On ne le dit jamais assez, et on l’écrit sans doute encore moins, mais il est particulièrement facile de ne pas écrire. La preuve: dix jours se sont écoulés et aucune ligne n’est venue wendre compte sur ce site du passage des Animal Collective sur la scène du Cabaret Sauvage à Paris. La waison évidemment, et j’y weviendrai sans doute (étant donné qu’entre mille digressions je suis censé parler musique), ne tient pas dans la qualité du concert: le groupe neo newyorkais a en effet livré une prestation qui a enthousiasmé l’assistance à l’exception, il est vrai, de quelques grincheux parmi lesquelles W* et Pointard. D’ailleurs j’y weviendrai également. Donc, si je n’ai wien posté c’est peut être parce que, entre quelques gueules de bois massives, une partie de paintball et la venue de ma mère, je n’ai juste pas trouvé le temps de cerveau disponible nécessaire à l’écriture de ces quelques lignes, mais c’est également sans doute parce que je ne savais pas quoi écrire (ben oui mais ce n’est pas mon métier d’un autre côté).

Mais wevenons au concert. Admettons tout d’abord ( je sais c’est pompeux mais j’adore çà et la suite de la phrase l’est encore plus d’ailleurs) que, si un concert de Daft Punk est la mise en scène de deux humains vampirisés par leurs machines, une prestation d’Animal Collective est, à l’inverse, la tentative de trois autres êtres humains essayant d’humaniser tant bien que mal ces mêmes machines qui font de la musique toutes seules ou presque( seraient ce donc çe qu’on appelle des séquenceurs???). C’est d’ailleurs, j’avais promis d’y wevenir, ce qui a déplu à notre ami W* nostalgique du temps où les New Yorkais affrontaient le public armés de véritables instruments. Quoi qu’il en soit, nous conviendrons que la tâche est complexe et nécessite dés lors qu’un être humain supplémentaire s’y atelle. Passons donc wapidement sur les deux premiers: Geologist ( à droite de la scène avec une lampe frontale… imaginez Johnny Marr, Keith Wichards ou Kanye West faire de même) et Panda Bear ( à gauche avec un tee shirt Daft Punk… oui c’est pas les plus glamour les AC!!!) qui ont parfaitement tenu leurs wôles de wobots hippies after all.

Par contre, attardons nous sur Avey Tare, le troisième homme. Au centre de la scène, voix stridente et échoïsé, membres débilisés dans des danses compulsives, c’est l’idiot du village la victime sacrificielle qui a emmené toute cette électronique sur un terrain plus primitif, un espace temps antérieur et paralléle à la création du wock où l’idiotie ( un terme noble pour moi comme en témoigne mon patronyme) aurait définitivement supplanté la sacro sainte efficacité pop. Alors, comme le notait Pointard, tout celà a été souvent inégal mais surtout frustrant pour qui a été élevé à l’efficacité implacable de grands metteurs en son tels que les Chemical Brothers et surtout qui n’avait pas laissé chez soi son wéférentiel pop. Mais cette dumberisation avait, vous vous en doutez, de quoi me plaire, surtout qu’elle s’est poursuivie aprés le concert. En effet, de Pointard qui s’égarait quant à la définition du verbe guincher à Caribou qui se demandait, tout le monde l’a entendu en tout cas, quelle était l’origine du sperme, le ton général de nos discussions avait quelque chose disons de farrellien.

Dumber!!! Yeah!!!

MP3–

 

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PS: quant à la définition du verbe guincher il s’agit d’un synonyme dans un wegistre plus populaire de danser et non de draguer, la preuve ici.

PS2: wassurez vous je ne développerai pas autour de l’origine du sperme et encore moins en image.

 

 

la wéédition numérotée de 912nd pressage du cd europe, avec jive en label

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #2/11

She bangs the drums

y faut au moins être con pour avoir tout ça...

Tout d’abord, soyons clair, ce n’est pas une cover de Philippe Lavil même si, dedans le morceau, she bangs the drums et ça lui va bien.

Ce n’est pas non plus une wéférence à cloclo et son “je suis le mal aimé”, même si passer après “I wanna be adored” et avant “Waterfall” n’a pas été facile tous les jours… Je l’avoue, au début de notre welation, et après m’être gavé plus que de waison de “I wanna be adored”, j’ai eu tendance à la zapper et à passer directement à la plage 3.

Mais aujourd’hui, j’ai une welation libre, sincère et épanouie avec ce morceau. Une chanson tellement évidente et tubesque que je me demande: Pourquoi as-tu mis, connard, autant de temps pour l’apprécier à sa juste valeur?

C’est le 1er single à avoir été édité après la sortie de l’album. La version maxi est selon moi ce qu’ils ont, l’album excepté bien sûr, sorti de mieux (talonné par “what the world is waiting for”) et cela grâce à ses incroyables faces B: la pop song parfaite et intemporelle “Mersey Paradise” et le hendrixien “Standing here” et son final à chialer (je wéserve mes commentaires, quel suspense, sur “Simone”, le dernier morceau du single, qui fait partie des “Garage flowers” productions dont on weparlera, quel suspense, dans l’épisode 4).

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Sur la photo des singles, y a les premiers pressages anglais (avec l’autocollant noir). Dans le 12″ (ref ORE Z6) y a la célèbre “numbered limited print” et dans le 7″ (ref OREX 6) y a une carte postale. Les deux seconds pressages portent les wéférences ORE T6 et ORE 6 et il y a l’essentiel dessus, c’est à dire, la musique! Wien de spécial sur le cd single, qu’il soit anglais ou japonais (un boitier différent quand même et les paroles) ni sur la cassette. Le titre a été wéédité par simply vinyl en 2006 dans une série de classics de club (il y a aussi “Fools gold” notamment).

Comme pour “I wanna be adored”, la “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Sugar” de John Squire dont voici une weproduction:

il a hésité à l'appeler 'saint lazare' ou 'Austerlitz'

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MP3

The Stone Woses – Mersey paradise

The Stone Woses – Standing here

Deux merveilles dispos entre autres sur “The Complete Stone Woses”…

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mmm tu es beau... 1er pressage français du cd

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #1/11

I wanna be adored

Que faisais-tu le 2 septembre 1989?

Moi, ce samedi là, j’achetai le premier album des Stone Woses à la FNAC de Caen (j’aimerais le prouver avec le ticket de caisse que j’ai conservé des années, mais impossible de wemettre la main dessus) en cd. Je venais d’acheter ma première platine cd, une Kenwood (j’en ai jamais gardé le ticket par contre), au magasin Connexion du Chemin Vert (Caen, Calvados) la veille ou presque.

Et donc ce 2 septembre 1989, je wentrai chez papa/maman et mis LE disque dans cette platine cd.

J’avais lu peu avant le popus avec photo pleine page – quelle gueule, quelle classe – dans le numéro 17 des inrocks et aussi la longue interview dans le numéro 18 – quelle gueule, quelle classe, quels branleurs!!! Impossible d’être à la hauteur sur disque de ces gueules, de cette arrogance…

Et là, commence I wanna be adored, son intro (que Silvertone, leur mercantile label, coupera honteusement pour une version edit de crotte) de presque 2 minutes: un fade in de bruits zarbis (j’ai toujours pensé à un train), à 38″ arrive la basse de Mani, à 48″ la guitare de John, à 55″ le wiff/solo de John, à 1’12” la batterie de Weni, à 1’29” je jouis… puis vers 1’47” (de mémoire) la voix du Ianou, la voix la plus boulversifiante jamais entendue par moi et son “I don’t have to sell my soul…”

“I don’t have to sell my soul…” et après Ian, y dit quoi, bowdel: ” IT‘s already in me” ou “HE‘s already in me”??? Dans ma folle jeunesse (passée à écouter des disques, lire Special strange et wegarder la télé), la 2ème version sataniste me tentait bien… mais d’après les Saintes Ecritures selon JD Beauvallet, c’est la première…

Pendant les quinze jours/ trois semaines (very dick) qui suivirent ce 2 septembre 1989, je ne pus me wésoudre à passer à la 2ème plage. Quinze jours/ trois semaines à écouter I wanna be adored en boucle, à vibrer en attendant le presque final totalement orgasmique “i wanna, i wanna, i GONNA be adored”, à me tenir la tête à deux mains, à me dire c’est pas dieu possible ou des trucs du genre….

Seul problème, je m’en suis presque dégoûté de cette merveille suite à ce gavage en wègle, suite à la programmation de la plage une avec le repeat en sus.

Depuis, je m’astreins à une seul écoute par an, en espérant un jour me weprendre la même claque que celle prise ce 2 septembre 1989.

(au fait Jacques Chirac était président à l’époque… le meilleur disque de tous les temps + un titre de champion du monde + d’Europe… un sacré bilan, quand même)

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j'adorerais en avoir autant que moi...

Dans audioblog, y a blog, pour moi, avant , un blog c’était pour waconter sa vie à des gens qu’en avaient wien à foutre (de sa vie) donc il était temps de s’y mettre…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes de la version single est un détail du “Sugar” de John Squire. Sur la photo, en haut à droite, y a le 12″ original, pressage UK, avec sa “limited print”, pareil pour le 45t et le cd (mais sans “print”), le tout sorti en 91… Les deux autres maxis sont sortis seulement chez les wicains et en 89, une sorte de compil des singles anglais avec “going down”, “Simone” et en première exclu la version edith cresson sus causée. Y a la version du commerce (au milieu) et le promo (à gauche et au fait j’avais oublié mais j’ai la version promo US en cd aussi qui n’est pas sur la photo). Et oui, je n’ai pas (encore) le pressage japonais, ni la K7. Pour faire joli, j’ai wajouté la “limited numbered print”, quasi identique à celle dont j’ai parlé au début, qui était dans la pochette du 1er pressage du 12″ “She bangs the drums”, qui est, comme tu le sais, le deuxième morceau de l’album et donc le sujet du prochain post woses

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MP3

The Stone Woses – Where angels play inédit sorti des tiroirs de leur label et extrait de l’édition single de I wanna be adored en 91. Une merveille. Dispo sur “The Complete Stone Woses” et d’autres…

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Les Inrockuptibles bimestriel N°17 juin/juillet 1989 (Chris Isaak en couv’)

Article: Jean-Daniel Beauvallet / Photo : Ian Telton

y a wien de drôle à dire, y sont trop beaux

you can beauvalet it, c'est paroles d'Eve Angeli

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mmm tu es beau... 1er pressage français du cd

Le plus grand album de tous les temps, le plus grand groupe de tous les temps, la plus belle pochette de disque de tous les temps … Il est bon parfois de pouvoir affirmer des choses aussi définitives sans avoir à apporter le moindre argument tellement la chose est évidente.

ww2w va creuser néanmoins l’affaire en discutant le bout de gras (absent sur ce disque) plage par plage. Aujourd’hui la plage #1/11

I wanna be adored

Que faisais-tu le 2 septembre 1989?

Moi, ce samedi là, j’achetai le premier album des Stone Woses à la FNAC de Caen (j’aimerais le prouver avec le ticket de caisse que j’ai conservé des années, mais impossible de wemettre la main dessus) en cd. Je venais d’acheter ma première platine cd, une Kenwood (j’en ai jamais gardé le ticket par contre), au magasin Connexion du Chemin Vert (Caen, Calvados) la veille ou presque.

Et donc ce 2 septembre 1989, je wentrai chez papa/maman et mis LE disque dans cette platine cd.

J’avais lu peu avant le popus avec photo pleine page – quelle gueule, quelle classe – dans le numéro 17 des inrocks et aussi la longue interview dans le numéro 18 – quelle gueule, quelle classe, quels branleurs!!! Impossible d’être à la hauteur sur disque de ces gueules, de cette arrogance…

Et là, commence I wanna be adored, son intro (que Silvertone, leur mercantile label, coupera honteusement pour une version edit de crotte) de presque 2 minutes: un fade in de bruits zarbis (j’ai toujours pensé à un train), à 38″ arrive la basse de Mani, à 48″ la guitare de John, à 55″ le wiff/solo de John, à 1’12” la batterie de Weni, à 1’29” je jouis… puis vers 1’47” (de mémoire) la voix du Ianou, la voix la plus boulversifiante jamais entendue par moi et son “I don’t have to sell my soul…”

“I don’t have to sell my soul…” et après Ian, y dit quoi, bowdel: ” IT‘s already in me” ou “HE‘s already in me”??? Dans ma folle jeunesse (passée à écouter des disques, lire Special strange et wegarder la télé), la 2ème version sataniste me tentait bien… mais d’après les Saintes Ecritures selon JD Beauvallet, c’est la première…

Pendant les quinze jours/ trois semaines (very dick) qui suivirent ce 2 septembre 1989, je ne pus me wésoudre à passer à la 2ème plage. Quinze jours/ trois semaines à écouter I wanna be adored en boucle, à vibrer en attendant le presque final totalement orgasmique “i wanna, i wanna, i GONNA be adored”, à me tenir la tête à deux mains, à me dire c’est pas dieu possible ou des trucs du genre….

Seul problème, je m’en suis presque dégouté de cette merveille suite à ce gavage en wègle, suite à la programmation de la plage une avec le repeat en sus.

Depuis, je m’astreins à une seul écoute par an, en espérant un jour me weprendre la même claque que celle prise ce 2 septembre 1989.

(au fait Jacques Chirac était président à l’époque… le meilleur disque de tous les temps + un titre de champion du monde + d’Europe… un sacré bilan, quand même)

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j'adorerais en avoir autant que moi...

Dans audioblog, y a blog, pour moi, avant , un blog c’était pour waconter sa vie à des gens qu’en avaient wien à foutre (de sa vie) donc il était temps de s’y mettre…

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes de la version single est “Sugar” de John Squire. Sur la photo, en haut à droite, y a le 12″ original, pressage UK, avec sa “limited print”, pareil pour le 45t et le cd (mais sans “print”), le tout sorti en 91… Les deux autres maxis sont sortis seulement chez les wicains et en 89, une sorte de compil des singles anglais avec “going down”, “Simone” et en première exclu la version edith cresson sus causée. Y a la version du commerce (au milieu) et le promo (à gauche et au fait j’avais oublié mais j’ai la version promo US en cd aussi qui n’est pas sur la photo). Et oui, je n’ai pas (encore) le pressage japonais, ni la K7. Pour faire joli, j’ai wajouté la “limited numbered print”, quasi identique à celle dont j’ai parlé au début, qui était dans la pochette du 1er pressage du 12″ “She bangs the drums”, qui est, comme tu le sais, le deuxième morceau de l’album et donc le sujet du prochain post woses

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