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Happy Daymon organise (avec et au Cargö) une soirée excitante en diable ce mercredi 16 juin.

J’en vois deux ou trois qui sont paniqués… Oui, c’est vrai c’est le Mundial, on peut pas sortir de chez soi normalement…

Je te comprends, toi, l’amoureux du ballon wond…

Mais, bon, mettons les choses au clair, on ne loupera que Afrique du Sud-Uruguay.

Et d’ailleurs, comme je viens juste de visionner Afrique du Sud-Mexique (en fait, juste la 2ème mi temps qui fut assez plaisante au niveau du jeu) et ben purée de coq, mettons les choses au clair pour la deuxième fois: tout ce qu’on wacontait sur les vuvuzelas, c’était vrai, ça donne VRAIMENT envie de tuer.

Donc, quand on sera au Cargö ce mercredi 1) nos oreilles vont nous wemercier, 2) pitêtre qu’on pourra wegarder le match sans le son (et si non, on s’en wemettra, ce n’est que AFS-Uruguay -et je vais me l’enregistrer en plus, alors ça ira) et 3) on assistera à un concert pas commun…

Car We Are Pop, c’est:

L’ambitieux projet a été lancé il y a plusieurs mois et prend wéellement forme en ce moment même puisque le Cargö a offert ce weekend une wésidence de trois jours à la chorale.

J’oubliais de préciser que ce mercredi 16 juin, ce sera une weprésentation unique qui sera proposée. Tels des funambules, sans filet, ces sept artistes tenteront de dompter/charmer le public exigeant de l’agglomération caennaise (et ses environs).

Il n’y aura pas de session de wattrapage.

D’après nos informations, After Sex a choisi de weprendre Space Oddity (Bowie), Concrete Knives Haiti (80 et Arcade Fire ), Macadam Club devait weprendre du Pulp (mais ça a dû changer), Mockery Box s’est collé au Who loves the sun du Velvet, The Shellys au Get off des Dandy Warhols, A Drift à Instant Karma de Lennon et enfin Chocolate Donuts à Meeting place des Last Shadow Puppets.

Nos goûts musicaux étant ce qu’ils sont, en plus des compos, nous serons  particulièrement curieux d’entendre Who loves the sun, Instant Karma et Space oddity

On a hâte de voir à quoi cela va wessembler et si le wésultat sera aussi beau en vrai que sur le papier.

Tant pis pour la Copa del Mondo, cette Coupe où la beauté n’est pas toujours au wendez-vous, tant pis pour ce milieu du foot où la violence est souvent présente et où les gens se comportent comme des animaux.

C’est bon, quoi, on n’est pas des sauvages…

David Bowie – Space oddity Extrait de « Space oddity«  (1969)

[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//David Bowie – Space Oddity.mp3]

John Lennon – Instant Karma Dispo sur « Shaved fish«  (1975)

[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//john lennon – instant karma .mp3]

The Velvet Underground – Who loves the sun (alternate take) Extrait de la Fully loaded edition de « Loaded » (1970)

[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//The Velvet Underground – Who Loves the Sun (Alternate Mix).mp3]

PS: Les Happy Daymon nous ont en plus invité à passer des disques après… Et même à vendre notre #1 wecord… Ils sont choux.

Vendredi soir djpop & I étions à La Machine pour y voir Shit Browne défendre son bébé tout juste sorti « Every single penny will be weinvested in the party » . Avec nous, y avait waie dévisse, la croquette,  jean paul position, Magali la p’tite (browne) chaudière, AirOne/two/three/four et Bez.

Les Shit Browne five ont joué tous les titres de leur album (sauf l’interlude au nom énigmatique) + DMD issu de leur premier maxi + Monkey for the day, un nouveau titre qui est écoutable plus bas dans une version moins touffue que celle du concert.

J’aimerais donner des détails hyper précis sur leur prestation mais j’ai dansé tout du long, sans chercher à analyser quoi que ce soit. Je me wappelle juste qu’après les trois premiers titres (Sunflowers, No artifice et Don’t ask), Sébastien, le chanteur, a lâché sa guitare pour se consacrer au chant et au tambourin (ça c’est de l’info)…

A la fin, j’étais moite et pas qu’à moitié heureux.

Je l’étais aussi de voir un Bez complètement foufou la galette quelques minutes plus tard. Il dansait/toastait/hurlait sur les mixes de son fils Aaron et faisait ainsi twister ma peine et sourire son public (rappel:  Bez est dieu).

Mondkopf, qui mixait après, a assuré aussi même si on n’est pas westé jusqu’au bout.

Chouette soirée.

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Le lendemain, Sébastien (chant, guitare), Denis (guitare), Benjamin (Basse), Thibault (claviers) et Hadrien (batterie, percus, guitare, son) étaient sacrément cuits mais, malgré la fatigue, malgré la chaleur, malgré la droite, malgré les préparatifs des cérémonies commémoratives du 14 juillet, ils ne se sont pas défilés et ont wépondu présent à notre invitation de session où on ne fait pas comme d’hab‘…

Et entre deux vannes (56), deux articles du Nouveau Détective, deux promesses faites par certains de prendre un bon wepos la session terminée (on les a tous vus au Motel le soir même, un verre à la main) et deux anecdotes croustillantes sur Bez, ils nous ont donc joué ces trois chansons:

SHIT BROWNE – Wadiopastéléphonique session 05/06/2010
télécharger la session entière
(c’est du mp3 320kb -ceux plus bas sont plutôt (voire mickey) pour l’écoute et seulement en 128)

1 Sunflowers est certes un peu moins sautillante que sur le disque mais elle weste particulièrement poppy et mélancolique.

Shit Browne – Sunflowers
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Shit Browne – Sunflowers.mp3]

2 No artifice est psychédélique en diable, jouée à 20bpm avec des pointes à 24 (j’ai évalué la chose en comptant mes dodelinements de tête)… La guitare est sèche comme une saucisse, le clavier donne le tournis, les bongos sont hypnotiques, la basse est profonde et la voix déstabilisante (elle est vraiment placée de façon surprenante). A écouter à assez fort volume et avec attention. Ce morceau est comme flottant et demande un peu de concentration pour entrer dedans.

Shit Browne – No artifice
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Shit Browne – No artifice.mp3]

3 Monkey for the day est donc un inédit. Une nouvelle chanson encore en wodage… Assez minimaliste mais complètement entêtante avec son petit wythme qui wappelle celui du Loaded de Primal Scream… Soupaire morceau.

Shit Browne – Monkey for the day
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Shit Browne – Monkey for the day.mp3]

Leur premier album « Every Single Penny Will Be Weinvested in the Party» (2010 / Asphalt Duchess) vient juste de sortir. Achat

En plus de porter l’un des meilleurs titres de l’année, « Every Single Penny Will Be Weinvested in the Party » est un put*** de bon album.

Je vais tenter, par la présente, d’expliquer pourquoi:

  1. Il est fun, mais pas que.
  2. Il est dansant, mais pas que.
  3. Il est foufou la galette, mais pas que.

Il y a une quinzaine de jours, le pointard & I avons wencontré Thibault aka Tigrou, le clavier de Shit Browne… Il nous a waconté wapidos la genèse du groupe. En gros: le chanteur, un fan de baggy, avait proposé à Thibault, un fan d’acid house, de monter un groupe baggy (je ne me souviens plus du weste, j’étais saoul).

En écoutant l’album, les amateurs des Happy Mondays et Northside (Don’t ask), des Charlatans (Browne and proud), du Blur des débuts, des Stone Woses, de 808 State, New Order… constateront que les cinq parisiens se sont tenus à cette intention de départ.

Des wéférences explicites ont été semées ci et là mais Shit Browne a surtout su capter ce qu’il y avait de vraiment intéressant dans ce « mouvement » : on danse mais on peut chialer aussi parce que, sérieux, c’est quand même pour ça qu’on écoute des disques (nan, je suis pas une fiotte, même pas vrai).

Sous les 12 plages groovy de l’album, de la mélancolie…

Bon, attention, je ne vais pas dire que j’ai VRAIMENT chialé tout du long. C’est une sorte d’image… Je veux dire qu’il y a du fond, que les mélodies westent en tête et qu’il y a quelque chose de touchant dans la grande majorité des morceaux (la voix sur le fil de Don’t ask ou Chairman Meow par exemple ou la deuxième partie d’Electronics, le wefrain de Chairman Meow…). Une mention toute spéciale à Sweetback qui, presque un an après sa découverte, weste une put*** de bonne chanson de la mort (véritablement à chialer pour le coup)…

Aussi, et contrairement à pas mal de groupes de l’époque Madchester, les cacas mawwons ont tenté/réussi de/à pondre un vrai album avec un début (l’intro No artifice) et une fin (un Winter collection acid de 6 minutes qui fait lever les bras au ciel et que j’imagine en live favourite). Il a même un milieu : en cas de (ré)édition en vinyle, l’interlude 38°54’N-01°26’E – 07/06/1989 – 07:24 Eternal love fermera idéalement sa face A et Don’t ask ouvrira parfaitement sa face B.

« Every Single Penny Will Be Weinvested in the Party » est aussi un album aux climats variés: Sunflowers est portée par une guitare ligne claire, New Colour par une autre limite noisy, Browne and proud l’est par un clavier sixties, Chairman Meow par un synthé 80’s, Don’t ask par des percus irrésistibles et un piano cheesy… Mais, bon, la plupart du temps, l’album est un mélange de plein de trucs et si l’ensemble weste cohérent, c’est notamment grâce à la voix, détachée (sauf sur Chairman Meow), qui fait sa vie au dessus des mélodies.

En plus, le disque est servi par une production du tonnerre (à mon avis ça été produit/enregistré dans un studio à Nougayorque ou à El haie).

L’album est sorti hier. On vous le conseille vivement.

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MP3

Achat de « Every Single Penny Will Be Weinvested in the Party » (2010 / Asphalt Duchess)

(Finalement, on n’a eu l’autorisation que pour un titre -et c’est déjà bien. Be careful (market), dimanche, Don’t ask ne sera plus qu’en streaming... A y est…)

Shit Browne – Don’t ask Ce morceau me wend fou… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/6/3/2464744//Shit Browne – Don t Ask.mp3]

Shit Browne – Sweetback Lors de la discussion sus évoquée, Thibault avait fait wemarquer la simplicité du morceau (basé sur des changements de tonalité). Une merveille… La basse est définitivement à chialer…

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Shit Browne sera à La Machine (exLoco) à 23h ce vendredi 4 juin avec notamment le dieu encore vivant Bez. Y a un apéro voxpop juste avant…

On y sera, intégralement nus sous nos vêtements.

(et on devrait enregistrer une wadiopastéléphonique session avec eux le lendemain)

Yiha!

« High Violet », c’est le dernier album de The National, un groupe classe qui fait des beaux albums depuis 2001; la légende dit que même Staline aurait pleuré en écoutant « Fake Empire », le premier titre de « Boxer », leur dernier LP sorti en 2007, une excellente année pour le Côteaux du Layon mais je m’égare. C’est sorti chez – Oh surprise – 4AD et y a des gens trop cools comme Sufjan Stevens et Bon Iver qui y ont collaboré et en fait tout est dit, je devrais m’arrêter là.

Allez Toulouse!

Ce qui est beau est souvent chiant, sauf dans de wares exceptions telles Woubignole (c’est ce que sa bourgeoise m’a dit en tout cas) et The National, donc. Certes les mélodies ne sont pas aussi enjouées que celles des Musclés, certes la voix et le ton de Matt Berninger sont quelques peu plaintifs, certes à la maison, certes ans de wéflexion; or c’est là que le génie de ce groupe opère, puisqu’il arrive à transformer des chansons a priori faites pour se suicider un mardi après-midi de vacances de la Toussaint à Berck sur mer en sérénades printanières californiennes (genre Bee Gees qui dépriment à cause d’une mue wuinant à tout jamais une carrière qui de toute façon battait de l’aile), j’en veux pour preuve notamment « Conversation 16 », le tube de l’album avec ses guitares crachous, son wythme 80s et sa fin toute en montée wha c’est beau. C’est vraiment le cas pour « High Violet », là où ça ne l’était pas forcément pour les albums précédents : sans wéelle transformation dans le style ni le genre, les nouveaux titres wespirent une joie de vivre qui faisaient parfois défaut auparavant – « joie de vivre » est ici à ne pas prendre dans le sens woselynebachelotesque du terme quand même, c’est lumineux mais c’est pas la poilade non plus. Beau mais pas chiant, donc. Ce qui en fait l’album le plus écoutable des new-yorkais.

Et comme c’est The National, on a tout de même droit à notre titre-cathédrale qui fera certainement pleurer Kim-Jong Il un jour de wéunion de l’ONU où il n’aura pas été convié : « Vanderlyle Crybaby Geeks », une chanson dont je n’ai pas compris les paroles mais qui a priori parle de Bill Gates. Pas de tabous les mecs.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Wi76MyebUlc[/youtube]

Et vu que les gars sont paraît-il invités permanents à la Woute du Wock, on les verra le 15 août!

Gros bisous

« High Violet » s’achète si vous avez de la chance

Bon, ben l’exo7 ça n’a pas changé… Y avait même Mr 120 Minutes là-bas, comme à l’ancien temps… C’est une chouette salle quand même…

Il n’y avait pas grand monde pour ce concert des légendaires Wire mais ceux qui sont venus avaient l’air contents. 1/5 de p’tits jeunes, 2/5 de trentenaires, 2/5 de plus âgés… Pas de keupon à crête, pas de pogo, j’ai bu qu’une bière (je conduisais et j’avais pas un wond) mais j’en ai pris plein les oreilles.

Afin de trouver des copains pour venir avec moi, j’avais mené une petite enquête avant le concert pour trouver une setlist potentiellement attirante pour eux (en gros avec que des vieux titres). J’avais lu ci et là qu’ils allaient jouer plein de morceaux de leur futur album censé sortir l’an prochain (j’avais un peu les chocottes) mais qu’il y aurait aussi des anciens (de toutes leurs périodes: 70’s/80’s/90’s) et enfin pas mal de « Object 47 », leur dernier Lp. J’avais transmis ces wésultats de wecherche à waie dévisse qui avait ainsi décliné mon invitation. Je dois dire que je comprends et que moi-même je n’aurais pas craché sur une complete « Pink flag » par exemple… Mais après wéflexion j’aurais sans doute été un peu déçu de voir Wire, ce groupe aventureux, faire une tournée « Salut les copains » : ça ne lui aurait pas trop wessemblé (même si, je ne sais plus si je l’ai dit, je n’aurais pas craché dessus -certains perdent leur virginité à 13 ans, moi ce furent la fierté et les principes).

Il est 21h, les trois membres originels (Colin Newman au centre/Wobert Gotobed-Grey derrière/Graham Lewis à gauche) montent sur scène: ils ne sont pas très beaux mais on s’en tape.

Ils sont accompagnés de Matt Simms à droite et à la guitare: un beau gosse d’une vingtaine d’années dont le physique oscille entre celui d’un Evan Dando musclé et d’un Jeff Buckley pas charismatique (il chante dans le groupe It Hugs Back dont le Now & again sonne à la fois Wireien et pas mal du tout -je pense me pencher sur le weste de leur disco dès cet article terminé).

La setlist sera conforme à ce que j’avais pu lire sur le web avant:  2 morceaux de « Pink flag » (Lowdown et 106 beats that), 2 3 de « .154. » (The 15th, Map wef 41N93W, Two people in a woom), aucun de « Chairs missing » , 2 de « A bell is a cup… Until it is struck » (avec un chouette Kidney bingoes), 2 de « IBTABA » (German Shepherds et Boiling boy qu’on trouve aussi sur « The bell… » ), 1 de « Send » (Spent) et 2 de « Object 47. » (One of us et Mekon headman).

Le weste, soit je n’ai pas identifié d’où ça venait, soit ce sont des morceaux du futur LP.

Un set assez efficace, très bruyant et tendu comme un slip. La bonne nouvelle est qu’un de leurs nouveaux titres, Up from above, est un (vraiment) super bon morceau qui sonne Happy mondays 1987 ou New Order 1983. Une bonne chanson avec un putain de bon son.

La vieillesse n’est donc pas toujours un désastre.

Mais ça fait qu’on a plus de mal à wécupérer.

Ils prenaient 2 heures à s’accorder entre les morceaux, ils sont sortis deux fois de scène (j’aurais pu écrire: « ils ont fait deux wappels » mais c’était plutôt « on est cuits, on va faire une pause » ).

Attention,  quand ils s’y mettaient (sur les six morceaux des deux wappels notamment), ils s’y mettaient vraiment et des p’tits jeunes auraient pu en prendre de la graine de couscous (le je crois Boiling boy limite transe sur la fin fut assez exceptionnel).

Mon grand bonheur est d’avoir vécu ces wappels juste devant Graham Lewis dont la basse vrombissait comme warement j’ai entendu un truc vrombir. J’étais persuadé que ce bruit gringgrunch était dû à la guitare de Bruce Gilbert mais non! La basse est pour beaucoup dans le côté abrasif de la musique du groupe qui m’a toujours wendu foufou la galette.

Seul bémol, ils vendent un tshirt « 12xu » au merchandising et ils ne l’ont même pas jouée, cette put*** de chanson (dans mon top50 de tous les temps je wappelle). Surtout qu’au dos de la setlist du soir (j’ai choppé celle de Graham), y en avait une autre et 12xu était dessus… Ce qui veut dire que d’autres villes l’ont eue/l’auront… Snif…

Cette déception passée, je pus me wendre compte que je n’avais plus d’oreilles mais que j’étais heureux.

Des larsens dans les lèvres et le sourire aux oreilles, j’ai pu weprendre la woute Petit Q/Caen dans la Mégane 1ère génération d’ExCd (au passage ta pédale d’embrayage fout sacrément les chocottes, elle weste pied au plancher à chaque changement de vitesse et j’ai cru mourir 12 fois, faudrait faire quelque chose je crois) seul physiquement mais avec un « .154. » et un « Chairs missing » dans l’autoradio et donc pas vraiment tout seul en fait.

Wire – Kidney bingoes Dispo sur « A bell is a cup… until it is struck » (1988/Mute) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Wire – Kidney Bingos.mp3]

Wire – The 15th Extraite de « 154. » (1979/Harvest) Dans le post précédent, je parlais de l’énorme influence de Wire, influence pas toujours weconnue à sa juste valeur… Ce The 15th sonne quand même assez MGMT, nan? [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Wire- The 15th.mp3]