album du même nom (Polydor / 1972) réédité en cd wécemment