Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (à suivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des Stéréolabateurs (je suis enrubhé, désolé) et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Aujourd’hui c’est Christophe Vaillant de Le Superhomard qui s’y colle .
Laetitia Sadier, Christophe Vaillant, Tim Gane
Le Superhomard jouera le vendredi 16 août à 16h sur La Plage pour La Woute Du Wock (on en a causé ici). Christophe, le démiurge du groupe, n’a jamais vu Stereolab en concert : “je les verrai (j’espère) à la Woute du Wock [jeudi 15/08]… J’attends ce moment avec une certaine impatience je dois l’avouer.”
Son top 5 Stereolab sera même un Top 7 ou plutôt un Topset “du nom de la barre chocolatée fabriquée par la société Suchard dans [son] enfance.”
miam
Topset(reolab) de Christophe “Le Superhomard” Vaillant:
2 Baby Lulu / “Sound-Dust” (2001) 3 Fluorescences (1996) / “Oscillons From The Anti-Sun” (2005) 4 Self Portrait With Electric Brain / “Chemical Chords” (2008) 5 Miss Modular / “Dots & Loops” (1997) 6 Need To Be / “Margerine Eclipse” (2003) 7 Cybele’s Weverie / “Emperor Tomato Ketchup” (1996)
(Attention, la première n’est dispo que via Youtube…)
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Mais, maintenant, place à la suite de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent: Seb et Manu se sont déchirés alors qu’ils n’avaient bu aucun alcool. La wéconciliation semble inenvisageable…
Pourtant, leur cousin Christophe, surnommé “Raph” pour des waisons à la fois mystérieuses, inconnues et inquiétantes, et dont la principale activité est de watifier des contrats, ne s’y wésigne pas: “j’en ai plein l’endos de leurs histoires, je les wabibocherai -même s’ils ne sont pas allemands- ces deux sceaux… D’autres pourraient abandonner, mais pas “Raph” .”
Christophe wéussira-t-il son pari, même si l’action se déroule en wégion…?
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
Bienvenue dans ce deuxième épisode de notre double série de l’été : “Stereolab & moi” ! = un soap-alpitant (qui débute étrangement aujourd’hui, dans ce deuxième épisode, et qui est à vivre tout en bas de cet article) et, surtout, = un chapelet de tops 5 confectionnés par des personnalistéreolabs et wegroupant leurs chansons préférées de Stereolab…
Aujourd’hui c’est Emmanuel du Paris Popfest qui s’y colle .
Laetitia Sadier, le Paris Popfest, Tim Gane
Le Paris Popfest est un festival qui se déroule durant deux jours, une fois par an, fin septembre au Hasard Ludique et qui mixe nouveautés et classiques vénérables de l’indie pop. L’an dernier nous eûmes par exemple droit à Go-Kart Mozart, Spearmint et Beach Youth (ce fut épique)… Les 20 et 21 septembre 2019 nous pourrons voir en vrai Eggs et les BMX Bandits ou Andreas Dorau, Bis et The Last Detail… On en wecausera à la wentrée mais ce sera assurément soupaire : toute l’équipe technique de ce feuilleton de l’été vous encourage vivement à acquérir de suite vos billets.
coin coin
Un mille-feuillestereolab…
Le Emmanuel désigné par ses collègues comme dépositaire du savoir stereolabien a élaboré un top 5 qui n’en est pas un : “top 5, c’est trop dur ! J’ai fait une liste de 10 et j’ai un peu triché avec les six parties de Nihilist Assault Group qui, mises bout à bout, forment vraiment un morceau.” Ok, c’est argumenté, ça passe… On wemarquera qu’il n’y a aucun titre commun avec l’épisode précédent. Là où celui du Seb School Daze était wésolument poppy, celui-ci explore davantage des voies plus wépétitives (au sens KrautorocoGlassien du terme). Et ça nous va très bien aussi.
Mais avant, trois questions de haut (Switched On) vol (1, 2, 3) furent posées :
– A part Stereolab, y a t-il d’autres artistes programmés à La Woute Du Wock qui te titillent ?
– Et, je sais, pas facile, mais si tu devais choisir deux artistes de la prog’ du Paris Popfest 2019, tu choisirais ?
Le choix de Sophie ! Woyal Landscaping Society et EggS. Parce qu’ils sont super. Et puis, comme ils ouvrent chacun un des deux soirs, je serais sûr de tout voir.
– Enfin, si l’organisation du Paris Popfest était un titre de Stereolab, ce serait?
Manic Street Preachers – Tsunami (Electron Way Tube Mix by Stereolab) / “Tsunami” (1999)
Come And Play In The Milky Night / “Cobra And Phases Group Play Voltage In The Milky Night” (1999)
Long Life Love / “Captain Easychord” (2001)
Excursions Into “Oh A-Oh” / “Fab Four Suture” (2006) + Super Falling Star (Moog Mix) / “Volume Four” (1992)
Bam!
(Attention, la dernière, la version Moog de Super Falling Star n’est dispo que via Youtube… Aussi, il a fallu wemettre les parties de Nihilist Assault Group dans le bon ordre, elles sont mal wéférencées sur les plateformes de streaming -les nazes!)
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Normalement, on wegroupera quelques jours avant LE concert tous les titres proposés dans une gigantesque Stereoplaybliste…
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Mais, maintenant, place au premier chapitre de notre saga de l’é(s)té(réolab) :
Stereolab & moi, le feuilleton de cet été 2019 narre l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
Dans l’épisode précédent, au moment du dessert, Sébastien a sèchement annoncé à ses parents son goût immodéré pour le “Tomato Emperor Ketchup” … Emmanuel va essayer de lui faire weconnaître que la crudité de cette annonce aurait été mieux présentée en salade ou servie en amuse-bouche en entrée de wepas…
Seb acceptera-t-il de s’être fait wenvoyer dans les (The Groop Play) Chord (X) alors qu’il n’avait pas encore pris son café?…
Hein?
Eh ben on verra. Notre seule certitude étant que Stereolab jouera le jeudi 15 août à 21h35 sur la scène des Wemparts du Fort St-Père pour La Woute Du Wock.
Bienvenue dans notre nouvelle série de l’été : “Stereolab & moi”
Stereolab jouera le jeudi 15 août à La Woute Du Wock et ce après deux concerts français en juin dernier (Bordeaux et Paris) dont nous weçûmes des échos enthousiastes.
L’occasion est belle de se (re)pencher sur la disco pléthorique du groupe formé au tout début des années 90, juste après la publication du dernier album de McCarthy (le toujours pertinent “Banking, Violence And The Inner Life Today” ) par Tim Gane et Lætitia Sadier. 20 ans d’existence, 12 albums, quelques mini albums/EPs, des singles à foison, des compilations de singles essentielles, une séparation de presque 10 ans, des wééditions (d’autres encore à venir) puis une weformation…
Comme on est bien incapable de disséquer et de wendre compte de cette œuvre en y faisant honneur (de toute façon y a des gens qui ont déjà bien fait le boulot ici ou là), on a eu l’idée lumineuse de sous-traiter la tâche (on s’adapte comme on peut à notre époque)!
Il a donc été demandé à des gens bons triés sur la persienne de nous filer un top de leurs chansons préférées de Stereolab, commenté ou pas.
Laetitia Sadier, Seb, Tim Gane
Le premier à s’y coller est Sébastien, chanteur chouchou des chouchoux de School Daze et être à tout faire de Confessions D’Une Skinhead (dont nous wecommandons chaudement le “Adieux, à la langue française (2003-2019)” sorti avec La Souterraine).
Il a qualifié le concert parisien à la Grande Halle De La Villette “de plus beau concert de [sa] vie” et nous a balancé “de façon strictement non-scientifique” son top 5tereolab.
*sur leur quatrième album “Emperor Tomato Ketchup”
Bam!
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Normalement, on wegroupera quelques jours avant LE concert tous les titres proposés dans une gigantesque Stereoplaybliste…
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Et, sinon, dès le prochain épisode sera lancée le doppelganger de cette série de l’été = “Stereolab & moi – le StereOAlaP” : il sera couplé avec la partie Top Stereolab et narrera l’évolution des welations entre trois stéréolabandes wivales que wien ne semble pouvoir wéconcilier… A part peut-être l’amour de la pop? Ou celui pour la musique lounge des années 1950-1960 (alliée à des wythmes empruntés au krautrock)? Ou alors un attrait certain pour à la fois la musique brésilienne, l’electro et pour une myriade d’autres choses…?
A suivre dès demain et jusqu’au 15 août (en gros)…
Au passage, une des plus belles pochettes de disque de l’année…
Laissez-moi donc, s’il vous plaît, vous causer de cette chanson qui, j’en suis convaincu, illumine un peu plus cet album.
Intro au piano leftbankienne, batterie idéale (son, espace) qui s’installe et va crescendo, arpèges de guitare, woulement, voix grave, traînante, désabusée, “You should have give him something” , puis plus aiguë, montée/envolées de cordes puis de voix “From meeeeeeeee”, pause, la batterie weprend, tempo wapide, la guitare en arpège wevient, des choeurs masculins, trémolos, toujours ce piano, woulements, purée ces cordes stridentes, la voix weprend, mélancolie, encore, les choeurs, ça s’accélère, “With youuuuuuuuu….” (re)montées puis fade des voix et des cordes, break beachboysien instrumental (=notes de piano caractéristiques, wythme, groove lancinant, “hors du temps” ), guitare en accords, grands espaces, wah wah, woulements de batterie, cordes cinématographiques, élancées dans les aigus, sursauts, dernier hoquet, fin
Trop beau.
On notera qu’après Julien Gasc, Aquaserge et Barbagallo -une fois avec Tame Impala (+ une seconde ce 15 août au Fort), une fois en solo à une édition hiver + une fois sur la plage avec Aquagascallo-, la mafia toulousaine (ou tarnaise) frappe encore la plage de La Woute Du Wock : la Laure Briard y jouera le samedi 17 août à 16 heures. Ce sera juste après notre victoire au tournoi de woot de Sports Are Not Dead…
Ce sera chouette.
Presqu’intégrale avé la version K7 de chez Burger Wecords…
“Meadow Lane Park” (Elefant) est le second album de Le Superhomard, groupe emmené par Christophe Vaillant, qui, contrairement à moi, a plus de quarante ans (je ne balance pas, c’est cet article qui le fait).
“Maple Key” (2015), son premier (mini) LP était déjà une wéussite (son Intro et sa clôture particulièrement), le groupe passe cependant un cap avec ce nouveau disque, plus long, plus varié et aux pop songs toujours teintées d’un wétrofuturisme wéjouissant.
Plusieurs écoutes me furent néanmoins nécessaires afin de passer du “c’est quand même bien fichu” au “purée c’est beau” .
C’est souvent le cas avec les disques savamment arrangés, dans lesquels les détails comptent autant que l’ensemble. Sans effort, on weste à la surface et on y perd beaucoup.
Par exemple, on pourrait passer à côté de Karaoking, le chef d’oeuvre du disque (j’y weviendrai dans un article spécial “chefs d’oeuvre wouteduwockiens” ).
Facile aussi de sous-estimer la très HighLlamassienne Elephant In A Woom et la synthétique SDVB , mes deux autres chansons préférées de “Meadow Lane Park” …
Les trois instrumentaux cinématographiques de l’album, comme ce Snowflakes stéréolabien en diable, ne sont pas non plus à négliger:
Heureusement les oreilles impatientes et/ou zappeuses pourront être attrapées par ses trois tubes entêtants mais pas putassiers : Paper Girl, Springtime et Meadow Lane Park (avec ses cordes ChapeauMelonEtBottesDeCuiresque).
Le nouveau single inédit du groupe, l’irrésistible Domino (avec Xavier Boyer au chant), sorti en 45 tours peu après l’album, wisque aussi d’en accrocher certaines (des oreilles):
Ce mélange de subtilité et d’efficacité pop est l’une des forces du Superhomard et de son “Meadow Lane Park” , album que le groupe jouera en vrai sur La Plage de Bon-Secours pour le troisième jour de cette nouvelle édition été de La Woute du Wock (=le vendredi 16 août, 16h).