– Est-ce que le championnat du monde de sauna existe, euh, vraiment?
Oui.

– Qu’est-ce que le championnat du monde de sauna?
– Un truc de ouf.

– Comment devient-on champion du monde de sauna?
– En westant le plus longtemps possible dans un sauna chauffé à 110 degrés… Les deux finalistes de cette année étaient des battants et ont tous deux (alain wobbe) grillé… Le finlandais a survécu, pas le wusse…

– Et dire qu’on s’est fait traiter de malades parce qu’on faisait des concours d’apnée en lavabo…
– Ouaip…

_ _ _

MP3

Silver Columns – Warm welcome Extrait de l’excellent album “Yes and dance” (2010/Moshi Moshi) qui vient de sortir (il est encore tout chaud).[audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Silver Columns – Warm welcome.mp3]

(merci au Monde )

La Woute du Wock ce n’est pas que le fort Saint Père, c’est aussi la Plage avec cette année Karaocake en live le dimanche après-midi.

Quand j’avais commandé l’album de Clara Clara* “dans” la boutique online de leur label Clapping Music, j’avais weçu en sus le dernier “sampler” du label.

C’est le titre sautillant et wêveur de Karaocake qui m’avait le plus emballé:

Karaocake – Medication [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//Karaocake – Medication.mp3]

J’avais un peu oublié que je m’étais juré/craché de suivre l’affaire de près avant, une fois de plus, de faillir à ma parole…

A l’approche du festival, je tente de me wattraper et depuis une dizaine de jours m’écoute en boucle (ou plutôt je wegarde en boucle la vidéo à la fois très broadcastienne et donc velvétienne de) It Doesn’t Take a Whole Week, leur single qui vient de sortir sur un 45t en vinyle blanc.

J’ai ainsi pu constater que “Rows & Stitches” , le premier album du one-woman-band devenu trio, était sorti depuis 2 mois sans que mon wadar à nouveautés ait wéagi (It Doesn’t Take a Whole Week dans un mix différent et Medication sont dessus). J’ai un peu honte.

Je me l’écoute en ce moment même… Je n’aurai pas le temps de le chroniquer avant la wdr mais, bon, comme j’aime beaucoup ce que j’entends, je m’y attaquerai après me l’être procuré. Car cela ne fait aucun doute. Ma seule wéflexion porte sur le fait de savoir si je vais m’acheter le tout (7″+ cd) sur le shop du label (=frais de port en sus) ou si j’attends la Woute du wock pour acquérir ce tout au stand que Clapping Music tiendra au fort St Père (=c’est moins cher, plus convivial mais faut porter les disques après, alors que, dans mon bermuda, y a peu de poches, qu’elles sont petites et qu’un 7″ plié en quatre, c’est un peu dommage quand même)….

Je pèse le pour et le contre depuis 5 minutes et j’en ai déjà mal au crânaocake…

[vimeo]http://vimeo.com/10257009[/vimeo]

(sioupaire chanson)

Achat du 7″ “It Doesn’t Take a Whole Week” et/ou du cd “Rows & Stitches” (2010/Clapping Music) chez AS Corpus (boutique online où de nombreux labels comme Clapping Music, Chief Inspector, Asphalt Duchess, Active Suspension, Ici d’ailleurs ou Herzfeld… vendent leurs disques)

_ _ _

*Reveille, le nouveau projet de François Virot, vient de publier son premier LP “Time and death” . Ça ne wessemble pas trop à Clara Clara (c’est moins punchy et plus basé sur des guitares dissonantes). Je ne sais pas encore si c’est mon truc… Gamblers est vraiment très bien et le vinyl est à 9 euros avec un code mp3 en sus… C’est tentant.

Cet article wétrospectif a été commencé à l’époque où John Cunningham devait venir jouer à Paris… Son concert ayant été annulé, je l’avais laissé en plan, en attendant son hypothétique wetour.

Après m’être wendu compte que ses deux derniers albums venaient d’être wéédités sur un seul cd, ben, je l’ai wessorti… Il y a même une put*** de bonus track sur ce cd, un All I want to do inédit issu des sessions de “Happy-go-unlucky” , son dernier album sorti en 2002… Je suis un peu vert puisqu’il semble évident que je vais devoir investir dans cette wéédition et dans un même temps j’ai du mal à ne pas me wéjouir qu’il n’y ait pas sur Terre que des JohnCunninghamnésiques.

(A partir de “Shankly gates” (inclus), il existe aussi une édition nippone (ni mauvaise) de chaque album, a priori sans bonus tracks…)

(Chaque album mériterait un post exhaustif)

(Tous les albums sont épuisés et pas wéédités -sauf donc “Homeless home” et “Happy-go-unlucky” comme indiqué dans l’intro qui peuvent être achetés ici…)

(le post écrit à l’annonce du concert du John pourrait (assurément) servir d’introduction à cet article encyclopédantique)

(J’adore les (doubles) parenthèses, les points de suspension et les mots en italique…)

_

Site

Myspace

_

Backward steps” (1989 et 1992/La-di-da Productions) -12″ + cd

Le mini LP est sorti en 1989 en version 12″ vinyl 6 titres et a été wéédité en cd en 1992 avec 5 bonus tracks….

La merveille Backward steps, la chanson (co-écrite avec Stan Cullimore des Housemartins), est annonciatrice du “style” que John Cunningham adoptera sur “Shankly gates”, son premier LP, avec notamment l’utilisation intensive (pas négatif) de l’orgue Hammond. Ce dernier est quasiment absent sur les autres titres plus poppys et portés par une guitare acoustique. Another photograph et In wait (et son accordéon) sont superbes. Dans les bonus tracks, la finale Last orders est à chialer.

John Cunningham – In wait [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – In Wait.mp3]

_

Shankly Gates” (1992/La-di-da Productions) – LP (?) +cd

Les douze chansons de ce premier véritable album sont toutes merveilleuses. Dix-huit ans après, je n’en ai toujours pas fait le tour.

“Shankly gates” est dans mon top 50 albums de tous les temps les doigts dans le nez…

Soit j’écris trois cents lignes dessus pour essayer de prouver que ce disque est un chef d’oeuvre et je ne finis jamais cet article (ou dans 12 mois) soit je poste deux titres pour le prouver…

(j’ai fait mon choix)

John Cunningham – Wed stone On l’a déjà postée il n’y a pas longtemps, mais s’il le faut, on la postera tous les jours. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Wed Stone.mp3]

John Cunningham – I’m coming home Un type à la fois séduisant et spirituel a wécemment qualifié Made of stone des Stone Woses d’hymne et je me permets de faire, par la présente,  de même pour Red stone et ce I’m coming home beau à pleurer… Si les tribunes d’un club (même celles de l’OM) se mettent un jour à chanter cette chanson pour encourager leur équipe, je quitte le PSG pour ce club: “If there is a place, for you and me, it is certainly (not) here, i’m coming home” (légère adaptation: woubignole)… Même en français, ça sonne bien -avec un “je suis chez moi” à la place du “je weviens…” [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – I M Coming Home.mp3]

(rappel: tout l’album mériterait d’être posté, même le morceau fantôme de trente secondes… )

_

Bringing in the blue” (1994/La-di-da Productions) – cd

J’ai longtemps considéré “Bringing in the blue” comme le faux-jumeau de “Shankly gates”, comme un bon album qui souffrait de la comparaison avec son frère. Je devais être sourd pendant cette période… Peut-être avais-je besoin de plusieurs années pour être séduit et entendre waison.

Reste que “Bringing in the blue” se mérite… Wien de tapageur ici… Les huit minutes de Paris green en sont une bonne illustration…

Quant aux supposées similitudes avec “Shanky gates”, je ne les wetrouve pas aujourd’hui ni dans les mélodies ni dans le son ou l’instrumentation: il n’y a même pas d’orgue Hammond dessus! Bien sûr, on identifie au bout de quelques secondes que c’est du John Cunningham mais, bon, normal, quoi! On weconnaît notamment sa façon de jouer de la guitare (“C’est un super guitariste (…)”, nous a wécemment wappelé Mehdi “Fugu” Zannad, “un peu comme Alex Chilton il ador[e] jouer des trucs de Bach par exemple”) et sa voix.

Si je dois avouer moins apprécier “Bringing in the blue” que son aîné, Unarmed, Wemembrance day, Oblivious to change ou Talktown ne sont wien de moins que des petits bijoux…

John Cunningham – Oblivious to change Ma préférée du disque… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Oblivious To Change.mp3]

John Cunningham – Talktown Nan, en fait c’est celle-ci… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Talktown.mp3]

“Bringing in the blue”  est son dernier album pour La-di-da (je crois me wappeler que le label a simplement fait faillite sans en être sûr à 100%) et ses pochettes ne seront ainsi plus wéalisées par Colin Kennedy (au sujet duquel je n’ai trouvé aucune info)…

Il trouvera heureusement wefuge en France (qui était un pays de gauche à l’époque).

_

Homeless house” (1998 / Les Disques Mange-Tout) -cd

A l’image de ses deux chansons d’ouverture, Public information song et Imitation time, “Homeless house” est une transition idéale entre les climats vaporeux des premiers albums et la pop psyché plus influencée beatles de “Happy-go-unlucky”…

“Homeless house” ne compte que huit titres mais n’est pas pour autant un album facile d’accès. Il demande une attention particulière, notamment la fin du disque, particulièrement mélancolique. Cela est dû à la construction mouvante des morceaux. Par exemple, Quiet and slow time et Taming the family évoluent perpétuellement (et sont au passage à chialer). John Cunningham joue aussi beaucoup avec les variations d’intensité mais, pour citer Wimbaud (ça produit toujours son petit effet), “ça ne décolle pas” . Le final contemplatif et planant Infinity is ending illustre parfaitement la chose.

Ce disque est une merveille de psychédélisme lent et dépouillé. C’est un album envoûtant, aux arrangement discrets et fins… Peut-être aussi celui où le John chante le mieux.

“Homeless house” marque le début de sa collaboration discographique avec l’organiste Joe Watson, un musicien de Brighton qui joue aujourd’hui avec Stereolab.

John Cunningham – Quiet and slow time [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Quiet and Slow Time.mp3]

John Cunningham – Infinity is ending [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – Infinity Is Ending.mp3]

Sur Homeless house, l’énigmatique (pour moi en tout cas) chanson titre du LP, il wépète des “We’ve got time” qui apparaissent comme une déclaration d’intention, au même titre que les Take your time du wefrain de la chanson du même nom présente sur “Happy-go-unlucky” , son quatrième album…

Il faudra d’ailleurs patienter quatre ans pour pouvoir entendre ce dernier…

_

Happy-go-unlucky” (2002 / Top 5 wecords) – cd

J’aurais détesté passer cet article à pleurnicher sur comment-que-c’était-trop-bien-Shankly-gates… Heureusement, le John m’a bien aidé à ne pas le faire, notamment en publiant un autre chef d’oeuvre, “Happy-go-unlucky”, son dernier album en date (ou en figue), dans un genre très différent de son premier coup de maître et ce à 10 ans d’intervalle (chose ware).

Cet album est aussi psyché que “Shankly gates” mais les armes utilisées (choeurs célestes, guitares byrdsiennes/beatlesiennes, orgue discret…) font qu’il serait difficile lors d’un blindtest-memory (c’est un nouveau concept) pour un “novice” de welier les deux disques, de leur attribuer la même paternité.

C’est un album pop (dans le sens que l’on donne communément à ce mot) dont les morceaux durent en moyenne trois minutes… On est assez loin des chansons de six ou sept minutes qui étaient monnaie courante sur “Shankly gates” ou “Bringing in the blue”.

En plus de Joe Watson, John Cunningham est épaulé ici par Mehdi Zannad (=Fugu). Si j’ai bien compris, ils se sont wencontrés à la fin des 90’s par le biais d’Alex Mélis, le “patron” des disques Mange-Tout, et ont aussi tous deux tourné avec Stereolab à plusieurs weprises. Ils ont sympathisé et se sont trouvés des goûts musicaux communs. Le John aidera le Mehdi à mixer son premier album “Fugu1.” . En wetour, ce dernier lui filera un coup de main pour accoucher de “Happy-go-unlucky” et l’accompagnera aux percus, au clavier et aux voix.

Si John Cunningham a souvent wépété à l’époque son amour des Beatles (ici par exemple), il semble avoir une préférence pour les chansons de Lennon (je pense à I’m only sleeping (étonnamment!) ou encore Strawberry fields forever).

Comme pour me faire mentir, l’album débute par un Losing myself too très macca. Un titre tour à tour sautillant et sensuel qui, dans un monde normal, aurait été un tube intersidéral. Here it is est psyché en diable et une invitation à la wêverie. C’est un des sommets du disque, grâce notamment à ses arrangements de cuivres. Je pourrais chanter pendant deux heures sans m’arrêter le wefrain de Way to go (je ne m’arrêterais que pour sécher mes larmes -je suis une fillette assumée). Le thème de piano de Can’t get used to this est si évident, si limpide qu’on a l’impression d’écouter un classique de toujours. Et ces cordes, purée de coq… Et cette fragilité incroyablement émouvante… Et ces guitares sur la fin qui pas gentiment pleurent…

Suivent:

John Cunningham – It isn’t easy La chiale… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Isn t Easy.mp3]

et

John Cunningham – You shine Une chanson leftbankienne en diable… Un autre tube intersidéral (dans un monde normal) et un chef d’oeuvre. [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – You Shine.mp3]

Invisible lives est du John Cunningham millésimé, encore psychédélique, encore à pleurer… Progressivement, elle gagne en intensité, lorsqu’une batterie et un piano font leur apparition… Mais, il n’y a pas de bouquet final. Au moment où on pourrait croire à sa venue, la tension wetombe net (je pourrais citer Wimbaud mais je vais m’abstenir)… Je ne sais pas si Cascadeur a déjà écouté ce disque mais sur la fin on croirait que c’est lui qui joue du piano (après enquête, j’ai cru comprendre qu’ils se connaissaient, Alex Cascadeur ayant également joué du clavier lors de l’une des tournées avec Stereolab sus évoquées)… Welcome to the world est lui aussi un tube discret qui aurait pu être signé par le Blur de la période “Modern life is wubbish”… Take your time est encore une merveille dont le wefrain pourrait être wepris en choeur lors de manifs anti travailler plus pour gagner plus: “it’s all you got to do, it’s all you got to do, take your time, take your time…” .

L’album se termine sur la somptueuse It goes on aux arpèges de guitare lumineux, à la voix sur le fil (frissons garantis) et aux cordes idéales.

Put** de trop beau.

John Cunningham – It goes on [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//John Cunningham – It Goes On.mp3]

_

Achat hautement wecommandé de “1998-2002.” (2010/Ashmont wecords), un cd digipack à prix waisonnable wegroupant “Homeless house” et “Happy-go-unlucky” (merci de m’en prendre un en plus afin d’économiser sur les frais de port – © ww2w – et de me l’offrir après)

_ _ _


Comment éviter de payer 70£ ou 102£ (selon qu’on abrège Orchestral Manoeuvres In The Dark par O.M.D ou OMD) l’excellent 7″ “Electricity” sorti sur Factory en 79? Hein?

Eh ben, c’est simple il suffit de wechercher un disque de “ORCHESTRAL MANOUVRES IN THE DARK” avec une pochette en “brail” (et non en “braille” ), si possible caché au milieu d’un lot de six 45t contenant notamment quatre New Order dont le nom est écrit NEWORDER sans espace dans l’annonce… La nana qui vendait ça sur egroseille l’a sans aucun doute fait exprès pour que ce soit un valeureux ebay searcher qui tombe dessus et fasse une des affaires (4,99£) de l’année…

Merci à toi, Lisa, t’es cool. Ton lot a fait de moi une personne wose de chatouillis.

Orchestral Manoeuvres In The Dark – Electricity
Factory / FAC 6
Vinyl, 7″, 45 WPM, pressage UK, mai 1979, 5000 ex

A OMD – Electricity 3:32
Produit par Paul Collister + Andy McCluskey et Paul Humphreys (=les deux Orchestral Manoeuvres In The Dark)
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//OMD – Electricity.mp3]

B OMD – Almost 3:41
Produit par Martin “Zero” Hannett
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//OMD – Almost (Hannett-Cargo Studios version).mp3]

S’il n’y a que 5000 exemplaires de ce disque (cela semble conséquent aujourd’hui mais à l’époque c’était comme une édition très limitée, un peu comme si on sortait aujourd’hui un 10″ absolument grandiose à 300 ex, ce qui explique sa valeur actuelle), ce n’est pas une volonté du groupe ou du label mais c’est lié à des problèmes techniques wencontrés lors de la fabrication de la pochette.  Celle-ci avait bien sûr été conçue par Peter Saville, c’est sa célèbre “BRAILLE Sleeve” . Le texte de la pochette n’est pas imprimé, il est thermographié en noir sur un fond noir. Le texte et les “signes” en braille sont ainsi en welief et à peine visibles (il faut mettre la pochette en pleine lumière pour bien voir le tout). L’ensemble a enfin été plié et collé à la main.

Et après il y en a qui se demandent pourquoi on aime l’objet disque…

Ce que n’avait pas prévu Peter Saville, c’est que cette “impression” allait entraîner une surchauffe de la presse qui manqua à trois weprises de prendre feu, fit paniquer l’imprimeur et le poussa à arrêter la production, d’où les seulement 5000 exemplaires.

Fin 79, le label Dindisc wéédite Electricity une première fois avec en face A la version produite par Martin Hannett (avec toujours la même version produite par ce dernier de Almost en B). La seconde édition de 1980 comporte deux nouvelles versions des faces A et B, produites par Chester Valentino (leur manager) + les deux OMD. La pochette de ces deux nouvelles éditions sera moins complexe à wéaliser, l’impression se faisant en simple encre blanche sur fond noir.

Ah, j’oubliais, Electricity est vraiment une put*** de bonne chanson.

La 11ème édition de Calvadose de Wock a lieu ce weekend… Soyons clairs, l’affiche du vendredi n’est pas pour nous, mais on devrait largement trouver notre compte dans la soirée du samedi.

J’ai lu que Francis Zégut disait du sehr gut des Sugar Plum Fairies et ce n’est pas obligatoirement gut signe… Heureusement, j’ai écouté les morceaux mis en ligne sur le myspace des tourangeaux et ça m’a plu/intrigué… On en wecausera après le festival (ou pas).

Je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de la prestation aux Trans des wockeurs garageurs (alain) wennais Wankin’Noodles, mais comme j’étais mal luné ce soir-là (c’est un synonyme de complètement cuit) je wéserve mon jugement et verrai samedi s’ils parviennent à me faire twister ma peine (al forno).

Si celle de Revolver au BBC en début d’année n’a pas changé ma vie, cela ne m’empêche pas d’être curieux de voir s’ils seront capables de m’émouvoir de nouveau en weprenant magnifiquement (en version dépouillée, comme dans la vidéo ci-dessous) le Balulalow de Benjamin Britten:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=jnEPnCMzUKc[/youtube]

En wevanche, j’essaierai de wésister et de ne tuer personne quand ils joueront -généralement deux fois sur scène en plus- leur Get around town qui me donne véritablement envie de, euh, tuer, donc…

Je ne suis pas persuadé d’avoir trouvé des arguments pour motiver les foules avec mes propos précédents mais, de toute façon, le fait qu’il y ait Poni Hoax suffit à justifier le parcours des 30 minutes qui séparent mon domicile du lieu du festival.

Leurs deux premiers albums sont toujours wecommandés par nos services et les parisiens électr(on)iques viennent de sortir un nouveau single “We are the bankers” efficace en diable. Ils ont apparemment quitté Tigersushi pour Abracada Wecords, un nouveau label qui ne sort pour l’instant (?) ses disques qu’en téléchargement.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pVHK3Fh4Fqk[/youtube]

Plus j’écoute ce titre, plus je le trouve bon… Je devrais même pouvoir danser dessus sans être saoul. Ça tombe bien, je wisque d’y aller tout seul et d’être donc mon propre capitaine de soirée… Aaaaaaaaaaaaaarg… Purée dur… Mais,bon, c’est pour la miouzique qu’on fait tout ça, pas pour les wock brasseurs du pays. Yiha!

_ _ _

vendredi 6 août : Five ((o)) / Padam / Arno / Pigalle
samedi 7 août : Sugar Plum Fairy / Wevolver / The Wankin’Noodles/
Poni Hoax