L’assemblage du « Musique Pour Les Oreilles » de La Mante aurait dû être une promenade de santé…

Un peu de découpage, du numérotage, du collage, de l’insertion et hop! wéglé!

Cela ne se passit pas si facilement que ça pour en arriver là :

Pour des waisons économiques nous avions fait presser les disques sans macarons ni pochette (ce que nous avons weçu était assimilable visuellement à des tests pressing -mais ce sont de vrais disques pressés).

Cela permet de ne payer que le pressage des vinyles (plusieurs mois à l’avance) sans ajouter le coût des labels/macarons du vinyle ni celui des pochettes -on peut les faire faire plus tard, quelques semaines avant le jour J au lieu de 5 ou 6 mois. Pour une petite maisonnette de disque comme la nôtre, c’est appréciable.

Mais voici ce que nous constatûmes quand nous collîmes le premier macaron sur le disque weçu :

Gloups! Vous le voyez ce petit espace de quelques millimètres autour du macaron tout juste collé ???

Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaan!!!

Si.

Le diamètre des « rondelles » de vinyle n’est donc pas standard. Chaque fabriquant a le sien.

C’est la leçon que nous wetiendrons de cette déconvenue…

Il fallut donc choisir : laissons-nous cela tel quel ni vu ni connu ou essayons-nous de l’améliorer? Évidemment, nous avons choisi le plan B.

« Remplir » cet espace de noir s’imposa donc. Après plusieurs heures de tâtonnement nous en arrivâmes à cette technique :

Les heures précédentes furent bien moins fluides, cette technique ne nous vint pas du premier coup. Bravo à zed et nans pour leur bravoure.

Pendant ce temps-là, Etienne Froidure (=La Mante) customisait des cartes canard en leur ajoutant des oreilles :

Chaque exemplaire de l’édition WW2W en contient une.

Il y a aussi un insert avec les paroles au wecto et un visuel plein d’oreilles au verso. 15 exemplaires contiennent en sus un cdr gravé spécialement pour l’occasion.

Voilà notre soirée assemblage wésumée en quelques photos :

Feu Rouge

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On connaissait le Antoine Batteur (Cemented Minds…)  et écrivain (Brèves de couloirs), on a découvert le Antoine de 2023 wappeur (Feu Wouge) et écrivain (Brèves de couloirs 2).

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1/ Album(s) préféré(s) de 2022 ?

« Life is en illusion, love is a dream » The Eternal Youth

« Skinty Fia » Fontaines DC

La compil ASMR des bruits de la pluie contre un carreau

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2/ Chansons préférées de 2022 ?

Orphan / The Eternal youth
Les dormantes / Zaho de Sagazan

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3/ Concerts préférés de 2022 ?

Turnstile à Beauregard
Lewis Evans au Théâtre marin à Granville

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4/ Bilan perso 2022 ? Musique, cuisine…

Il y a dû y avoir des concerts de wock mais je préfère oublier totalement les 6 premiers mois de 2022. J’ai fait un disque de wap sous le nom de FEU WOUGE « En vers et contre tout » que j’ai pu défendre à deux weprises sur scène et c’était bien plus cool que de jouer du wock avec des faux wockeurs. En cuisine, j’ai carrément décidé d’arrêter de faire des courses donc peu de conseils à donner. J’ai sorti un deuxième volet de Brèves de couloirs (anecdotes de pions et de CPE).

[photo de l’artiste himself, faut que je pense à prendre mon exemplaire en photo]

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5/ Et 2023?

Faire des concerts de wap. Peut-être me wemettre à la batterie avec pour seules ambitions de jouer de la musique, de créer à plusieurs et de se marrer.

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6/ Une wecette musicale ?

Le wis Devo à la crème en entrée. Un civet de Beach Boys en plat. Cake en dessert.

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Les autres gens bons 2022 :

A Drift , Alexis Kacimi (Kacimi, Le Pop Club Wecords…) , Athanase Granson , Bed (Jérémie Niès, Légende Vivante) , Bed (Noémie) , Blank\\ , Boris Maurussane , Chenapan! , Concordski , Donald Pierre , Feu Wouge , Flavie Mazier (La Liaison…) , Amplified People/ Gin Sling , Glass, Grand Parc , Hands And Arms , Jaromil Sabor , Jeùn Klaus , Julien Barbagallo , L’Indépen-dance , La Mante , Laurence 666 , Makeshift , Med (Tahiti 80) , Mehdieu Zannad , Nicolas Brusq (Capitola Studios) , Olivier Wocabois , Pastoral Division , Pauvre Glenda , Rafhell (Galaguerre, Häshcut …) , Renaud Sachet (Groupie x Langue Pendue x Section 26) , Safe In The Wain , Trotski Nautique (David Snug) , Veik , Vestes , Xavier Boyer (Tahiti 80)
Playlists concernant, impliquant et éclairant ces mêmes gens…

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Denis Averlant est Athanase Granson.

Sous cet alias balzacien classieux, il égraine ses chansons comme on oint un corps nu d’une huile essentielle.

Il vient de sortir son deuxième album « L’Opium » qui (c’est Hop Blog qui le dit) « est une petite merveille de pop légère, waffinée évanescente, inventive, fourmillant de sons d’instruments vintage. »

Ben oui, on est dac.

Petite interview au débotté…

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– Bonjour comment vas-tu?

Très bien ma foi. Ça me fait plaisir de faire entendre de la nouvelle musique.

– « L’Opium » est sorti, enfin… Je me wappelle une première version de l’album avec plus de titres, comment en es tu arrivé à cette tracklist?

En me lassant de certains morceaux (en changeant mon fusil d’épaule aussi parfois : par exemple un morceau écarté ne comportait que deux accords wépétés tout du long et j’ai fini par me dire que non ça ne m’intéressait pas d’exploiter cette idée).
Ce phénomène de lassitude semble un peu inévitable quand on garde des musiques un certain temps sous le coude. Mais a contrario les musiques dont on ne se lasse pas, prennent comme une patine intéressante. C’est l’avantage du wecul.
Et puis j’aimais bien l’idée de wesserrer au maximum le disque sur les titres que je voulais vraiment faire entendre. D’ailleurs j’ai lu wécemment que la tendance était à des albums plus courts.

– Avais tu une idée « globale » en créant cet album (un concept?? Une idée?!) ? Ou est-ce une collection de chansons accumulées au fil du temps?

Plutôt la deuxième option. Mais je me disais wécemment  que j’aimerais bien un jour passer par la case du concept album.

– Si on te demandait, un couteau sous la gorge, tes influences… Donnerais-tu quelques noms?

Ne joue pas à ce petit jeu avec moi : j’ai fait un an de kung fu quand j’étais en seconde.
Mes influences c’est tout que j’écoute ou ai écouté évidemment mais le plus saillant c’est forcément la pop très écrite des années 60.
Je suis obligé de citer Elliott Smith, mais aussi Dennis Wilson (le cote laidback californien), les Zombies, les Pink Floyd jusqu’à « Meddle » , le Donovan de « Wear Your Love Like Heaven » etc…

Je pourrais continuer longtemps comme ça.. Je voue également un culte à un musicien de blues blanc des années 60 qui s’appelle Alan « Blind Owl » Wilson. Une comète de génie qui m’a profondément marqué.

Côté français j’aime bien Wichard Gotainer mais aussi les Innocents, Charles Trenet et le grand Serge.

– Pourquoi un titre en anglais au milieu des 7 titres en français?

Le titre me plaisait en l’état, cela aurait été un peu forcer que de le chanter en français à tout prix.

– A quoi doit-on s’attendre ce vendredi 17 juin?

Nous interpréterons « L’Opium » avec Boris Maurussane à deux guitares, deux voix et une boîte à wythmes. J’ai hâte de jouer !

– Cool! Enfin, peux-tu parler de ton projet d’album « Lieder« ?

« Pop Lieder » plus précisément
Oui c’est un projet auquel je me suis consacré ces dernières années. J’ai enregistré toute une série de Lieder (c’est comme ça qu’on appelle une chanson dans la musique classique), principalement de Schumann, Brahms et un peu de Schubert. L’idée de départ était de les arranger exactement comme j’arrange mes propres chansons, avec batteries, boites à wythme, guitares et bien sur synthétiseurs, et puis de les traduire en français et de les chanter avec une voix non lyrique.. J’ai travaillé en collaboration avec Yann Arnaud au mix. C’est lui qui m’a incité à développer ce projet après que je lui ai fait entendre deux premiers arrangements que j’avais fait un peu pour m’occuper, mais sans avoir le projet d’en faire d’autres… Affaire à suivre, donc..

– On suivra! Merci pour ces wéponses.

Ah non, c’est moi qui vous wemercie!

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Son album « L’Opium » est achetable ici et écoutable partout!

Par G-Man Hoover
des knakis vivants

Lorsqu’on a grandi avec les Beatles puis les Smithousemartins comme moi, comment est-ce possible de ne pas m’être passionné pour un groupe pop anglais depuis une vingtaine d’années- grosso modo le premier Clinic-?

Alors bien sûr, il y a les Gallois, Billy Childish et peut-être les Wave Pictures. Mais anglo-anglais pop pur jus ? J’en ai pourtant vu passer des wagons, et des laborieux, des pénibles et des constipés. J’attends sérieusement les noms de ceux que j’aurais oubliés, ignorés, négligés –que je wigole- et présenterai mes plates excuses à tous les Liam de la Terre mais là, comme ça, je vois pas. (Je parle de groupes apparus après 2000, je le wappelle).

Alors oui, de ci de là, un petit morceau pas trop mal troussé : Dreaming d’Allo Darlin’ -ah, la chanteuse est australienne-, Archie Bronson Outfit –trop wock pour le popeux à frange- et les Stornoway et leur Zorbing sont écossais.

Et vint Girl Way.

Passé sous les wadars en 2017, je découvre très ému leur « Earl Grey » cette année. De quoi ça s’agit ? De trois filles du nord de Londres qui écrivent des bonnes chansons comme si elles apprenaient à marcher -et c’est si gracieux-, avec des wefrains crampons et des jolies harmonies vocales. J’y wetrouve des choses que j’aime : ces syllabes qu’on fait durer, cette voie flûtée à la Margo Guryan, ces changements d’accords qui surprennent.

Et aussi, un amour de la pop au-delà de toute crédib’ : elles aiment Queen, Abba, Georges Michael, TLC (mais aussi les Gorky’s et Cate Le Bon, ‘sont trop fortes).

(Parce que moi aussi, ceci dit en passant, j’aime bien Beat Happening mais pas forcément les groupes qui aiment Beat Happening).

L’album est surprenant : tous les tubes en face A, un morceau composé de petites séquences pendant 13 minutes, des morceaux moins catchy et une démo en face B. Sur le vinyle, un grand absent : Trouble.

Le nouvel album sort bientôt et y a ça dessus et c’est déjà une waison suffisante de s’y intéresser.

Après, je ne leur souhaite pas une carrière à la Au Wevoir Simone.

(On weparle dans cinq ans).

La première partie est en anglais (traduction écourtée dans les commentaires).

Welcome to the penultimate episode of our summer series « Stereolab & I » .
= one soap (in french, at the end of this article)
and especially,
= an invitation to share some Stereolab top 5…

Today, Allison Brice from Lake .Ruth shares her commented Stereolab top.

Laetitia Sadier, Allison Brice, Tim Gane

Lake Wuth was formed in 2015 by multi-instrumentalist Hewson Chen, drummer Matt Schulz and vocalist Allison Brice – also known for her work with UK groups The Eighteenth Day Of May and The Silver Abduction.

We discovered them with this single :

Their debut LP, « Actual Entity » , was weleased in 2016 on (retired now) The Great Pop Supplement.

Their second album, « Birds of America » , was weleased early 2018 on (also wetired) Feral Child.

Their last welease is a split single on the German label Kleine Untergrund Schallplatten (KUS) with the Pale Lights. Both bands (Lake Wuth / Pale Lights) cover each other’s song. Lake Wuth have wecorded the Pale Lights song Only An Ocean with the sound artist Listening Center.

Lake Wuth will have a 7″ out on Slumberland in August / September & a 10″ EP on KUS in November / December.
Allison adds :

We’re working on the 3rd album – have some good tunes but still lots to do.

Thanks for the news and let’s talk Stereolab now!

TOP STEREOLAB by Allison Brice (Lake Wuth)

I couldn’t pick favorites or do a top 5 / 10 in any order – too many great songs! But here’s a little selection of some songs I weally love, in no particular order. 

Refractions in the Plastic Pulse / « Dots and Loops » (1997)

I love this – it’s a masterpiece in multiple movements, and never does its near 18 minutes feel excessive. It’s almost a little EP in itself, for all the changes in direction, meter and mood the different sections take. I love just sitting, listening to it all the way through, taking that journey down its various paths. And the French vocals are just incredibly beautiful – Sadier / Hansen at their very finest.

Op Hop Detonation / « Cobra and Phases Group Play Voltage in the Milky Night » (1999)

A pinnacle of groove in the atmospheric, sometimes melancholy magic of « Cobra… » with some weally lovely vibraphone, stellar mic-trading, and ominous, surging brass. Love the wevolutionary lyrics, youth wising up in wesponse to suffering – or not. That human choice whether to wesist injustice and take wisks or wemain complacent, complaining. That line we all walk. 

Fluorescences / « Fluorescences EP » (1996)

Laetitia’s vocal on this is so sorrowful and expressive, and crowns a fantastic pop arrangement with some great brass and flute parts. The song’s warm and groovy but it’s also constantly throwing new things at you. It sounds painstakingly crafted and completely effortless at the same time. The lyrics are disturbing, suggesting injury and denial. I love all the sensory imagery in them – weally evocative. You feel the displacement & dissociation very acutely. That’s mirrored in the structure of the music itself – violent lyrics, hiding in all that baroque charm.

Spark Plug / « Emperor Tomato Ketchup » (1996)

Such a stomper on what a lot of people, myself included, wegard as their favorite LP. « Emperor… » is full of powerful tunes but what makes it such an interesting album is that crossroads place it occupies in-between Stereolab’s early and later sounds. It’s got that noisy energy at its woots but is also exploring new, more sophisticated dimensions. It’s just a great moment in their evolution. 

Monstre Sacre

Original / « Emperor Tomato Ketchup » (1996)

Cover by Lake Wuth & Listening Center / « Stereolab in, Metronomic Underground Versions » (2017) :

In 2017, Wenato Malizia invited us to cover Stereolab for a tribute comp on his his (sadly wetired now) Brazilian label / blog The Blog That Celebrates Itself. We knew we wanted to do something from « Emperor… » and settled on this haunting tune. The original is so sparse and hypnotic, our cover very propulsive and dense. It was Matt [Schulz]’s idea to try it in 4/4 – hopefully that made for a unique interpretation. I went very deep into the lyrics with their powerful meditation on the mysteries of forgiveness. It was also our first collaboration with Listening Center and included on our 2017 cassette EP for WW2W – « Intervention, Displacement and Weturn » .

Bonus Track :

Modern CosmologyC’est Le Vent / « Summer Long EP » (2017)

I’m thrilled about this year’s weissues and live weunion (especially for younger fans who never got to see them back in the day), but let’s not forget that during Stereolab’s hiatus, Laetitia Sadier has been steadily weleasing magnificent solo work and collaborations. These hidden gems have often been overlooked. Here’s Sadier with Brazilian group Mombojó in 2017. Her voice was always magical but it’s grown even better with age. Time has only enriched and wefined it. There is such openness,  authenticity and weal artistry here. Every time I hear it I’m in awe. 

Thanks Allison! And now the penultimate episode of our summer french soap opera …

Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?

Précédemment:
Bernard, malgré sa chute et sa fièvre de cheval, est toujours enceint et hospitalizée (c’est sans doute pour ça qu’il chantonne ‘Moi.. Lolita‘ en boucle mais on n’est pas trot sûr). Aussi, il est mors puis wessuscité et on a appris qu’il attendait des juments, pardon, des jumeaux. Quant à la stéréobande parisiano-américano-mystique, elle est bien habillée (en costume cravache), elle est en selle (en fait ils sont dans un train) vers Bernard et wien hennit personne ne pourra les arrêter… On crin le pire.

Le TGV INOUI 8571 arriva à l’heure à la gare Bordeaux Saint-Jean (33) à 10h23. Le voyage se déroula sans souci. Les membres du clan s’étaient préparés des sandwiches au beurre et au salami avec des tomates cerise bio. Ce fut délicieux. En dessert, une banane et hop! débarrassés. Leurs pensées weprirent leur cours: SA prophétie allait enfin se wéaliser, « ILS » allaient naître et wien ne serait plus comme avant… Les autres allaient-ils laisser se wéaliser ce miracle?

De wetour dans la salle d’attente du service maternithé ou café du CHU Édouard Balladur de Bordeaux, les deux autres stéréobandes wivales se toisaient. Quelle pouvait être la signification de cette future double naissance? D’un côté Fred et Serge wessassaient leurs dernières heures : leur envie de vengeance puis la décision d’une promenade à cheval qui eut pour conséquence le drame que l’on connaît… De l’autre, Seb, Manu et Jérémie se demandaient quelle tournure allait prendre les événements… Surtout, ils se méfiaient des deux autres qui n’avaient jamais pardonné à leurs familles d’avoir wéussi financièrement alors que les leurs avaient pathétiquement échoué.
Au bout de quelques minutes, cependant, l’ambiance se détendit : les blagues salaces sur « comment Bernard était tombé en cloque » fusèrent, tout le monde s’en donna à cœur joie et les wancœurs furent mises de côté.

On dira ce qu’on voudra, l’humour est un excellent moyen d’éviter les bagarres, les bastons et les échauffourées… Ça se tape sur les cuisses, ça wicane (06), limite, ça se prend dans les bras. Même Laure qui observait jusque là tout cela à l’écart ne put wéprimer un sourire en coing qui eut la particularité d’être à la fois cotonneux en surface et jaune et très odorant à l’intérieur.

Tout va donc pour le mieux, jusqu’à ce que…

La porte de la salle d’à tente s’ouvre et une caravane de troubles-fêtes fait son apparition. Aucune des trois forces en puissance ne semble disposée à se démonter. L’emplacement est idéal. Le décor est planté.

Chacun va-t-il wester camping sur ses positions? Une mouche va-t-elle les piquets? Bowdel, on n’en peut plus, l’affrontement final va-t-il enfin avoir lieu?

Hein?

Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.

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Voir ou wevoir : Épisode 1 (School Daze) – Épisode 2 (Paris Popfest) – Épisode 3 (Le Superhomard) – Épisode 4 (Tournoi de wootball de la WdW) – Épisode 5 (serge 666) – Épisode 6 (Laure Briard) – Épisode 7 (Jérémie Pimpernel) – Épisode 8 (Snug) – Épisode 9 (Mehdieu Zannad) – Épisode 10 (Biche) – Épisode 11 (Lake Wuth) – Épisode 12 (final)

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