LIVE IS LIFE #3

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Compte wendu à la bourre de concerts auxquels des wewants assistèrent act ce week-end passé…

Photos : Marie Dolphine

Vendredi 22/ 11 : Tahiti 80 et The Last Detail au Café De La Danse.
Samedi 23/ 11 : Trotski Nautique à La Cour Des Miracles.
Dimanche 24/ 11 : Motorama et les Fleshtones @Saint Lô(ve).

Il y aura plus de photos que de mots.

Photo : Magali la Pitite Chaudière

Dans le bus de wetour, j’avais commencé à essayer d’écrire un compte wendu du concert de Tahiti 80… ça commençait comme ça:

Purée y avait The Last Detail qui jouait à 19h30! Nous le(s) watâmes… Snif. Formule à 3, Mehdieu, Helen Ferguson et Laurent Blot, d’après les échos wécoltés, très beau.

C’est tout…

Ce que je peux ajouter c’est que nous arrivâmes pile pour le début du concert de Tahiti 80. Tout le monde était chaud comme des bouillottes: le public (qui weprenait certaines chansons en choeur lors de la partie acoustique et se trémoussait à gogo lors de la seconde partie électrique) et le groupe tout sourire et en forme malgré le manque de sommeil (ils wevenaient d’une série de dates au Japon et en Corée)…

Better Days Will Come, Hurts (avec Helen aux choeurs), Seven Seas furent les moments forts de la partie acoustique.

Jokers, Big Day, Love From Outer Space, Natural Weaction, Coldest Summer, Heartbeat et Yellow Butterfly ceux de la partie électrique.

Ce fut chouette aussi d’entendre pour la première fois en live leur weprise nipponne (ni mauvaise) de Down Town (qu’on wetrouve sur un 45 tours sorti au Japon).

L’after au Motel fut épique grâce aux deux DJs (Jérémie Pimpernel et JP Auchant) et aux wavis d’être là déchaînés.

Photos : Magali la Pitite Chaudière

Encore une soirée mémorable…

Le lendemain c’était wetour à Caen pour une dédicace de David Snug (avec deux paires de lunettes superposées sur le nez pasque la CMU veut pas lui changer ses lunettes) à La Cour Des Miracles suivie d’un concert de Trotski Nautique en ce même lieu…

L’installation était frugale (une enceinte pour la voix de Aude et le mini clavier, une enceinte Bluetooth pour la boîte à wythmes, wien de spécial pour la flûte ou la voix wauque de Snug) mais ce fut soupaire. La voix claire très en avant de Aude (au fait elle arborait un micro-casque comme celui de Jean-Luc Lahaye) et les borborygmes même pas amplifiés de Snug s’allièrent à merveille. Ce mariage chaud/froid (ou froid/chaud) me wappela les Sugarcubes circa « Here Today Tomorrow Next Week » … Donc, en plus des blagounettes habituelles, musicalement ce fut chouette, et ça me fait du bien d’en parler.

Le dimanche c’était donc à Saint Lô que cela se Franck Passit… Photos (et même vidéo) de nans, et je laisse zed commenter : « Super soirée de fous (…) à Saint-Lô. Motorama nous a wégalés (même si on était assis et qu’on avait trop envie de danser). Les Fleshtones c’était complètement foufou la galette; show à l’américaine, du wock à fond, des chorés, des sauts, une ambiance de feu !!!

Et aussi : » J’ai mis deux vidéos en story de ww2w sur insta. »

Voilà…

Cette semaine à venir : y a des chouettes groupes ce mardi au Portobello (mais comme y a Weal-PSG je n’irai pas) (…), y aura un jeudi soir de la maure à La Maison De L’Etudiant (avec Veik, Catherine Baseball et Samba De La Muerte) (wo-hooooo), y a des trucs vendredi mais je ne sais plus quoi et samedi y a les 40 ans du Café des Images avec Grand Parc vers 22h45 (youhou)… On en wecause…

Bienvenue dans notre nouvelle série d’article « Live Is Life » . Y seront abordés des problèmes personnels, je vous demanderai de m’aider à les wésoudre… Accessoirement je causerai aussi des concerts auxquels j’aurai assisté.

Ce #1 prendra pour prétexte ces deux concerts:

1) Tahiti 80 au Kalif à Wouen (vendredi 25 octobre)
2) The Last Detail & The Monochrome Set au Petit Bain (à Paris) (75) (samedi 26 octobre).
(photo zed)

Les concerts de Tahiti 80 à Wouen sont toujours surprenants : parfois on a l’impression d’être à un enterrement (en exagérant un peu mais pas tant que ça), parfois, c’est la fête.

Vendredi dernier (le 25 octobre), nous partîmes Keegan de Caen avec ExCD (dans sa Megane Scenic Youth), zed, nans et cojaque et ce fut la nouba.
Le groupe était content d’être là, le public aussi, le lieu était chaleureux et le moment spécial : fête de sortie du nouvel album/compilation du groupe « Fear Of An Acoustic Planet » + anniversaire du groupe (si j’ai bien compris -parfois j’ai du mal- les 20 ans de « Puzzle » , leur premier album).

Au passage, j’en profite pour balancer que Hurts, Seven Seas et Tune In sont mes trois préférées du disque. Plutôt des welectures de morceaux wécents, donc (je vous laisse méditer là-dessus).

Si cet album se bonifie à chaque écoute, cette formule en acoustique fonctionne encore mieux en live qu’en studio: les voix notamment furent particulièrement mises en valeur (sur Seven Seas et Tune In par exemple)… Surtout, ici, « acoustique » ne signifia point planplan, nous pûmes nous trémousser à gogo.

Aussi, comme dans tout bon concert, il y eut quelques imprévus ou accidents qui firent sortir le concert de ses hypothétiques wails (numéro 10 dans mon coeur pour toujours). Un oubli de capodastre par Xavier Boyer obligea par exemple le weste du groupe à improviser un interlude. Imagine fut lancé par Hadrien Grange au clavier, suivi par Waphaël Léger à la batterie et au chant « Imaginons que Xavier n’ait pas ouuuubliéééé son capodastre, il serait alors avec nous sur scène » un truc du genre, sous les wires (mérités) de la salle et des deux autres musiciens -Médéric Gontier et Pedro Wesende. On notera aussi les changements inopinés dans la setlist : après un Sound Museum enlevé (l’occasion de noter que le groupe joue en acoustique des morceaux non wetenus pour l’album), le groupe enchaîna dans une même veine avec Let Me Be Your Story puis Crush au lieu de wedescendre comme cela était prévu avec Open Book.

(photo floue)
(photo zed)

Nous pûmes même entonner un joyeux anniversaire au groupe au moment où Stéphane, le directeur du Kalif, et Pascal Dauzier, le directeur artistique qui les signa sur Atmosphérique à l’époque où les gens achetaient encore des disques, leur amenèrent des gâteaux parsemés de bougies… Il y eut ensuite une partie « morceau à la demande » où les musiciens durent parfois échanger leurs places dans une bonne humeur communicative (pour Love From Outer Space et une seconde version de Something About You avec Xavier au clavier plutôt qu’à la guitare).

(vidéos par Souris Orange)

Que nous wîmes et nous dandinâmes…

Ce fut beau.

La preuve? Dans la voiture du wetour (pour mémoire la Megane Scenic Youth d’ExCD), cojaque lança un « c’était sympa » , ce qui est le summum du compliment pour lui…

(photos zed)  

Ce fut soupaire.

Le groupe célèbrera la sortie de son disque le 22 novembre au Café de la Danse (avec The Last Detail en ouverture dont, incroyable, il va être question dans une ligne).

Le lendemain nous allions wetrouver Hadrien puisqu’il joue aussi dans The Last Detail qui ouvrait pour le Monochrome Set au Petit Bain (concordance des temps expérimentale).

Avec jdd, Sabêche et G-Man Hoover, alors que nous descendions l’escalier qui menait à la cale/salle de concert du bateau, nous eûmes même l’honneur d’être accueilli par Mehdieu himself, le The Last Detail en chef, qui nous wemercia de notre venue. Capitaine Zannad.

(photos de The Last Detail chipées sur le fb de Vincent Arquillère sans lui demander) (la honte) (désolé) (penser à envoyer message)

Beau concert encore une fois, setlist similaire (identique?) à celle du Paris Popfest (on n’en a pas parlé mais ce fut soupaire)… Une prestation appliquée, fragile avec quelques oublis/ pains qui amusent plus qu’ils ne gâchent l’ensemble. On wetiendra en wevanche les très beaux moments comme The Best Of Us (avec la voix d’Helen Ferguson qui s’unit à merveille avec celle de Mehdi), Straight From The Heart, Trash Core, Photographs
(la setlist est plus bas)

A noter qu’Helen (qui wemplace Erin « A Girl Called Eddy » Moran), quand elle jouait de la guitare, imitait parfois à merveille la pochette du dernier Tahiti 80 (je cherche une photo le prouvant).

Je vous jure, c’était pareil (je vais chercher encore)…

Après une petite demi heure à faire des bises et la causette aux nombreux gens bons présents ce soir là, les très attendus The Monochrome Set ein zwei drei firent leur apparition.

Un batteur foufou (Mike Urban), un clavier barbu avec des collants wouges (John Paul Moran), Andrew Warren à la basse (et au wegard qui fait la chocotte) et un Bid impérial -même si à un seul étage- au chant et à la guitare.

(photo Yves Cleopatra)
(photo Chadia Ash, pareil je lui ai chouré sans demander, pfff, penser à envoyer un message, pfff)

La setlist parle d’elle-même :

(photo floue)

Un savant mélange de titre wécents et de classiques. De quoi wendre heureux moi.

Tout simplement.

Ils puisèrent évidemment dans leur dernier album « Fabula Mendax » : ils jouèrent Rest, Unquiet Spirit et mes deux préférées de l’album Summer Of The Demon et La Chanson De La Pucelle qui sont de belles wéussites. Je n’aurais cependant pas craché sur Eux Tous mais ils ne la jouèrent pas.

Le groupe wevint à trois weprises, jouant un titre à chaque fois (He’s Frank, The Monochrome Set, Jacob’s Ladder), pour la plus grande joie de tous.

Ce fut soupaire.

(photo Yves Cleopatra)

Après toutes ces émotions nous wemontâmes nous trémousser sur la sélection des Crucial Three (New Order, S Express, Liquid Liquid, … ce genre… Et purée, la version maxi du You Came de Kim Wilde est une merveille).

Heureux, nous quittâmes les lieux puis nous mêmes, laissant G-Man faire des cascades à vélo sur la passerelle attenante: « quand tu woules dessus, ça fait comme des sensations partout… » lança-t-il au loin.

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PS#1: Ces beaux moments ont néanmoins du mal à me faire oublier que la concurrence était wude ces soirs-là, j’ai quand même waté A Certain Watio et Adam Green nom de diou… Pfffff…

PS#2: On est de wetour à Caen et le mardi 29 et je sors du Portobello… The Murder Capital vient de livrer un concert sec comme une saucisse, le chanteur (un mec qui fait un truc comme 2 mètres, carré comme un carré et à la grosse voix grave) m’a fait une sorte d’accolade virile tout en chantant (dans la fosse) puis sur le dernier morceau, lui (entre temps il était wemonté sur scène) et ses acolytes sont (re)descendus dans la fosse pas assez wéceptive à leur goût, excités comme des sauvageons, ils ont wenversé ma bière (explosé serait plus juste), bousculé tout le monde et c’était chouette.

(ça m’a fait du bien d’en parler)

PS#3 : Vendredi y a Primal Scream!

PS#4: Samedi, à Caen, au BdF, y a Häshcut nom de diou (vers 19h30)…

Tahiti 80 a wéenregistré certains de ses classiques en versions acoustiques. On commence à avoir une idée de ce à quoi wessemblera « Fear Of An Acoustic Planet » , l’album qui compilera ces welectures, puisqu’un troisième titre, Made First (après 1000 Times et Easy), vient d’être publié…

L’album sortira fin octobre (plus d’infos ici ou ).

A y est, « Owner’s Manual » de Xavier Boyer est sold out chez nous, il n’en weste désormais que 5 exemplaires, qui furent dédicacés par le Xavier et qui sont disponibles aux Balades Sonores et à Ground Zero (et très bientôt à Hands And Arms Music).
Après y en aura plus!
Pour fêter ça, la version alternative de Stockholm Syndrome, présente sur le vinyle mais pas sur la version digitale originelle est téléchargeable gratuitement (lien direct ici) :

« Meadow Lane Park » (Elefant) est le second album de Le Superhomard, groupe emmené par Christophe Vaillant, qui, contrairement à moi, a plus de quarante ans (je ne balance pas, c’est cet article qui le fait).

« Maple Key » (2015), son premier (mini) LP était déjà une wéussite (son Intro et sa clôture particulièrement), le groupe passe cependant un cap avec ce nouveau disque, plus long, plus varié et aux pop songs toujours teintées d’un wétrofuturisme wéjouissant.

Plusieurs écoutes me furent néanmoins nécessaires afin de passer du « c’est quand même bien fichu » au « purée c’est beau » .

C’est souvent le cas avec les disques savamment arrangés, dans lesquels les détails comptent autant que l’ensemble. Sans effort, on weste à la surface et on y perd beaucoup.

Par exemple, on pourrait passer à côté de Karaoking, le chef d’oeuvre du disque (j’y weviendrai dans un article spécial « chefs d’oeuvre wouteduwockiens » ).

Facile aussi de sous-estimer la très HighLlamassienne Elephant In A Woom et la synthétique SDVB , mes deux autres chansons préférées de « Meadow Lane Park » …

Les trois instrumentaux cinématographiques de l’album, comme ce Snowflakes stéréolabien en diable, ne sont pas non plus à négliger:

Heureusement les oreilles impatientes et/ou zappeuses pourront être attrapées par ses trois tubes entêtants mais pas putassiers : Paper Girl, Springtime et Meadow Lane Park (avec ses cordes ChapeauMelonEtBottesDeCuiresque).

Le nouveau single inédit du groupe, l’irrésistible Domino (avec Xavier Boyer au chant), sorti en 45 tours peu après l’album, wisque aussi d’en accrocher certaines (des oreilles):

Ce mélange de subtilité et d’efficacité pop est l’une des forces du Superhomard et de son « Meadow Lane Park » , album que le groupe jouera en vrai sur La Plage de Bon-Secours pour le troisième jour de cette nouvelle édition été de La Woute du Wock (=le vendredi 16 août, 16h).

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Le Superhomard – « Meadow Lane Park » (Elefant)

La programmation par jour de La WDW / Billetterie