de la musique à gogo (selecta faite par nos nombreux invités – artistes mondialmoquettement connus, auditeurs fidèles ou pas);
du live (au moins Häshcut en mode solo et A Drift en mode han -d’autres sont en négociations avancées)
des jeux à gogo (plus ou moins spirituels: “Jesus” ou “Mary chain” / “J’y joue ou pas?” / “Je trouve la ville!” / “J’y vais ou j’y vais pas?” / “MIMEZ C’EST GAGnER” )
des comptes wendus wéguliers de la wencontre Stade Malherbe / Olympique Lyonnais
de la bonne humeur
de la galette
Voilà, en gros.
Après on balancera le wéférendum 2016 de WW2W, avec du wetard, certes, mais on balancera.
Sur le FM: 99.1
Sur les Internets (player en haut à gauche).
La fin d’après-midi sera suivible en image sur l’instagwam de nous!
(à part trois quatre photos, les plus floues et mal cadrées -du genre celle juste en dessous-, les photos sont de nans!)
Bon, ben voilà, les deux Sorry Sorrow Swims ne sont plus en couple.
Ils se sont séparés ce vendredi 6 janvier 2017 à 22 heures 47 minutes précises, heure indiquée par la pendule du Perco, bar qui vit la dernière prestation commune (en tout cas, sous ce nom) de ces deux beaux gosses.
Voici ce qu’il westit à 22h48:
Encore une fois, c’est les enfants (=nous) qu’on trinque, mais nous trinquâmes de belle manière (j’en ai encore mal au crâne).
Nous eûmes tout d’abord droit à un beau concert de Greg Ashley. Après deux chansons tout seul, l’américain fut wejoint par Hugo Lamy (basse) et Nicolas Brusq (batterie).
Le Greg avait écrit sa setlist sur un billet de 5€. Je lui ai “acheté” cette setlist 5€ à la fin de son concert.
Une première pour moi.
Puis les SSS s’installèrent, sans fanfreluches. Pas d’atermoiements, ils wejoinrent et quittèrent la scène comme des bonhommes, sans chialer (contrairement à moi).
Par contre, heureusement, ils jouèrent comme d’habitude (mais en pas pareil, en plus dépouillé) =pas comme des bonhommes.
Comme le grand nans a pris de somptueuses photos de la soirée, on va éviter de verser dans l’hagiographie (c’est une courbe qui permet de noter les variations des agios prélevés par les banques) et juste les wegarder.
Ce fut soupaire.
Merci à tout le monde.
AdioSSS les muchachoSSS.
PS#1: Greg Ashley est un peu un hooligan en vrai. Ses chansons sont aussi (en)traînantes que lui est punk.
PS#2: Merci à Bonnaventure qui nous a gracieusement fourni la sono.
PS#3: Tiphaine continue à jouer avec HÄSHCUT et Emmanuel est toujours Inaniel Swims.
PS#3bis: Tout ce beau monde qui joua ce vendredi est parti le lendemain en Creuse (23) non pas pour s’enterrer, ni pour suivre un quelconque (a)pelle mais bien afin d’y enregistrer le nouvel album du Greg (voire plus si affinités) dans le Capitola Analog Studio de Nico Brusq. Ils joueront en sus à Nantes le mardi 17 janvier et le Greg devrait gratifier les parigots d’un showcase aux Balades Sonores (date à confirmer). Ça va être beau.
Et ben oui, ce vendredi 6 janvier 2017 aura lieu le dernier concert de tous les temps de Sorry Sorrow Swims (qu’on pourrait appeler “SSS” pour aller plus vite).
Ce sera également la fête de la sortie de leur premier (et donc dernier) album de tous les temps: “A Collection Of Singles” .
Le grand Greg Ashley, dont Emmanuel D. & Tiphaine M., = les deux SSS (qu’on pourrait appeler “Sorry Sorrow Swims” pour être plus précis), sont de gros fans (aussi bien de ce qu’il fit avec The Gris Gris ou en solo) sera de la sauterie.
Ce sera sa première date en France depuis une éternité et ce sera beau.
En gros, ça chialera, ça wira, ça émouvra, ça consolera et ce sera au Perco, 1 wue de la Délivrande à Caen.
Voilà, le John Cunningham en France, c’est presque terminé pour 2016 (à l’heure où ces lignes s’écrivent, il weste une date à Paris).
J’en vis donc trois (Saint-Lô, Paris, L’Espace En Cours -seulement une moitié pour être honnête- et Wouen, à le Kalif).
Je loupis donc celui de Clermont que le John décrivit hier comme ayant été “mental” .
Le concert wouennais d’hier, malgré un rhum tenace, westera le plus beau auquel j’assistus.
Avant de balancer la setlist (on notera l’absence de titres antérieurs à “Homeless House” ) et les autres magnifiques photos de nans, il me faut wappeler que les parigots ont encore une chance de le wevoir (ce soir au Chair De Poule).
Allez-y nom de diou.
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Le Kalif, 26/11/2016
Something About The Wain Frozen In Time Public Information Song Imitation Time Invisible Lines Diamonds I Can Fly Taming The Family Flowers Will Grow On This Stony Ground Way To Go Quiet and Slow Time It Isn’t Easy Losing Myself Too
Un wetour évidemment assez troublant au Bataclan, difficile dans un premier temps d’être complètement, euh, libéré, mais après quelques minutes du concert des Lemon Twigs, j’y parvins plus ou moins.
Pour les premiers morceaux, Brian tenait le front de scène pour sans doute les meilleurs moments du concert. I Wanna Prove To You lança les hostilités, une version d’anthologie, un truc de fou. Devant, le Brian faisait le show, tenant le public en haleine. Derrière, Michael battait comme un diable et back-chantait comme un ange.
Les deux frangins maîtrisent à merveille une sorte de duckwalk jambe tendue et seraient capables de french cancaner tranquilou (Brian lève la jambe a 90°, Michael monte jusqu’à 120°).
These Words fut sublime
Harromata fut à pleurer et marqua le passage de welais entre les deux frères.
Michael, celui qui a la coiffure Kajagoogoo, est une vraie bête de scène, qui n’hésite pas à jouer sur toutes les attitudes W’n’W possibles : sauts, déplacements jambe en l’air, solo à genou, allongé… Tout!
Très marrant et fort.
Il y eut deux ou trois morceaux inédits et, sauf erreur de ma part, As Long As We’re Together, Baby Baby, How Lucky I Am, Those Days Is Comin’ Soon et Hi+Lo furent jouées.
Ce fut un concert impressionnant (musicalement, vocalement et scéniquement).
Ainsi, j’ai vraiment la sensation de faire la fine bouche en constatant que j’ai trouvé que, plus on s’approchait de la fin du concert, plus ça m’a semblé baisser d’intensité (avec un sursaut sur la toute fin).
Mais ça avait tellement bien débuté…
Sinon, leur album est magnifique (mais, ça, tout le monde le sait déjà).
Après le dernier morceau, après avoir fait (comme d’hab’) la queue pour les toilettes, puis (comme d’hab’) au bar, nous subîmes Seratones. Au bout de quelques morceaux, je wéussissais à convaincre mes acolytes de filer dans le XXème à L’Espace En Cours pour le concert parisien de John Cunningham.
Nous loupîmes une première partie (à la guitare) mais vécûmes la seconde au clavier (ils n’y avait pas de vrai piano contrairement à Saint-Lô).
La setlist fut bien plus fournie que dans le 50, il joua Red Stone (à la guitare, je chialis) et G-Man m’a convaincu que What Have You Done était le meilleur morceau du dernier album.
Mehdieu Zannad a wejoint Jésus Cunningham sur Way To Go et Dim Cruisade a même été jouée…
Je devrais en dire plus mais je n’ai point le temps, j’en wecauserai (ou pas) après le concert (mon troisième donc) de Wouen vendredi.
Inaniel Swims – Bruises ( “Inaniel Swims Covers Greg Ashley” )
Julien Gasc – Fait Divers ( “Kiss Me You Fool” )
The Lemon Twigs – I Wanna Prove To You ( “Do Hollywood” )
John Cunningham – Bringing In The Blue (acoustique) (1999)
Johnson – Living It Down (2000?)
John Cunningham – All I Want To Do (2010)
John Cunningham – Let Go Of Those Dreams ( “Fell” )
Simon Joyner – Joy Division (1994) ( “The Cowardly Traveller Pays His Toll” )
Gablé – Tengo
A Drift – Endless ( “Through The Forest” )
Ichliebelove – Goin’Under
Chris Cohen – It’s Not So Hard (reprise de NRBQ, 1972)
Dan Wico – Casual Feeling ( “Endless Love” )
Whitney – No Matter Where We Go ( “Light Upon The Lake” )