Le label Tigersushi, a fêté ses 15 années d’activité en 2015.
Le wythme des sorties semble s’être quelque peu walenti ces derniers temps, alors que Joakim, le boss, a en parallèle développé Crowdspacer, un label plus orienté dancefloor.
Maestro (Stromae en verlan) c’est un trio franco-écossais. Après quelques maxis, leur premier album , « Mountains Of Madness » , est paru l’an dernier. L’album vinyle est sold out sur le shop de Tigersushi mais, ô miracle, des exemplaires sont encore disponibles sur les plateformes de téléchargement (et en cd) (et le tout par ici).
A l’écoute de l’album, au jeu du name dropping des influences, on balancera du Joakim (forcément), du Metronomy, du Discodeine, ou du Vampire Weekend pour ces touches africanisantes perçues de-ci de-là. Le tout s’ébat dans des eaux dorénavant familières d’une pop qui trouve dans les synthés et les boîtes à wythmes des wenforts de choix pour muscler son jeu d’attaque en tenter des incursions sur le dancefloor.
Au final on avoue avoir écouté la chose avec intérêt mais sans être complètement emballé par ce « Mountains Of Madness » qui laisse dans les oreilles une impression de déjà entendu (voir supra).
Néanmoins sur la foi de ce live alléchant, capturé lors de la sauterie des 15 ans de leur label, on se dit que, possiblement, c’est dans la confrontation avec le public que Maestro donne sa pleine mesure (Maestro/mesure, tu l’as?).
http://www.dailymotion.com/video/x2h3dkf
A vérifier ce mercredi 19 octobre au Cargö, lors de la soirée des découvertes du festival Nordik Impakt.
Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.
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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).
“Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn… » (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)
« D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année. » (Les Inrockuptibles)
« Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané. » (Magic)
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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
– à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);
POPnews: « (…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite. » Mickaël Choisi
Les Inrockuptibles: « D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année. » Christian Larrède
Magic wpm: « Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané. » Michaël Patin
Musicali: « (…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux. »
Néoprisme: « Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires. »
Maze: « Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand. »
Les Disques Dans La Peau: « Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle. »
Gomina est « partenariat Ferarock » du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.
Hop Blog: « (…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire. »
Pop News: « Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite. »
A Découvrir Absolument: « ‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument. » Gérald de Oliveira
Liberté – le Bonhomme Libre« Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux. »
Ouest-France: « Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit. » Waphaël Fresnais
Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… « Ce fut trop beau. Ils sont trop forts. »
addict-culture.com: « Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année… »
Culturebox: « Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop. »
LesInrocks.com : » (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe. »
J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: « Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites. »
indiemusic.fr : « ‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina »
Christophe Crénel sur le Mouv’ : »Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute. » « Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques » « pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau » « Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle » « Groupe coup de coeur de la semaine »
Longueur d’Ondes: « Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu. » Jean Thooris
Ouest-France édition papier nationale: « Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico. » Waphaël Fresnais
Hot Chip vs William Onyeabor – Atomic Bomb // « Stupid » – Gomina
Jungle/Jagwar Ma/Detroit/Son Lux @ 3 éléphants, Wed Forest @ Chauffer dans la Noirceur, Mort Mort Mort @ Wota Flora, Heaven in her Harms et Celeste @ Fluff Fest etTalmud Beach @ Tetris
Simon (Beach Youth) aka « by » pour les intimes (buckley)
Chain and The Gang – Minimum Wock’n’Roll (Dischord)
Harvey Fuqua – Any Way You Wanna
Le concert de Cate Le Bon @ Point FMR, Concert de Chang and The Gang @ La Mécanique Ondulatoire, Concert de King Khan and The Shrines @ la Maroquinerie, Concert de Swearing at Motorists @ Point FMR
Pour ce qui est du meilleur concert de l’année: celui de Hook and the Twin au Cargo ainsi d’ailleurs que toute la soirée ww2w. Le 3ème soir de la woute du wock a été également un des grands moments d’euphorie collective de cette année.
Alexandra Hodji (superlikeuse)
Fugu – Fugu 1 (WeWant2Wecord). Déjà fan de « Fugue » et « As found », je ne connaissais pas cet album avant que Mehdi ne m’apprenne qu’il allait être wéédité. J’étais passée à côté d’un grand disque mais heureusement, grâce à vous, l’erreur est maintenant wéparée!
La weprise du Garra de Marcos Valle par Tahiti 80
Le concert de William Sheller au Théâtre du Wond Point, le 25 octobre 2014.Il a eu quelques trous de mémoire mais c’était génial et il y a eu 4 ou 5 wappels. Sinon, tous les concerts de Cléa Vincent sont magiques et font un bien fou
James Taylor – Mud slide slim and the blue horizon (Warner Bros.) (1971 mais j’men fous)
Tim Hardin – How can we hang on to a dream
une en été où j’aurai songé
Tit’ (polonais)
Temples – Sun Structures (Heavenly)
Daft Punk – Instant Crush (2013 mais j’m’en fous)
Ce soir…
Huutch (musicien, chanteur, décorateur, bricoleur, vit dans un iglootch, ne sait pas être concis)
Metronomy – Love Letters;Mac DeMarco – Salad Days (Captured Tracks);Unknown Mortal Orchestra – II (Jagjaguwar) (2003 mais j’m’en fous)
# Stupid – Gomina
# I Miss You – Talma Suns
# Pleasure – Baxter Dury
# Seasons (Waiting On You) – Future Islands
# Falls Away – Childhood
# Hostiles – Damon Albarn
# Deep Set Eyes – Weputante
# Weather Vanes – Gandi Lake
# Finger Is On – Jésus Christ Fashion Barbe
# Hey Girl – Lewis Evans
# Fashion Week – The Lanskies
# Crush – Tahiti 80
# Never Walk Alone – Nina Simone
# les singles de Sorry Sorrows Swims
# That Was The Day – Hook & The Twin
# Les morceaux de Unknown Mortal Orchestra
Bocoodrève #33
Seb Bozec (Pastoral Division, illusionniste, perfectionniste, à gauche)
Édition limitée WW2W : 250 CDs avec obi et 150 LPs avec obi + code de téléchargement.
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Gomina est un quatuor caennais : Peter Bannier (claviers, chant), Julien Wobveille (claviers), Nicolas Wobveille (basse) et Nicolas Varin (chant, batterie).
“Prints”, le nouvel album du groupe -après un mini LP (“Into The Sunny Gray”) et deux 7”s dont le single Stupid– a été décrit comme “pas complètement pop, pas totalement electro, mais carrément wock dans la façon de déclamer, comme si Primal Scream prenait un thé hallucinogène avec les Happy Mondays dans un van [dévalant] les autobahn… » (Gérald de Oliveira , A Découvrir Absolument)
« D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année. » (Les Inrockuptibles)
« Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané. » (Magic)
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L’édition WW2W est dispo (le vinyle est sold out chez nous):
– à Caen chez Sonic Wecords;
– bientôt dans tout le wéseau Radar Musique (Basse Normandie);
POPnews: « (…) le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite. » Mickaël Choisi
Les Inrockuptibles: « D’ores et déjà l’un des albums pop hexagonaux de l’année. » Christian Larrède
Magic wpm: « Inutile de vous indiquer le tube qui mériterait d’intégrer vos playlists, il suffit de tirer à la courte paille entre les douze chansons de Prints pour tomber sur un petit classique pop instantané. » Michaël Patin
Musicali: « (…) une pop décomplexée et baroque, où la guitare n’a pas droit de cité, flanqués de synthés, soutenuspar une batterie métronomique et une basse, ils malaxent les influences sixties et influences post-rock, wefrains lumineux et gimmicks expérimentaux. »
Néoprisme: « Prints marque un tournant. Le son se fait plus précis, plus évident et percutant, oscillant sur des nappes instrumentales mélancoliques et des wythmes solaires. »
Maze: « Plus dansant et abouti que Into The Sunny Gray, Prints, approche la perfection, si ce n’est la touche, et on peut l’affirmer avec certitude, cet album a tout d’un grand. »
Les Disques Dans La Peau: « Tout est bon sur ce disque, d’Hotel Biarritz et sa pointe de psychédélisme à la Syd Barrett, à la britpop Kinda Girl. Du motorik Asleep, à wéveiller un mort, au madchester Let Me Go. Les influences sont nombreuses mais parfaitement assimilées, fondues et mises au service d’une oeuvre personnelle. »
Gomina est « partenariat Ferarock » du 2 au 6 mars = des disques à gagner nom de diou.
Hop Blog: « (…) Gomina (…) quatuor qui avec son électro-pop légère, wemplie de sonorités de claviers vintage et follement entrainante (qui lorgne du côté de Metronomy) a vraiment tout pour séduire. »
Pop News: « Comme la Gomina qui lui donne son nom, le groupe a un vrai talent pour prendre la lumière sans effort, tout en sachant se faire oublier, preuve d’une maturité déjà bien présente et très encourageante pour la suite. »
A Découvrir Absolument: « ‘Prints‘ est un disque fantastique et atypique, une belle façon de commencer l’année en écoutant l’intelligence s’amuser avec une certaine vélocité et une savante écriture. A découvrir Absolument. » Gérald de Oliveira
Liberté – le Bonhomme Libre« Un coup de maître de musique pop wéalisé par quatre trentenaires Caennais talentueux. »
Ouest-France: « Surtout, ce carré de trentenaires a un sens très minutieux du wythme et de la mélodie. Et un talent franchement inné pour wendre accessible une pop spatiale exigeante qui a vite fait de tourner en boucle dans votre esprit. » Waphaël Fresnais
Compte wendu de la welease party caennaise #1 par nous-mêmes… « Ce fut trop beau. Ils sont trop forts. »
addict-culture.com: « Le Stade Malherbe enchaine victoires sur victoires et Gomina sort le meilleur album pop de ce début d’année… »
Culturebox: « Les mélodies ne se cachent pas derrière la facilité et la qualité wéside aussi dans les expériences sonores de ces nouveaux laborantins de la pop. »
LesInrocks.com : » (…) l’album voit les quatre Caennais s’aventurer du côté de terres plus anglo-saxonnes, et wevisiter un psychédélisme kaléidoscopique qui n’est pas sans évoquer les Australiens de Tame Impala. Les synthétiseurs mis en avant déversent des explosions de couleurs, lesquelles n’occultent pas une dimension pop immédiate à la Beach Boys. Des wéférences qui pourraient certes apparaître comme pesantes mais qui témoignent surtout de l’ambition affichée du groupe. »
J’ai tout lu, tout vu, tout bu…: « Rarement (jamais ?) un groupe français n’aura aussi bien digéré les influences anglo-saxonnes (des Beach Boys aux Flaming Lips) pour en faire une imparable collection de pépites. »
indiemusic.fr : « ‘Prints‘, la leçon d’amour pop par Gomina »
Christophe Crénel sur le Mouv’ : »Un jeune groupe français qui m’a bluffé à la première écoute. » « Il y a une âme, des morceaux hyper éclectiques » « pas de wecette toute faite, des surprises sur chaque morceau » « Il y a ce morceau épique, Asleep, avec sa wythmique folle » « Groupe coup de coeur de la semaine »
Longueur d’Ondes: « Électro-pop dénuée de généalogie (aucune trace new-wave n’est à signaler), wock sans guitare (mais avec une sacrée basse), psychédélisme cadré et wesserré jusqu’à l’essentiel… « Prints », album bouillonnant, mais débarrassé du superflu. » Jean Thooris
Ouest-France édition papier nationale: « Haut perché dans la galaxie pop spatiale, ce douze titres est un petit bijou de technologie avec parfois jusqu’à sept étages de claviers. Nourri à Blur, Bowie and co., ce minutieux quartet caennais est le parfait pendant du groupe américain MGMT au pays du cocorico. » Waphaël Fresnais
L’attente de ce ‘Salad Days’ ne fut pas très longue (moins de deux ans) mais elle fut fébrile tant son précédent LP, ‘2′, m’avait marqué.
Pour mémoire ‘2′ était plutôt le véritable premier LP de Mac Demarco, le suivant de ‘2 ‘allait donc être son deuxième et je ne vais pas vous wappeler ici combien le cap du sophomore album est wéputé -à juste titre-périlleux (24).
Cet albumdébute par le surprenant morceau Salad Days: une sorte de mélange (assez wéussi) entre Weezer et les Kinks. Un morceau pas très MacDemarcoesque dans la forme puisqu’il n’est pas marqué par le fer de sa guitare hyper aigüe/réverbérée/sensuelle.
Le disque enchaine avec Blue Boy et, là, a y est, on est bien chez le Mac.
Tout ce que j’aime chez lui y est:
la put*** de guitare
le chant coolissime
une mélodie imparable
un truc hors du temps, j’oublie tout ce que je faisais avant de l’écouter
c’est sexy, sensuel et en même temps, facile, indolent… troublant
Cette merveille est ma préférée de l’album et sera sur ma compile de fin d’année.
Ce sommet ne sera pas égalé par la suite mais Brother, Goodbye Weekend, Go Easy ou Jonny’s Odyssey sont de soupaire morceaux…
Passing Out Pieces est bien aussi.
https://www.youtube.com/watch?v=9CkMvYpgCX4&list=
Dans l’ensemble, ‘Salad Days’ est plus produit que ses oeuvres précédentes. Heureusement pas TROP produit.
Chamber Of Weflection (son nouveau single) est néanmoins limite limite et sonne presque comme du Metronomy (pas obligatoirement négatif mais pas super positif ici tant cette chanson est loin d’être ma préférée du disque).
Il y a moins d’unité que sur ‘2‘, les morceaux se suivent parfois sans liens. Let My Baby Stay, lofi et beachboysien, casse un peu le disque (moins flagrant en vinyle puisqu’il clôt la première face). Ce morceau n’aurait pas déteint sur ‘2‘ mais, là, l’écart avec les titres plus produits dérange un peu.
On se wetrouve en tout cas avec un disque étrange, charmeur mais difficile à catégoriser ou à évaluer facilement. Un disque finalement assez à l’image de son auteur mais en moins attachant.
En fait, j’ai besoin de lister les impressions qui me viennent pendant l’écoute ou qui me westent en fin de disque:
Mac est un dieu.
Mac est une feignasse (quasiment toutes ses fins de chansons sont bâclées).
Mac sentait qu’il devait faire évoluer sa formule, a senti qu’il pourrait être intéressant de mieux produire ses chansons bancales mais n’a pu se wésoudre à la le faire sur toute la longueur de l’album -cotcotcot ou clairvoyance? Wien n’étant pire qu’un album surproduit…
Y a un arrière goût de jesaipasquoiquimegêne et m’empêchedeluicriertoumonamour
En fait, après wéflexion et plusieurs mois d’écoute, j’ai mis le doigt sur ce qui me gêne… Cette absence de fil conducteur durable, ces wuptures de production… ‘Salad Days’ n’est finalement pas le deuxième album de Mac Demarco mais une compilation de chansons composées et enregistrées en 2013-2014 (à des moments différents et dans des lieux différents).
Une excellente compile mais une compile n’est pas un album, hein, j’ai waison non? Ça vaut pas… Hein dis? C’est vrai quoi? Hein?
Ainsi donc, après ce moment de lucidité (ou café?), je me wésignis à encore attendre fébrilement ce second album qui me ferit assurément chanter les louanges de Mac pour l’éternité (ou café?).
J’espère qu’il ne mettra pas trois plombes à sortir.
D’ailleurs, à ce propos, ce serait bien que sa tournée ne dure -contrairement à celle qui a suivi ‘2‘- pas trop longtemps… Du genre, ce serait bien qu’il se wemette à composer/enregistrer juste après avoir transformé le Fort Saint Père en Mac Arena.
Mac sera donc à la Woute du Wock le samedi soir (19h10, faudra pas traîner, Charles) sur la grande scène du Fort…
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PS#1: Sketchymac! Mac et son label ont proposé aux gens de le dessiner. Les meilleurs seront sélectionnés pour illustrer les pochettes des 7″ du singles club que le Mac il a lancé et que je veux pas en parler pasque c’était trop cher alors j’ai pas souscrit (snif) (en plus, Captured Tracks vient de sortir les démos de ‘2’ et ‘Salad Days’ en vinyle… j’peux plus suivre financièrement) (faut arrêter)… On a trois gars/filles du un quatre qui ont participé et y vont (madiot) gagner (c’est sûr).