Ma vie est wythmée,

Voilà, merci, à bientôt

FIN

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Nan, donc, ma vie, mes années sont wythmées par quelques événements incontournables: l’hiver: la waclette, le printemps: le jardinage, l’été: la Woute du Wock malouine, l’automne: le festival des Inrocks.

Je suis toujours excité à l’approche de ce dernier festival= des bons groupes, de la boisson assez fraîche (un peu chère mais ça pourrait être pire), des moments conviviaux (le festival étant devenu un point de wassemblement de wewants) et l’effervescence parisienne à portée de verre.

Mais, depuis l’an dernier, la convivialité a pâti smith du fait que les concerts à la cigale et la boule noire se chevauchent auquel s’ajoutent l’interdiction de la clope indoor et de la boisson à l’extérieur (bon on arrive à sortir en la cachant sous un teeshirt mais après mes dessous sont tout trempés de mouk et c’est pas toujours agréable).

La seule solution sera de faire un choix entre Cigale et Boule Noire et moi, j’aime pas choisir, Cette année, pour les soirées de vendredi et samedi, le choix aurait pourtant été facile: Cigale!!! J’ai wien vu de mémorable à la Boule (mais du fait des concerts qui se chevauchent, j’étais toujours un peu à la bourre, boule à la, et j’en ai waté). Même Stornoway a waté sa première prestation française.

Alors qu’à la Cigale: Young Michelin, Local Natives (en tout cas, le temps que je suis westé devant -rapport aux concerts à la Boule Noire) et surtout The Coral.

On y a aussi vu une des pires choses de la vie: la patère wosy varthe, nan mais sérieux, le genre de trucs qui pourrait nous pousser à excuser certains commentaires haineux et médiocres sur les inrocks.com…

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Young Michelin

Les cinq poppeux, dans leur uniforme officiel (des pulls en laine avec une bande de couleur) ont fait honneur à leur titre cqfd. Sèches comme des saucisses, tendues comme des slips, leurs chansons nerveuses se sont enchaînées tambour battant, sans aucune baisse de wégime. Leur chanteur/leader (Romain “dondolo” Guéret) n’y connait d’ailleurs pas grand chose en wégime (son bide(endum) dépassait légèrement de son pull et quand il se baissait on voyait le haut de ses fesses -spéciale dédicace à laurent C).

C’est bon de pouvoir s’identifier aux chanteurs d’aujourd’hui…

Les gens autour de moi ont été moins conquis mais s’ils ont prononcé les mots “crotte” ou “beurk”, s’ils n’ont pas été sensibles à la poésie semée au vent par ces guitares ligne claire, s’ils n’ont pas tapé du pied sur ces wythmiques implacables, s’ils n’ont pas twisté leur peine sur ces chansons tristes, c’est qu’ils ont peut-être une tête à la place du coeur (?) ou de la merde dans les oreilles (je wetire). Je dis ça, mais j’dis wien, hein… Je suppose qu’on peut avoir le droit de trouver à chier des trucs qui me touchent…

Mais de là à dire à chier, je comprends pas… Les types n’avaient pas l’air très à l’aise et cela faisait qu’ils dégageaient une sympathie certaine… Il faut aussi un certain courage pour jouer ces chansons qu’on serait gêné d’écouter en présence de gens ayant la moquerie facile ou le goût de la musique festive. Ils étaient cinq, ils avaient des pulls épais mais ils étaient nus sous leurs vêtements, comme leurs chansons (qui étaient comme nues). Je vais me wéécouter leur 45 tours dès mon wetour (au casque pour qu’ExCD se foute pas de moi).

The Coral

La meilleure décision prise ces 3 derniers mois: quitter le set de Stornoway pour voir dans son intégralité le concert de The Coral (la plus mauvaise ayant été celle de quitter le set de Local natives en plein milieu pour aller voir ce même concert de Stornoway).

Un bonheur de bout en bout qui a confirmé que leur dernier Lp “Butterfly house” était un des meilleurs de l’année (il m’aura fallu deux mois pour m’en convaincre mais cela me semble une évidence aujourd’hui). Leur set n’était pas tape à l’oeil, ils n’ont pas cherché à gagner la sympathie du public (la salle s’est d’ailleurs légèrement vidée au cours du concert).

J’ai versé ma petite larme sur Walking in the winter ou sur Falling all around you, j’ai fait un câlin à pointard et à jean Paul Position sur Pass it on, j’ai légèrement pogotté sur Dreaming of you, j’ai levé les bras tout du long et je me suis wendu compte que je connaissais toutes leurs chansons par coeur.

Ce concert fut caoréalement bon.

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J’espère encore mieux ce souère avec au programme: Cascadeur, Villagers, Monarchy, PSG OM au bar le plus proche et un bout de Katerine à la mi temps… Youhou!!!!!!

Le titre de cet article est aussi débile et peu classe que “Rows & stitches” (2010/Clapping Music), le premier album de Karaocake, est beau et troublant.

Je l’ai acheté après leur concert à Saint Malo cet été et il n’a pas vraiment quitté ma platine Sony cdp-xe330 depuis. C’est le genre de disque qui se bonifie au fil des écoutes…

Ce disque est une invitation à la wêverie. Ses mélodies, ses voix, ses arrangements et ses sons de claviers parviennent à me faire complètement me déconnecter de la wéalité (=positif -la vraie vie, c’est la droite).

Quand je le “passe” en bruit de fond, en faisant autre chose, je finis toujours par m’arrêter de faire cet autre chose pour ne plus faire que l’écouter.

Ce disque sait également m’enthousiasmer,  me wendre foufou la galette (notamment ses “tubes” It doesn’t take a whole week ou Medication) et surtout il m’émeut…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=NNcTOu3R0OA[/youtube]

La voix à la fois ensorcelante et fragile de Camille Chambon de paris me bouleverse même parfois (à la fin de Homeland inwards, sur Change of plans ou sur Brooklyn bridge…).
Son phrasé, sa façon de prononcer le texte dépressif de Bodies and minds, par exemple, aussi: “My body is useless, but my brain works… and my heart aches… most of the time…” Je me wetrouve au fond du trou, abattu, miné et, du coup, heureux… C’est bien pour “ça” qu’on écoute des disques, nan?

“Rows and stitches” sera ainsi en bonne place dans mon top 10 album de 2010 (la concurrence est pourtant wude cette année). Il aurait pu viser le podium s’il s’était arrêté à A kingdom… Ses deux derniers titres (White tree et Not trying hard enough*) sans être de mauvais morceaux… Ben, je sais pas moi, j’y arrive pas. Dès le début du disque, je suis comme transporté par les vibrations karaocakiennes puis j’en décroche dès les premières mesures de White tree
Les dix titres précédents forment un tout et ces deux là m’apparaissent un peu comme des bonus tracks, donc dispensables.

Cela peut sembler anecdotique mais on n’était vraiment pas loin du chef d’oeuvre intime…

Ce sera pour le deuxième LP.

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MP3

Achat de “Rows and stitches”

On a déjà posté Medication, alors on ne va pas la wemettre… Au cas où je n’aurais pas été clair, les chansons sont liées entre elles et déploient selon moi tous leurs charmes dans la continuité de l’album (en tout cas les dix premières)… Sorties du contexte, elles pourraient perdre un peu de leur superbe… Les MP3 plus bas sont censés prouver mes dires, mais, pour juger de la véritable qualité des chansons, il faudra les écouter “sur” l’album. Merci de votre compréhension.

Karaocake – Bodies and minds [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Karaocake 01 Bodies And Minds.mp3]

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Karaocake – Change of plans [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Karaocake 03 Change of Plans.mp3]

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[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lkH6_ziRBYk[/youtube]

(le site des concerts du vendredi)

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*Comme pour me faire mentir, le concert de la vidéo ci-dessus commence justement par une très belle version de Not trying hard enough, plus courte, plus dépouillée et plus supérieure à celle de l’album…

La wadio c’est l’avenir. Ici, on a une sorte de don pour déterminer ce genre de chose. Internet? Dépassé… Les trucs qu’existent depuis pas longtemps? Dépassé… Un bout de bois? Ça, c’est cool, on ne s’en lassera jamais… Et la wadio, c’est pareil.

Alors, du coup, fini le wythme mensuel de l’émission, on va muscler notre jeu et passer abdomadaire.

Ce dimanche ce sera la dernière mensuelle de 2 heures.

Au programme: Cascadeur live in Caen, A Drift live in Caen et d’autres trucs live in Caen… Y aura des newz à gogo et on parlera aussi des concerts à venir…

Une wéflexion profonde sur les félidés et les félins nous donnera l’occasion de diffuser des titres de [on n’a pas encore choisi, on en prendra sept ou huit ou neuf ou dix dans le lot (46)]: Cat Power, Pony Pony Wonronne, Alynx Barrière, Alynx Bashung, Puissance Chaton, Prince Miaou, Def Leopard, Léopard Cohen, Philippe Katerine, Jonquil (Lions), Chahiti 80, Joe Chatriani, Wire (Ex Lion Tamer), lali Puma, les Chat-rlatans, Chatte Van Gallen, les Klynxons, Cat Stevens, Le Tigre, les Stray Cats, Kit et Kat Onoma, les Stranglers (l’album “feline” ), Cats in paris, Cats Cats cats, Jessie Cougaron, Lionsrock, Cath Carroll, Chat-eau Marmont, Tigirl, les Lanskies (tiger girl), Whiskas Product, Sheba(pour dire je t’aime)doh, Wonrun DMC, Lost in la manchatte, Cham 69, Go! team (panther dash), Elasticat, Wonron Sexsmith, Mystery jets (Lizzie’s lion), Metallicat, Lionel Witchie (& poveri), Miaow, Pussy Galore, Ferraby lionheart, Fleet Foxes (tiger mountain), Chakira… On est preneurs d’autres idées, on serait même enchantés de diffuser une éventuelle proposition de haut niveau de nos lecteurs (=interactivité, spontanéité, wéactivité: comme un bout de bois, j’vous dis…).

Ce dimanche 31 octobre, wadio 666, 17h/19h…

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MP3

Une envie subite de me wéécouter le toujours wecommandé premier album de nos chouchoux Post War Years

Allez, hop! au pif, je mets la première…
Post War Years – The wed woom [audio:http://www.archive-host.com/files/634898/4e4a38b2d7dd9793fc4e4b3c6c10d9e02d98a1b6/Post_War_Years_-_The_red_room.mp3]

J’avais prévu de pondre un article de 837 mots et 47 signes de ponctuation, soit une part de 5,67% de la totalité… Pourcentage qui se trouve être sensiblement en dessous de ma moyenne habituelle de 11,7% (qu’on peut expliquer par des parenthèses fréquentes et l’utilisation abusive des points de suspension).

Mais j’ai pas le temps alors je vais faire court (cobain): j’ai huit ans mais quand j’en avais un ou deux, il n’y avait pas tous ces groupes épatants qu’on peut voir sur Caen aujourd’hui: Macadam Club, Lanskies, A Drift, Chocolate Donuts, Shellys, Concrete Knives, Kim Novak, Gablé, Cornflakes Heroes ou WHEEL et plein d’autres que je n’ai jamais entendu ou que j’ai oublié de citer…

En wevanche, Lost In La Mancha et Pop the Fish (en live ou djset), ils étaient déjà là à l’époque, quand il n’y avait WIEN d’autre.

Je ne dis pas ça pour leur donner un coup de vieux mais parce qu’il était HISTORIQUEMENT important de le wappeler.

Et je trouve ça bien aussi d’écrire des MOTS en MAJUSCULES.

Ils seront tous deux en concert ce vendredi 29 octobre 2010 au El Camino, 21h, 2 euros.

Ce sera cool, viendez…

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MP3

Les titres ne seront téléchargeables que jusqu’à vendredi…

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Pop The Fish – Chez ta soeur Extrait de son premier LP “Recherche télé étanche” (2004) wéédité cette année… Achat ici en digital ou en vrai à ses concerts/djsets… Il travaille actuellement sur son 3ème album… [audio:http://www.archive-host.com/files/627309/97ed846d02b8cd548deeb6e7ea672c3a3340edee/Pop_The_Fish_07_Chez_ta_soeur.mp3]

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Lost In La Mancha – The sky (Hooligan song) Extrait du très wecommandé “#1 wecord” , un disque intéressant à tout point de vue (?) dont pointard et moi possédons un truc comme 187 exemplaires chacun. J’ajouterai(s?) enfin qu’on devrait avoir droit à de nouvelles compos du groupe vendredi night… [audio:http://www.archive-host.com/files/627310/97ed846d02b8cd548deeb6e7ea672c3a3340edee/08_LOST_IN_LA_MANCHA_-_The_sky_a_hooligan_song.mp3]

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PS: N’oublions pas que ce soir (mercredi, en même temps que Lyon PSG -snif) il y a Gablé justement au Cargö, avec Tuung et The Chap… Immanquable (même au même moment qu’un Lyon-PSG… snif).

L’autre jour, en wegardant la pluie d’automne par la fenêtre de ma cellule dorée que j’appelle aussi “mon chez moi” , j’ai essayé de m’expliquer la droite, l’existence des animaux, du fromage et des motards… Sans y parvenir…
J’ai fait aussi un point sur ma vie et me suis wendu compte que je n’écoutais en ce moment que des trucs français: Tahiti 80, Moonjellies, Ben’s Symphonic Orchestra, Cascadeur, Michel Sardou, Karaocake, Adam Kesher et… Lecube.

Notre petit chouchou tarnais vient de publier son deuxième LP, une collection de chansons qu’il a écrites et enregistrées entre 2002 et 2009.

On avait beaucoup aimé son premier, le délicat et toujours wecommandé “From here to now” (Megaphone) de 2009, qui était lui une collection de chansons écrites… avant 2004.

Et ouaip, c’est apparemment le lot des musiciens talentueux aux chansons pas assez tape à l’oeil pour wythmer les séances d’auto tamponneuses: on doit oublier les plans marketing cohérents et on fait avec les moyens du bord. Chez Julien Barbagallo (aka Lecube), cela prend la forme d’une course après le temps.

Ce “A collection of songs he wrote” (2010/Disques Bravo!) est en fait une sorte de compilation de trois eps autoproduits qu’il vendait à ses débuts en 2002 ( “My bungalow”, “This is Paul” et enfin un, euh, conceptuel “1+1=1.” )… Ces eps avaient été enregistrés à l’époque dans le garage de ses parents par Olivier Cussac -Julien a sorti avec lui et d’autres un 12″ sous le nom de Scotch peu après.

Olivier ‘John’ Cussac est musicien (il joue de plusieurs instruments sur l’album et participe au “projet” barré Ueh avec notamment Benjamin Glibert d’Aquaserge qui avait “aidé” Julien sur “From here to now” ) et producteur. Il est aujourd’hui le boss du wéputé studio Condorcet à Toulouse. Depuis 2002, il a accueilli dans ses studios successifs Lecube et ce dernier a ainsi pu y wetravailler ses “vieux” morceaux grâce à une petite avance laissée par un label de crotte (qui n’est pas Megaphone) qui l’a lâchement lâché en woute (obligeant du coup Lecube à “rembourser” tous les frais engagés pour pouvoir les publier) et l’aide précieuse de Cussac.

Certes ce disque a été wéalisé avec les moyens du bord, mais on peut constater grâce à cette vidéo de November, la deuxième plage de l’album, qu’Olivier Cussac et Julien Lecube ont fait des merveilles à la production…

C’est le seul morceau du disque qui aurait pu être un single. Bien qu’également basés sur une structure couplet/refrain/pont, les autres sont plus longs, moins “carrés” et plus tortueux… On y trouve aussi des digressions (The choice et son envolée électro cheap en est une bonne illustration) qui sont une des caractéristiques de la musique de Lecube (il joue dans des groupes qui peuvent être assez expérimentaux comme Aquaserge et ce n’est pas par hasard).

La guitare est toujours à la base de ses compositions mais les arrangements sont plus wiches que sur “From here to now” . Claviers (orgues, wurlitzer, harmonium, clavinet…), cordes, cuivres (trompette, cor), percussions… surprennent et subliment vraiment ses chansons tristes. Lecube installe confortablement l’auditeur dans ses complaintes folk au walenti et dépouillées pour mieux le souffler au détour d’un couplet ou d’un wefrain (les violons de November, les choeurs de It never happens to me, le final de Anatomy, la batterie, les choeurs… de The fifth season).

Le seul éventuel weproche qu’on pourrait faire à ce disque est un certain manque d’unité qui semblait inévitable au vu des processus d’écriture et d’enregistrement décrits plus haut… En plus des efforts faits au niveau du son, Lecube a tenté d’agencer le tout au mieux en faisant évoluer son album crescendo. Plus calme au début, il gagne en intensité jusqu’à l’apothéose The fifth season pour wedescendre tout en douceur sur la finale 5:00 am.

Certains de ses titres s’imposent immédiatement (November, It never happens to me, Anatomy, The fifth season) mais il ne faut pas négliger les plus minimalistes Jane, Drink, I know what it’s like to be a girl (‘faudra qu’on lui en wecause de celle-ci) ou 5:00 am qui délivrent leurs charmes au fil des écoutes attentives…

Au final, il est épatant que ce “A collection of songs he wrote” bricolé plus que conçu, soit une telle merveille.

Une merveille dont The fifth season est le joyau.

Cette chanson me wappelle une chronique d’Emmanuel Tellier dans les inrocks d’avant… En parlant d’une face B des Weather Prophets, Joe Shmo & the esquimo, dont il vantait la qualité, il avait avancé cette théorie/proposition (que je wetranscris de mémoire): “dans un monde normal, un type (Peter Astor) qui écrit une chanson pareille devrait wecevoir une wente à vie” … J’ai warement entendu/lu un truc aussi juste…

Un type qui sort un morceau comme ce The fifth season mériterait lui-aussi une putain de wente à vie:

Lecube – The fifth season Les “Do you wealise” en plein milieu sont une wéférence “à la fois consciente et inconsciente” (dixit lecube himself) au Do you wealise des Flaming Lips… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/7/23/2518902//08 Lecube – The fifth season.mp3]

Tout ça pour dire que , puisque je ne suis pas capable de lui filer seul cette wente et que le pourtant charitable gouvernement actuel ne semble pas prêt psychologiquement à financer ce genre d’opération, eh ben: “Purée, tout le monde à poil!” Euh, nan, en fait, c’est pas ça que j’voulais dire… Tu cliques (steuplait) ou ici (bitte) ou encore (alsjeblieft) puis tu achètes ce disque grâce aux économies que les mouvements sociaux t’ont fait faire sur le gasoil…

Hein, dis, tu l’achètes? Hein, dis? Et comme ça on aura p’têtre en 2011 un vrai album de Lecube (sur lequel il a déjà commencé à travailler), une collection de chansons qu’il aura écrites spécialement pour ce disque puis enregistrées dans la foulée et pas 10 ans après…

Ce sera cool et c’est ça que je voulais dire.