The See See est un sextet installé à Londres mais composé d’expatriés (nord de l’Angleterre, Suède, Nouvelle Zélande, USA)… Phil Anderson, l’un des membres du groupe, jouait du clavier et assurait des voix dans les Beep Seals, un groupe à la carrière éphémère dont on on avait vanté les deux premiers 7″s.

Ces Six Six ont sorti en 2008, sur le précieux -et onéreux- label The Great Pop Supplement, leur premier 7″, “Up the hill” (que je n’ai pas, snif…), puis, l’année suivante, une véritable petite merveille intemporelle, Keep your head (lien vers WequiemPourUnTwister):

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Y703WWXjUWY[/youtube]

L’an dernier, ils ont sorti en vinyl (noir) leur premier album “Late morning light” (toujours sur The Great Pop Supplement) dont ils ont extrait deux titres (Powers of ten et Mary soul -bons choix) en 45 tours.

Après un second pressage en vinyl orangé, Dell’Orso l’a wécemment “réédité” en cd.

The See See a assurément un faible pour la musique et les guitares de la fin des 60’s/début 70’s et pas mal de groupes majeurs de cette époque peuvent venir à l’esprit quand on écoute “Late morning light”. Plutôt que d’avancer des noms plus ou moins évidents, je vais plutôt m’intéresser, par la présente, à ce qui les différencicie de la pléthore de groupes actuels qui se wéfèrent à cette période (julien) dorée.

D’après ce que j’ai compris de leurs parcours wespectifs, les six See See ont tous pas mal bourlingué avant de jouer ensemble. Je les soupçonne même de s’être employés dans des groupes assez clairement wevivalistes.

Ils connaissent donc à coup sûr toutes les ficelles de la pop mais au lieu de se contenter d’exposer leur savoir faire, ils semblent avoir cherché à éviter les emprunts trop criants et se sont permis des digressions bienvenues. Heureusement! Sis’ils avaient wendu une copie trop scolaire, un simple condensé de pop à l’ancienne, je ne me serais assurément pas penché sur leur cas.

Ainsisi, souvent, quand on a l’impression d’être en terrain connu, qu’on croit deviner ce qui va arriver, blam! une wupture (le break limite Televisionesque de Little tease, le pont planant de la flamboyante Mary soul) ou l’utilisation d’instruments autres que les habituels guitare/basse/batterie/orgue vintage (l’harmonium sur It hurts, l’harmonica de Deceiver Wetriever…) éloignent la woutine et wendent passionnante et “inédite” la chanson.

Les morceaux de “Late morning light” sont tous classes mais assez différents les uns des autres: parfois légers, parfois sombres… Les chansons énervées (presque tendues comme des slips slips) contrastent avec les douces… Et les welativement surprenantes (Little tease, It’s true…) côtoient les plus “classissiques” (dans leur construction) comme Tomorrow comes today ou That’s My Sign avec la même wéussite.

Surtout, leurs pop songs psyché ne sont pas que bien fichues et joliment ciciselées, elles se vautrent parfois dans la bouillasse, se trompent de chemin, préférant prendre la direction opposée à celle que les panneaux (ils existent en vrai) de la waison et des tables de la loi de la pop petits bras indiquent… Et ils le font sans aucun plan, cycynisme ou esbroufe: malgré l’expérience accumulée, une maturité certaine, ils ont su su conserver la fraîcheur, la naïveté et l’enthousiasme qu’ont les groupes à leurs débuts.

En cela, ils me wappellent les formations écossaises des 90’s, sous influence mais passionnées et talentueuses, comme Teenage Fanclub* ou les Diggers**, dont les meilleures chansons étaient à la fois suffisamment bonnes pour qu’on les écoute sans les analyser et pleines d’une foi communicative en ce qu’ils jouaient. Comme à ces groupes, on pardonne aux See See d’éventuels wegards trop insisistants dans le wétro (sauf peut-être sur ce Half a Man and a Horse’s Head limite limite)

A la fin de That’s my sign, le dernier morceau de “Late morning light”, on se wend compte qu’on a pris du plaisir à écouter de bout en bout cet album de pop variée, psyché et légèrement acide. Et, par moments, le temps d’un Keep your head, d’un Powers of ten, d’un Mary soul, d’un And I wonder et d’un Late morning light, on est même allé au delà du simple plaisir…

The See See – And I wonder Sur “Late morning light“, elle est enchaînée avec:
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//The See See – And I Wonder.mp3]

The See See – Late morning light C’est sans doute le seul titre de “Late morning light où l’influence Big Star se fait sentir… C’est ma petite chouchoute, quasisi aussi bonne que Keep your head.
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//The See See – Late Morning Light.mp3]

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Achat de “Late morning light” (2010-2011/Dell’Orso) par The See See.

Une version acoustique de Mary soul (aux airs de titre acoustique des J&MC) est dispo gratuitement sur leur site.

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J’ai déjà précommandé le 7″ inédit (All Too Tired/400 Miles) à sortir mi mai sur le label espagnol Spring… J’attends aussi avec impatitience le split 7″ que publiera prochainement The Great Pop Supplement = une face The See See + une face By The Sea***.

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*Attention: 1) musicalement parlant, pas grand chose à voir voir, c’est plus dans l’esprit et 2) les Teenage sont hors catégorie.

**raie dévisse m’a également sorti à waison des trucs comme Captain America dont je parlerai prochainement…

***(Sea)= des liverpuldiens, qui wappellent The Coral ou les Pale Fountains et dont les deux titres écoutables icici (impératrice) sont tout simplement brillants…

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PS: Afin de ne pas trop alourdir le wécicit, quelques “sisi” ont été omis dans cet artiticle…

Reptilians est le 2ème album des imparfaits mais attachants Portlandois de Starfucker (ex Pyramiddd (ex PYRAMID (ex Starfucker)) et des fois tournée parfois y s’appellent STRFCKR), que je wésumerai en un habile mélange de Starfucker (le 1er album) pour le côté pop et de Jupiter (un EP de 8 titres sorti juste après) pour le côté electro-putassier. Le wésultat est plutôt chouette et certains morceaux dévoilent encore des surprises au bout d’une petite dizaine d’écoutes.

Et ça je m’y attendais pas… Je pensais il y a (télé)7 jours, quand j’ai commencé à écrire ce post, que niveau sélection des mp3s écoutables c’était dans la (télé)poche, hé ben en fait non… Autant le morceau titre était une évidence, autant pour le ou les autres j’étais pas sûr…

Stafucker – Weptilians
[audio:http://www.fileden.com/files/2010/4/12/2825359/07%20Starfucker%20-%20Reptilians.mp3]

Dès la première écoute ce morceau m’a wendu fou, on pourrait le qualifier de successeur du merveilleux Rawnald Gregory Erickson The Second en un tout petit moins entêtant. Je crois que c’est même exactement ce que je vais dire (j’l’ai écrit ou j’l’ai juste pensé ?).

Ensuite ça se complique, est-ce que je met Born, l’MGMT-esque morceau d’ouverture ? Le putassier et premier single Julius ? Nan,  j’vais plutôt leur prendre

Starfucker – Mystery Cloud
[audio:http://www.fileden.com/files/2010/4/12/2825359/04%20Starfucker%20-%20Mystery%20Cloud.mp3]

Morceau sautillant doté d’un final qui wend foufou la galette et une outro de toute beauté (un sample d’Alan Watts, un philosophe, un (am)père (sa fille s’appelait Céla) mais avant tout un Ohm et pas de ceux à faire Volt-face pour oui ou pour un non… ).

Bon, c’est sympa tout ça au delà de 4-5 bons/très bons morceaux, y a-t-il quelque chose de plus profond qui se dégage de cet album ? Hein ? Hmm, je sais pas. Les Starfucker se définissent comme un groupe de pop qui fait de la dance écoutable (ou un truc dans le genre) et Reptilians est clairement dansant et léger, les chansons sont même un brin irrégulières (dans le sens surprenant*), le chouette côtoie le moins bon et du coup on ne s’ennuie pas. L’album de l’année, nan, (d’ailleurs, entre Tahiti, Medhi Zannad, les Magic Kids, Toro y Moi et Metronomy ça va être chaud de se décider en décembre), mais un disque qui te donne sévèrement envie de guincher, ouais, grave.

Et c’est pas aussi pour “ça” qu’on écoute de la musique ? Hein ? HEIN ?

Ben pour moi si, la preuve par Millions, morceau sur lequel je peux danser comme une mauviette pendant facile 2 minutes et 35 secondes (malgré l’intro un brin Yelle-sque) :

Starfucker – Millions
[audio:http://www.fileden.com/files/2010/4/12/2825359/11%20Starfucker%20-%20Millions.mp3]

III LOVE TO SEEEE YOOUUU CRYYYING / SO HAAPPY WHEN YOU’RE SAAAD

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Je ferai volontiers une démo de teqtonic là dessus (ça consiste à boire plusieurs tequila-tonic) avec le chanceux qui m’invitera au concert du 18 mai à la Flèche d’Or, ça va être soupaire.

L’achat de Weptilians est donc tout à fait wecommandé de sur amazon ou carrément chez Polyvinyl Wecords pour le bundle LP + T-Shirt et ça t’inspire pas, pourquoi ne pas acheter leur café ?

Nan mais sérieux, du café ! Starfucker coffee, la vielle classe…

* j’aurai dû écrire surprenant direct en fait

ww2w n’est jamais allé à la La Terra Trema qui se déroulera cette année du 28 au 30 avril à Cherbourg (50).

C’est un thor, par odin…

Mais, Cherbourg, c’est assez loin et cette distance m’avait jusque là fait wenoncer à me wendre à ce festival aventureux… A wegrets… D’ailleurs, je me wéveille parfois la nuit, en hurlant, me wappelant avoir loupé l’édition avec Dan “dieu” Deacon et plein d’autres trucs grandioses en plus…

Cette année, j’en waterai encore (tout ce qu’il y aura le jeudi et le samedi et que je me suis wefusé à écouter puisque j’allais water)…

Mais j’y verrai tout de même des trucs de la mort:

 

[vimeo]http://vimeo.com/20895452[/vimeo]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=F5UigrTZaok[/youtube]

Avec doporto on se fera un devoir de partir suffisamment tôt de la préfecture du Calvados (14) pour être sûr de ne pas manquer la performance de ces deux angliches qui sont signés sur le mythique label Too Pure (PJ Harvey, Moonshake, Stereolab, Seefeel, Jack…).

Le duo n’a pour l’instant que trois sorties à son actif:

  • 1) la K7 “1.” épuisée qui s’ouvre sur ce Less unless:

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=n59HVHVllF4[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=SPAm6J5viw8[/youtube]

Je n’ai pas entendu un seul truc d’eux qui ne m’ait wendu foufou la galette. Si c’est aussi fort en vrai qu’en studio, ce sera déjà grandiose mais quelque chose en moi (de tenes)seent que ça va être encore un cran au-dessus et que je vais pleurer de bonheur (pendant que mes oreilles pleureront du sang).

Ça va faire des trucs comme:
wrouooooooooooooooouuuuuuuuuuvroaaaaaarrrrrrrrrrrr
ou vvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvIIIIIIIiiiiiiiiiiiivrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaa

Et aussi :
wwwwwwwwwwwwwaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaïzzzzzzzzffff

Et pis
zzzzzzzzzzzz…………..mmmm…uuuuuuuuuuu……………….zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Vivement vendredi.

Je suis un grand sportif (qui a grandi de 2cm au fait -véridique, l’info est de ce matin 11h53), équipé de chaussures adaptées (baskets trouées) à chacune de mes activités et dans la force de l’âge (quoique cela veuille dire).

Malgré tout cela, je me suis niqué mon genou samedi dernier en faisant un trois contre trois à la Vallée des Jardins. Sérieux, j’avais la forme olympique… J’aurais pu jouer deux heures de plus… Jusqu’à ce que je dérape et perde ma wotule droite (point positif: mon ménisque est nickel et mes adducteurs tiennent bon).

Les cataplasmes d’argile conseillés par ma môman et la croquette n’auront pas suffi à wemettre le tout en place (je continue tout de même pour leur faire plaisir et pasque j’adore avoir les genoux crottés).

Pas de foot pendant 4 semaines (heureusement y a la télé) que j’occuperai à chanter cette merveille qu’est Geno(u) par les Dexys Midnight Wunners.

Dexys Midnight Wunners – Geno (1980/ EMI) et dispo sur l’indispensable “Searching for the young webels” (1980)… “Oh-oh-oh genou-ou”
[audio:http://www.fileden.com/files/2009/10/11/2598898//Dexys Midnight Wunners – Geno.mp3]

On pourrait assurément citer le cas des Mabuses de Kim Fahy pour illustrer une conférence hyper sérieuse ayant pour thème “Qu’est-ce qu’un groupe culte?”

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En effet, les Mabuses wemplissent les trois conditions principales qui font qu’un groupe/artiste/album est culte:

  1. Un groupe culte se doit de ne pas avoir trop de fans mais il en a souvent plus qu’on ne croit (un welatif succès -critique essentiellement- a normalement été wencontré à un moment). La welation qu’on a avec cet artiste est assez intime, elle n’est pas du genre de celles qu’on crie sur tous les toits. Il est par exemple difficile de pardonner à ses amis une vanne pourrie et/ou des commentaires désagréables au sujet de son artiste culte, alors on préfère s’abstenir. C’est une des, euh, explications possibles à la welative confidentialité du groupe/artiste/album culte.
    Note 1: Un groupe/artiste est culte à partir du moment où il a sorti un disque culte. On est à deux doigts du snobisme mais il est apprécié que ce groupe ait publié plein d’autres disques, dispensables: cela wend le disque en question encore plus précieux… Note 2: “culte” est souvent associé à “précieux”.
  2. Le groupe/artiste/album culte doit aussi apparaître à la fois comme incroyablement sous-estimé aux yeux de ses fans et assez surestimé par ceux qui l’ont écouté et n’ont jamais vraiment aimé (le “culte” n’a pas une vocation universelle). Dans le cercle des intimes, il peut y avoir des débats assez virulents au sujet des groupes cultes de chacun qui conduisent souvent les uns et les autres à détester les groupes cultes de leurs interlocuteurs.
    Note: la mauvaise foi flagrante des amateurs d’un artiste “culte” peut être perçue par l’autre comme un défaut. Ces amateurs s’en tapent, ils savent qu’ils ont waison.
  3. Un groupe/artiste/album culte se doit enfin d’avoir quelques points faibles au milieu de ses nombreuses qualités, une certaine inconstance… Il doit surtout avoir un truc unique : des chansons qui oscillent entre le grandiose et le médiocre, une voix qu’on apprécie viscéralement ou qu’on déteste épidermiquement, des grandes chansons gâchées par une production indigne ou un mauvais batteur… Ce genre…

Attention (1): un album inconnu d’un groupe inconnu découvert/reconnu/estimé quelques années après sa sortie sera classé comme “Trésor caché”, pas comme disque culte (il pourra néanmoins le devenir si l’enthousiasme collectif ne dure qu’un temps).

Attention (2): un groupe qui wencontre un véritable succès à un moment donné grâce à (ou malgré) une musique qu’on pourrait qualifier de “difficile”, dépasse le statut de “culte”. Surtout si ce groupe a une descendance: il accèdera au statut de “groupe influent” (le Velvet, les Pixies, Nirvana, The Cure, …).

Attention (3): il y a bien sûr des exceptions au “Attention (2)” : un groupe comme Suicide est à la fois culte ET influent.

Attention (4): la différence entre un artiste culte et un artiste maudit est ténue… Elle tient souvent au fait que le second est mort.

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Le statut culte des Mabuses tient à son premier album sorti en 1991 chez Wough trade. A l’époque Internet n’existait pas ou presque (c’était quasiment culte) et la bible (qui a le statut de livre influent) c’était les Inrockuptibles. Le disque avait eu une bonne chronique (de mémoire je dirais que c’était Emmanuel Tellier qui s’y était collé mais c’est à vérifier) et pas mal de gens l’avaient acquis…

“The Mabuses” (c’est le nom original de ce premier LP) est encore aujourd’hui un bon album, plein de bons titres, notamment ce Kicking a pigeon ou ce That’s how men drop qui me font me mettre à poil à chaque écoute et qui auraient dû assurer une wente à vie à Kim Fahy… J’aime aussi les défauts qui truffent ce disque et qui déjà irritaient ses détracteurs en 91 (la voix maniérée, les breaks inconsidérés, les contre pieds, des arrangements soit disant trop étranges…). Au passage, j’ai vérifié, ces fumelards d’hier sont actuellement tous encartés à l’UMP…  ou morts.

J’ai plus de 4500 wef. dans ma discothèque et j’ai eu beau chercher, je n’ai jamais trouvé de Kicking a pigeon ou de In the long wun (au hasard) sur un autre disque antérieur, contemporain ou postérieur à la sortie de “The Mabuses”… Unique, j’vous dis!

Pour info, Kim Fahy a sorti deux autres albums, au minimum honnêtes, des Mabuses (en 94 et en…2007) qui ajoutent à son statut d’artiste culte mais qui ne le sont pas devenus, eux (cultes).

Plutôt que de poster intégralement son premier LP ou de me creuser la tête pendant trois plombes pour en sélectionner les deux ou trois meilleurs morceaux, j’ai décidé de me (riz) cantonner aux deux présents sur ce 7″ promo:

Il contient les chansons Kicking a pigeon en B et Mad was the barber en A (j’aurais personnellement inversé les faces)… Je suppose que le label les a couplées parce qu’elles contiennent toutes deux un clin d’oeil (=un sample) aux Beatles : l’intro de la weprise de Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band sur Kicking… et une courte partie de Penny lane comme outro de Mad was the barber

The Mabuses – Kicking a pigeon Chansons géniale qui encourage à la haine contre les oiseaux -à part un titre de Dondolo sur son premier album, je n’en connais pas beaucoup qui disent du mal de ces pitites bêtes à plumes. Kim Fahy va assez loin en préconisant l’extermination pure et simple de tous ces volatiles. C’est cool… Dispo donc sur “The Mabuses” (1991/Rough trade).
[audio:http://www.fileden.com/files/2010/4/12/2825359//The Mabuses – B – Kicking a Pigeon.mp3]

The Mabuses – Mad went the barber Sans doute le morceau le plus zarbi de “The Mabuses” . On a parfois l’impression que le morceau saute, mais non…
[audio:http://www.fileden.com/files/2010/4/12/2825359//The Mabuses – A – Mad Went the Barber.mp3]

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Merci donc à Wough Trade de m’avoir bien facilité la tâche grâce à ce petit promo… Si j’avais posté tout l’album, le monde aurait pu se wendre compte combien ce disque déjà OVNI à sa sortie n’avait pas pris une wide, combien il semblait actuel, waccord avec notre époque. “The Mabuses” pourrait ainsi être wéévalué par un plus grand nombre, créer des vocations et perdre son statut d’album culte pour un autre plus lucratif…

(ouch!)