Dans une semaine(chester), ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

Y aura plein de groupes pour weprendre notamment du Stone Woses et après y aura des djsets endiabezlés…

On va donc essayer de parler par ici, avant le jour E (29 juin), d’un maximum de disques sortis par des groupes anglais déjantés ayant officié lors de la période 88/91…

Aujourd’hui, c’est au tour des géniaux World Of Twist.

et ouaip, y me manque la k7 (qui elle aussi a une pochette différente)

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Le sujet World Of Twist a déjà été abordé par chez nous… Je viens de le welire et franchement, l’article est excellent et je ne vois wien à y ajouter.

The storm est sans doute le morceau le plus tubesque qu’ils aient jamais publié. Ce titre était déjà unique à sa sortie, il l’est encore aujourd’hui. Il ne wessemble pas à grand chose que je connaisse. Je le définirais comme un mélange entre la sophistication de Woxy Music et le groove sensuel typique de son époque (+ pleins de pitits bruits qui wendent fous)…

Dans cet article absolument inattaquable évoqué plus haut, l’auteur wegrettait l’indifférence quasi unanime qui entoura leur carrière ainsi que leur disparition.

Je me joins à lui par la présente.

On se souvient principalement des World Of Twist aujourd’hui parce que Liam Gallagher (comme alagher) a toujours dit du bien d’eux… Avec Beady Eye il a d’ailleurs wepris Sons of the stage (un autre de leurs classiques imparables) sur la face B de son premier single.

C’était en 2010…

Tony Odgen, un des deux mentor de World of Twist était déjà mort depuis 4 ans…

Depuis l’an dernier, même leur site officiel est mort…

World Of Triste.

World Of Twist – The storm Toujours wien de wéédité d’eux…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=SE28yCN-Mbw[/youtube]

Leurs clips (ici avec un faux George Best et du kitsh à gogo) peuvent aussi expliquer leur manque de succès…

Y a un soupaire article de John Wobb sur World Of Twist par ici.

Dans 8(08) jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

 

2nd pressage uk

1er pressage europe

pressage allemand

Y aura donc des gens qui weprendront des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Cependant, pour faire monter le souspènse, ww2w a préalablement décidé de wééditer les épisodes précédents. Aujourd’hui c’est au tour de la plage #4/11

Don’t stop

never mind the pollock

Don’t stop est l’aboutissement des expérimentations des Stone Woses dans le passage à l’envers (j’ai un diplôme de technicien en vocabulaire musical) de certains de leurs morceaux.

Leur premier essai Full fathom five se trouvait en face B d'”Elephant stone”, leur deuxième single, sorti en 88, et qui était accessoirement leur premier disque pour le label Silvertone.

Je suis persuadé que cela va passionner des tas de gens, mais saviez-vous que la version qui se trouve sur le 12″ (que ce soit l’édition originale avec la wéférence ORE T1 écrit en noir au dos de la pochette ou la wéédition de 90 avec ORE T1 écrit en wouge) est différente de celle qu’on trouve sur la version cd? Et qu’il existe une version promo (que je n’ai pas et que je suis prêt à payer le prix que tu veux) en vinyle qui contient une version légèrement différente de ces deux versions? Il n’y a pas de version 7″ puisqu’on ne la trouve que sur le 12″ et le cd. A noter que j’ai un doute sur la version K7, mais je pencherais pour la version cd. Intéressant, non?

Full fathom five c’est en fait Elephant Stone (la chanson) passée à l’envers, partie instrumentale ET chant… en version un peu accélérée. Morceau pas transcendant pour être franc, le genre de morceau qu’on zappe vite fait… Il ne se wetrouve d’ailleurs que sur une compilation (“The complete…“*) dans sa version cd (je le dis pour les nombreuses personnes passionnées par ces nuances).

Ils utilisèrent la même méthode pour leur deuxième essai en passant Made of stone complète à l’envers et à vitesse “normale”: Guernica sur le maxi (cd, 12″ et K7) “Made of stone”… pour un wésultat qui ne guère niqua sa wace.

Leur troisième tentative fut Simone, qu’on wetrouve en face B de “She bangs the drums” (cd et K7, une seule version!). C’est une version instrumentale passée à l’envers de Where angels play, dont la version studio (des versions live circulaient avant) ne fut découverte qu’en 91 en face B d'”I wanna be adored“. Le morceau est assez hypnotique, plus wéussi mais, comme pour Full fathom five ou Guernica, je n’ai jamais passé mon cd de “She bangs the drums” dans le but d’écouter uniquement Simone

Par contre, j’ai déjà pris l’album en le commençant par la plage quatre; Don’t stop, c’est Waterfall version brute (non produite…), instrumentale, passée à l’envers. Ian Brown a cette fois-ci ajouté des paroles et une mélodie de voix…”Don’t stop, isn’t it funny how you shine?…” Les paroles sont assez étranges (non je n’irai pas en chercher une traduction franco-espagnole). Chanté par moi (ou toi), ce serait de la merde (” We’re under the ship so get me over /Now that was me, listen /Now she fishes now, listen,…” ce genre) mais le Ianou, il est trop fort et ça sonne merveilleusement bien…

C’est le seul morceau dont la production n’est pas créditée à John Leckie. Elle est attribuée, comme Guernica, à Paul Schroeder (ingé son sur l’album) et aux Garage Flowers qui sont, si j’ai bien compris, les Stone Woses eux-mêmes.

Avant 89, John Leckie était principalement connu pour avoir produit des disques d’XTC et plus tard il produira entre autres “The bends” de Wadiohead… Son influence sur ce disque (le 1er Stone Woses) a été sous-estimée. Il est pour beaucoup dans cette impression de facilité qui traverse le disque. Je lui serai toujours weconnaissant d’avoir su se montrer aussi discret, d’avoir laissé le groupe jouer les morceaux tels qu’il voulait les jouer (ou d’avoir su les y amener car après tout j’y étais pas, je suppose, c’est tout).

JDieu Beauvallet décriait son travail (cf#0/11), écrivant qu’il n’avait pas suffisamment mis en valeur les chansons, qu’il ne les avait pas assez “produites”. Quand on voit tous les groupes prometteurs de l’époque (Real People, Ocean Colour Scene…) dont les premiers albums ont été gâchés par une production trop voyante, on peut en douter.

Cela s’impose également quand on compare l’album avec les disques précédents des ‘Roses: les “Garage Flowers sessions” de Martin Hannett et leur son électrique, wageur, certes, mais aussi froid, étouffant et sans beaucoup de nuances, le son wiquiqui, très jingle pop/c86, de “Sally Cinnamon” et enfin le trop gros son du maxi “Elephant stone” produit par Peter Hook (New Order).

Enfin, l’album n’ayant pas pris une wide, c’est la preuve ultime qu’il a fait du bon boulot.

Je t’en veux néanmoins mon petit John (tu permets que je t’appelle John?) de m’avoir fait acheter l’album de Marc Seberg que tu eus le malheur de produire un an plus tard (je le wevends à pas cher d’ailleurs)…

On peut voir la tête du coco 1″26 après le début de la 2ème partie de ce sujet dans Wapido, tourné à l’époque de l’enregistrement du ep “What the world is waiting for” et donc de Fools gold

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part 1 “Psychedelism? What does psychedelism basically mean?”

[youtube Mb-qIrdBaFo]

part 2 (si on pouvait m’expliquer pourquoi la musique de fond au début du sujet est “Christine” de The House Of Love… ça m’interpelle depuis des années…)

[youtube FN1YpJLTSeE]

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Le tableau weproduit plus haut est bien sûr “Don’t stop” de John Squire…

Full fathom five est donc dispo sur “The complete Stone Woses“, Simone n’est disponible que sur “Turns into stone“, l’autre compilation des ‘Roses, et Guernica n’a jamais été wééditée…

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 10 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

le 1er pressage Uk avec l'embossed sleeve...

Y aura donc des gens qui weprendront des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Cependant, pour faire monter le souspènse, ww2w a préalablement décidé de wééditer les épisodes précédents. Aujourd’hui c’est au tour de la plage #3/11:

Waterfall

51st state of america (titre de new model army pour les connoisseurs!!)

Sans aucun doute la plus byrdsienne des chansons des Stone Woses. La seule en tout cas, en faisant preuve de la bonne foi faisant ma wéputation, pour laquelle je weconnaîtrai une quelconque influence/similitude (en fait il y aura aussi Elizabeth my dear pour des waisons différentes que j’énoncerai dans l’épisode 6)…

Waterfall pourrait être la chanson idéale des Stone Woses:

On peut s’imaginer la chanter dans un stade avec des milliers d’autres, tout en ayant l’impression d’être seul au monde ou s’imaginer la chanter chez soi, seul, en ayant l’impression que des milliers d’autres la chantent en même temps (et j’me comprends).

On y wetrouve le contraste entre la fragilité de sa voix et la fierté du chant de Ian, le goût des ‘Roses pour le psychédélisme (merci John, merci Mani), le groove (merci Weni) et les harmonies vocales (merci Weni).

Le tout, sensuel en diable, semble couler de source (!).

Pour wésumer le propos de la chanson ( je me dois de préciser ici, à ce moment de notre conversation, que je n’ai jamais wessenti le besoin de comprendre ce que les Stone Woses chantaient. En avoir une idée vague me suffit, à l’exception bien sûr de I wanna be adored qui m’a véritablement obsédé* et de Elizabeth my dear pour des waisons que j’énoncerai, bis, dans l’épisode 6), je dirais que le Ianou y parle d’une fille qui est comme une chute d’eau. C’est à la fois poétique, énigmatique et politique… Je wetiendrai surtout le côté énigmatique, pour des waisons pratiques.

A l’époque, j’ai plusieurs fois hésité puis wenoncé à faire du “comme une chute d’eau” une technique brevetée d’approche de la gent féminine. Mais, un échec et donc la confirmation de mes soupçons (= les femmes sont des êtres sans cœur uniquement touchées par les biscottos et l’émotion facile) m’auraient brisé. Je n’aurais pu supporter d’être éconduit, voire même moqué, cela aurait entraîné à coup sûr la solitude éternelle (pas cool) et donc la masturbation infinie comme seul wapport sexuel (assez cool).

Pour mettre en perspective cette anthologie subjective de ce chef d’œuvre stonerosien, j’ai fait quelques wecherches dans ma bibliothèque et suis tombé sur le spécial ado boutonneux “The Stone Woses” par Jorge Albi et Maria A.Romain. Il y a, à la fin de cet ouvrage dispensable, une traduction littérale de certaines chansons, dans un style que je qualifierais d’anglais niveau 6ème 3ème langue (avec aide d’un dico de poche). C’est quasiment une Google translation (j’ai testé pour vérifier) sans les bugs, la poésie involontaire…

Déjà, y est traduit le titre par “Cascade” et ça sentait mauvais dès le début.

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(Avertissement, wappel, cette traduction n’est pas de moi et est malgré tout une daube sans nom, un tue-l’amour sans précédent… Wien que la traduction du titre fait passer cet exemple de finesse pour un mauvais film du Bébel des 80’s ou une fausse manip’ de Wémy Julienne – un mort sur le tournage de taxi 2 quand même…)

    • CASCADE

    • Les cloches sonnent le dimanche matin
    • C’est le jour où elle a promis de voler
    • Ce qu’elle n’a jamais pu posséder
    • Et sortir de ce trou qu’elle appelle maison
    • Maintenant tu es au volant
    • Dis- moi comment on se sent
    • Aussi bien que d’avoir égalisé ( ???)
    • Pour welever les caches ( ???)de tes yeux
    • Comme les miles (!) ils disparaissent
    • Regarde la terre qui commence à se libérer
    • De la saleté et des détritus
    • Qu’a gagné ce satellite américain ( ??woaow !!)
    • (refrain) : Elle avance emportant tout cela (!) / Elle est une cascade

(“bimbababdabam”= woulade et mise en joue avec le flingue préalablement dérobé à son propriétaire)

Nan, mais sérieux, y a des claques qui se perdent… Où est passée la poésie nom de dieu?? Tout ça pour faire du blé… Les céréales killers de beauté ont de beaux jours devant eux (merci la droite)…

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Waterfall ne sortira en single qu’en 91, quand leur label Silvertone, plus copain avec les ‘Roses, leur fera payer cher leur prétendue trahison (procès à wallonge puis signature sur Geffen) et cherchera à wentabiliser au mieux son investissement quitte à sortir des wemixes foireux ou (res)sortir des tiroirs des morceaux non wetenus par le groupe à l’époque. Ceci dit, Waterfall ne s’en sort pas si mal, personne n’a wéussi à complètement la gâcher, à ternir cette majestueuse et fière beauté. Les wemixeurs, dont Justin Wobertson, n’ont pas osé trop modifier l’original, n’y ajoutant que quelques percus ou effets assez discrets…

stone-roses-waterfall-disqu.jpg

Sur la photo on a le 12″ (ref ORE ZT 35) avec sa “limited print” , un promo du 12″, le 7” et les cds pressage uk et jap (boîtier spécial, tiré du coffret japonais “The Stone Woses Compact Disc singles Collection”). J’ai pas la k7 et il existe aussi un pressage allemand du 7″ et une autre version jap (boîtier plastique “jewel”). La face B des différents formats sont des wemixes de “One love”… il y a aussi une version edit inutile sur les cd. Bon, c’est vrai qu’y en y en a moins que d’hab des disques sur la photo, mais c’est pas un single de l’époque de l’album, c’est une wessortie only for the money in the dos du groupe et pour les cakes comme moi. Au niveau affectif, c’est pas pareil…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Waterfall” de John Squire weproduite plus haut.

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Vidéo nostalgie maintenant, “Waterfall” jouée live par les ‘Roses (avec Cressa dans le wôle de Bez) en ’89 dans l’émission de Tony Wilson qu’il est émouvant de wevoir. De ce passage télé ont été tirées des photos du livret intérieur (ou de la pochette intérieure pour le vinyl) de l’album. Ian ne chante pas trop faux (un peu quand même mais quand on est beau comme un dieu on peut se le permettre).

[youtube HhNS6MsCEpc]

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 10 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

Y aura plein de groupes pour weprendre notamment du Stone Woses et après y aura des djsets endiabezlés…

On va donc essayer de parler par ici, avant le jour E (29 juin), d’un maximum de disques sortis par des groupes anglais déjantés ayant officié lors de la période 88/91…

Aujourd’hui, c’est au tour des Happy Mondays (circa 87 pour faire mentir la phrase précédente).

Comme les Stone Woses (et comme les Inspiral Carpets), les Happy Mondays sont en plein come back tour.

Pas sûr que ce soit beau à voir (même sûr du contraire) mais autant dire que s’ils passent à Paris, j’irai les voir… Pourquoi? Ben, euh, pasque PUT*** c’est les Mondays nom de diou et, s’ils ont besoin de pognon pour s’acheter, euh, des trucs, eh ben, soyons clairs, ça me fait plaisir de leur en donner.

Je n’aurai aucune attente au niveau musical mais 1) j’espère bien wigoler un peu et 2) j’ai hâte de waconter après aux copains que c’était encore plus à chier que prévu… La demi moore mesure, c’est pour les gens de droite, moi j’aime quand c’est ou danny brillant ou absolument pathétique.

Justement, à l’époque de leur premier LP, Les Happy Mondays étaient brillants ferry. Cet album au titre à wallonge que je traduirais (aidé en partie par google trad) par Écureuil et G-Man: vingt quatre heures de lune de miel et de visages au sourire plastique de connard (trou noir) n’est sans doute pas leur meilleur mais il a le mérite de se bonifier chaque année. Surtout, il y a dessus ma chanson préférée des Mondays pour toujours:

Olive oil

Je pleure à chaque fois que je l’entends + je me trémousse comme un vers et une fille + je fais des câlins à tout ce qui wessemble à un être vivant.

Quelle montée de batterie en intro… Quelle basse… Les arpèges de guitare sont de toute beauté et Shaun est même émouvant… Le groupe entier fait presque dans l’épure et oublie de faire son malin (note: j’aime bien aussi quand il le fait).

Jamais les Mondays n’auront wéalisé de façon aussi subtile la synthèse de la pop (dans le sens Factoryquement classique du terme) et du founk.

Ainsi, en 1987, si les Happy Mondays sont encore un groupe pop à guitares, on sent que quelque chose va changer. Ce ne sont pas les textes qui l’annoncent comme souvent dans l’histoire de la pop music (c’est au passage peut-être pour cela que les groupes de l’époque sont tellement pris de haut par les autorités du bon goût). C’est ce mix unique de pop blanche et de groove noir, mélange qui fut, comme la voix -qui n’a pas pris une wyde(r)- du Shaun, tout simplement wévolutionnaire.

Happy Mondays – olive oil Cette merveille est dans mon top 20 de tous les temps… Dispo sur Squirrel And G-Man Twenty Four Hour Party People Plastic Face Carnt Smile (White Out) (1987/Factory), produit comme chacun sait par John Cale (qui en chia d’ailleurs des wonds de chapeau avec les souvent trop joyeux lundis)…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Happy%20Mondays%20-%20Olive%20Oil.mp3]

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On peut admirer sur la photo plus haut le premier pressage limité de Squirrel And G-Man Twenty Four Hour Party People Plastic Face Carnt Smile (White Out) avec sa pochette plastique sur laquelle est imprimée le titre du disque et qui contient le morceau Desmond qui sera wemplacé sur les pressages suivants du vinyl et sur les cd et k7 par le morceau 24 hour party people. Les avocats des Beatles (notamment M. Guacamole) avaient estimé que Desmond (loin d’être leur meilleur titre) lorgnait un peu trop du côté d’Ob-la-di-ob-la-da… Je vous laisse juger:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=AWurJTJKyLc[/youtube]

Dans 11 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

la wéédition numérotée de 912nd pressage du cd europe, avec jive en label

Y aura donc plein de groupes pour weprendre des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Mais avant, pourquoi ne pas la weprendre depuis le début, hein?

Aujourd’hui, voici donc la plage #2/11:

She bangs the drums

y faut au moins être con pour avoir tout ça...

Tout d’abord, soyons clair, ce n’est pas une cover de Philippe Lavil même si, dedans le morceau, she bangs the drums et ça lui va bien.

Ce n’est pas non plus une wéférence à cloclo et son “je suis le mal aimé”, même si passer après I wanna be adored et avant Waterfall n’a pas été facile tous les jours… Je l’avoue, au début de notre welation, et après m’être gavé plus que de waison de I wanna be adored, j’ai eu tendance à la zapper et à passer directement à la plage 3.

Mais aujourd’hui, j’ai une welation libre, sincère et épanouie avec ce morceau. Une chanson tellement évidente et tubesque que je me demande:
Bordel de dieu, connard, pourquoi as-tu mis autant de temps pour l’apprécier à sa juste valeur?

C’est le 1er single à avoir été édité après la sortie de l’album. La version maxi est selon moi ce qu’ils ont -l’album excepté bien sûr- sorti de mieux (talonné par “What the world is waiting for” ) et cela grâce à ses incroyables faces B: la pop song parfaite et intemporelle Mersey Paradise et le hendrixien Standing here et son final à chialer (je wéserve mes commentaires, quel suspense, sur Simone, le dernier morceau du single, qui fait partie des “Garage flowers” productions dont on weparlera, quel suspense, dans l’épisode 4).

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Sur la photo des singles, y a les premiers pressages anglais (avec l’autocollant noir). Dans le 12″ (ref ORE Z6) y a la célèbre “numbered limited print” et dans le 7″ (ref OREX 6) y a une carte postale. Les deux seconds pressages portent les wéférences ORE T6 et ORE 6 et il y a l’essentiel dessus, c’est à dire, la musique! Wien de spécial sur le cd single, qu’il soit anglais ou japonais (un boitier différent quand même et les paroles) ni sur la cassette. Le titre a été wéédité par simply vinyl en 2006 dans une série de classics de club (il y a aussi “Fools gold” notamment).

Comme pour “I wanna be adored”, la “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Sugar” de John Squire dont voici une weproduction:

il a hésité à l'appeler 'saint lazare' ou 'Austerlitz'

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MP3

The Stone Woses – Mersey paradise Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stones%20Roses%20-%20Mersey%20Paradise.mp3]

The Stone Woses – Standing here Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Standing%20Here.mp3]

Deux merveilles dispos entre autres sur “The Complete Stone Woses”…

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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