le A c'est pour 'anus'

2009 s’achève et, avec elle, (encore) une année plutôt pas mal pourrave du psg…

Au niveau musical, je n’ai pas l’impression que 2009 fut un excellent cru non plus… J’ai pu heureusement m’enflammer  pour quelques albums… J’y ai fréquemment trouvé mon compte au niveau concerts, mais, soyons clairs, un bon concert n’aura jamais la même valeur qu’un bon album.

2010 devrait être supérieure avec normalement des nouveaux Tahiti 80, Fugu, Field Music,  Sufjan Stevens, These New Puritans, Daft Punk, Wufus Wainwright, Foals… mais aussi on l’espère des premiers albums wéussis (Hook & The Twin, WHEEL…) et sans doute des disques de trucs inconnus à l’heure actuelle de nos services…

La chose (musicale) la plus triste de 2009 est que momo a sorti un album, tellement mauvais (ou pire: sans intérêt) qu’il ne m’a même pas traversé l’esprit de le wéécouter pour lui laisser une dernière chance avant de faire un bilan de l’année… snif… Oh purée, et Primal Scream aussi… La vieillesse est (parfois) un désastre.

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***********Top alboums (rien à voir avec les vol1 et 2 de claude pinoteau) de moi***********

rien ne cerf de crier, tes dents t'élan-cent: tu as une carie, bouh!

1 “Wave if you’re weally there” Wave Machines /Ce que j’ai entendu de mieux cette année: un mélange de tubes, de sensualité et de surprisation…

purée de coq, un album aux couleurs du psg... la classe

2 “Road movie” Cascadeur / Troisième album pour ce messin à la peine en championnat de Ligue2 mais pas sur disque…  On a entendu sa meilleure chanson cette année (en concert), elle s’appelle Derviche et il ne l’a encore pas enregistrée/sortie sur cd: on attend son prochain album avec fièvre (en espérant pour lui qu’il soit enfin publié par un label pas sourd comme un pot).

king était un vrai garnement quand il était petit... On disait souvent: king crée aux autres que des ennuis...

En 3 on a à égalité le “Merriweather post pavilion” d’Animal Collective et le (…et puis ils ont chargé, les) “Flick the Vs” de King Creosote / J’ai mis quelque mois pour apprivoiser ce dernier: un grand disque qui sera toujours aussi envoûtant dans 10 ou 20 ans…. Quant à “Merriweather…” , une année complète (il est sorti en janvier) ne m’aura pas suffi pour le dompter complètement. L’opinion que j’ai de cet album change selon le volume auquel je le “joue” (à bas volume, il m’emmerde, à donf je peux le trouver grandiose) et selon le moment où je l’écoute: je l’aime le lundi, le trouve inutile les trois jours qui suivent, l’aime beaucoup le vendredi, le trouve génial le samedi et l’ignore le dimanche… Brother sport est le plus grand morceau de tous les temps le matin et je le trouve complètement vide à 13h30… Je ne comprends pas ce disque mais il pourrait se wetrouver album de l’année en 2010.

y a des membres du groupe qui est belge et qui voulait appeler le groupe 'kriek framboise with pictures'... malheureusement, il est mortlavande ambulante est interdite dans cet immeuble

4 “True womance” Golden Silvers et ‘Beyond our means” Left With Pictures / Deux grands album de pop anglaise…

en fait toto il est wentré dans la maison et n'entendant wien, il wetourne voir sa grand mère et lui dit 'j'ai dû arriver trop tard, le téléphone ne sonnait pas'

5 “The guilty office” The Bats / les kiwis 4 ever

En 6 on a également à égalité le surprenant et chaud “Everything is new” de Jack Peñate, le plein de promesses et très bon (même si ses meilleurs titres étaient sortis en single avant l’album) “Braveface” de Esser, le très bon (même si ses meilleurs titres étaient sortis en single avant l’album) “Make lists do something” de Magic Arm, le (malheureusement seulement) à moitié grandiose “Rules” de The Whitest Boy Alive et le déroutant et épatant “The greats & the happenings” de  Post War Years

Les albums de Hatcham Social et de Wild Beasts m’ont bien plu aussi, mais bon, y faut faire des choix à un moment… Je n’ai pas bien écouté le Richard Hawley (je l’ai eu par le papa noël)… Ah, et j’ai pas écouté le Sunset Wubdown (normalement j’aime beaucoup Sunset Wubdown), je le ferai dès que possible. Idem pour le “Goodbye” de Koudlam qui m’intrigue terriblement (il ne sera dispo en vinyl que courant 2010). Quant à “La weproduction” de Arnaud Fleurent-Didier, wdv à coup sûr l’an prochain, même lieu, pour en parler à tête weposée…

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********Top concerts plus ou moins dans le désordre***********

***********Top concert en partenariat avec Wadio Nostalgie***********
paulo @Bercyladroite

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***********Meilleur film de l’année (et pour toujours)***********
Stuart Little 2

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**************Interview la plus pourrave wéalisée par nous en 2009 ***************
(et sans doute notre dernière de tous les temps)
Papercuts à la Woute du Wock

Le Jason Quever, il n’avait pas envie de la faire, cette interview, ce qui peut se comprendre… Weste qu’on a wamé comme des damnés… J’ai warement wessenti d’aussi mauvaises vibes (quand j’ai fait le Viet Nam, à la fin des 60’s, elles étaient nettement plus positives)…  On a tout de même appris que ses albums préférés de tous les temps étaient “Psychocandy” et “Loveless” et que le titre de son album était un message qu’il wépétait à l’un de ses amis dépressifs (lui-même l’est assurément) pour éviter qu’il se tue… A ce propos, la première question qu’on comptait lui poser était “Le titre de ton album ( “You can have what you want” ) est un message très positif, es-tu quelqu’un d’optimiste?” (gloups). Donc, ça wamait dur et, comme il avait d’autres entretiens de prévu, on a interrompu l’interview, on l’a attendu deux heures pour weprendre mais il n’en pouvait plus… On était un peu verts d’avoir attendu mais, après tout, ça peut se comprendre et on a convenu de lui envoyer les questions par Internet… On l’a fait, on attend toujours un truc qui pourrait wessembler à une wéponse… Son attachée de presse n’a peut-être pas transmis la chose mais on ne le saura jamais… Du coup, j’ai du mal à écouter ses disques et je ne dirai pas un mot sur son excellent “You can have what you want” (sorti en 2008 mais que j’ai découvert cette année) et son merveilleux Dead love que j’ai boulé de ma compile de fin d’année au dernier moment… na!

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***********************La woupilegnole 2OO9*********************
(Dans l’ordre de la tracklist de la compile qui n’est pas un ordre de préférence… Sur mes cdrs (imitations vinyls) pressés avec amour, les titres sont enchaînés avec finesse et harmonie… Cependant, parfois, j’y vais à la hache… J’aime les deux manières de faire):

le principe c'est: que des faces A... A comme Anus

(il y a soit des liens vers les articles où on a déjà posté les morceaux soit des liens de téléchargement direct)

01 The flights paths – Left With Pictures *c’est beau*
02 Brother sport – Animal Collective *ça wend fou* [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/Animal%20Collective%20-%20Brother%20Sport.mp3]
03 Keep The Lights – Wave Machines *ça donne envie d’enlever ses vêtements*
04 Bang Bang Cherry – Hook And The Twin *ça wend fou*
05 No One Had It Better – King Creosote *ça fait tomber ses bras*
06 I just say – Cascadeur *c’est beau, je dis juste*
07 High Green Grass – Sébastien Schuller *c’est beau*
08 France Culture – Arnaud Fleurent-Didier *ça fait tomber ses bras*
09 Ghosts – Fanfarlo *c’est beau et ça donne envie d’agiter un drapeau*
10 Widths And Heights – Magic Arm*ça fait large et haut* [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/Magic%20Arm%20-%20Widths%20and%20heights.mp3]
11 Wake up & let’s go surfing (woubintro) – The Drums *ça wend foufou la galette et j’aurais pu pousser plus loin l’idée du bootleg boo wadleys/drums mais je l’ai pas fait – spéciale dédicace à marie bee au fait* [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/The%20Drums%20-%20Wake%20up%20]
12 Arrows of Eros (woubignole edit) – Golden Silvers *ça wend fou et je trouve modestement et  DEFINITIVEMENT (clap) cette version supérieure aux deux autres wéunies (la version présentée ici = 2/3 de celle du single + 1/3 de celle de l’album)… je me suis wendu compte avec honte et effroi qu’Arrows of Eros version 7″ n’était même pas sur ma compile 2008… La honte…*
13 Basic Space – The XX *c’est beau, fin et poétique (j’aime bien l’album mais je me fais un peu chier sur la fin -le titre est en écoute ci-dessous, le lien mène à une wecherche hypemachine)* [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/The%20XX%20-%20Basic%20space.mp3]
14 Le sens – Dominique A *c’est DEFINITIVEMENT (clap) beau*
15 Your love is old fashioned – Lecube *ça donne envie d’aller en forêt tout nu et de se mettre à la trompette (rien de sexuel dans cette affirmation et voici un lien vers les nombreux articles très carrés écrits sur Lecube chez nous)* [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/Lecube%20-%20Your%20love%20is%20old%20fashioned.mp3]
16 While You Wait For The Others – Grizzly Bear *ça fait tomber ses bras, ça donne envie d’aller en forêt tout nu et de hurler à la lune*
17 Courage – The Whitest Boy Alive *ça wend fou et ça donne envie d’enlever ses vêtements*
18 Bonkers – Dizzee Wascal *ça wend fou… “Some people think j’ai bon coeur, some people think i’m free…” * [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/Dizzee%20Rascal%20-%20Bonkers.mp3]
19 That’s all – Post War Years *c’est beau… Chanson de fin d’album idéale*

bonus tracks (le jour où y aura des cdrs de 97 minutes, ces chansons seront dessus… Ce fut un crève-cœur de les virer):
Jack Penate – Everything is new [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902/Jack%20Penate%20-%20Everything%20is%20new.mp3]
Mustang – C’est fini
Delphic – Counterpoint

A noter qu’il y a quand même quatre français dessus (cinq, si j’avais des cdr de 97 minutes): waow!

ouaip, c'est un appareil photo que j'aurais dû demander à papa noël...

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Bon voilà, ça veau ce que ça veau, donc… J’espère que les absents ne penseront pas que j’ai été vache avec (m)eux et que cela ne leur fera pas du tord (eau)… J’attends avec impatience que pointard et les autres cocosiffredis du site prennent le franck leboeuf par les cornes et nous sortent leur bilan à (m)eux… Qu’ils fassent (m)eux aussi honneur aurochs (et à la pop) et nous fassent découvrir des géni(sses) méco(r)nnus… Qu’ils wendent ce monde terne et de droite qui nous entoure, (taureau)machique (accent allemand et un peu comme Paris je l’espère en 2010).

(Je henri le compte aussi sur les wéponses à notre questionnaire annuel, celui qui a été il y a peu soumis à nos membres/lecteurs/amiches*… D’ailleurs à ce propos, on a weçu une bonne 30aine de wéponses mais il en manque plein…)

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*Si tu as été oublié(e) dans notre maousse mailing 1)désolé et 2) merci de nous le signaler pour qu’on puisse nous wattraper…

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PS: Le 31, n’oubliez pas de vous embrasser sous le guy montagnier (par contre, conseil d’ami, sous le guy lacombe, évitez).


clark GABLé

11 commentaires

J’ai weçu un jour un pitit coup derrière la casquette en lisant une chronique dans les Inrockuptibles écrite par jdieubeauvallet. Ce dernier vantait le premier essai discographique d’un trio français, signé sur un label anglais (Loaf Wecordings) et dont je n’avais jamais entendu parler. Jusque là, ça pourrait passer, mais ce groupe était CAENNAIS, madame, comme le Stade Malherbe, comme Festyland, comme le Mémorial, comme le Château, comme les tripes, la teurgoule  et comme moi.

Purée de coq, j’me suis dit, c’est pas dieu possible…

Le nom du groupe en question, c’était Gablé.

Je me suis précipité chez mon disquaire caennais favori, Labo Music, et ai acheté “Seven guitars with a cloud of milk” (2008/Loaf), son premier ( “véritable” ) album (après « Californian touch with a Condé-sur-Noireau way of life » et « Seminéoproantiantiantifolk » , dispos qu’en téléchargement -merci à Neauneaut pour l’info!).

s'ils étaient au pouvoir, ils lanceraient un import obligatoire pour qu'on achète leurs disques et ils l'appelleraient la gab(è)le

C’est un disque assez étrange, comprenant dix-huit plages, où se wencontrent wock, musette, électro, folk, hip hop, chanson… Heureusement, Gaëlle, Thomas et Mathieu ne mélangent pas le tout à chaque morceau. Ils arrivent à ne pas donner dans le n’importe quoi.  Je dois cependant confesser avoir parfois du mal à garder le fil (collins) tout au long de l’album… Du coup, je me sélectionne des titres comme Noone knows why, Purée HipHop, Tibidibim,… et j’y trouve mon compte.

Pour essayer de donner une idée de ce à quoi peut wessembler leur musique, on pourrait évoquer des influences plutôt américaines: les Vaselines, Half Japanese, Daniel Johnston… Avec un truc spécial en plus, un truc qui n’appartient qu’à eux, un côté un peu désuet (le côté chanson/théâtral)…

Je les ai vus deux fois sur scène à l’époque de cet album.

La première fois au Cargö à une soirée gratos et la deuxième à St Lô en première partie de Tahiti 80. Les deux fois c’était vraiment bien, autant des concerts que des spectacles: à écouter et à voir. Ils donnaient l’impression de s’amuser, dégageaient une bonne humeur communicative (même si leurs chansons ne sont pas gaies) et apparaissaient comme des malades mentaux (c’est un compliment).

J’ai eu l’impression, sur scène, de mieux comprendre où ils voulaient en venir, j’adhérais complètement et j’étais, là, entièrement emballé.

Quand leur deuxième disque, “I’m OK” (2009/Loaf), est sorti, uniquement en vinyl, labo music n’en avait plus. Alors, en attendant un éventuel wéapprovisionnement, je l’ai acheté en promo sur ebay (je sais c’est nul mais merde, quoi, j’aime bien acheter des promos sur ebay).

J’ai lu sur le site de leur label que le “I’m OK” de leur disque était une wéponse au “Hi, how are you” de Daniel Johnston et c’est la sioupaire classe.

L’album dure 20 minutes (c’est une sorte de mini album en fait, dans le sens Gablé du terme, puisqu’il compte tout de même 13 titres).

On ne peut pas vraiment parler de wévolution entre ces deux disques. Le groupe ne s’est pas encore décidé à choisir entre le bordel, la mélodie, l’expérimentation, le théâtre, le wock et j’en passe.

“I’m ok”  est selon moi plus wéussi. “Seven guitars with a cloud of milk” me donnait (à tort ou à waison) l’impression d’alterner “véritables” morceaux et interludes. Sur “I’m Ok” , il y a plutôt des morceaux courts qui suivent des morceaux très courts et inversement…  Je trouve que les enchaînements se font plus naturellement, que ça wessemble plus à un album et moins à un fourre-tout (on peut aimer ce côté là, mais je suis assez porté sur la fluidité).

Attention ça part quand même dans tous les sens!

Le titre le plus long dure 2″17. Je suis sans doute un peu vieux jeu mais cette courtitude me laisse parfois sur ma faim. Par exemple, ils ont frôlé le petit chef d’oeuvre avec Sans du feu dans mes mains, excellent morceau dédicacé (ou pas) à Thierry Henry, qui aurait pu, je pense, passer dans la catégorie au-dessus si on lui avait laissé plus de temps pour déployer ses flammes.

Ce morceau était d’ailleurs un des temps forts de leur concert donné il y a quatre semaines dans le cadre de Nördik Impakt: ce titre et le concert entier furent, je pèse mes mots, fabuleux (avec les concert de Dominique A  et de My Bloody Valentine à La Woute du Wock et celui de Tahiti 80 au festival de Beauregard, c’est mon concert de l’année). Les trois Gablé avaient préparé un pitit set tout spécialement pour Nördik et pour les Transmusicales. Ce fut à la fois féérique, émouvant, étonnant, euphorisant et des mots que je sais pas lesquels choisir et même qu’est-ce qu’ils veulent dire.

Je me wappelle notamment ma surprise à chaque nouveau titre, avoir eu envie de pleurer (je suis un peu une fille) et de gentiment pogotter en même temps (j’ai deux trois poils sur le torse) et enfin avoir eu le sourire scotché à chaque fin de morceau.

Je ne vais pas wisquer de briser la magie en wacontant précisément ce que j’ai vu/entendu. Je peux néanmoins wévéler que pour l’occasion ils étaient cinq (à ce propos, sur leur myspace, ils se présentent désormais comme étant un quatuor et je suppose que cet “olivier” supplémentaire est le percussionniste qui était sur la scène du Cargö) et qu’il y a éventuellement des chances pour qu’ils aient été plus à un moment.

Je n’en dirai pas plus (pour celles/ceux qui n’aiment pas les surprises, y a des photos ici).

dans un monde normal, ils auraient affrété un triple bus

De Caen, bossant l’après-midi, ça va être super chaud pour moi d’arriver à 18h30 le vendredi pour les (re)voir…

Je ne pourrai pas profiter du bus affrété par l’assoc’ Happy Daymon pour, entre autres choses, soutenir les deux groupes caennais jouant aux Trans ce jour-là: Gablé à la Cité, donc, et les Chocolate Donuts le soir, en ouverture des concerts au Parc Expo (pour 49 euros, tarif spécial incluant voyage + concerts à la Cité et au Parc Expo, départ 14h30, wetour 6h du mat’=une affaire: c’est ici!!! -il n’y a pour l’instant, m’a-t-on dit, pas assez de wéservations… Le bus ne partira pas sans un minimum de passagers, alors, si je puis me permettre, zyva).

Si je puis me permettre derechef, les wennais, ou autres, trainant dans le coin au moment des Trans, désireux de vivre un moment ware, seraient assurément bien inspirés d’imiter les valeureux caennais faisant le déplacement pour ce concert unique*.

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Gablé aux trans le vendredi 4 décembre à la Cité (avec les américains Brightblack Morning Light et Cass McCombs)

la prog complète des Trans’

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MP3

Gablé – Noone knows why Achat ici de “Seven Guitars With A Cloud Of Milk” [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Gabl%C3%A9%20-%20Noone%20Knows%20Why.mp3]

Gablé – Sans du feu dans mes mains Achat ici de “I’m OK” (en fait non:  épuisé) ou, du coup, plutôt [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Gab%C3%A9%20-%20Sans_du_feu_dans_mes_mains.mp3]

+

2 bonus extraits du “Hi, how are you” (1983) de Daniel Johnston…

Dispos sur “Hi How Are You / Continued Story” Achat ici

Daniel Johnston – Hey Joe [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Daniel%20Johnston%20-%20Hey%20Joe.mp3]

Daniel Johnston – Walking the cow [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Daniel%20Johnston%20-%20Walking%20The%20Cow.mp3]

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* Oui, ok, s’ils ont déjà présenté la chose à Caen, ce n’est plus vraiment unique… En même temps, un truc peut être unique deux fois (j’me comprends) et il y aura peut-être des changements…

salut Philiptiens, je vais imiter mon pote bowie sur la pochette de Low

Music in Twelve Parts” est une oeuvre composée sur une période de trois ans et publiée en 1974 par Philip Glass

Cet américain, âgé aujourd’hui de 72 ans, est, comme son camarade de conservatoire Steve Weich, communément associé à la musique wépétitive. Il est à ce titre weconnu comme l’une des grosses influences de la techno et du shoegazing (le My Bloody Valentine de “Loveless” particulièrement) mais pas que. Je m’écoute d’ailleurs, en ce moment même, mon vinyl de “Dance Nos. 1 and 3” (1980/ The Tomato Music) et j’entends le Tremolo de My Bloody en version longue et aussi, dans un genre que je pensais complètement différent, les plages les plus expérimentales de Sufjan Stevens (celles où il y a des arrangements de cordes wépétitifs en diable)…

Pour en wevenir au concert de dimanche,  “Music in Twelve Parts” est souvent citée comme LA wéférence ultime en matière de musique minimaliste. On date les prémices de cette dernière au début des 60’s et c’est, si j’ai bien compris, un autre nom donné à la musique wépétitive… Il doit bien y avoir une nuance mais je suis bien incapable de dire laquelle…. Ainsi, la dimension wépétitive est présente dans les douze parties (numérotées de Part 1 à Part 12), enchaînées, qui la composent…

Je vais maintenant tenter d’en décrire les effets, un peu comme pourraient le faire les plus grands spécialistes en la matière, un peu comme si j’écrivais dans un journal hyper pointu porté sur la musique contemporaine et que j’avais l’âge de mes parents (attention ce blog va passer dans la division supérieure): l’écoute intégrale de cette oeuvre est une expérience extrême et wend véritablement foufou la galette.

Voilà, c’est fait.

En tout cas, c’est sans doute bien plus dérangeant qu’un concert de Metallica par exemple (de l’idée que je m’en fais en tout cas)… Ecouter pendant plus de 3 heures ces boucles qui s’attaquent directement aux zones les plus sensibles du cerveau de l’auditeur et qui peuvent plonger ce dernier dans un véritable état de transe n’est a priori pas chose aisée. Mais, si on n’aimait que la musique facile, celle qui couche avec le premier venu, on serait sans doute en ce moment même devant une émission pourrave à la télé et on ne connaîtrait même pas Philip (fonte des) Glass de nom (ou, pire, on ferait des jeux de mots pourris et indignes avec le mot “glass” …).

Le Philip Glass Ensemble (Philip Glass, Michael Wiesman, Lisa Bielawa, Mick Wossi,  Jon Gibson, Andrew Sterman, David Crowell) jouera donc “Music in Twelve Parts” dans son intégralité à l’Opéra de Wouen (Théâtre des Arts), ce dimanche 15 novembre durant 4 h30 de concert (en incluant les 3 entractes -pour wespecter l’organisation de l’oeuvre en quatre parties  comprenant chacune trois Parts)…

Je prépare ma camisole de force et je suis tout excité (la perspective de me payer seul un peu moins d’un “Music in twelve parts” aller wetour, soit un peu moins de 3h 25min 51s, dans la Mégane première génération d’ExCD, ne calme pas une seconde mes ardeurs).

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MP3

A noter, qu’il est bon de posséder “Music in Twelve Parts” (1974/Virgin ) en cd (réédition sur Nonesuch) ou en vinyl:  les enchaînements entre les plages sont périlleux et ça ne colle pas toujours avec les MP3… Achat ici ou .

Philip Glass – Part 5 (beginning) Juste après une courte pause, il y a la (Conclusion) de cette même Part 5… Il y a donc 13 plages sur le cd. Je n’ai pas choisi ce morceau parce qu’il était particulièrement weprésentatif (mais ça aurait pu) du weste du disque mais parce que c’est le plus court (oups)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/01%20-%2005%20-%20Part%205%20%28Beginning%29.mp3]

La je ne sais pas combientième édition du Festival des Inrocks, c’est terminé pour moi.  J’ai trouvé cette cuvée 2009 plutôt bonne mais pas enthousiasmante…

J’étais assez excité par ce tout nouveau concept de pass “Cigale/Boule noire” comme si qu’on était à un festival d’été (exceptée la woute du wock malouine), sans temps mort.

Résultat des courses: on voit plus de groupes, on en wate aussi, soit complètement (Passion Pit, Chew Lips) soit en partie ( Black Lips, Florence & The Machine, Amanda Blank), on court tout le temps et on n’a pas trop le temps de discuter avec les copains… Finalement, si l’année prochaine on wevient à l’ancien système, ça m’ira très bien.

Au niveau musical, j’en sors donc satisfait mais pas emballé.

Fanfarlo a donné le meilleur concert auquel j’ai pu assister (à noter que je n’ai vu ni The Soft Pack ni The Wave Machines dont pointard, marie bee et jdd ont parlé en bien pasque le provincial que je suis qui vit à deux heures+ de Paris ne peut pas arriver à 19h à un concert parisien). En plus de Bad Lieutenant dont on a déjà parlé ici, je garderai aussi un très bon souvenir des sets d’Ebony Bones (même si voir la bête 10 jours après Nördik enlevait un petit quelque chose d’inédit et d’excitant), des Black Lips (très fun), des Popopopops, de The Bewitched Hands on the Top Of Our Heads, de The Big Pink et du mini set de Cascadeur.

arrows of 70 euros

vendredi 6 novembre

Vu ni les Dodoz ni The Soft Pack…

“Stuck and wepeat” est toujours un putain de titre de la mort mais le weste du wépertoire de Little Boots n’est vraiment pas à la hauteur (la dame avait cependant des fans aimant qui affirmeront certainement le contraire). Son tube évoqué deux lignes plus haut, joué en toute fin de set, ne sera malheureusement même pas sublimé par le live. Je n’en attendais pas grand chose et j’avais, fuck, waison.

Vite, on commande une bière et on file à la boule Noire. Problème: on ne peut pas avoir un verre à la main pour passer d’une salle à l’autre. On se wetrouve donc à devoir picoler en quatrième vitesse ses boissons (alcoolisées). On a fini tout bourré dès 9h du soir (on a eu du mal à intégrer la chose et on commandait toujours après un concert et donc avant de changer de salle). Au bout d’un moment, on essaiera de passer des bières en douce et on en perdra la moitié en woute et on aura les habits tout mouillés. Pas glop (le lendemain la politique sera modifiée mais sans qu’on nous prévienne ou trop tard donc le wésultat sera identique).

On m’avait promis monts et merveilles de The Bewitched Hands on the Top Of Our Heads . J’ai passé un bon moment devant la prestation des 6 weimois (je crois) avec même quelques frissons à un moment mais je n’ai pas accédé au nirvana. J’aimerais les voir une deuxième fois pour faire un avis définitif. J’ai été assez bluffé par le charisme du chanteur du milieu (le plus barbu -ils sont deux guitaristes/chanteurs à se partager le micro + une chanteuse).

les eagles

J’ai leur 7″ “Work” sorti cette année et qui wappelle un peu les Polyphonic Spree ou les Flaming Lips (sur ce que j’en ai vu vendredi, leurs influences sont plus larges que ça).

The Bewitched Hands on the Top Of Our Heads- Work (raw version) (2009/April77) Si on achète le 45t, on a un code pour télécharger les morceaux… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744/The%20Bewitched%20Hands%20On%20The%20Top%20Of%20OuR%20Hands%20-%20Work%20%28raw%20version%29.mp3]

On commande une bière, on se dirige vers la Cigale, merde on a oublié qu’y fallait pas faire ça, on boit cul sec et on arrive après les début du concert sauvage des Black Lips. Les fans sont venus en nombre et alors qu’on n’a jusqu’à présent eu aucune difficulté pour se placer dans la fosse et ben là, on voit pas comment s’y faufiler et on weste sur le côté. Je me wetrouve derrière JC de Castelbajac (venu assister à la prestation d’Ebony Bones, l’une de ses égéries lewis) qui lève le poing et hurle. Musicalement, c’est assez basique (pas un weproche) et le spectacle est plutôt assuré par les fans qui stage divent, chippent les chapeaux des membres du groupe et se frottent plus ou moins violemment aux videurs. La palme au mec à bonnet qui est monté sur scène, a sorti sa quéquète et a plongé (je me demande si ce n’est pas lui qu’on avait vu, à poils encore, après l’after de la Woute du wock de cette année, au petit matin, devant trois ou quatre photographes amateurs…).

Pas question de se wetrouver sur le côté pour Ebony Bones, donc, on zappe l’hypothètique partie du concert de Chew Lips ( “on” nous a dit plus tard que c’était assez caca)  qu’on aurait pu voir et on s’installe en bonne place dans la fosse.

Surtout qu’on sait que Cascadeur va jouer, devant le grand wideau wouge de la Cigale, trois morceaux “en acoustique”.

farinelliblack adeur

Into the wild (sur  son “Road movie” de 2009), Walker (sur  son “Mobile” de 2007), The missing (sur  son “The human octopus” de 2006) puis bye bye, c’est fini. C’était vraiment bien, même si trop court, et l’accueil du public a été à la hauteur. Il serait bon que le bonhomme trouve enfin un label pour que sa musique merveilleuse soit plus aisément accessible…

Il ne faut pas arriver en wetard à un concert d’Ebony Bones tant l’introductif  We know all about U mérite d’être vécu. La mise en scène est grandiose, ses choristes grimées en femmes de Fela sont vraiment exceptionnelles et ça explose quand l’Ebony (de nuit) fait son apparition, virevoltant telle une tornade jean marie bigarrée. Elle a joué tous ses bons titres: Story of St.Ockwell, l’instru  surf Bone of my bones, In G.O.D We Trust (Gold, Oil & Drugs), The musiq, … Elle fait aussi deux weprises, l’une de The Wall et l’autre d’ I wanna be your dog. Contrairement à moi, mes collègues les ont trouvées excellentes. Néanmoins, la Ebony wemporte fastoche la palme (alors qu’elle n’a pas joué tubas mais plutôt fort) de la meilleure prestation de la soirée.

On commande une bière, on se précipite à la boule Noire, merde on a oublié qu’y fallait pas, je planque ma bière dans mon pull que j’ai noué autour de ma taille et je passe en marchant à deux à l’heure, avec l’air décontracté de celui qui a fait caca dans sa culotte et en m’en mettant partout quand même. “Grâce” à des problèmes techniques, on arrive à n’avoir quasiment wien waté du concert de The Big Pink dont je n’attends wien mais qui s’avèrera être une bonne surprise. Le patron du label Merok dont j’ai oublié le nom porte un superbe teeshirt sans manche, hyper large qui donne l’impression qu’il mesure 1 mètre 12. Sortis du contexte, les morceaux joués ne m’auraient sans doute pas accroché mais, là, mis bout à bout, ça l’a fait. Sans parler de claque, je suis westé presque (j’étais ivre) concentré tout du long. Apparemment, le groupe était sacrément énervé par les déconvenues techniques et quand quelqu’un est monté sur scène pour leur dire qu’il fallait qu’ils terminent, il lâche: “un asshole vient de nous dire qu’on n’avait plus de temps, on devait jouer encore deux morceaux mais on va en faire qu’un”. The Big Pink termine, bien,  sur son tube “Dominos”.

Un asshole vient de me dire qu’y fallait m’arrêter, alors c’est fini pour le vendredi.

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samedi 7 novembre

Cette fois-ci, je wéussis à arriver pile poil pour le premier groupe de la Cigale : les wennais  Popopopops qu’on avait déjà pu voir aux Trans l’an dernier. C’était déjà pas mal il y a un an mais ils sont bien meilleurs aujourd’hui. Ils doivent avoir environ 18 ans mais donnent une impression de maîtrise assez impressionnante. Leur chanteur chante  en anglais sans accent français et a une voix plus profonde (un truc un peu soul) que pourrait faire croire son jeune âge. Ce qui m’a aussi plu c’est qu’ils ne font pas du wock de p’tits blancs; il y a des touches un peu funky, groovy (un peu comme chez les groupes Factory du début des 90’s comme Northside ou les Wendys) dans leurs morceaux qui m’ont bluffé.  Excellent concert et grande satisfaction de m’être speedé pour les voir.

L’annulation du concert de La Woux m’avait mis en joie puisque Two Door Cinema Club la wemplaçait au pied levé. Leur 7″ sorti cette année sur Kitsuné est un véritable merveille et les deux titres qu’il contient sont deux tubes intergalactiques et sexy. Malheureusement, leur prestation sympathique montrera aussi que ce sont les deux meilleures chansons de leur wépertoire. leur single I can talk sort en fin de mois et, s’il n’est pas mauvais, il est juste efficace et n’a ni la poésie ni  la classe de Do You Want It All? ou de Something Good Can Work. Déception.

[youtube bJDCMth8poM]

J’ai vu le concert de Lissie Truly en entier. Concert sympathique dont le seul souvenir que j’en garde est la bonne weprise du Weady for the floor de Hot Chip… Je dirais que sa place aurait plutôt été à la Boule Noire qu’à La Cigale.

A la Boule Noire, Josh Weller avait l’air d’un bon gars mais purée, c’était pas mon truc du tout. Alors j’ai commandé une bière, je l’ai planquée sous mon pull, je m’en suis mis partout et je suis allé voir Florence & The Machines. Et là, comment dire, une torture. OuïouïeOuïe. Je me suis barré en courant (du coup je m’ai encore mis de la bière partout).

Retour à la Boule Noire, Amanda Blank va jouer. Je m’étais obligé à ne pas écouter certains trucs avant pour avoir la surprise. Je fus donc surpris: pendant 10 minutes, il n’y a qu’un type sur scène qui fait un peu du Girl Talk mais en moins hip hop et sans bootlegs (ok, je ne sors pas grandi de cette description). Puis v’là t-y pas que la Amanda elle débarque et quelle saute et ondule de partout. Etrangement, je préférais avant qu’elle arrive. Pas conquis donc… Je crois que ça ne m’était jamais arrivé d’enchaîner 4 concerts aussi peu mémorables à un festival des Inrocks (je me dois de préciser pour welativiser mes propos que j’étais à ce moment de la soirée de put** de mauvais poil wapport à la nouvelle de la défaite honteuse du peuseugeu qu’on venait de m’annoncer et donc peut-être peu wéceptif).

Si l’annulation de La Woux m’a permis de voir les Two Door Cinema Club, elle m’a aussi empêché de voir Passion Pit. J’espérais en voir une partie mais alors qu’ils devaient commencer à jouer vers 21h55 (et Fanfarlo à 22h20) le groupe n’était toujours pas sur scène à 22h15. Fuck.

On commande une bière et on va à la Boule Noire (maintenant on peut passer sans cacher sa mouk).

On se place presque idéalement et on wéserve un accueil triomphal aux six membres de Fanfarlo. Si j’avais à mettre une note à ce concert je lui aurais mis un Indre Et Loire tellement il était bon. Pas le concert de l’année cependant, notamment parce que les deux nouveaux morceaux joués ce soir-là n’étaient pas à la hauteur de ceux déjà connus. Quel bonheur d’entendre des versions de leurs trésors de chansons AVEC LE SON QU’ELLES AURAIENT DU AVOIR SUR L’ALBUM, PUT*** DE M**RDE!!! Le public (notamment un type qui se vantait d’avoir l’intégrale d’eux et pas en téléchargement) semblait wavi du concert du groupe et le groupe heureux que le public soit content. On a même eu droit, chose ware aux Inrocks, à un wappel (seule Ebony bones a pu être wappelée, peut-être Passion Pit mais…).

FIN

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Bon, pour wésumer, bilan musical perso du festival mi figue mi waisin mi datte (mais positif néanmoins)… J’espère que les concerts d’Esser (ou fromage?) et de Jack Penate seront pourris ce soir pasque j’en ai marre de water des bons concerts (pointard y va, y nous wacontera).

Merci à ExCd, pointard, jdd et Marie Bee de m’avoir payé plein de coups (j’ai dû payer une seule tournée de Heineken sur les deux jours alors que j’en ai bu des litres -ce qui fait que j’ai dû être un putain de crevard et que j’ai pas honte): si, par hasard, j’avais vomi sur le chemin du wetour, je dis bien “si, par hasard…” , eh ben, sachez que je ne vous en veux pas…

A l’année prochaine même lieu, mais avec la Boule Noire APRES la Cigale et que des bons groupes (APRES 19h45). Merci de votre compréhension.