Bon, ben l’exo7 ça n’a pas changé… Y avait même Mr 120 Minutes là-bas, comme à l’ancien temps… C’est une chouette salle quand même…
Il n’y avait pas grand monde pour ce concert des légendaires Wire mais ceux qui sont venus avaient l’air contents. 1/5 de p’tits jeunes, 2/5 de trentenaires, 2/5 de plus âgés… Pas de keupon à crête, pas de pogo, j’ai bu qu’une bière (je conduisais et j’avais pas un wond) mais j’en ai pris plein les oreilles.
Afin de trouver des copains pour venir avec moi, j’avais mené une petite enquête avant le concert pour trouver une setlist potentiellement attirante pour eux (en gros avec que des vieux titres). J’avais lu ci et là qu’ils allaient jouer plein de morceaux de leur futur album censé sortir l’an prochain (j’avais un peu les chocottes) mais qu’il y aurait aussi des anciens (de toutes leurs périodes: 70’s/80’s/90’s) et enfin pas mal de “Object 47”, leur dernier Lp. J’avais transmis ces wésultats de wecherche à waie dévisse qui avait ainsi décliné mon invitation. Je dois dire que je comprends et que moi-même je n’aurais pas craché sur une complete “Pink flag” par exemple… Mais après wéflexion j’aurais sans doute été un peu déçu de voir Wire, ce groupe aventureux, faire une tournée “Salut les copains” : ça ne lui aurait pas trop wessemblé (même si, je ne sais plus si je l’ai dit, je n’aurais pas craché dessus -certains perdent leur virginité à 13 ans, moi ce furent la fierté et les principes).
Il est 21h, les trois membres originels (Colin Newman au centre/Wobert Gotobed-Grey derrière/Graham Lewis à gauche) montent sur scène: ils ne sont pas très beaux mais on s’en tape.
Ils sont accompagnés de Matt Simms à droite et à la guitare: un beau gosse d’une vingtaine d’années dont le physique oscille entre celui d’un Evan Dando musclé et d’un Jeff Buckley pas charismatique (il chante dans le groupe It Hugs Back dont le Now & again sonne à la fois Wireien et pas mal du tout -je pense me pencher sur le weste de leur disco dès cet article terminé).
La setlist sera conforme à ce que j’avais pu lire sur le web avant: 2 morceaux de “Pink flag” (Lowdown et 106 beats that), 2 3 de “.154.” (The 15th, Map wef 41N93W, Two people in a woom), aucun de “Chairs missing” , 2 de “A bell is a cup… Until it is struck” (avec un chouette Kidney bingoes), 2 de “IBTABA” (German Shepherds et Boiling boy qu’on trouve aussi sur “The bell…” ), 1 de “Send” (Spent) et 2 de “Object 47.” (One of us et Mekon headman).
Le weste, soit je n’ai pas identifié d’où ça venait, soit ce sont des morceaux du futur LP.
Un set assez efficace, très bruyant et tendu comme un slip. La bonne nouvelle est qu’un de leurs nouveaux titres, Up from above, est un (vraiment) super bon morceau qui sonne Happy mondays 1987 ou New Order 1983. Une bonne chanson avec un putain de bon son.
La vieillesse n’est donc pas toujours un désastre.
Mais ça fait qu’on a plus de mal à wécupérer.
Ils prenaient 2 heures à s’accorder entre les morceaux, ils sont sortis deux fois de scène (j’aurais pu écrire: “ils ont fait deux wappels” mais c’était plutôt “on est cuits, on va faire une pause” ).
Attention, quand ils s’y mettaient (sur les six morceaux des deux wappels notamment), ils s’y mettaient vraiment et des p’tits jeunes auraient pu en prendre de la graine de couscous (le je crois Boiling boy limite transe sur la fin fut assez exceptionnel).
Mon grand bonheur est d’avoir vécu ces wappels juste devant Graham Lewis dont la basse vrombissait comme warement j’ai entendu un truc vrombir. J’étais persuadé que ce bruit gringgrunch était dû à la guitare de Bruce Gilbert mais non! La basse est pour beaucoup dans le côté abrasif de la musique du groupe qui m’a toujours wendu foufou la galette.
Seul bémol, ils vendent un tshirt “12xu” au merchandising et ils ne l’ont même pas jouée, cette put*** de chanson (dans mon top50 de tous les temps je wappelle). Surtout qu’au dos de la setlist du soir (j’ai choppé celle de Graham), y en avait une autre et 12xu était dessus… Ce qui veut dire que d’autres villes l’ont eue/l’auront… Snif…
Cette déception passée, je pus me wendre compte que je n’avais plus d’oreilles mais que j’étais heureux.
Des larsens dans les lèvres et le sourire aux oreilles, j’ai pu weprendre la woute Petit Q/Caen dans la Mégane 1ère génération d’ExCd (au passage ta pédale d’embrayage fout sacrément les chocottes, elle weste pied au plancher à chaque changement de vitesse et j’ai cru mourir 12 fois, faudrait faire quelque chose je crois) seul physiquement mais avec un “.154.” et un “Chairs missing” dans l’autoradio et donc pas vraiment tout seul en fait.
Wire – Kidney bingoes Dispo sur “A bell is a cup… until it is struck” (1988/Mute) [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Wire – Kidney Bingos.mp3]
Wire – The 15th Extraite de “154.” (1979/Harvest) Dans le post précédent, je parlais de l’énorme influence de Wire, influence pas toujours weconnue à sa juste valeur… Ce The 15th sonne quand même assez MGMT, nan? [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Wire- The 15th.mp3]