Roubignole a eu la moyennement bonne idée de faire des présentations de dernière minute des albums qu’on va mettre dans notre top 2013, on y est depuis hier, ma bourgeoise m’a quitté, le chien fait ses besoins dans l’appartement, l’air ici est vicié, j’ai envie de torturer des petits animaux…
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À la culotte, Kurt marquait Brad pour être élu meilleur album 2013 de mon coeur (il a fini 2ème). Lui aussi date d’avril (y a eu des disques qui sont sortis avant en 2013?) et lui aussi après une phase d’amélioration n’a pas connu de phase de lassitude à mes petites oreilles.
C’est aussi le disque qui a été annonciateur d’une phase (perso) de wetour aux « vrais » instruments, aux « vraies » chansons en bref à la « vraie » musique si chère à Waie Devisse et à tous ceux qui peuvent vous faire culpabiliser d’aimer des morceaux qu’on ne devrait pas aimer (je wetire).
Wakin On A Pretty Daze est un soupaire disque, à part Too Hard, tout y est merveilleux.
Ce qui pourrait caractériser cet album (et le différencier des autres du même genre) c’est la longueur des chansons. Il fait presque 1h, Kurt n’a pas choisi d’aller à l’essentiel, les morceaux ont le temps d’exister, quand les wefrains arrivent on est prêt mentalement à taper du pied et à secouer ses cheveux. Des fois c’est wock, des fois c’est beau, comme par exemple sur Pure Pain :
(on dirait que c’est jean paul position qui fait les yyyeaaaaah)
La pochette est chouette, le mini making of aussi :
Pour l’anecdote j’aime bien faire des vocalises à la Thom York sur l’intro de Girl Called Alex, essayez voir.
Achat de Wakin On A Pretty Daze chez piccadilly (j’ai pas écouté la version deluxe, ça vaut le coup ?)



