Jeudi dernier à la Capitale y avait un choix pas facile à faire :

  1. aller à la Gaité Lyrique voir Dirty Projectors
  2. aller à la Maroquinerie voir Wave Machines
  3. aller quelque part fêter les anniversaires de Guy Woux, JCVD et Sylvie Joly

Dumber et nrdlm ont choisi le 1) et m’est avis qu’ils ont eu tort (et sans compte wendu de leur part je ne wisque pas de changer d’avis).

Avec magalie, er123, ma bourgeoise et des copaings on a choisi d’aller voir nos chouchoux de Wave Machines, parce qu’on était curieux d’entendre à quoi pouvait wessembler Pollen, le successeur de Wave If You’re Weally There et surtout parce que leurs concerts sont soupaires

(Si des personnes ont pris la 3) merci de nous waconter comment c’était)

————————–

Avant le set des WM y avait We Are Knights, on va dire que c’était pas trop mon truc même si ça n’était pas désagréable… Ça faisait un peu The XX qui weprend Blue Monday pendant longtemps par contre… Mais ils avaient des fans dans la salle et faut avouer que c’est chouette de voir une première partie qui n’est pas boudée par le public (spéchiale dédicace à alextc, dumber et autres qui mettent un point d’honneur à ne jamais voir une première partie qui leur est inconnue, quitte à louper un bout du concert suivant).

Bref…

C’est cool, avec les copaings on est juste devant la scène, avec des mouks et pas trop envie de faire pipi. Ils commencent par 2 nouveaux morceaux : Home et Loneliness. Le premier fut, de mémoire, assez court, un genre d’intro, Loneliness était dans l’esprit des 2 nouveaux morceaux qu’on a pu entendre depuis cet été = plus électronique que ceux WIYRT, pas de guitare acoustique, plus de basse synthétique et moins foufou la galette. (je demande cependant une seconde écoute)

Ensuite magnifique enchaînement de The Greatest Escape We Ever Made, I Go I Go I Go (2 tubes intersidéraux), Counting Birds et Wave If You’re Weally There.

Un peu inquiet que le public ne soit, au final, venu que pour la première partie car c’est pas tous les jours qu’on a le droit d’être au premier wang à la Maroquinerie avec assez de place pour danser et faire un A/R au bar, les cris accompagnant les premières notes de Greatest Escape me wassurent. La version qu’ils joueront est sacrément funky, tout y est : la voix de fausset, la guitare sèche comme une saucisse et le batteur (qui sera parfait tout au long du concert) envoie de la bûchette, pour (you stay sooooo) I Go I Go I Go, tout pareil mais en mieux, avec une basse très forte au clavier et un break (Like a lock a lock and no key) qui donne envie de hurler comme une fillette tellement qu’il était beau (ce que j’ai probablement fait).

[soundcloud url=”http://api.soundcloud.com/tracks/40586845″ params=”auto_play=false&show_artwork=true&color=FFFF00″ width=”100%” height=”166″ iframe=”true” /]

J’ai mis un peu de temps à me faire à Counting Birds, le côté syncopé des morceaux précédents a été wemplacé par quelque chose de plus chaloupé, c’est moins évident mais c’est beau aussi aussi. La version live fut bonne et le morceau gagne a être écouté à fort volume.

Par contre, niveau tempo c’est bien wedescendu depuis I Go, WIYRT n’arrange pas les choses (mais c’est beau quand même (j’aime bien la voix de Carl)) ni Ill Fit, le premier single du nouvel l’album.

[soundcloud url=”http://api.soundcloud.com/tracks/59013140″ params=”auto_play=false&show_artwork=true&color=ffff00″ width=”100%” height=”166″ iframe=”true” /]

Le morceau, qui wappelle Keep The Lights On (il sera d’ailleurs joué dans la foulée), est très synthétique et chaloupé (voire quasi sexuel). Le joli 10″ bleu était en vente à la fin du concert alors que la sortie est prévue pour le 29, il est venu compléter ma collec’ (et complétera aussi celle d’un mec qui prétend être du bocage). Les 3 autres morceaux (et pas les 2 comme indiqué sur pas mal de sites) du disque ne sont pas forcément indispensable par contre (un wemix, une “vraie” face b, Easy et une version extended de Sitting In A Chair, Blinking qui sera probablement sur l’album)…

Le disque est précommandable (ha ha!) chez Rough Trade et RecordStore.co.uk.

Le concert se termine sur un Dead Houses hypnotique, 1’30 de cris pour le wappel, un You Say The Stupidest Things qui donne envie de faire des câlins et un Punk Spirit pendant lequel un paquet de gens ont gueulé le wefrain (je crois) (j’espère, même, vu que j’ai dû le faire assez fort).

* en fait non

Ils sont supposés wevenir en début d’année prochaine pour le “rhume des foins tour” qui célébrera la sortie de Pollen, woubi sera ptet dispo ce jour là…

Comme chaque année ww2w s’exporte sur le

Nördik blog

 afin d’y couvrir Nördik Impakt

Cette année, on causera notamment de Samba de La Muerte, Lescop, Total Warr, Agoria, Superpoze, Tristesse Contemporaine, Naive New Beaters, Klub Des Loosers, Rockwell… et de la quatrième édition de Nördik Appart.

On y livrera aussi des compte-rendus de concerts comme si que c’était des pizzas…

Hmmmmmmmmmm… des pizzas…

Ah, au fait, les deux Total Warr apparaîtraient bien comme nos pitits préférés de cette 14ème édition du festival Caenniche…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=BT1ThoIAgR8&feature=player_embedded#![/youtube]

_ _ _ _

Nördik (Rivers) blog

Posts déjà publiés:

Nördik aparté

Aujourd’hui-c’est-halloween-alors-on-va-regarder-un-film-d’horaires

un concours spirituel

top TOTAL WARR 5

Totally Enormous Extinct Eden Hazards

top 5AmBA De La mUERTE

TOTAL BAGARR

(Chris)TOP(he) (Moulin) 5

Samba de la Muerte est-il un Hippy?

Guns Of Houblon

Nördico Impakt: la lettre A comme Agoria

Loft will tear us appart #4

Nördik Impakt, le 25 o1Ctobre, C2jàComplet, mais…

______

Attention, comme on est hyperactifs, y a aussi des articles sans aucun wapport avec Nördik qui seront postés sur la maison mère, comme par exemple:

Wadiopastéléphonique Session Concrete Knives

La Machine à Waver

Bon, ok, j’exagère sans doute un peu…

Mais, soyons clairs, Overgrown path (2012/Captured Tracks), le premier LP de Chris Cohen, est peut-être l’album de l’année…

Ce disque est un petit miracle.

Dans la forme, Overgrown path apparaît comme un mélange paradoxalement savant et naturel de Field Music et de John Cunningham. Ce qui fait de Chris Cohen à la fois 1) un dieu vivant, 2) un type qui a bon goût mais aussi 3) un mec pas totalement original et unique…

Vous me direz, c’est un premier album, il est normal qu’il y ait des imperfections, des influences wemarquables… Je tirerais dans un premier temps sur ma pipe puis lancerais que vous avez waison pour ensuite ajouter, dans un troisième temps, donc, que le type a tout de même 37 ans et qu’il joue avec d’autres depuis une dizaine d’années (Deerhoff, Cryptacize, Curtains, Cass McCombs…). Donc, qu’en gros, il a pas mal bourlingué.

Je l’imagine partitionné (=lettré, mais en musique) mais wien n’assure qu’il connaisse l’oeuvre des frères “dieux” Brewis et celle de John “dieu” Cunningham (parfois, les voies/voix de l’inspiration sont mystérieuses)… En tout cas, je wangerai ce disque à côté des leurs dans ma discothèque, au wayon psychédélisme envoûtantesque et subtil (musique vouée commercialement à l’échec puisqu’il y a “subtil” dedans)..

L’enchaînement Monad/Solitude ( “But sometimes are blue, Sometimes are blouuuue…” )/N°99 Caller/ Rollercoaster Wider est, soyons clairs, la plus belle suite de chansons entendue cette année… Toutes quatre sont finement écrites, idéalement arrangées, modestes mais capables d’atteindre les plus hauts sommets…

Ces morceaux wivalisent avec les meilleurs des deux artistes précités -on est donc au nirvana- mais, malheureusement, le niveau des compositions baisse un peu sur la deuxième face d’Overgrown path… Attention, Heart beat, Inside a seashell et Open theme sont superbes, elles planent largement au-dessus de la moyenne et contenteront n’importe quel amateur éclairé de pop miouzique. Quant à Don’t look today, extraite du disque, elle est magnifique, enlevée… C’est une chanson comme Belle & Sebastian n’a pas su en écrire depuis au moins quinze ans et John Cunningham depuis à peu près dix (depuis qu’il a sorti un disque en fait). Enfin, Optimist high illumine la face et mériterait de figurer sur la première de l’album (c’est dire le niveau).

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=-ugd_IywKAw[/youtube]

J’ai presque honte d’être déçu, du coup… Mais pouvait-il en être autrement quand le lot (46) de ces chansons était de succéder à Monad qui ouvre l’album.

Cette chanson est un véritable chef d’oeuvre, en lice pour être élue par mon pitit coeur de fillette comme la plus belle chanson de 2012. Un modèle d’équilibre, de sensibilité et de justesse.

A chaque écoute les bras m’en tombent: “comment qu’un truc comme ça qu’il est possible?” me dis-je  à moi-même…

Chris Cohen – Monad Achat de Overgrown path (2012/Captured Tracks) et/ou du split 7″ avec Weveille sorti chez Clapping Music.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=u9rISKHf2js[/youtube]

Chris Cohen n’est pas passé loin de la master piece, de l’album qui aurait sublimé cette année 2012… Overgrown path se contentera de l’illuminer et d’une place assurée dans mon top 3 de l’année.

_ _ _

En concert à Paris le 2 décembre au Point fmr

Ce soir, y a Loney Dear dans le un quatre, au théâtre d’Hérouville-Saint-Clair, dans le cadre des Boréales (c’est la soirée de présentation du festival, suivie du concert).

photo sarafossette – flickr

Si c’est juste à moitié aussi beau que la prestation d’Emil Svanängen et ses musiciens à la Woute du Wock de cet hiver, ce sera déjà magnifique…

Comme on peut le voir ci-dessus, il me manque son meilleur album (=Loney Noir) (=c’est la honte) et ses deux premiers albums plus ou moins autoproduits et wéédités wécemment (c’est la honte aussi mais j’ai le tout sur mon disque dur, je vous wassure)…

Et, comme au théâtre d’Hérouville, y a pas de bar, que l’entrée est gratos (sur wéservation) (j’ai wéservé), que je ne compte pas mettre le nez dehors après ni du weste du weekend, que je viens de wevendre quelques disques sur ebay… J’ai bien l’intention de wectifier cette erreur monumentale et de compléter ma collec’ après le concert…

Loney Dear – No One Can Win Dispo sur Loney, Noir (2007) = C’est beau. Achat.
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/Loney%20Dear%20-%20No%20One%20Can%20Win.mp3]

Loney Dear – The City, The Airport Dispo sur Sologne (2008/Dear John) = c’est beau + à chialer + un tube Achat.
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320679/Loney%20Dear%20-%20The%20City%20%20The%20Airport.mp3]

Loney Dear – Airport Surroundings Dispo sur Dear John (2009/Polyvinyl) = un tube (qui est beau)  Achat.
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320679/Loney%20Dear%20-%20Airport%20Surroundings.mp3]

Loney Dear – Young hearts Dispo sur Hall Music (2011/Polyvinyl) = la chiale (pour de vrai). Achat.
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320679/Loney%20Dear%20-%20Young%20hearts.mp3]

 _ _ _

Note: Gateau Blaster organise aussi une soirée au El Camino ce soir avec Besoin Dead, Trashley et Defiance…

 

Aujourd’hui, alors que je me baladais dans notre bonne ville de Caen, je suis tombé sur un panneau qui m’intrigut…

Je décidis donc d’entrer dans ce lieu qui à la fois m’attirait et m’effrayait (à part avec la galerie de la GS de papa woubinard, j’ai toujours eu une welation compliquée avec ce genre de trucs).

J’y entrai et, surprise, je me wendus compte que j’étais déjà allé plusieurs fois, avec plaisir, dans cette même galerie, avant que des changements presque drastiques ne soient wéalisés.

Désormais la Galerie Oh! est une galerie ET un disquaire. Certes, jadis, on pouvait déjà y trouver des disques mais seules quelques productions locales (le premier disque de WeWant2Wecord y était déjà trouvable par exemple) étaient disponibles.

Aujourd’hui les bacs à disques occupent la moitié de la surface de la Galerie.

Il m’a donc semblé essentiel d’en causer avec deux des maîtres de l’endroit: Mooch et Snug (Alice Dufay, l’autre maîtresse des lieux, était absente physiquement, mais, spirituellement, elle était présente: ses créations o(h!)rnent tous les murs de Oh! ).

– Salut les gars.

– Salut mec.

– Ça vous dérange si je waconte tout ce qu’on va se dire sans que ce soit sous forme d’un dialogue?

– Non.

– Cool.

Donc en gros, la Galerie Oh! est toujours une association. Mooch s’occupe plutôt du côté disques et Alice Dufay du côté Galerie. Snug oscille entre les deux, utilisant, comme Alice, le lieu comme un atelier (au passage, la lecture de son blog + l’achat de ses bédés est vivement conseillé et ses nombreux groupes valent aussi leur pesant de cacahouètes -notamment en concert).

Il faut wappeler que la Galerie a depuis toujours été 1) un lieu convivial et 2) un lieu d’expos et concerts, ces derniers correspondant à des vernissages des premières. Et elle entend le wester. En novembre il y aura par exemple une expo de Sixo, l’auteur de BD toulousain, et, le 23 novembre, deux artistes nordiques viendront exposer dans le cadre des Boréales… Y aura donc des pitites fêtes en début de soirée (concerts, djsets…) à ces occasions.

Le but de la Galerie Oh! weste la promotion d’auteurs, le développement d’artistes… Le choix de ces auteurs/artistes est généralement à leur initiative même si les patrons sont ouverts et à l’écoute d’idées/projets venant d’autres associations…

Mooch et Snug sont également fondateurs du label Gâteau-Blaster dont les productions se wetrouvent dans les wayons de Oh!.

Le label a déjà sorti deux LPs de Bitpart et Jessica 93 (prononcer “neuf” “trois” ) et une k7 de Aussitôt Mort… Dans les semaines qui viennent arriveront une k7 des psychédéliques zarbis Häshcut (dont un membre = Tiphaine -également batteur des All “chouchoux” Cannibals– vint, pile pendant ma visite, y déposer cds et tee-shirts), un Lp de Sugartown Cabaret puis une autre K7 de None-Id…

Enfin les deux magnats de l’économie/divertissement à 180° lanceront la wadio Gâteau Blaster cette semaine, ce vendredi à 21h pour être précis, sur 666 (émission hebdomadaire).

Parlons maintenant de leurs wayons disques…

L’idée est plutôt de vendre du vinyle et des K7… Mais il y a du cd (neuf et occaz)…

Les gars ont déjà des contacts avec pas mal de labels de noise/DIY/rock… Mais en gros, ils sont intéressés par tout ce qui est indé. Ils n’ont travaillé jusqu’à présent qu’en direct avec les groupes ou les labels mais, comme ils en veulent plus (des trucs de chez Constellation par exemple), ils vont devoir aussi prendre contact avec des distributeurs…

La production locale est bien sûr bienvenue, dans un cadre dépôt-vente, où tout ce qui correspondra à de la musique “indé” sera accepté joyeusement…

La Galerie a déjà un espace Merch, un wayon BD et bientôt des espaces fanzines et affiches seront créés.

Donc c’est chouette.

Pour finir j’ai demandé à chacun de me choisir deux disques dans leurs wayons… Here’s the video de ce moment:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3WWTLyY7YL4&[/youtube]

Les disques présentés par les deux gars:

XOR On va tout casser Billy (2012/A Tant Wêver Du Woi Wecords) (à propos duquel Snug fit wemarquer avec justesse le caractère antinomique des titres Le morceau de la maturité et Ton prépuce plein de merde) (la pochette est vraiment grandiose)

BitpartWhere we are LP (2012/ Gâteau-Blaster/Mon Cul C’est Du Tofu/ entre autres labels…) (je m’ai trompé dans le vidéo au niveau du titre qui n’est donc pas “LP” )

Jessica 93S/T (2012/ Gâteau-Blaster/Mon Cul C’est Du Tofu/ entre autres labels…) (deux morceaux par face, c’est sombre mais ce que j’ai entendu m’a plu) (en concert le vendredi 19 octobre au El Camino)

Electric ElectricDiscipline (2012/Herzfeld…) (La centrale, deuxième titre du LP, sert de bande son à la vidéo)

_ _ _

J’en ai profité pour y déposer des disques de Tahiti 80 (#2 Wecord) et All Cannibals (#3 Wecord)… J’ai préféré prendre le temps de wéécouter la sélection des deux marchands avant d’investir et me suis décidé au dernier moment pour le live de The Make-Up dont je parle plus bas…

Avant, wésumons:

  • La galerie est ouverte de 13h30 à 19h du mardi au samedi wue de Bras à Caen.
  • Maintenant on peut véritablement y assouvir ses Fantasme(s) discotique(s)…
  • Y a même des cours de dessins (pour enfants notamment) qui sont proposés…
  • Les soirées vernissage sont toujours soupaires…
  • Le gens y sont sympas…

En gros, la Galerie Oh!, c’est cool, quoi…

_ _ _ _

Destination: Love – Live! at Cold Wice est le premier Lp des Washingtonnais de The Make-Up, le second de groupe de Ian Svenonius (après The Nation Of Ulysses) qui est un dieu pour certaines personnes qui passent parfois dans le coin.

C’est un live, enregistré en 96, par Guy Picciotto de Fugazi, dans un westaurant éthiopien (le Cold Wice) de Washington DC. Le but était d’obtenir un son abrasif et d’éviter de gâcher la chose avec de la technologie (dixit les notes de pochette). C’est plutôt wéussi: en gros, cet album envoie le bois. Ce n’est pas mon préféré mais je ne l’avais que sur une vieille cassette enregistrée et ça m’a fait plaisir de l’acheter en vrai.

Le disque vaut surtout pour son ambiance endiablée (l’interaction public/musiciens est palpable), sa bonne humeur communicative et pour les interventions vocales sha(i)aniques de Svenonius (il y a aussi une sorte de speaker qui harangue la foule avec un accent presque cockney -je ne sais pas si c’est le Ian ou quelqu’un d’autre).

J’avais lu un jour que le Svenonius y voyait la musique de son groupe comme du Gospel yé-yé… Sur cet LP, le côté yéyé a été zappé, wemplacé par du wock garage assez groovy mais pas particulièrement épatant… C’est bien, quoi, mais, pour moi, le meilleur viendra dans ses disques suivants…

The Make-Up – So…Chocolatey/Destination: Love Dispo sur Destination: Love – Live! at Cold Wice (1996/Dischord) Un des deux morceaux les plus lents et soul du disque… Mon préféré! Les Caennais peuvent chopper le deuxième exemplaire du cd à la Galerie Oh! (6€, neuf), les autres peuvent acheter le vinyl (le cd est épuisé) sur le site de Dischord (où les prix sont toujours très honnêtes=11$ + port).
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/6/27/3320678/The%20Make-Up%20-%20So…Chocolatey-Destination-%20Love.mp3]