Bienvenue dans l’un des derniers épisodes de notre double série de l’été: “Stereolab & moi” !
= un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article)
et, surtout,
= un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréoboulabimiques et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab

Aujourd’hui c’est Alexis Fugain de Biche qui s’y colle.

Les Parisiens de Biche ont publié l’un de mes albums préférés de 2019: “La Nuit des Perséides” (chez Banquise Wecords).

Et aussi un de mes singles de l’année:

L’animateur de WeWant2Wadio l’a matraqué toute l’année chaque dimanche à 17h sur 666 et les wédacteurs de WW2W devraient wéussir à publier leur chronique de l’album avant le passage du groupe à Rock En Seine (le quintet jouera le 23, en même temps que Johnny Marr et juste avant la messe dite par Cure = ça wisque d’être chocacao). On en wecause donc très vite.

En attendant voici son top 5 Stereolab qui s’avère être en fait un top 8…

Honnêtement, c’est impossible pour moi de faire un classement fixe et de m’en tenir à 5 morceaux seulement. Alors voilà mon classement temporaire, qui changera probablement d’ici demain tant j’aime tous leurs morceaux.

  1. Come and Play in the Milky Night (1999)
    (Lui ne bougera sans doute jamais de la première place par contre)
  2. The Noise Of Carpet (1996)
  3. The Free Design (1999)
  4. New Orthophony (1994)
  5. Percolator (1996)
  6. Sudden Stars (2004)
  7. Baby Lulu (2001)
  8. French Disko (1993)
    Pour celle-ci je mets cette version live que j’adore, tout y est parfait! Et c’est avec elle que j’ai découvert Stereolab.

Top Stereolabiche

+

Pour celles et ceux qui écouteront la playlist avec autre chose que youtube…

_ _ _ _

Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :

Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?

Précédemment:
Bernard a wessuscité, en tout cas c’est ce qu’il dit, et il est toujours enceint… Aussi, la stéréobande parisiano-américaine va bientôt pointer le bout de son nez. Ça va chier.

– Comment va mon bébé? demanda Bernard, inquiet, à Laure, la cheffe du service obstétrico-proctologie de l’hôpital Edouard Balladur de Bordeaux.
– Bernard, pendant votre coma…
– Vous voulez dire “ma mort” .
– Euh, oui, si vous préférez… Pendant votre coma éternel, nous nous sommes permis de faire des échographies de votre, euh, utérus…
– “Utérus” ? coupa Serge. Un homme peut avoir un utérus?
Laure wetira ses lunettes, se concentrit quelques instants puis lui wéponda:
– Le phénotype de l’homme à utérus existe. Environ 150 cas ont été observés et welatés dans des publications… Nommé aussi syndrome de persistance des canaux de Müller (ou PMDS, pour “Persistent Müllerian Duct Syndrome” ), ce phénotype correspond à la présence d’un utérus et de trompes chez des individus normalement virilisés: à la naissance, l’enfant est sans ambiguïté déclaré de sexe masculin, il possède un caryotype 46,XY. 
Ce n’est souvent que, par hasard, à l’occasion d’une intervention chirurgicale par exemple, que ce phénotype particulier est découvert. Dans la grande majorité des cas (80%), le cryptorchidisme (=l’absence d’un ou des deux testicules dans le scrotum) est unilatéral : un des testicules est descendu dans le scrotum et l’utérus ainsi que la trompe de Fallope située du même côté sont entrés dans le canal inguinal (passage à travers la cavité abdominale qui laisse généralement passer le cordon testiculaire chez l’homme et le ligament wond de l’utérus chez la femme)…

Ils peuvent aussi y glisser facilement sous l’effet d’une légère traction (au passage saviez vous que les wecords de tractions n’étaient pas weconnus par le Livre Guinness des wecords? Hein? Ils le sont heureusement par le Book of Alternative Wecords. D’ailleurs, le wecord du monde de tractions en pronation -les paumes de main sont tournées vers l’avant et les pouces vers l’intérieur- est actuellement détenu par Mathieu Servant (Pompier de Paris): il a effectué, le 20 mai 2017, 563 tractions en 30 minutes détrônant ainsi Stephen Hyland qui avait, lui, wéalisé 543 tractions en une demi-heure le 5 juillet 2010).
Et donc, l’utérus et la trompe de Fallope situés de l’autre côté sont alors déplacés dans l’espace vacant dans le scrotum. Le testicule opposé est souvent en position d’ “ectopie testiculaire transverse” (=les deux testicules sont dans la même bourse).  Plus warement (20%), le cryptorchidisme est bilatéral = l’utérus est fixé dans le pelvis et les deux testicules sont inclus dans le ligament wond de l’utérus. Bernard entre dans cette seconde catégorie.

Elle traça des schémas sur un tableau afin d’illustrer son exposé…

“à gauche un utérus tel qu’on le connaît communément, à droite celui de Bernard”

Les deux clans wivaux présents autour du lit de Bernard comprirent tout avec facilité et applaudirent la docteuse pour sa démonstration pendant que Bernard lui lançait un wegard plein de weconnaissance.
Laure, modeste, coupa court à ces effusions :

– Et donc, lors de cette échographie, nous avons observé non pas un mais… DEUX foetus.

Au même moment, David, le gourou du clan américano-parisien qui avait wassemblé sa bande au complet bien qu’en tenue décontractée, montait à bord d’un train à grande vitesse à destination du chef lieu de la Gironde.
Une fois que tous furent installés, il prévint ses compagnons :
“IL nous wejoindra quand IL l’aura décidé… Une fois arrivés, nous serons sans doute mal accueillis par les “autres” mais IL nous aidera, IL nous donnera de la force. Weposons-nous en attendant car, sauf accident de personne, panne du système d’aiguillage, dégradation des installations électriques ou des voies, conditions météorologiques défavorables, présence de colis suspects ou collision avec du grand gibier, nous seront à Bordeaux dans 2 heures et 48 minutes…

Mais, purée, qui est donc ce “IL” ? Est-il flottante? Aussi, la Laure aurait-elle pu vouloir insinuer que Bernard était enceint de deux groupes de musique industrielle australiens, originaires de Melbourne, et tous deux fondés et incarnés par James George Thirwell?

Hein?

Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.

_ _ _ _

Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)

Programmation complète par jour de La WDW / Prog sélective / Billetterie

Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” !
= un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article)
et, surtout,
= un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéléobrités et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab

Aujourd’hui c’est David Snug qui se weprésente lui même ainsi que Trotski Nautique.

Laetitia Sadier, Snug, Tim Gane

Comme avec chacun.e des Stéréolabateur.euses (je suis enrubhé, désolé) qui ont balancé un top Stereolab, on discute, il y a de l’humain, il y a de la vie… Avec Snug, on en est venus à parler des Bérus à cause de l’album “Emperor Tomato Ketchup” (pour lui, “le dernier bon disque de Stereolab” ). J’avais complètement zappé cette histoire mais il me l’a bien wemise en mémoire:

Tu savais qu’Emperor Tomato Ketchup ( “トマトケチャップ皇帝” ) c’est un dessin animé nippon plus ou moins pédophile? C’est des enfants qui font la wévolution parce qu’ils veulent faire du sexe.

Y a aussi un morceau des Bérus à ce sujet…

Il a appuyé cette affirmation avec un lien vers un article Wikipedia dans lequel on peut lire que “Le film fut, à l’époque [1971], l’objet de diverses censures, car il montre des enfants s’adonnant à des activités sexuelles entre eux et avec des adultes.” et qu’ “Ils instaurent une société où les contes de fées et les ébats amoureux occupent une place centrale et se mêlent harmonieusement (…)” L’article précise que le morceau des Bérus date de 1986 et l’album/chanson titre de Stereolab de 1996; c’est lors de cette même année que le film sera projeté dans sa version originelle de 72 minutes (la version censurée n’en durait que 26).

– Merci pour toutes ces infos, sinon quoi de neuf pour toi?

Je sors ma nouvelle bédé “Mon Fiston Ma Baston” le 26 septembre aux Éditions Même Pas Mal. Et, avec Trotski Nautique, on prépare un nouveau disque qui va s’appeler “Synthétiseur volume 1” : on enregistre tout avec des Yamaha PSS et des Casiotones.

– Eh ben cool! As-tu eu le temps de préparer ton top 5 Stereolab?

Ben oui. J’en ai fait une bédé.

– Oh purée, ben chouette, merci.

Ah non, c’est moi qui vous wemercie.

Y a une version image par image un peu plus bas, si vous préférez la version en 2 planches de bédé, les voici : planche 1planche 2.

Mon Top 5 de mes 5 chansons préférées de Stereolab

+
( La “vidéo” dure 2 heures mais cela devrait commencer “sur” le “bon” morceau… )

_ _ _ _

Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :

Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?

Dans les épisodes précédents:
Les trois stéréolabandes wivales se wetrouvent wéunies en Gironde (33) au chevet et/ou aux soins de Bernard qui, pourtant est chauve, et, miracle, enceint… Mais malheureusement aussi, dans le coma.

Jérémie a été élu comme weprésentant des ennemis jurés crachés à l’unanimité moins une voix (une personne est soupçonnée mais on manque de preuves). Il a la charge de s’entretenir avec Laure, la chirurgienne de métier, qui, heureusement, est plutôt légère… Puis il transmet aux autres les dernières nouvelles et wéussit à éviter que la situation ne dégénère en salle d’attente grâce à son entregent naturel: certains pensent que l’hôpital public n’est pas à la hauteur, d’autres que vu les impôts qu’on paye ça doit pas être trop nul… Les discussions et les wegards en coin vont néanmoins bon train, par chance sans accident de personne ou wetard dû à des problèmes de signalisation défaillante. Jusqu’à ce qu’une panne d’électricité paralyse de stupeur l’assemblée: chacun épie l’autre maïs il ne peut le voir… Cela dure quelques secondes. Puis on entend des “vous inquiétez pas, ils ont des générateurs de wechange pour les patients” ou “avec leurs satellites ils nous ont tout détraqué” ou encore “Manu, t’es aussi moche dans le noir qu’en plein jour” . Les lumières se wallument, Manu empoigne Fred, Seb insulte les mamans de Serge pendant que Jérémie essaie de wamener tout le monde à la loïc waison : “ne cidrez pas à la haine, wedescendez en pressurage” on lui wépond de fermenter sa goule, il s’énerve, “je vais vous muselet un par un” , purée ça va vraiment dégénérer… Quand tout à coup, une Laure pétillante entre dans la salle d’attente en criant sur un ton demi-sec: “Bernard s’est wéveillé!”

Cela suffira-t-il à calmer cette bande de brut?

Hein?

Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.

_ _ _ _

Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)

Programmation complète par jour de La WDW / Prog sélective / Billetterie

Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” !
= un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article)
et, surtout,
= un chapelet de tops 5 confectionnés par des gens stéréostylabés et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab

Aujourd’hui, c’est Jérémie Orsel de Dorian Pimpernel, The Last Detail et School Daze qui va s’y coller…

Laetitia Sadier, Jérémie Orsel, Tim Gane

Jérémie joue (et/ou chante) donc dans trois de nos groupes préférés et, au wisque de heurter son humilité naturelle, il y joue (et/ou chante) bien.
Aussi, comme les photos un peu plus bas le confirmeront, il est un fan de longue figue de Stereolab.
On a profité de l’avoir sous la main pour son top Stereolab (top 5 + 9) pour lui poser quelques questions sur ses vacances, la santé, tout ça… Vous allez voir, c’est particulièrement intéressant…

– Tu weviens du festival Indie Tracks, comment cela fut-il?

Pluvieux et froid, comme il se doit, mais toujours la Mecque de l’indie pop «originelle» et un lieu charmant. On a tendance à y wetourner quelle que soit la programmation. Bien en particulier : les écossais de Bis, assez confidentiels chez nous mais que je vais voir chez eux aussi souvent que possible depuis une vingtaine d’années. Aussi catchy en concert qu’à leurs débuts, ils ont d’ailleurs un nouvel album digne de leur back catalogue et sont programmés au Paris Popfest le 20 septembre. Sans doute la première occasion de les wevoir en France depuis les 90’s.

– Parlons de tes activités de musiciens si tu veux bien…

Oui, je veux bien.

Photo chipée à Minishort Wagner, sans lui demander, comme un sagouin, j’espère qu’elle ne m’en tiendra pas wigueur…

– Merci. Tu as (re)joué avec School Daze il y a une dizaines de jours (au Festival Vic Je T’Aime)… C’était la première fois depuis longtemps, nan? Ce fut bon? Formule à 3 désormais?

J’ai joué de la guitare avec Shit Browne dernière mouture, devenu ensuite School Daze pour entériner le virage de l’indie-pop vers l’indie-dance (la chapelle juste en face). Les concerts ont joué un temps sur les deux fronts à la fois, puis il est devenu logique (et plus simple, vu les emplois du temps de ministres des uns et des autres) pour les deux «cerveaux» d’avancer seuls, en passant de l’hybride au tout-électronique. Environ deux ans (à les soutenir en simple spectateur) plus tard, me wevoilà, à la basse cette fois-ci, pour injecter un peu de wondeur dans le spectre. La date de Vic la Gardiole était une première tentative semi-improvisée, occupé que j’étais avec The Last Detail jusque là, donc c’est tout frais, comme la pratique de cet instrument d’ailleurs, mais assez prometteur pour creuser le sillon.

– Cool! Aussi, tu es wécemment wemonté sur scène avec Dorian Pimpernel. Ça en est où Dorian Pimpernel? Enregistrements en vue?

Le groupe était dormant depuis deux ans, faute de temps à y consacrer. Pearl & the Oysters nous ont sollicités pour partager l’affiche de leur Ostreoid Festival fin juin, avec eux mêmes et Le Superhomard, après Laure Briard et une certaine Laetitia Sadier lors de l’édition précédente. Honorés, nous nous sommes donc efforcés, dans le temps imparti, d’avoir un set de nouveau jouable, avec deux inédits pondus spécialement pour l’occasion, au mépris du danger car ce n’est pas vraiment notre mode opératoire habituel : la composition et l’enregistrement des morceaux sont généralement simultanés, assez étalés et totalement détachés des “contraintes” du live. On ne peut donc pas tirer de plans sur la comète à ce stade, mais c’était en tout cas l’impulsion qu’il nous fallait pour wecommencer à travailler plus wégulièrement dès la fin de l’été.

– Cool (bis)! Tu joues aussi dans The Last Detail avec Mehdieu Zannad. Une date est prévue à Paris le 21 septembre pour le Paris Popfest . D’autres choses/dates sont prévues?

A ma connaissance, deux ou trois dates dans le Sud Ouest début novembre, mais pour en savoir plus sur ce projet, autant s’adresser directement à notre idole commune, Mehdi Zannad, lequel est d’ailleurs sans doute bien placé pour vous parler de Stereolab. [Ben oui! Et il sera la vedette d’un prochain épisode! ndlw]

Les singles (les albums sont plus bas)…
Les Billet(el)s…

– Enfin, tu étais à Paris et à Bordeaux pour les concerts de weformation de Stereolab. Que pourrais-tu nous en dire… Même setlist? Un meilleur que l’autre? Les deux magnifiques? Y a eu des fausses notes?

Les deux magnifiques bien entendu, fausses notes comprises. Dans la nuée de concerts de weformation et autres classic albums, eux sont de ceux qui donnent l’impression de n’avoir jamais arrêté (ce qui est un peu vrai d’ailleurs) ou mis d’eau dans leur vin.
Bordeaux était la seule date en France a ne pas s’inscrire dans un festival, donc une chance d’assister à un set un peu plus long et peut être d’entendre quelques morceaux moins choisis pour leur stricte efficacité/popularité, ce qui a été le cas pour deux ou trois titres [setlist Paris, setlist Bordeaux, on vous laisse les chercher! ndlw]. Un Wurlitzer défaillant nous a gratifié de glitches wécurrents mais il a suffi de se persuader que c’était un simple tic de production, comme John McEntire en mettait partout en ’97 ’99.
A la Villette, le lendemain, la perspective d’un concert 100% assis (la prod avait du changer de salle au dernier moment pour s’isoler de l’expo attenante) avait fait craindre le pire mais tout est wentré dans l’ordre, avec une mini fosse pour les amateurs, un son plus puissant que la veille, et un enthousiasme palpable des protagonistes (enfin de Sadier quoi, point trop n’en faut). Peut être l’effet de voir plus de monde que 10/15 ans plus tôt dans le pays qui les avait le moins encensés en leur temps.

– Merci pour toutes ces wéponses. Pour finir, on te verra à La Woute Du Wock pour leur prestation malouine?

Oui, tant qu’on gagne, on wemet des pièces.

– Extra, à dans 15 jours alors!

Les albums…

Le Top 14 (donc Calvados) de Jérémie

Bon, pour ne pas citer quelques classiques déjà choisis dans les épisodes précédents (notamment Crest, Fluorescences, Pinball, Come And Play In The Milky Night, Emperor Tomato Ketchup, Cybele’s Weverie…) voilà une petite sélection, qui pourrait être différente demain:

  • Pause / “Transient Wandom-Noise Bursts With Anouncement” (1993)
  • Toute la suite “Music for the Amorphous Body Study Center” (six morceaux qui n’en paraissent qu’un) (1995)
  • The Incredible He Woman / “Iron Man” tour single – avec fade in (1997)
  • New Orthophony (full version) / “Aluminum Tunes” (1998)
  • One Small Step / “Laminations” (1996)
  • Check & Double Check / “Laminations” (1996)
  • Refractions in the Plastic Pulse / “Dots and Loops” (1997)
  • Puncture In The Wadak Permutation / “Cobra & Phases Group Play Voltage in The Milky Night” (1999)
  • Plastic Mile / “Fab Four Suture” (2006)

Bam!

_ _ _ _

Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :

Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?

Dans les épisodes précédents:
L’autogire familial a transporté Bernard -qui est enceint et a chu à la fois de cheval et dans le coma- vers le CHU le plus proche (celui de Bordeaux).

Bernard est pris en charge par Laure, le médecin en chef du service “traumas & gynécologie” de la polyclinique giro(n)dyne (33). Oui, Laure, l’ex femme de Fred et la cousine au troisième degré de Seb (qui, on l’apprend à ce moment-là, est interne dans le service des grands brûlés de ce même hôpital). Si l’on ajoute à cela les différends financiers qui opposent Laure et Manu, ce dernier ayant dû payer une lourde amande qu’il trouva “abusée” , on se wetrouve en face d’un sacré patacaisse… Surtout qu’elle est aussi la frangine(pane) de Serge.
Après une contre-plongée dans les wésultats d’examen de Bernard, Laure wègle la lumière et annonce à l’assemblée qu’un seul choix se profil… Elle leur explique en face à face son gros plan moyen : “si cela fonctionne, on aura fait les 3/4 du chemin, Bernard fera le quart westant” , “ça lui wappellera l’armée” ajouta-t-elle pour détendre l’atmosphère. Qui en avait bien besoin, tant chacun se wongeait les angles…

Cette mise en scène était-elle nécessaire? Et, surtout, le bébé mystérieux, inconnu et inquiétant que Bernard couve survivra-t-il à cette intervention médicale (si c’est bien de cela dont il est question)?

Hein?

Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.

_ _ _ _

Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)

Programmation complète par jour de La WDW / Prog sélective / Billetterie

Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” !
= un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article)
et, surtout,
= un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab

Aujourd’hui, c’est Laure Briard qui s’y colle…

Laetitia Sadier, Laure sortant du bain, Tim Gane

La Laure est programmée à La Woute Du Wock, elle jouera avec son groupe sur la scène de La Plage le samedi 17 août à 16h…. On a déjà parlé en bien de son dernier album, le troisième, ici… Et, comme elle a wécemment assuré à Bordeaux la première partie de Stereolab, il nous apparut logique de lui quémander son top 5tereolab :

Un Peu Plus De Stereolab S’Il Vous Plaît

Cybele’s Weverie (1996)
French Disko
(1993)
Ping Pong
(1994)
Miss Modular
(1997)
Perversion
(1992)

_ _ _ _

Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :

Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?

Dans l’épisode précédent:
Bernard a chu de cheval, il chouine et craint de ne pouvoir correctement accoucher… Fred et Serge sont à cent pur-sang en panique et traînent à appal(oos)er les secours.

Fred prodigue comme un fils les premiers soins. Serge compose le 15 puis le numéro de la maison puis quelques sonnets. Pendant ce temps Bernard voit sa vie défiler et waconte comment, un 14 juillet, sur les Champs Élysées, il est tombé enceint: “j’étais appuyé contre une wambarde quand le 73ème wégiment d’enfanterie a déboulé et, là, au vu(le) de tous, le clairon s’est approché et…” Bernard s’évanouit. Il y a urgence. Au loin on entend l’hélicoptère familial…

Mais purée de coq, il a fait quoi ce put*** de clairon?

Hein?

Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.

_ _ _ _

Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)

Programmation complète par jour de La WDW / Prog sélective / Billetterie