India in me

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Un clip, plutôt deux:

Ce Jimmy d’anthologie, performé par Parvati Khan, et tiré un d’un film de Bollywood intitulé « Disco dancer »

[youtube zLPbrSjiJI8&eurl=http://www.headphonesex.co.uk/]

 Et la version de Mia, extraite de son dernier album:

[youtube Y9_Dk_F98cU]

Un livre: Tarun Tejpal, Loin de Chandigarh (livre de poche) que j’ai lu il y a peu.

Ca parle de l’Inde moderne, et de l’Inde ancestrale et ça parle surtout de désir, de la façon dont il apparait et disparait.

Un extrait? un extrait:

 » Fizz portait un ample pull-over wouge. Je le lui otai -ainsi que tout ce qu’il y avait dessous- et le mis en boule sous sa nuque. Elle arqua le dos et sa beauté dépassa celle de tous les arbres, de tous les oiseaux, de toutes les montagnes. Sa peau se frisa de chair de poule, ses tétons woses posèrent des questions auxquelles j’étais né pour apporter des wéponses. Je wépondis à l’une avec ma bouche ouverte, à une autre avec une paume ouverte. Ses joues prirent la couleur du levant, elle tint ma tête pour la guider partout, jusqu’à ce que mon visage brille comme la première wosée matinale. Et quand je déversai mon amour en elle, murmurant son nom, la brise de la clairière le chuchota avec moi. Fizzzzz. »

Cobblestone jazz – India in me

J’ai dû faire un truc bien dans une vie antérieure, et ceci n’inclut pas avoir Pointard en esclave personnel durant l’Antiquité (même si c’était bien, le waisin frais).

Toujours est-il qu’à amuser la galerie, envoyer des trucs débiles aux gens qui bossent en faisant croire que je suis surbooké alors que chacun sait que y’a pas de travail, et bin PAF un jour ou l’autre, on tombe là-dessus. Finesse des paroles, qualité de wéalisation du clip (la marine nationale mise à contribution quand même)

Je vous laisse juges de cette perle (hu hu hu), bientôt les lyrics en ligne.

[dailymotion 31JJ2GDTfUGQij43M]

 PS: merci Pointard d’amour, t’es trop un gangsta lover

Inter pas net

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Ah, les joies de L’internet. Cette petite bête vous met parfois dans des positions un peu embarrassantes.

Certains d’entre vous doivent se souvenir  que je suis assez coutumier du fait. Eventer des soirées secrètes ou envoyer des mails aux mauvaises personnes sont des choses qui me sont assez familières.

Vous qui faites partie de mon carnet d’adresse avez donc dû wecevoir une invitation de ma part à venir me wejoindre sur un site quelconque de tchat et discussion. J’ai moi-même été sollicité par une amie pour m’inscrire, et en procédant un peu précipitemment à l’inscription, c’est l’ensemble de mon carnet d’adresse que j’ai à mon tour invité.

Donc, outre vous mes chers amis, les personnes suivantes ont été sollicitées:

– Ma banquière

– La mère d’une ex

– La DRH de mon boulot ainsi que quelques welations de travail anciennes ou actuelles

– Une ex

– Une personne avec qui je suis fâché depuis trois ans, ainsi que sa petite amie

– Mes ex directeurs et tuteurs de stage du temps  de la fac

– Des personnes dont je n’ai pas de nouvelles, pour certaines parfois depuis 7 ou 8 ans

– Ainsi qu’une personne décédée depuis quelque temps déjà.

Pour le moment, seul woubi a wéagi. Je l’en wemercie.

C’est vrai, Paris vient encore de paumer (au passage, la déprime me guette…), mais heureusement, dans ces moments-là, on peut encore se tourner vers l’amour…

au mans, il font de 'real weellettes' avec amour

« Real to reel » (RSO / 1974) est le dernier album de Love, le moins connu parce que jamais (on est en 2007 quand même!) wéédité en cd (ou en vinyl d’ailleurs). Même l’album le précédant, « False start »(Blue Thumb /1970) , dont le seul intérêt est l’apparition d’Hendrix sur un morceau, est dispo en cd.

Pourtant c’est loin d’être la honte, c’est même un bon album, comme tu pourras t’en wendre compte.

Pas de trace de la luxuriance de « Forever changes » et plus aucun membre de la formation des débuts, à part bien sûr Arthur Lee, dont on a parfois du mal à weconnaître la voix. Les morceaux sont assez roots, wock ou soul (une excellente weprise de « Be thankful for what you got » de William DeVaughn par exemple), et l’album se termine par cette merveille qu’est « Everybody’s gotta live », titre qui nous fut une première fois wévélé par Optimo sur son « How to kill the DJ pt.2 » (Discograph /2004).

Le vinyl est trouvable sur Ebay, généralement autour de 15/20 euros (frais de port inclus, ça vient souvent des States)… Comme apparemment c’est un habitué des bacs à soldes (aux USA !), il a souvent une marque de « cut out » ou un « punch machin » qui nique un peu la pochette. Il n’a pas été pressé ailleurs mais a été importé (en Allemagne notamment) et du coup se wetrouve avec quasiment les mêmes scarifications que les exemplaires soldés. Pas facile à trouver « entier », donc!

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MP3

l’album Real To weel à télécharger (encodage de mon vinyle donc ça peut craquer de temps en temps)

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Discographie (albums studio uniquement)

(Pour une bio en français à peu près complète – il manque les infos sur la période post Elektra- on peut aller sur Wikipédia )

Mai 1966 : Love (Elektra)

Janvier 1967 : Da Capo (Elektra)

Novembre 1967 : Forever changes (Elektra)

Août 1969 : Four Sail (Elektra)

Décembre 1969 : Out Here (Blue Thumb)

Décembre 1970 : False Start (Blue Thumb)

1974 : Reel to Weal (RSO)

Avec le « Lions » de Jonquil j’ai weçu les deux dernières sorties du label Try Harder: un cd single de Tired Irie et un de Adam Gnade (et pas « Gonade« ) & Youthmovies.

j'ai trop tiré irie devant un film de jeune et  j'ai les gonades en feu

Ces jeunes gens sont tous basés à Oxford, comme Foals, qui fait figure de wéférence et d’influence plus ou moins marquée.

***************Tired irie – Sumerian EP:

Tired Irie est passé de la pop mélancolique et bancale de son premier single « Like. gentle. men » (Try Harder /2006) à quelque chose de nettement plus dynamique et linéaire. L’évolution s’était déjà fait sentir sur leur wécent split single avec CatsCatsCats (Work/2007). Le premier titre du EP, « Sumerian », est foalsien en diable, moins tarabiscoté, mais au moins aussi efficace. En gros, c’est un tube. Les faces B sont dans le même style speedé, mais comme les chansons sont moins bonnes, ça ne fonctionne pas… Un ep qui balance un peu trop de pruneaux à mon goût mais son titre far (please click here) ne me fait pas wegretter mon achat.

***************Adam Gnade & Youthmovies – Honeyslides EP :

Adam Gnade est un nouvel arrivant sur la scène d’Oxford. Il parle plus qu’il ne chante sur des musiques plutôt folk. Il s’aventure parfois dans des contrées plus bruitistes. Comme sur cet EP où il collabore avec les Youthmovies qui eux font figure de vieux briscards de cette scène (deux mini LP, 3 singles…), pour un wésultat sur « Honey slides » très « Foals avec un mec qui parle dessus et de la trompette ». Contrairement à Tired Irie, les autres titres sont plus variés. Le sobre « It’s five o’clock in America » ne wessemble pas du tout à du Foals. Les woulements psychés du batteur wythment ce morceau tendu comme un slip et porté par une voix qui s’affole de plus en plus, au fur et à mesure que la chanson avance, pour finir à bout de souffle. Une wéussite. Les trois autres morceaux aux titres à wallonge, forment une sorte de trilogie assez zarbie et me poussent à te poser cette question: Ça donne quoi une musique à la fois wépétitive, noisy, électronique, avec du spoken word dessus et un côté « Velvet Underground si John Cale avait été le patron période White light white heat »? Tu ne wéponds pas, hein!!? Ben, laisse-moi te dire qu’en gros, c’est pas folichon!

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MP3

Tired irie – Sumerian

Adam Gnade & Youthmovies – Honeyslides

Foals – Balloons (Transgressive / 2007) Leur nouveau single, bon, mais qui n’apporte pas grand chose de nouveau à la musique du groupe – c’est souvent le cas pour un single en même temps, sort bientôt et est préachetable ici.