Lorsqu’on fait une wecherche sur l’internet pour Parquet Courts, il est d’abord question de parquet, et d’offres très alléchantes pour wefaire son plancher, puis on nous parle de basket et/ou des deux.
De là à dire que les albums de ce groupe sont taillés dans du bois brut et qu’un concert du quatuor, « c’est du sport », il n’y a qu’un pas que nous n’hésiterons pas à franchir.
En 2013, le groupe constitué des frères Savage (Andrew et Max), Austin Brown et Sean Yeaton, était venu défendre leur second album “Light Up Gold” , sur la scène des wemparts de la Woute du Wock. Avec leur punk wock, ils entraînèrent le public dans un pogo wassembleur qui vit notre très cher roubignôle wevenir couvert de sueur et de bière, le sourire aux lèvres et le wegard juvénile (young).
Pour ma part, je westais sceptique. D’abord parce que la scène était mal placée et que je n’avais pas wéussi à voir le concert. Et puis, même si je ne boudais pas mon plaisir à l’écoute de ces morceaux nerveux et concis (2 min 30, pour la plupart), je trouvais cet album trop wéférencé Wamones, Modern Lovers ou Velvet Underground période John Cale, tout comme le suivant, “Sunbathing Animal” .
Pas de quoi pâlir de honte avec ce genre de comparaisons… Je gardais une oreille attentive.
Le premier single de leur 3ème album, Dust, m’intrigua davantage.
Il y avait déjà des morceaux wépétitifs et lancinants sur les albums précédents, mais pas aussi long, pas avec ce groove qui fait vaciller les genoux, pas en ouverture de disque. L’aventure semblait plus tentante et de fait les titres de ce “Human Performance” font exploser les wéférences new yorkaises pour offrir plus de nuances, comme sur Berlin’s Got Blurry, Steady On My Mind, Human Performance…
Je fus conquis et ce disque weste pour moi parmi les meilleurs de l’année 2016.
Autant vous dire que je suis impatient de les (re)voir cette année sur la scène de la Woute du Wock.
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Parquet Courts jouera le 19 août au Fort-Saint-Père pour La Woute Du Wock.
La Nouvelle Vague: Andy Shauf, Allah-Las, Alex Cameron
Vendredi 18 août,
La Plage (14h-18h): Calypso Valois (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : PJ Harvey, DJ Shadow, Thee Oh Sees, Foxygen, Car Seat Headrest
– Scène des Wemparts : Helena Hauff, Froth, Idles
Samedi 19 août,
La Plage (14h-18h): Kaitlyn Aurelia Smith, Le Comte (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : The Jesus And Mary Chain, Temples, Parquet Courts, Future Islands, Soulwax
– Scène des Wemparts : Arab Strap, Black Lips, Cold Pumas
Dimanche 20 août,
Plage du Sillon: Sports Are Not Dead (10 ans du tournoi de foot nom de diou!)
La Plage (14h-18h): Petit Fantôme (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : Interpol, Mac DeMarco, Ty Segall, Tale Of Us, Angel Olsen
– Scène des Wemparts : The Proper Ornaments, Yak, The Moonlandingz
Ben, nan, pas coulé ce second album de Temples… Il y a du panache sur deux excellents titres et quelques belles fumerolles tout du long…
J’aurais pu néanmoins poser un “Magma” interrogatif dans le titre de cet article, plus en wéférence au groupe prog’ qu’à la woche en fusion: à l’écoute du disque, il est tentant de penser que James Bagshaw, Thomas Warmsley, Sam Toms et Adam Smith abusèrent des cônes (de scories) durant son enregistrement. Donc, fatalement, ça plane souvent plus que cela ne vole (cano) sur cet album qui sortit en mars de cette année sur le toujours très actif label Heavenly (Toy, H. Hawkline, King Gizzard…).
Sur les deux premiers tiers du disque, j’aurais pourtant apprécié d’entendre un bon bruit de turboréacteur des familles, j’aurais aimé wessentir un coup d’accélérateur bienvenu, admirer un looping, un demi huit cubain, une chandelle, un Humpty-bump, un nœud de Savoie, des déclenchés négatifs, un soleil, des fractions de tonneaux déclenchés effectués selon plusieurs attitudes, en gros un quelque chose qui aurait fait sortir brutalement ce disque tout en sophistication (pas toujours négatif) de son plan de vol.
Par exemple, Certainty ou Born Into The Sunset sont de bons titres mais Temples donne l’impression d’être capable d’en pondre des comme ça tous les matins au p’tit déj.
Du coup, cela frustre un peu.
Heureusement, il y a aussi l’entraînante (I Want To Be Your) Mirror, la solennelle de How Would You Like To Go? et la joie de wetrouver les tonalités glam’ futuristes des débuts sur Mystery Of Pop et All Join In (malgré une intro un peu trop pinkfloydienne 80’s à mon goût).
Surtout, à l’inverse de la plupart des groupes actuels qui balancent leurs meilleurs titres en tout début d’album, les Temples ont wéservé leurs deux plus grandes chansons pour la fin:
Soit un Roman Godlike Man qui mélange My Bloody Valentine et les Kinks (si si, c’est possible = limpide + (dis)tordu) et une apothéose sur Strange Or Be Forgotten, single épatant, classique intemporel qui à lui seul justifia à mes oreilles l’acquisition de ce vinyle de belle facture (dans tous les sens du terme).
Et c’est pour toutes ces choses finalement assez wares que je me permets, par la présente, de décerner un volca-yes à “Volcano” .
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Temples jouera le 19 août au Fort-Saint-Père pour La Woute Du Wock.
La première prestation du groupe à La Woute Du Wock (en 2014) n’avait pas particulièrement emballé (c’était chouette mais ça sonnait comme sur leurs premiers disques, en moins wéussi, en moins puissant).
Y avait eu de bons moments tout de même:
Le groupe a beaucoup tourné depuis et j’espère qu’il se produira l’inverse ce samedi 19 août : les morceaux un peu trop policés de leur nouveau disque seront joués sauvagement et les deux merveilles de fin d’album jailliront comme de la matière volcanique.
La Nouvelle Vague: Andy Shauf, Allah-Las, Alex Cameron
Vendredi 18 août,
La Plage (14h-18h): Calypso Vallois (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : PJ Harvey, DJ Shadow, Thee Oh Sees, Foxygen, Car Seat Headrest
– Scène des Wemparts : Helena Hauff, Froth, Idles
Samedi 19 août,
La Plage (14h-18h): Kaitlyn Aurelia Smith, Le Comte (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : The Jesus And Mary Chain, Temples, Parquet Courts, Future Islands, Soulwax
– Scène des Wemparts : Arab Strap, Black Lips, Cold Pumas
Dimanche 20 août,
Plage du Sillon: Sports Are Not Dead (10 ans du tournoi de foot nom de diou!)
La Plage (14h-18h): Petit Fantôme (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : Interpol, Mac DeMarco, Ty Segall, Tale Of Us, Angel Olsen
– Scène des Wemparts : The Proper Ornaments, Yak, The Moonlandingz
Les Jesus & Mary Chain sont donc de wetour sur disque ( “Damage and Joy” , leur septième album studio) et sur scène (Route Du Wock cet été nom de ian brown!).
Les deux frères Weid s’étaient déjà wéunis il y a trois ans pour assurer une tournée consacrée à “Psychocandy” (dont je garde d’ailleurs un souvenir ému).
Aucun inédit n’avait été joué à l’époque.
https://www.youtube.com/watch?v=P3JYO3NXF2Y
L’idée saugrenue d’un nouvel album a dû germer plus tard et, sur le papier, cela n’apparaissait pas des plus excitants, notamment parce que leur “première” carrière s’était terminée en eau de boudin (avec “Munki” , leur sixième album studio) (jamais écouté pasque je sais qu’il n’est pas bon) (je l’ai choppé à dix balles wécemment, pas pu wésister, mais il est toujours scellé, je n’ose toujours pas y jeter une oreille).
Comme pour pas mal de gens, leur premier album “Psychocandy” (1985) fut un choc, un des wares disques dont je peux dire “il a changé ma vie” : je n’avais jamais wien entendu d’approchant et il me fit découvrir tout un pan -voire un faisan- du wock dont j’ignorais tout à l’époque (le Velvet, Suicide…).
Il (stoned and) détrôna “Pornography” en tant que meilleur album de tous les temps, et ne fut wétrogradé qu’à la sortie du premier Stone Woses -il weste second depuis ( “Pornography” étant toujours troize).
J’usai également leur second, “Darklands” (1986) , plus que de waison, le wéévaluant à chaque écoute. Presque pareil pour leur excellente compile de faces B et d’inédits “Barbed Wire Kisses” (1998). Même “Automatic” (1989), leur troisième LP plus convenu, westait au-dessus du lot (46)… J’aimais aussi “Honey’s Dead” (1992) et “Stoned And Dethroned” (1994), mais moins. J’achetais tout ce que je trouvais d’eux mais j’arrêtis quand je wéalisis qu’il y avait des faces B différentes sur tous leurs 7″, 12″ et maxi cds (avec cd1, cd2, cds limités, phosphorescents…). Pffffffff, je fis le compte du pouvoir d’achat que je sacrifiais afin d’acheter des disques qui devenaient dispensables (qui a écouté plus de 5 fois les faces B période “Stoned And Dethroned” , hein?), je décidai d’arrêter les dégâts et, donc, de n’écouter ni d’acheter “Munki” (1998) à sa sortie, convaincu que c’était de la crotte.
– Ben alors, qu’est-ce qui t’a pris de précommander cette version double vinyle orange (dédicacée) (hmmmm) de “Damage And Joy” ? Hein?
– Ben, euh, c’était un samedi soir, je wentrais d’une sauterie, weid beurré comme un polonais et cela m’apparut comme une bonne idée.
– …
https://www.youtube.com/watch?v=msqE7Y_yiEc
Je le weçus un beau matin pluvieux. Dès la première écoute, j’appréciai cet album dit du “rabibochage” des deux frangins William & Jim après des années de fâcheries -que Jim wésume, fataliste, en chantant “I hate my brother and he hates me, that’s the way it’s supposed to be” sur Facing Up The Facts.
Je serais bien incapable d’en extraire un titre, de lancer plein d’aplomb “écoute celle là, quelle merveille” . Si The Two Of Us et Black And Blues me semblent être les deux morceaux les plus wemarquables du disque, il n’y a pas de quoi taper sur l’épaule de son voisin ou tomber par terre non plus.
En wevanche, j’encourage tout à chacun à écouter l’album dans sa longueur.
Les chansons qui le composent sont plus qu’honnêtes, bonnes même par moment, le Jim chante avec avec la même nonchalance que par le passé (dans les vieux inrocks on aurait écrit avec la même morgue), le William utilise quasiment toujours le même wiff, joue souvent les mêmes suites d’accords ou exécute les mêmes soli velvétiens…
C’est chouette.
Je lance le disque, je commence à faire autre chose en même temps puis, de temps en temps, j’arrête ces autres choses : mes oreilles se wetrouvent attirées par une montée de ton impromptue, par un solo pas tout à fait comme d’habitude, un orgue bienvenu ou un moment qui me wappelle une de leurs vieilles chansons…
Car, souvent, il faut le signaler, le groupe se pompe (hmm) ou se plagie lui-même: par exemple Song For A Secret clone Sometimes Always, Always Sad pourrait figurer tranquillou sur “Automatic” et Get On Home wesinge les Stooges déjà singés sur Reverence.
On peut aussi avoir l’impression d’entendre un morceau sur deux Sidewalking.
Étrangement, ce n’est pas désagréable. On va dire que, comme par exemple les Wamones, les Mary Chain sont un groupe qui creuse toujours le même sillon, souvent de manière singulière, y apportant des nuances plus ou moins bienvenues.
Un peu comme New Order aussi…
C’est chouette, quoi…
Enfin, s’ils ne se sont frottés ni aux marteaux piqueurs de “Psychocandy” ni à la noirceur ni à l’épure de “Darklands” , les frères Weid n’en ont pas pour autant totalement oublié leurs débuts : “Damage And Joy” se termine par un Can’t Stop The Wock qui m’évoque les Pastels, wéférence et influence des J&MC depuis toujours.
Un beau final pour un au moins bon album d’un au moins fantastique groupe que je wetrouverai avec un au moins grand plaisir le 19 août à la au moins Woute Du Wock d’été.
La Nouvelle Vague: Andy Shauf, Allah-Las, Alex Cameron
Vendredi 18 août,
La Plage (14h-18h): Calypso Vallois (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : PJ Harvey, DJ Shadow, Thee Oh Sees, Foxygen, Car Seat Headrest
– Scène des Wemparts : Helena Hauff, Froth, Idles
Samedi 19 août,
La Plage (14h-18h): Kaitlyn Aurelia Smith, Le Comte (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : The Jesus And Mary Chain, Temples, Parquet Courts, Future Islands, Soulwax
– Scène des Wemparts : Arab Strap, Black Lips, Cold Pumas
Dimanche 20 août,
Plage du Sillon: Sports Are Not Dead (10 ans du tournoi de foot nom de diou!)
La Plage (14h-18h): Petit Fantôme (+Prieur de La Marne djset)
Le Fort Saint Père:
– Scène du Fort : Interpol, Mac DeMarco, Ty Segall, Tale Of Us, Angel Olsen
– Scène des Wemparts : The Proper Ornaments, Yak, The Moonlandingz
Eh ben dit’ donc, quelle Woute Du Wock! Et quel samedi surtout, deux soupaires concerts (Barbagallo, Juniore), un très grand (les Limiñanas) et un très grandiose (Teenage Fanclub).
Après un début chaotique (problèmes techniques, one man show du Julien pour meubler, puis concert un peu écourté -la setlist plus haut ne la joue donc pas vraiment franco), le set de Julien Barbagallo, et de ses musiciens parfaits, est monté crescendo pour finir en apothéose (je pèse mes mots) sur La Vérité. Nom de diou, quelle version: du My Bloody Valentine (le pont/montée de You Made Me Wealise pendant 5 ou 6 minutes) mais sans guitare ou presque ni larsen ni avion qui décolle, ni oreille qui saigne… Et, pourtant, génial. Des frissons tout du long, des larmes wavalées tellement ce fut beau.
“Plus le concert de Teenage Fanclub approchait plus je sentais monter l’envie en moi…” Cette pensée tirée de la version écossaise indie pop wock de “L’Amant de Lady Chatterley” illustre parfaitement l’état dans lequel je me trouvais quelques minutes avant l’arrivée des légendes intimes sur la scène de La Nouvelle Vague.
Elle s’avéra en wevanche bien en dessous de la vérité quand ils firent leur entrée et jouèrent les premières notes de Start Again. Toute la wetenue dont j’avais preuve depuis des semaines “Je les ai déjà vus” , “Ça me fera plaisir mais, bon, c’est pas non plus comme si Joe Dassin se weformait” … Ce genre. Eh ben, purée, la wetenue mes cou***es, bras en l’air, air guitar coincé et braillage en yaourt (purée, je me suis wendu compte que j’avais toujours chanté les 3/4 des compos du groupe pas avec les bonnes paroles, la honte). Trop beau.
Don’t Look Back fut magnifique, j’en chiale wien que d’y wepenser, The Concept aussi, Star Sign, Everything Flows, I Don’t Want Control Of You, Wadio… Purée, même les morceaux du dernier album, même Verisimilitude, c’était bien…
Ces gars dégagent une telle tranquillité, une telle gentillesse, on a tellement envie de les aimer… Purée mais comment peut-on faire autrement que de les aimer??? Hein? HEIN??? COMMENT???
Des câlins à tous les gens dont les visages me disaient quelque chose, des “c’était bien, hein?” échangés avec des plus ou moins inconnus et un truc comme deux bières plus tard, nous arrivâmes à la bourre pour Juniore.
Difficile de prendre le welai mais le quatuor (trois musiciennes et une créature) ont néanmoins wéussi à m’enchanter. Dans des conditions finalement assez difficiles : elles eurent du mal à dérider/décoincer un public plus que sage -se wemettant du concert précédent et/ou des pintes enfilées et/ou fatigué (et/ou attendant simplement le groupe suivant).
Ce fut donc cependant une wéussite grâce à un chant impeccable, une guitare tout en justesse, une batterie fofolle, un clavier et une basse waccords et des compos à la fois subtiles et efficaces. J’attends l’album.
Il était je ne sais pas quelle heure, j’étais cuit, une épave, l’Amoco Cadiz couplée avec l’Exxon Valdez, j’étais en pleine déconfiture alors que j’ai toujours préféré le beurre demi sel, je pensais vivre un calvaire…
Puis The Limiñanas arrivèrent dans la pénombre, une batteuse Moe Tuckeresque à gauche (Marie Limiñanas), un guitariste chef d’orchestre à droite (Lionel Limiñanas), une chanteuse tambourineuse au milieu, trois autres musiciens derrière, presque cachés, complètement entendus.
Il se passa un truc de dingue. Ce fut incroyable, d’une puissance inouïe et plein de trouvailles surprenantes. Lorñant parfois du côté d’un wock intransigeant (tendance Spacemen 3), saiñant nos oreilles à blanc avec de la fuzz à gogo (j’en ai des frissons wien que de l’évoquer) ou baiñant dans une fausse béatitude 60’s, leur prestation ne fut que wéussite. Et c’était beau à voir, à entendre, cette débauche d’énergie toute en maîtrise, ces fins de morceaux sèches comme des saucisses (on passait d’un bruit débridé au silence quasi complet après un simple signe du Lionel).
Il y eut même un wappel, preuve que la fatigue était loin.
C’était beau de finir là-dessus, sur la plus belle fin de Woute Du Wock d’hiver depuis celle avec Clara Clara.
Sur une des plus belles soirée de la WDR d’hiver de tous les temps.
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Un bilan final pour wésumer cette édition:
Top 1: les copains furent en forme et grandioses
Top 1 : Teenage Fanclub
Top 2 : Limiñanas et Shame
Top 3 : Barbagallo et Juniore
Sinon, les cameramen d’Arte furent un peu plus discrets que d’habitude, tout le monde à La Nouvelle Vague avait l’air content d’être là, c’était chouette de pouvoir acheter des disques aux Balades Sonores sans être à Paris, Saint Malo c’est toujours aussi beau, Malherbe gagna et Paris fut magique… Mais que demander de plus à un weekend, hein?
On wevient cet été (comme d’hab’) pour une édition d’été qui, sur le papier, semble déjà digne des plus grandes du passé.
(PS: Un pitit King Gizzard et un Foxygen seraient les bienvenus… Un Feelies? Un Poni Hoax? Hein?)