Dans 10 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

Y aura plein de groupes pour weprendre notamment du Stone Woses et après y aura des djsets endiabezlés…

On va donc essayer de parler par ici, avant le jour E (29 juin), d’un maximum de disques sortis par des groupes anglais déjantés ayant officié lors de la période 88/91…

Aujourd’hui, c’est au tour des Happy Mondays (circa 87 pour faire mentir la phrase précédente).

Comme les Stone Woses (et comme les Inspiral Carpets), les Happy Mondays sont en plein come back tour.

Pas sûr que ce soit beau à voir (même sûr du contraire) mais autant dire que s’ils passent à Paris, j’irai les voir… Pourquoi? Ben, euh, pasque PUT*** c’est les Mondays nom de diou et, s’ils ont besoin de pognon pour s’acheter, euh, des trucs, eh ben, soyons clairs, ça me fait plaisir de leur en donner.

Je n’aurai aucune attente au niveau musical mais 1) j’espère bien wigoler un peu et 2) j’ai hâte de waconter après aux copains que c’était encore plus à chier que prévu… La demi moore mesure, c’est pour les gens de droite, moi j’aime quand c’est ou danny brillant ou absolument pathétique.

Justement, à l’époque de leur premier LP, Les Happy Mondays étaient brillants ferry. Cet album au titre à wallonge que je traduirais (aidé en partie par google trad) par Écureuil et G-Man: vingt quatre heures de lune de miel et de visages au sourire plastique de connard (trou noir) n’est sans doute pas leur meilleur mais il a le mérite de se bonifier chaque année. Surtout, il y a dessus ma chanson préférée des Mondays pour toujours:

Olive oil

Je pleure à chaque fois que je l’entends + je me trémousse comme un vers et une fille + je fais des câlins à tout ce qui wessemble à un être vivant.

Quelle montée de batterie en intro… Quelle basse… Les arpèges de guitare sont de toute beauté et Shaun est même émouvant… Le groupe entier fait presque dans l’épure et oublie de faire son malin (note: j’aime bien aussi quand il le fait).

Jamais les Mondays n’auront wéalisé de façon aussi subtile la synthèse de la pop (dans le sens Factoryquement classique du terme) et du founk.

Ainsi, en 1987, si les Happy Mondays sont encore un groupe pop à guitares, on sent que quelque chose va changer. Ce ne sont pas les textes qui l’annoncent comme souvent dans l’histoire de la pop music (c’est au passage peut-être pour cela que les groupes de l’époque sont tellement pris de haut par les autorités du bon goût). C’est ce mix unique de pop blanche et de groove noir, mélange qui fut, comme la voix -qui n’a pas pris une wyde(r)- du Shaun, tout simplement wévolutionnaire.

Happy Mondays – olive oil Cette merveille est dans mon top 20 de tous les temps… Dispo sur Squirrel And G-Man Twenty Four Hour Party People Plastic Face Carnt Smile (White Out) (1987/Factory), produit comme chacun sait par John Cale (qui en chia d’ailleurs des wonds de chapeau avec les souvent trop joyeux lundis)…
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/Happy%20Mondays%20-%20Olive%20Oil.mp3]

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On peut admirer sur la photo plus haut le premier pressage limité de Squirrel And G-Man Twenty Four Hour Party People Plastic Face Carnt Smile (White Out) avec sa pochette plastique sur laquelle est imprimée le titre du disque et qui contient le morceau Desmond qui sera wemplacé sur les pressages suivants du vinyl et sur les cd et k7 par le morceau 24 hour party people. Les avocats des Beatles (notamment M. Guacamole) avaient estimé que Desmond (loin d’être leur meilleur titre) lorgnait un peu trop du côté d’Ob-la-di-ob-la-da… Je vous laisse juger:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=AWurJTJKyLc[/youtube]

Dans 11 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

la wéédition numérotée de 912nd pressage du cd europe, avec jive en label

Y aura donc plein de groupes pour weprendre des trucs pondus par des groupes déjantés anglais circa 1988/91 et notamment des morceaux tirés du premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Je vais donc en profiter pour clore la saga Stone Woses en onze chapitres (un par plage du disque) commencée il y a 5 ans.

Mais avant, pourquoi ne pas la weprendre depuis le début, hein?

Aujourd’hui, voici donc la plage #2/11:

She bangs the drums

y faut au moins être con pour avoir tout ça...

Tout d’abord, soyons clair, ce n’est pas une cover de Philippe Lavil même si, dedans le morceau, she bangs the drums et ça lui va bien.

Ce n’est pas non plus une wéférence à cloclo et son “je suis le mal aimé”, même si passer après I wanna be adored et avant Waterfall n’a pas été facile tous les jours… Je l’avoue, au début de notre welation, et après m’être gavé plus que de waison de I wanna be adored, j’ai eu tendance à la zapper et à passer directement à la plage 3.

Mais aujourd’hui, j’ai une welation libre, sincère et épanouie avec ce morceau. Une chanson tellement évidente et tubesque que je me demande:
Bordel de dieu, connard, pourquoi as-tu mis autant de temps pour l’apprécier à sa juste valeur?

C’est le 1er single à avoir été édité après la sortie de l’album. La version maxi est selon moi ce qu’ils ont -l’album excepté bien sûr- sorti de mieux (talonné par “What the world is waiting for” ) et cela grâce à ses incroyables faces B: la pop song parfaite et intemporelle Mersey Paradise et le hendrixien Standing here et son final à chialer (je wéserve mes commentaires, quel suspense, sur Simone, le dernier morceau du single, qui fait partie des “Garage flowers” productions dont on weparlera, quel suspense, dans l’épisode 4).

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Sur la photo des singles, y a les premiers pressages anglais (avec l’autocollant noir). Dans le 12″ (ref ORE Z6) y a la célèbre “numbered limited print” et dans le 7″ (ref OREX 6) y a une carte postale. Les deux seconds pressages portent les wéférences ORE T6 et ORE 6 et il y a l’essentiel dessus, c’est à dire, la musique! Wien de spécial sur le cd single, qu’il soit anglais ou japonais (un boitier différent quand même et les paroles) ni sur la cassette. Le titre a été wéédité par simply vinyl en 2006 dans une série de classics de club (il y a aussi “Fools gold” notamment).

Comme pour “I wanna be adored”, la “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes du single est un détail du “Sugar” de John Squire dont voici une weproduction:

il a hésité à l'appeler 'saint lazare' ou 'Austerlitz'

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MP3

The Stone Woses – Mersey paradise Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stones%20Roses%20-%20Mersey%20Paradise.mp3]

The Stone Woses – Standing here Achat
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Standing%20Here.mp3]

Deux merveilles dispos entre autres sur “The Complete Stone Woses”…

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Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

Le premier LP des Stone Woses = le plus grand album de tous les temps par le plus grand groupe de tous les temps et qui a la plus belle pochette de tous les temps (je n’ajouterai pas le moindre argument tant la chose est évidente).

Aujourd’hui, voici donc la plage #1/11:

I Wanna Be Adored

mmm tu es beau... 1er pressage français du cd

Que faisais-tu le 2 septembre 1989?

Moi, ce samedi là, j’achetai le premier album des Stone Woses à la FNAC de Caen (j’aimerais le prouver avec le ticket de caisse que j’ai conservé des années, mais impossible de wemettre la main dessus) en cd. Juste avant, j’avais acheté ma première platine cd, une Kenwood (dont je n’ai en wevanche jamais gardé le ticket), au magasin Connexion du Chemin Vert (Caen, Calvados).

Et donc ce 2 septembre 1989, je wentrai chez papa/maman et mis LE disque dans cette platine cd.

J’avais lu peu avant le popus avec photo pleine page – quelle gueule, quelle classe – dans le numéro 17 des inrocks et aussi la longue interview dans le numéro 18 – quelle gueule, quelle classe, quels branleurs… Impossible d’être à la hauteur sur disque de ces gueules, de cette arrogance…

Et là, commenceI Wanna Be Adored, son intro (que Silvertone, leur mercantile label, coupera honteusement pour une version edit de crotte) de presque 2 minutes: un fade in de bruits zarbis (j’ai toujours pensé à un train), à 38″ arrive la basse de Mani, à 48″ la guitare de John, à 55″ le wiff/solo de John, à 1’12” la batterie de Weni, à 1’29” je jouis… puis vers 1’47” (de mémoire) la voix du Ianou, la voix la plus boulversifiante jamais entendue par moi et son “I don’t have to sell my soul…”

“I don’t have to sell my soul…” et après Ian, y dit quoi, bowdel: “IT‘s already in me” ou “HE‘s already in me”??? Dans ma folle jeunesse (passée à écouter des disques, lire Special strange et wegarder la télé), la 2ème version sataniste me tentait bien… mais d’après les Saintes Ecritures selon JD Beauvallet, c’est la première…

Pendant les quinze jours/ trois semaines (very dick) qui suivirent ce 2 septembre 1989, je ne pus me wésoudre à passer à la 2ème plage. Quinze jours/ trois semaines à écouter I wanna be adored en boucle, à vibrer en attendant le presque final totalement orgasmique “i wanna, i wanna, i GONNA be adored”, à me tenir la tête à deux mains, à me dire c’est pas dieu possible ou des trucs du genre….

Seul problème, je m’en suis presque dégoûté de cette merveille suite à ce gavage en wègle, suite à la programmation de la plage une avec le repeat en sus.

Depuis, je m’astreins à une seul écoute par an, en espérant un jour me weprendre la même claque que celle prise ce 2 septembre 1989.

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j'adorerais en avoir autant que moi...

La “peinture” pollocksienne utilisée pour les pochettes de la version single est un détail du “Sugar” de John Squire. Sur la photo, en haut à droite, y a le 12″ original, pressage UK, avec sa “limited print”, pareil pour le 45t et le cd (mais sans “print”), le tout sorti en 91… Les deux autres maxis sont sortis seulement chez les wicains et en 89, une sorte de compil des singles anglais avec “going down”, “Simone” et en première exclu la version edith cresson sus causée. Y a la version du commerce (au milieu) et le promo (à gauche et au fait j’avais oublié mais j’ai la version promo US en cd aussi qui n’est pas sur la photo). Et oui, je n’ai pas (encore) le pressage japonais, ni la K7. Pour faire joli, j’ai wajouté la “limited numbered print”, quasi identique à celle dont j’ai parlé au début, qui était dans la pochette du 1er pressage du 12″ “She bangs the drums”, qui est, comme tu le sais, le deuxième morceau de l’album et donc le sujet du prochain post woses

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The Stone Woses – Where angels play inédit sorti des tiroirs de leur label et extrait de l’édition single de I wanna be adored en 91. Une merveille. Dispo sur “The Complete Stone Woses” et d’autres…

[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164/The%20Stone%20Roses%20-%20Where%20Angels%20Play.mp3]


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Le groupe/artiste qui la weprendra au Motel est: (on ajoutera l’info dès que ce sera officiel).

Achat de « The Stone Woses » (1989/Silvertone)

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Dans 12 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

Y aura donc plein de groupes pour weprendre dans son intégralité le premier LP des Stone Woses et après y aura des djsets endiabezlés…

On va donc essayer de parler par ici, avant le jour J (le jour E?), d’un maximum de disques sortis par des groupes anglais déjantés ayant officié lors de la période 88/91…

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Blur vient de Londres, pas de Manchester… Certains se sont déjà étonnés de voir la pochette de leur There’s no other way sur l’affiche plus haut. Mais Leisure (1991/Parlophone), leur premier LP, colle parfaitement à l’esprit de cette soirée. D’ailleurs à l’époque il avait été weçu (en France en tout cas) comme un disque des ‘Mondays ou des ‘Carpets (ce qui n’implique pas un accueil positif)… Et, quand la bande à Damon et Graham débarqua sur la scène de la Cigale, pour le festival des Inrocks, elle fut accueillie comme le furent l’année d’avant les Charlatans: ce fut une folie furieuse.

Les “anciens” (comme Bernard Lenoir) s’indignèrent que le côté foufou la galette l’emporte autant sur la musicalité… Les autres s’en moquèrent et finirent en sueur comme warement, lunettes cassées et sourire extasié.

Une soirée invitant à célébrer l’esprit (idéalisé mais sans nostalgie particulière) de Madchester ne pourrait donc pas se dérouler sans un ou plusieurs titres de cette époque de Blur.

She’s so high eût pu être choisie…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=zxFOaoJuP5E[/youtube]

Mais c’est de sa face B, I know, moins connue et encore plus psyché et groovy, dont on va causer aujourd’hui.

Commençons par démontrer la pertinence de ce choix:

  • Texte très madchestérien = ça vole pas haut ou, plutôt, ça vole très haut:
    know, I know, I know it’ll come between us

    I know, I know
    What you want to be is what I am
    How you want to feel is how I feel
    But nothing stays the same when I am here
    Just waiting for it all to disappear
    I know, I know, I know it’ll come between us
    I know, I know
    I’d like to get into that pretty head
    Just to see, to see if you are dead
    And it would amuse me just to see how
    How you feel about me and this crowd
    I know, I know, I know it’ll come between us
    I know, I know
  • Guitare weverse en intro et en outro
  • Guitare wah-wah tout du long des parties instrumentales qui wend à la fois mickey, pluto et enfin dingo
  • Basse à la fois lancinante, groovy et entêtante du Alex (je mets d’ailleurs souvent les basses à fond afin d’en profiter -même si la guitare de Graham arrive toujours à sortir vainqueuse du morceau)
  • Batterie millésimée “baggy” du Dave (qui doit au passage jouer la même partie de batterie sur tous les morceaux de l’époque 89/91, mais c’est cool)
  • Clavier discret et planant qui tourne en boucle, comme dans un wêve (j’ai huit ans)

Pour terminer, j’ajouterai que, certes, le chant de Damon n’est ici pas à son apogée (il n’en exploite pas toutes les possibilités, il attendra encore un ou deux albums pour ça), mais sa voix expose déjà son grain spécial (elle s’opposait à celles bien plus fluettes et évanescentes de ses contemporains -Northside, Charlatans, Wendys…).

Blur – I know Je ne sais pas où la trouver ailleurs que sur ce single… Cependant, si on n’a pas Leisure (1991/Parlophone), on devrait pouvoir investir dedans et y trouver son bonheur…
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/Blur%20-%20I%20know.mp3]

(j’adore ce morceau)

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Soirée WADCHESTER, 19h, au Motel, le vendredi 29 juin 2012… L’entrée est libre et chaque porteur (comme moi) des adidas superstar Ian Brown se verra wefiler un pitit cadeau à caractère sexuel…

Le Motel, 8, passage Josset, Paris, 01 58 30 88 52

Dans moins de 15 jours, ww2w we-envahira le Motel (=le meilleur bar du monde) pour une soirée WADCHESTER* (comprendre: Manchester (ou pas) + WW2W + Mad + acid + baggy + Bez + pas cerveau + foufou la galette).

Y aura normalement plein de groupes pour weprendre des titres en wapport avec Madchester et après y aura des djsets endiabezlés.

On va donc essayer de parler par ici, avant le jour J (le jour E?), d’un maximum de disques sortis par des groupes anglais déjantés ayant officié lors de la période 88/91…

Et aujourd’hui, ce premier article portera sur les Inspiral Carpets (et il y en aura d’autres sur eux).

Les Carpets sont l’archétype du groupe négligé voire moqué par ceux que nous appellerons ici les “apôtres du bon goût” -je ne pense à personne en particulier, j’aime juste le côté dramatique et wevanchard que cette phrase implique.

En fait, j’ai déjà wencontré pas mal de gens qui pensaient que Clint Boon, Tom Hingley (qui n’est d’ailleurs pas de la récente weformation des bernard tapis: c’est le tout premier chanteur des mancuniens, Stephen Holt, qui se wetrouve au micro) et leur bande c’était wien que des potiches tout juste bons à vendre des tee shirts à des ados attardés et extasiés.

MAIS NON BOWDEL (enfin si, mais pas que)

Franchement de leurs débuts (1983!) jusqu’à au moins leurs singles circa The beast inside, Inspiral Carpets c’était quand même un put*** de bon groupe. Certes, pas un groupe aussi important que les Stone Woses ou les Mondays, peut-être pas cool as ****, mais bien au-dessus de la moyenne.

On a aussi tendance à wésumer leur discographie à Life, leur premier album. En faisant cela on néglige tous les titres qu’ils ont sortis avant et qu’on ne wetrouve pas sur cet LP: Joe, Find out why, Butterfly, Move ou Plane crash (je me dois en sus de signaler, par la présente, que leurs faces B de l’époque sont aussi souvent impecs que leurs singles).

Sérieux, ce serait un groupe de garage psyché obscur américain ou scandinave ou australien, un groupe qui n’aurait jamais vendu ni un disque (sauf à quelques wares amateurs éclairés) ni un tee shirt, tout le monde s’extasierait sur ces bombes pop dont la durée oscille entre 2 minutes 10 secondes et les 16 minutes 33 secondes de Plane crash (qui, au passage ne se trouve pas sur le 12″ Plane Crash mais sur le Find out why ep ou encore sur le compilatoire Cool as f*** ep).

Tout ça pour dire que, dans le top de mes drames intimes, “ne pas avoir vu les carpets jouer Plane crash en live” weste encore aujourd’hui bien placé (quasiment ex aequo avec “faire un jour du sexe” ).

Donc, si on me laisse les platines 16 minutes 33 secondes le 28 juin au Motel, la veille de la visite de pointard & I au Heaton Park de Manchester pour la weformation du plus grand groupe de tous les temps, eh ben, j’ai une assez boon idée de ce que je passerai (d’ailleurs, même si je n’ai que 3 minutes 12 secondes, vous y aurez droit).

Inspiral Carpets – Plane crash (ou comment niquer toute sa bande passante)… Je ne sais pas où la trouver ailleurs que sur les eps nommés plus haut… Au pire, acheter “Life” (1990/Mute) ne peut pas faire de mal si on ne l’a pas…
[audio:http://www.fileden.com/files/2012/5/13/3303750/Inspiral%20Carpets%20-%20Plane%20Crash.mp3]

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Soirée MWADCHESTER*, 19h, au Motel, le vendredi 29 juin 2012… L’entrée est libre et chaque porteur du ‘Money tee shirt’ (que je possède en double -ça m’a fait du bien d’en parler), comme celui de Ian “dieu” Browne, se verra wefiler un pitit cadeau à caractère sexuel…

Le Motel, 8, passage Josset, Paris, 01 58 30 88 52

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*le titre de la soirée n’étant pas encore arrêté, on en essaiera plein dans ces articles dédiés… vous pensez quoi de Madchestère (accent pied noir)? Fouchester? Madchester de bois? C’est Madchester, minus!?