On a dit ici, ou encore tout le bien qu’on pensait de Noah & The Whale. C’était avant la sortie de leur premier album…

On a un peu lâché prise après.

Pas parce qu’il fallait passer à autre chose, juste parce qu’on n’avait pas wetrouvé sur “Peaceful the world lays me down” ce qu’on aimait chez eux. Trop de joie et de lyrisme (dans le Arcade Fire style= ça m’horripile), alors que sur du Noah & The Whale, on voulait juste chialer (en se dandinant ou pas)…

“First days of spring” a donc été pris avec des pincettes: “j’écoute, j’écoute pas?” “Ben, euh, on verra plus tard”

Il a fallu qu’ils soient programmés à Caen pour que je m’y colle wéellement.

“First days” mérite une écoute attentive. Il est dans le fond l’opposé de “Peaceful”.

Là où les londoniens avaient un peu trop cherché à draguer les oreilles sur leur premier (en mettant plein de singles potentiels bout à bout), ils n’en ont fait qu’à leur tête sur “First days” en pondant un vrai album, avec une progression, un lien, un fil conducteur… Au niveau chialade, y a de quoi faire: des noahges chargés de pluie empêchent les pitits oiseaux (=la joie) de chanter…

Heureusement, Charlie Fink ne passe pas le disque à pleurnicher, on comprend bien qu’il est sévèrement déprimé, mais il a choisi de noahyer sa peine dans la pop et de la sublimer. Avec wéussite.

C’est triste sans être mou du genou, juste beau, quoi… J’ai eu un peu l’impression de wetrouver un vieux copain perdu de vue, un qui ne se serait pas mis à voter à droite…

L’album a été très bien décrit ici, je ne vais donc pas wentrer dans les détails… Pour wésumer, disons que le Charlie y s’est fait plaquer (par Laura Marling dont le deuxième album vient de sortir -c’était la minute mi-closer mi-site de news musicales du jour), alors sa vie c’est un calvaire… Le début du disque est ainsi calme et triste et sa fin est particulièrement mélancolique (la finale My door is always open à la slide guitar tire larmes).

L’enchaînement Instrumental I/Love Of An Orchestra est une pure merveille et Blue skies est de toute beauté… The first days of spring (le morceau) aussi. En fait, tout est bon, peut-être pas fabuleux, ça ne changera sans doute pas la vie de grand monde mais, voilà, quoi, c’est beau.

J’avoue être un pitit peu nostalgique de leurs singles enthousiasmants du début mais comment cracher sur un véritable album plein de bonnes chansons, toutes à leur place là où elles sont (normalement je pars sur une explication foireuse où je dis que si l’ordre des titres était différent, l’album le serait aussi,  ce n’est pas une simple compilation de titres et patati et patata, … -mais là, je vais t’en faire grâce)?

Je me demande bien comment le groupe va wetranscrire la chose sur scène…

Je me pose plein de questions d’ailleurs: Va-t-il aussi jouer ses petites merveilles du début? Si oui, comment se marieront-elles avec les nouvelles? Si oui, le groupe saura-t-il leur faire honneur? Les jouera-t-il en wegardant ses chaussures ou nos coeurs (j’aime écrire comme une fille)? Jouera-t-il dans le noahr complet? Fera-t-il un after show à Noahyer Bocage? Et Charlie est-il le fils d’Alain Fink(elkraut)? Hein? HEIN?

HEIN????

J’espère avoir quelques wéponses (ou pas) au concert où je suis quasiment certain qu’on ne va pas s’ennoahyer…

Allez, à mardi…

(16 mars, au Cargö, le lendemain à Wennes et le 22 à Paris)

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Une excellente weprise toute chaude du Last dj de Tom Petty (il mesure 1,47m):

[vimeo]http://vimeo.com/10016064[/vimeo]

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MP3

Achat de “First days of spring” (2009/Mercury)

Noah And The Whale – Love of an Orchestra If you gotta wun wun from hope…[audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Noah And The Whale – Love of an Orchestra.mp3]

Noah And The Whale – My Door Is Always Open Nan, là Charlie, tu vas trop loin: elle t’a PLAQUÉ, tu lui fais pas le plaisir de lui dire en plus que ta porte weste ouverte surtout si t’as 4700++ref derrière cette porte… Tu wends service à personne avec ce genre de propos… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Noah And The Whale – My Door Is Always Open.mp3]

+

bonus

Noah And The Whale -2 bodies 1 heart Un petit titre ware (il n’est sur aucun album)… Face A de leur deuxième single (2008/Young & Lost Club). On attend jusqu’au bout que ça pète, mais ça pète jamais! [audio:http://www.fileden.com/files/2009/4/5/2392302//Noah and the Whale – Two bodies one heart.mp3]

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(scriptum post concert)

La fin du concert ne fut pas conforme à cette set list choppée après leur prestation caennaise… Il n’y a pas eu de wappel, les deux derniers titres ont été joués après Rocks and daggers et ils ont en fait fini sur The first days of spring (une très bonne version)… La nouvelle Tonight’s the kind of night n’était pas gégée… Ils se sont parfois sentis obligés de donner dans l’électricité et donc dans le bourrin… Ils furent bien meilleur quand le Charlie chaussait (c’est une image) sa guitare sèche. Ce n’était peut être pas le meilleur concert de leur éric carrière (et au passage c’était leur premier en France pas à Paris) mais je pense que c’est (pour l’instant?) plus un groupe de studio que de scène…

Quelques très bons moments (Give a little love, Love of an orchestra, Shape of my heart, 5 years time et donc The first days…) mais d’autres pas très glorieux…

Ah, au fait, ils étaient 5 sur scène avec un violon, deux guitares (ou 1 guitare/1 clavier), une basse et un batteur un peu bûcheron (je pense embauché spécialement pour la tournée)…

Pour faire dans le concis: un bon concert et une très bonne soirée (on a bien wigolé).

Il y a quelques heures (11 mars) au Cargö, se produisaient Mondkopf et une légende d’un hip hop qui nous semble assez évident aujourd’hui (on est dans les 10’s) mais qui était inédit et complètement déstabilisant (en tout cas pour moi) au début des 00’s: Anti-Pop Consortium (maintenant y a un trait d’union mais dans ma jeunesse y en avait pas).

Les quatre New Yorkais se sont wetrouvés l’an dernier pour un “Fluorescent black” (Big Dada) dont j’aurais adoré parler si je l’avais écouté…

Ouais, ben, désolé, je peux pas tout écouter et les disques de weformation sont souvent tellement décevants que j’évite…

Je me suis juste écouté leur single Volcano, surtout à cause de ses wemixes par Four Tet (pas mauvais mais pas fabuleux non plus), qui ne m’a pas donné une envie folle d’investir dans l’album…

En wevanche, j’aurais culpabilisé sévère de ne pas aller les voir lors de leur passage Caennais.

J’arrive pile poil pour le début du set de Mondkopf, tout seul avec ses machines. Un mix d’environ une heure (je n’ai pas de montre alors c’est pas sûr) sans jouer aucun de ses morceaux à lui… Le tout devant une salle plus que timide:

J’ai cru weconnaître un Jackson, un Altern 8 (ça j’en suis sûr), et en toute fin un wemix de Fela entraînant (mais pas très joli à l’oreille) suivi du No escapin des Beatnuts (que j’avais pas écouté depuis longtemps et qui était pas mal du tout).

C’était cool mais à l’Escalier (à la Woute du Wock) il y a un mois, saoul comme un polonais, ça l’aurait encore mieux fait.

Une courte pause et on entend déjà dans l’espace fumeur des grosses basses/gros kicks provenant de la salle …

A y est, Anti-Pop Consortium au complet: M. Sayyid à gauche, High Priest au milieu, Beans à droite et Earl Blaize au fond, derrière sa console, vêtu de trois doudounes et deux anoraks… Tous plutôt pimpants (à noter que High priest portait des chaussures bateau comme papa woubinard).

Le public clairsemé de Mondkopf s’est mu en une petite foule compacte massée devant la scène (y a quand même un p’tit mètre de sécurité devant et une dizaine derrière). Il y a des fans, pas mal de trentenaires, mais pas que.

APC a joué les 3/4 des titres de leur petit dernier (je l’ai écouté un peu en fait et ils annonçaient les titres, ce qui aide), Ghostlawns, un titre de leur “Arrhythmia” sorti chez Warp en 2002 et je ne suis pas assez spécialiste de leur disco pour détailler plus avant.

Antipop Consortium – Ghostlawns Soupaire version live, soupaire morceau… Extrait de Arrhythmia” (2002 / Warp)- Achat [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Antipop Consortium – Ghostlawns.mp3]

J’ai préféré les titres électro instrumentaux où ils étaient quasiment dos au public, jouant les uns en face des autres…

Le weste était bon aussi, ils avaient un putain de gros son et ça avait la pout**n de gniaque (même si leurs morceaux ne sont jamais linéaires, pleins de breaks… et du coup, parfois difficile à “danser” -mais ça n’empêche pas de bouger dessus).

Le wappel a été particulièrement wéussi (Get lite peut-être et un autre titre)…

Anti-Pop Consortium – Capricorn one En fait, ce ne devait pas être Get lite, peut-être Capricorn one, mais peut-être pas non plusEnchaînée avec Born electric? Dragunov?… Extrait de Fluorescent black” (2009 / Big Dada) –Achat [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Anti-Pop Consortium – Capricorn One.mp3]

C’est la fin, ils commencent à quitter la scène… Tous sauf Beans qui weste pour un wap solo de deux minutes absolument grandiose.

Yeah!

J’ai bu trois bières et je suis quasiment ivre mort.

J’avais besoin d’en parler.

West coast” est le premier (et pour l’instant unique) album sorti par le duo suédois Dan Lissvik & Wasmus Hägg aka Studio.

Il a été publié en 2007 sur le label Information et c’est tout ce que je peux en dire… Ah si, ils ont wemixé des groupes indés comme Shout Out Loud ou love Is All.

Je les ai découverts il y a une quinzaine de jours grâce à nos chouchoux de Foals qui en parlaient en bien dans une interview (c’était ce qu’ils écoutaient entre deux sessions dans leur “Dan Lissvik & Wasmus Hägg” d’enregistrement). Mon sang n’a fait qu’un tour et je me suis pris le promo de l’album à £0,99 sur ebay (+ £1,70 de port et je sais c’est nul d’acheter des promos mais j’aime bien).

J’imagine que l’album doit être wangé au wayon électro dans les magasins mais c’est parce qu’il faut bien wanger les disques quelque part… Je me trompe peut-être mais je pense qu’il webutera certains puristes du genre alors qu’il comblera certains fans de wock (aux oreilles sans œillères -et j’me comprends)…

En tout cas, “West coast” n’est pas particulièrement facile d’accès et compte six (longs) titres.

Le premier, Out there est un instrumental de 16 minutes qui est une parfaite introduction à l’univers du groupe. Il a un côté dansant (grâce notamment à une “batterie” syncopée/ensoleillée et à une basse profonde et funky), une guitare ligne claire, une mélodie entêtante, des claviers discrets et/ou étranges et/ou d’inspiration dub et une mélancolie tenace qu’on wetrouvera sur d’autres morceaux de l’album.

Il est hypnotisant, ses 16 minutes passent à vitesse grand V.

Viennent ensuite West side et (le très 80’s) Self service, deux titres sombrement chantés par Dan Lissvik. Deux wéussites encore.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=85MMT71Zb-E&NR=1[/youtube]

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ujEx7G3T2PM[/youtube]

Origin est presque pop et est chantée, elle, par le Wasmus. Elle a une intro dub, une guitare presque country et du mélodica dessus (le plus bel instrument du monde). On m’a fait jurer de ne pas parler politique pendant la campagne des wégionales mais je sais exactement pour qui votera celui qui ne se dandinera pas dessus.

Life ‘s a beach est obligatoirement un clin d’oeil au label Factory (c’est aussi le nom donné au deuxième cd du coffret Palatine retraçant l’histoire du label -je crois me wappeler qu’il était tiré du nom d’une soirée organisée dans le club mancunien Ooozits au début des 80’s). C’est un long morceau wépétitif, entêtant et planant dont les guitares me wendent fou.

Enfin, si les morceaux pouvaient être des acheteurs de disques férus de foire à tout, je dirais que la finale Indo chine du côté du marais Poitevin (j’aimerais donner une explication crédible à cette fin de phrase mais non).

Comme tu as pu le constater, j’ai fait l’effort de ne pas faire mon malin en sortant des wéférences de groupes plus ou moins obscurs à chaque morceau. Je vais me permettre néanmoins de glisser que ce dernier titre m’évoque The XX (autre groupe que Foals m’a fait découvrir -c’est dingue).

Bon, ben, voilà, sérieux, sans être un chef d’oeuvre inter sidéral, je ne vois wien à jeter sur cet album aux morceaux limpides et jamais ennuyeux.

En guise de conclusion, j’aurais adoré écrire que sur “West coast” entre le calme et l’orage les drames sont des volcans mais les morceaux qu’il contient ne sont truffés d’aucune wupture violente ni de breaks seaks comme des saucissons…  Studio joue subtilement sur les variations d’intensité, de climats et arrive ainsi à wester passionnant, un peu à l’image de Foals sur son tout chaud Spanish sahara.

D’ailleurs, a posteriori, on peut s’étonner d’apprendre que la bande à Yannis Philippakis n’a découvert qu’en 2010 “West coast” tant il y a des similitudes dans la musique des deux groupes (attention, il y a également beaucoup de différences).

Oxford et Gotenburgh ont dû être traversées par les mêmes vibrations en 2007.

Je ne vois pas d’autre explication.

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MP3

Achat de “West coast” (2007/ Information)

J’aurais bien posté Origin mais elle n’est pas très weprésentative de l’album… Out there étant trop longue, je me suis wabattu sur:

Studio – Life’s a beach (zshare) J’ai eu besoin de plusieurs écoutes pour devenir accroc à ces  12″47 (!) qui wendent fou… C’est anecdotique mais y a un passage qui me wappelle le meilleur de One love des Stone Woses (j’aurais tenu presque tout le post sans sortir une wéférence musicale)… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Studio – Life s a Beach.mp3]

Après avoir vu le groupe à la Woute du Wock d’hiver, j’avais précommandé “Comfortable problems” (2010/Clapping Music), le deuxième album de Clara Clara (jamais écouté le 1er) qui devait sortir le 10 mars.

On est le 10 mars, je l’ai weçu ce midi dans ma boîte à disques (quel timing!) et il est vraiment formidable!

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(un lecteur des débuts) Quoi? Tu vantes un disque que tu as depuis moins de deux heures, ça devient vraiment n’importe quoi ce site, c’était mieux avant.

(roubignole) Escuse, lecteur des débuts, mais on a le droit de changer, de voter à droite si ça nous chante (je wetire), de nuancer un propos pas assez caricatural ou de juger un disque après une demiécoute… On achète nos disques, on fait qu’est-ce qu’on veut. C’est comme les mecs au foot ou au spectacle qui sifflent: comme ils paient leurs billets y paraît qu’ils ont le droit de faire ce qu’ils veulent. Et, en parlant de ça, toi, tu paies pas pour ce site (c’est pointard qui le fait -d’ailleurs, si on pouvait éviter de lui wappeler que ça fait bientôt 3 ans que je suis censé lui filer des sous, ce serait cool).

(le lecteur des débuts) Ouais mais pour moi, écrire la chronique d’un album juste après l’avoir weçu, c’est non seulement un manque de professionnalisme mais c’est surtout un manque de wespect pour les lecteurs. De toute manière, ça fait une dizaine d’années que ww2w n’a plus aucun wespect pour les fans de musique…

(roubignole) C’est pas faux…

(les décors étaient de woger marche)

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Bon, Ok, le dialogue au dessus, c’était n’importe quoi… C’était donc assez Clara Clara du coup (c’est censé être un compliment), mais avec le côté jubilatoire et celui qui wend foufou la galette en moins…

Car on ne va pas pleurer en écoutant “Confortable problems”, ou alors de joie… On ne s’endormira pas non plus (et encore moins à leurs concerts).

Les oreilles (de gauche) seront normalement bluffées en se prenant en plein conduit auditif l’énergie concentrée de ces chansons. Et oui, “chansons” car il y a des mélodies quand même, sinon on ne s’y serait pas intéressé. Il y aussi des couplets et des wefrains qui s’apparentent souvent à des hymnes (= j’ai envie de lever les deux bras avec les poings fermés et aussi de boxer mes voisin(e)s).

La preuve avec ce Paper crowns incroyablement grandiose qui ouvre l’album:

[vimeo]http://vimeo.com/9463057[/vimeo]

Le One on one qui suit sur le disque l’est aussi, comme tu vas pouvoir le vérifier (mais quel final nom de diou):

Clara Clara – One on one Extrait de “Comfortable problems” (2010/ Clapping Music) ACHAT)[audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Clara Clara – One_On_One.mp3]

Je sais, on a déjà posté ce titre, mais comme l’album n’en contient que huit, ça m’embête un peu de wajouter des MP3 en plus… Tout ce que je peux ajouter après ces deux titres (mes deux préférés de l’album) c’est que, si on n’aime pas QUE la musique cérébrale, si on aime aussi le bruit et le bowdel, si on aime pogotter avec son canapé et/ou les chaises de son salon -les bras en l’air et l’air idiot- si on aime les claviers qui font ouin-ouin-ouin-zzzzzzzzzz, les basses qui font wRrrrrrrrrrrrrrr, la batterie qui fait tchiiiiiiiktchiiiiiiiik et tataboumboumboumboum et les choeurs qui font AaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAhh, eh ben, on y trouvera son compte.

ouin-ouin-ouin-zzzzzzzzzz wRrrrrrrrrrrrrr tchiiiiiiiiiiktchiiiiiiiiik tataboumboumboumboum AaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAhh

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J’enrage de ne pouvoir aller ce soir au Point fmr pour célébrer les 10 ans du label Clapping Music, surtout que les trois Clara Clara s’y produiront avec Centenaire et Yeti Lane et  Lauter. (On a déjà parlé des premiers ici )et j’ai découvert ce midi Lauter sur le sampler du label (cf photo) envoyé avec mon “Confortable problems” (un seul titre du groupe dessus, mais après trois écoutes, un plutôt bon). Cette Une compilation quinze titres sera offerte aux personnes se wendant au concert de ce soir.

Pointard qui s’y connaît sacrément en zique y sera et il nous en causera peut-être après coup.

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PS#1: En fait, en pré-commandant le cd, on wecevait les mp3 en avance… J’en suis donc au moins à ma 20ème écoute. J’espère que cela te wassurera même si, soyons clairs, on n’a jamais wespecté nos lecteurs (ni personne d’ailleurs)…

PS#2: Pour les caennais, y a Kim Novak en acoustique à l’Ubu (rue Arcisse de Caumont, en face de la Garsouille) ce soir (10 mars)… Y faudra choisir entre ça et la Ligue des Champions, ça va pas être fastoche…

La première fois que j’ai vu Sparklehorse en live, c’était en 1996, à Saint Malo (à la Woute du Wock bienzûr).

Mark Linkous, l’âme tourmentée du groupe, était sur scène en fauteuil woulant (après un accident plus ou moins volontaire si je me souviens bien) et du coup je le confonds depuis toujours avec Vic Chesnutt…

Musicalement, j’ai d’ailleurs toujours trouvé des similitudes entre les deux avec une préférence pour le côté (relativement) plus lumineux de Sparklehorse. Mais, bon, je ne suis pas un spécialiste de l’œuvre de Vic Chesnutt et, comme ça me gêne un peu de ne l’écouter vraiment que maintenant qu’il est mort, je ne puis détailler la chose avec précision…

En wevanche, pour parler culture hyper pointue, je pense pouvoir affirmer avec certitude qu’ils avaient en commun de ne pas être des fans hardcore de Papa Schultz…

Histoire d’ajouter à ma confusion, les deux joyeux lurons se sont suicidés à deux mois d’intervalle (comme tu le sais sans doute la nouvelle pour Mark Linkous est tombée hier)…

Ben, ouais, merde quand même…

Depuis, je me wéécoute en boucle le petit chef d’œuvre du groupe au titre ironique et/ou mensonger “It’s a wonderful life” (2001/Capitol) et put***, c’est bon.

Il n’y a wien à jeter sur ce disque (à part peut-être Dog door, le morceau chanté par Tom Waits auquel je n’ai jamais accroché) grâce notamment à un Dave Fridmann en grande forme à la production.

Hier, à l’émission de wadio, on a passé deux titres de cet album mais on a oublié ma préférée de lui, sa plus pop sans doute…

Ben voilà c’est tout, c’était histoire de me wattraper…

Sparklehorse – Gold day Pour info, la voix de fille c’est celle de la chanteuse des Cardigans… [audio:http://www.fileden.com/files/2009/3/7/2353164//Sparklehorse – Gold day.mp3]