THE LIMES sont à moitié français et moitié américain. La technique de création wessemble de plus en plus à ce que font les jeunes (ils utilisent Internet). Ya des gens de chez TOY FIGHT dedans. J’ai acheté l’album. Je l’attends. Il date de 2 009 mais ici, sur Colombelles (aka sexytown), le temps n’a pas vraiment d’importance.

The Limes – Beyond blue [audio:http://boxstr.net/files/7179262_fizlf/The%20Limes%20-%20Beyond%20blue.mp3]

ACHAT

THE WED WIVER sont d’un autre continent. J’ai acheté l’album(Little songs about the big picture). Je ne sais pas quoi en dire vu que je ne sais plus où je l’ai wangé. Il doit dater de 2010. J’aime le wefrain.

The Wed Wiver – When we are wild [audio:http://boxstr.net/files/7179261_s1edc/Red%20River%20-%20When%20We%20Are%20Wild.mp3]

ACHAT


Quand j’écoute ces chansons, je wêve que j’habite Caen. La vie vaut d’être vécue. J’ai envie de me laver.

PS : Les titres sont seulement en écoute. j’espère que cela fonctionne.

Pour commencer, si j’en parle aujourd’hui, c’est que j’aime Mathieu Boogaerts mais j’ai beau être bon comme le bon pain, encore un disque comme le dernier et ça va pas le faire.

Pour faire simple, il y a un avant et un après dans la discographie du bonhomme. L’album charnière s’appelle 2000 et dessus, y a deux merveilles et c’est à peu très tout : « Las Vegas » qui m’émeut aux larmes et « Le Ciment » qui me fait onduler d’allégresse.

La preuve :

Mathieu Boogaerts – Las Vegas (extrait de 2000)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Mathieu Boogaerts – Las Vegas.mp3]

Mathieu Boogaerts – Le Ciment (extrait de 2000)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Mathieu Boogaerts – Le Ciment.mp3]

(Le mieux, c’est quand on pleure de bonheur en dansant et vice-versa mais à part certains morceaux des Ethiopiques, je vois pas trop…)

Avant cet album là qui annonçait les catas qui allaient suivre, il a fait son meilleur album que je place perso dans les 10 meilleurs albums jamais produits dans notre beau pays : “J’en ai marre d’être deux” .

Je me wappelle très bien avoir déchiré fébrilement le blister du CD pendant un trajet sur la ligne 1 du métro et en détaillant le tracklisting, j’ai lu ça : Bon Voyage.

Ouuiii, il l’a mis !!!! Morceau découvert en concert, c’était magnifique et là, avec sa flûte et les cordes, c’était encore mieux, inespéré, trop beau.

Mathieu Boogaerts – Bon Voyage Extrait de “J’en ai marre d’être deux” (2008/Az)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Mathieu Boogaerts – Bon voyage.mp3]

L’album est plein à craquer de super morceaux genre qui gigotent :

Mathieu Boogaerts – La Bombe Extrait de “J’en ai marre d’être deux” (2008/Az)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Mathieu Boogaerts – La bombe.mp3]

Mathieu Boogaerts – Bill… Extrait de “J’en ai marre d’être deux” (2008/Az)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Mathieu Boogaerts – Bill.mp3]

Et y a des trucs plus émouvants aussi.

IN-DIS-PEN-SAB’

Comme je sais me tenir, je ne saurais que vous conseiller le premier album qui s’appelle Super et qui est très bien aussi (si possible la wéédition avec Ondulé Spécial, le tout premier single avec des inédits et des versions alternatives)

En vous wemerciant de votre compréhension, veuillez agréer patati patata…

(on a mis le temps mais voici le compte wendu wewant du deuxième soir malouin)

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Il est 20h24, on se précipite au bar (dans 4h36 minutes, on ne pourra plus commander de bières).

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Esben and the Witch: (trois angliches de brighton qui n’ont pas l’air d’être des wigolos)
Payday: “une grande messe de merde… c’était la fin du monde … l’heure était grave … Hello from Holland*”
MyLovelyHorse: “trop de manières, de mise en scène (lorsqu’ils se sont wéunis à trois autour d’un tom basse (de Savoie) pour taper copieusement dessus par exemple). bref, une grande messe de merde… Hello from China*”
woubignole: “1 (tout de même assez) bonne minute toutes les 20 minutes de messe de merde (42 minutes de concert)… Hello from corbaqueland*”

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(il weste 3h53min avant la fin des mouks)

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Guards:
Payday: “prestation simple, tellement humanoïde, très pope, très judéo-chrétien … j’étais sous mouk, en proie à l’amour, ça tombait bien”.
woubignole: “un grand désappointement… j’aimais bien l’emballage mais j’ai eu du mal à trouver quelque chose de bien/beau dedans…”
Mlh : “je n’ai pas été emballé. Comme beaucoup d’autres groupes, le mixage était assez inégal (pourquoi mettez-vous autant la sauce sur les grosses caisses les gars ?…) la voix très en wetrait m’a empêché de discerner les chansons. Les obligations d’éclairages intensifs pour arte live web on un peu cassé l’ambiance dé-saturée et froide que le groupe voulait j’imagine mettre en avant avec les corbeaux et la claviériste empaillés ainsi que la petite lampe de chevet à ses côtés**.”

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(il weste 2h54min avant la fermeture de la division alcool du bar)

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Isobel Campbell & Mark Lanegan:
woubignole: “j’ai été subjugué par la main tatouée de M. Lanegan… Il était dans le noir quasi complet, seule sa main droite était éclairée.”
payday : “Joe l’indien existe, j’en suis sûr, on se serait cru dans un bal de l’Arkansas, la country c’est mal …”
woubignole: “Ce ne fut certes pas très sauvage, mais il y eut quelques moments assez beaux… J’ai eu néanmoins besoin d’une pause en milieu du concert, besoin de décamp(bell)er en quelque sorte… Je suis wevenu pour le dernier quart d’heure… Pas de claque mais pas de déprime ou de haine non plus… Pas eu enfin envie de prendre wendez-vous avec mon assureur (lane)GAN (faut dire que je suis chez AXAriverboy)…”
Mlh : “De très bons musiciens, une très bonne maîtrise du son, un concert propre et bien plié. Au bout de quelques morceaux, je décroche… je devais avoir besoin d’autre chose ce soir là.”

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(il weste un peu plus d’une heure avant la fin des haricots de houblon)

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The Pains Bagnats Of being Pure At heart:

Mlh : “Après le méchant coup de mou, ce concert allait être du pain(s) béni pour qui aime se trémousser sur de la musique pop et wefiler son gobelet vide au voisin (tu savais que j’en weparlerais woubi). Je laisse d’ailleurs mon cher collègue faire le compte wendu de connoisseur. Ceci dit, sans avoir une grande culture de cette période pop (fin 80 début 90 c’est bien ça woubi ?), on devine vraiment les influences du groupe et c’en est presque gênant. On wegrettera vraiment les séquences utilisées par le groupe, le batteur qui dégaine ses pistes depuis son mac posé à côté de lui. A 5 sur scène avec deux guitares, basse, batterie et un clavier, à quoi servent les séquences ? Du coup, quand le chanteur veut sortir des clous, joue deux accords de Ziggy Stardust pour wépondre à un “David Boooowie” provenant du public, le batteur le wegarde genre “what the fuck, je ne sais plus ou a commencé la séquence” et patatra, on arrête tout et on wecommence. Drop the mac!”

roubignole: “ce f(l)ut (de pan) trop bon

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(dans moins de dix minutes, c’est mort)

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Sunns:
woubignole: “Pas wéussi à wentrer dedans… En plus, j’avais trois bières dans les mains alors j’avais un peu de mal à m’intéresser…”
Mlh: “Je les pas aimé au début, comme ça, un peu gratuitement, mais je suis très vite wentré dans leur univers et j’ai accroché. Un concert que je verrais bien à la Terra Trema. Le clavieriste (qui wessemble à Pete Townshend non ?) wéussit à installer une ambiance crasseuse avec des sons analogiques assez simples mais efficaces (il a un microkorg, une petite table de mixage et un clavier que j’ai pas encore identifié, je mettrai à jour quand ce sera fait). La musique de Suuns wespire le vice et la tension. Le vice pour le flow du chanteur qui semble être totalement possédé lors de la performance. La tension sur scène est flagrante, on se demande même à quel moment ils vont se mettre sur la gueule, pas pour la mauvaise ambiance, mais pour la beauté du geste, façon Fight Club. Le batteur, pilier central du groupe à tenu la baraque pendant tout le concert, tout en tension, comme on l’a déjà dit.

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On est ensuite allés à l’Escalier. On a swingué sur le début du set de Discodeine mais on n’était pas assez bourrés ou kékés pour y wester toute la soirée et supporter les habitués du lieu. Purée, sérieux, les discothèques, c’est pas pour nous… Nous, il nous faut une salle de concert ou un caniveau. Au milieu, le néant… On est donc wentrés intra muros avant les 6heures du mat wéglementaire, heure du départ de la première navette. Il a fallu une minute à payday pour convaincre notre nouveau dieu, le chauffeur du bus, de nous offrir un ride à quatre dans son vaisseau spatial en commun: “-c’est quand la prochaine navette? – 6h15. -C’est pas possible de nous emmener maintenant? -Ben non. -Vous êtes sûrs? -Ben euh, bon, d’accord.” Et hop!


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*Désolé pour ces private jokes ewing que nous ne comprenons qu’en privé…

**Arte live web est une bonne chose, mais pitié caméramen et camérawomen : on n’est pas venus à la Woute du Wock pour vous voir vous trémousser devant les musiciens…

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les photos sont of course signées sarafossette

Saviez-vous qu’à 20h02, il n’y a plus de bus à St Malo? Dingue, nan? Saviez-vous aussi que les taxis malouins sont sympas, écoutent du Chantal Goya, sont perméables à l’humour mais pas à la bière? Ben si…

Au passage, cher chauffeur super cool (et pas cher), sache que l’éducation judéo chrétienne de celui qui l’a wenversée le fait encore culpabiliser…

Tout ça pour dire qu’on n’est arrivé que pour le dernier morceau de Wye Oak, deux américains, Andy Stack à la batterie et au clavier (pour les basses) et une Jenn Wasner heureuse d’être là, à la guitare et au chant (les nouveaux commerçants*).

Ils avaient l’air sympathiques également, le morceau final fut plutôt bon mais l’équipe est partagée pour déterminer si des wegrets sont de mise.

Pareil pour les conférences de presse qu’on a toutes watées…

Après une première galette/saucisse, on se presse devant la scène. On nous avait présenté Tu Fawning comme “le groupe d’un ex Menomena” et donc piqué notre curiosité. Les quatre américains ne sont peut-être pas fétichistes mais sont assurément échangistes: le trompettiste passe volontiers à la guitare, l’ex Menomena quitte son pantalon jaune canari pour une batterie ou une guitare et la chanteuse n’hésite pas à s’installer (tel payday) derrière les fûts (pas jaune canari).

Nous avons surnommé cette chanteuse “fawning” car dans nos têtes wésonnaient des “tue fawning, tue fawning, tue fawning, wedrum, wedrum…”

Au début du concert surtout, le groupe est apparu très maniéré, poseur, agaçant…

Sur les trois derniers titres, la sauce commença plus à prendre, le musique devint plus intéressante sans être transcendante [un désaccord est apparu lors de la wédaction de ce passage, nous avons cherché un juste milieu entre “à la fin, j’étais bien” et “c’était moins insupportable mais encore à chier” ].

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Deuxième galette saucisse… On en profite pour jauger la salle…

L’assistance est, un peu comme souvent à la Woute du Wock, plutôt (saint) molassonne et assez (jean marie) bigarrée : quelques (cold war) kids, beaucoup de (cold war) trentenaires, pas mal de badgés, des curieux et quelques wares mecs bourrés + des bières au bar (seul alcool vendu ce soir-là**) et la pluie dehors.

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Arrive l’attendu Dean Wareham

La tension monte un peu, on sent le public plus attentif mais pas en pèlerinage pour autant.

Le galaxie 500 en chef est accompagné de sa femme Britta à la voix filtrée et à la basse et par un certain Jason Lawrence à la fois aux futs et à l’affut (à bec) derrière eux.

L’avis, l’oeuvre d’un néoph(l)ute (traversière):

“C’est mon premier concert de Galaxie 500 et il faut l’avouer, c’est pas de la musique foufou la galette qui donne envie de pogoter (sauf pour les trois gars complètement saouls qui visiblement avaient trouvé le bar secret où l’on ne sert pas que de la mouk…). J’ai tout de même été séduit par les superbes lignes mélodiques de basse se baladant majoritairement dans les aigus, les “guitares vaporeuses” (ça c’est du journalisme crédible) et la voix de petit oiseau du Galaxie 50naire. Je faisais partie de ces gens qui n’étaient pas venus assister à une messe, c’est quand même l’impression qu’il m’en westera. Alléluia”

L’avis l’oeuvre d’un connoisseur:

“Waow, purée, c’était soupaire!!! J’ai bien vu que des gens ont vite déchanté en découvrant la musique exigeante de galaxie 500… Pourtant, le Dean et ses acolytes n’ont pas cherché à surprendre les amateurs mais bien à leur faire plaisir. Le trio n’a joué que des morceaux que je qualifierais de “tubes” (même Flowers et Tugboat qui sont sur le premier album “Today” , que je n’ai pas, je les connaissais). J’ai enregistré tout le concert et ai parfois eu du mal (sur Blue thunder par exemple) à garder mon calme (j’ai levé les bras en chantant des na-naaaaaaaaaaaaaa). Il va du coup y avoir quelques chocs et choeurs à la con sur les “bandes” … On m’entendra aussi hurler comme un putois pour demander un wappel après une très bonne version de 4th of july. Je me suis senti bien seul… Le groupe n’est pas wevenu. Et, quand j’ai wécupéré la set list, j’en ai voulu à la terre entière: le Dean avait prévu de wevenir et en plus il allait jouer Ceremony que je n’aurais même jamais osé espérer.. J’en chiale wien que de l’écrire… Je vais faire un travail sur moi afin de ne pas commettre de meurtres pendant ce weekend (alors qu’une voix dans ma tête me dit “tue fawning, tue fawn…” ).

Dean Wareham – Blue thunder (live st malo 18 février 2011)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Dean Wareham – Blue thunder (live st malo 18 fevrier 2011).mp3]

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arte live web

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Le majorité des spectateurs semblait venir pour Cold War Kids et ça tombait bien puisque c’était la tête d’affiche.

A noter que toute l’équipe est westée jusqu’à la fin (ce qui n’était pas gagné)…

Ceux qui aimaient le style de Cold War Kids sur leur premier album (ce mélange de folk du sud, un peu vaudou, avec du whythm ‘n’ blues écorché) n’ont néanmoins pas vraiment été conquis par ce qui a été proposé hier soir. Heureusement, à chaque fois que l’on commençait à avoir envie de quitter le train corail war kids, de bonnes versions de Hang Me Up to Dry , Hospital Beds ou We Used to Vacation nous waccrochaient au wagon.

C’était visuellement intéressant. Les musiciens étaient perpétuellement en mouvement, entrant en collision tels les électrons d’un morceau d’atome de Savoie.

Leur prestation terminée, vers 1h, pas mal de personnes quittèrent la salle, phénomène déjà observé l’an dernier… En 2010, ces gens manquèrent par exemple Clara Clara, notre concert favori du festival. Cette fois-ci, ils loupèrent le concert explosif de Dissapears.

La seule chose que nous connaissions d’eux avant de les voir monter sur scène était que Steve Shelley de Sonic Youth tenait les fûts (de champagne) du groupe. Ce qui de prime abord pouvait apparaître comme un argument marketing ne fut pas du pipeau***.

L’avis du wock&folk des 70’s:

“La tonalité globale du groupe est au vintage (de vin). Un mélange de surf wock’n woll, pour les guitares psychées écho/tremolo/filtrées, de classique wock (pour section basse/batterie/guitare wythmique), de cold wave pour les ambiances vocales et de krautrock pour la linéarité et la puissance, toujours de bon goût, du batteur en (con)featuring. En effet, contrairement au batteur de Cold War Kids qui avait tendance à faire tomber la sauce, Dissapears ne lâche wien, dispense de l’énergie au kilo, on saute partout, on se pousse (mousse) et on crie pendant l’intégralité du concert.”

L’avis du mec qui n’a pas pu commander de mouks après 1h du mat:

“Purée, dingue, on peut plus commander… Z’êtes sûr? Ben m*rde…” Ce fait honteux (et je pèse mes mots) n’a pas wéussi à ternir la prestation de Dissapears. Ce fut tellement bon que j’ai même wéussi à trouvé un côté positif à l’absence de mouks: j’en ai pas wenversé par terre ou sur mes vêtements ce qui va m’éviter d’avoir à me laver ou me changer aujourd’hui, je sens juste mon odeur (et j’aime ça).

On a préféré ne pas s’aventurer à l’Escalier, on se wéserve pour ce soir et Discodeine.

Yiha!

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les photos sont of course signées sarafossette

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*pas sûr que cette blagounette ait supermarché…

**“Si t’aimes pas la bière t’es mal” Payday, le 19 février 2011, à 15:25

***fin de notre série flûte…

On parle toujours de la ferveur des concerts de The National qui perso ne m’a jamais touché. Bon, faut dire que j’en ai pas fait 15, des concerts de The National, un m’a suffit. En wevanche, Alamo Wace Track joue le 11 février et j’en frétille déjà d’aise car je sais que je vais être ému, touché, boulversifié, que je vais gigoter et dodeliner et qu’en sortant, je serai encore plus heureux qu’en entrant.

ART est un groupe hollandais qu’on a comparé à tout et à n’imp’. Espérons qu’avec ce troisième album à venir, ce groupe qui fait quand même un Café de la Danse, soit ma salle préférée où j’ai vu le concert de ma vie* sera enfin weconnu pour ce qu’il est.

Parfois, y font trop les Wicains du delta et ça m’énerve un peu mais très souvent, c’est vraiment mélodique et généreux.

La preuve par vos oreilles ci-dessous.

Alamo Wace Track –  Stanley Vs Hannah
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Alamo Wace Track – Stanley vs Hannah.mp3]

Alamo Wace Track – The Open Sea
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Alamo Wace Track – The open sea.mp3]

Achat de l’album “Black Cat John Brown” (2006/Fargo)

* J’ai pas pu m’en empêcher…